tradition - Page 303
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Européens, debout !
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Jeunesses Nationalistes Savoie et Haute-Savoie
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Lors de la remise de la médaille de la famille, elle défend la famille
"Monsieur le Sénateur-Maire, Madame et Monsieur les députés, Mesdames, Messieurs,
Ce petit mot pour vous remercier, Monsieur le Maire, de nous accueillir aujourd’hui et vous dire combien je suis honorée de recevoir cette distinction. A cette occasion, je voudrais reprendre les termes mêmes qui définissent statutairement la médaille de la famille : « ... la médaille de la famille ... implique la reconnaissance du mariage comme élément fondateur de la famille et de la pérennité du lien conjugal entre le PERE et la MERE, indispensables à l’épanouissement de leurs enfants dans la stabilité ».
Cette définition fondée sur le bon sens et la loi naturelle est claire : le mariage ne peut donc unir qu’un homme et une femme, c’est l’élément fondateur de la famille, et les enfants ont besoin d’un père et d’une mère. On ne peut donc accepter que notre gouvernement dénature profondément le sens du mariage et je ne peux qu’affirmer haut et fort en ce jour particulier où vous avez voulu, M. le Maire, mettre la famille à l’honneur, mon opposition absolue à cette loi inique et mauvaise pour notre société, qui met en péril les générations futures en remettant en cause la filiation.
Cette loi a été votée malgré des manifestations de très grande ampleur qui ont rassemblé toutes les générations, pour la défense de ce que nous avons de plus cher, la FAMILLE. Ces Français de toutes les classes sociales, de tous les milieux, ont été méprisés, violentés parfois. Nous ne pouvons accepter cette loi, bien que votée et promulguée, notre devoir est de la combattre et nous espérons de tout coeur pouvoir compter sur de courageux élus (peut-être vous, M. le sénateur ? Vous, madame, monsieur les députés ?) pour nous y aider.
Aujourd’hui, un jeune homme, Nicolas, paie très cher son engagement pacifique, d’une lourde peine de 2 mois de prison ferme ; en pensant à lui, nous disons plus que jamais : «nous ne lâcherons rien ». Merci de votre attention."
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Face à l’injustice de la Justice, organisons la riposte
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Voudrait il mettre en route le Printemps français qu'il ne s'y prendrait pas autrement !
Question du député Jacques Myard au Premier ministre :
"M. Jacques Myard appelle l’attention de M. le Premier ministre sur la disproportion et l’ampleur des moyens mis en œuvre par les services de l’Etats à l’encontre des opposants au mariage anti homosexuel, parfaitement indignes d’un Etat de droit tel que le nôtre. Les témoignages et preuves étayées sur de très nombreux supports abondent et traduisent une dérive très préoccupante vers une répression politique qui bafoue les libertés publiques. Ainsi le seul port d’un t- shirt avec le label « la manif pour tous » ou un drapeau vaut confiscations, interpellations et arrestations, gardes à vue avec une pratique tout à faitarbitraire et disproportionné des moyens répressifs à l’encontre de manifestants. Dernier exemple en date, proprement scandaleux un jeune homme qui a osé manifester sous les fenêtres d’une chaîne audiovisuelle où était interviewé le président de la République fait l’objet d’une comparution immédiate et se retrouve aussitôt en prison, avec une peine de 4 mois dont deux fermes ! Cette sévérité hors norme et sans aucun fondement est à mettre en parallèle avec le traitement plein de mansuétude de délinquants acteurs de violences inqualifiables comme les jeunes braqueurs du RER D de Grigny., Il est aisé pour nos concitoyens choqués de voir qu’il y a une politique de deux poids deux mesures. Ces agissements arbitraires ne démobiliseront pas nos concitoyens qui veulent pouvoir continuer à manifester leur opposition vigoureuse mais pacifique à ce projet de société. Jacques Myard lui demande de bien vouloir faire cesser sans délai ces pratiques abusives , et de garantir effectivement aux Français le droit de manifester sans être inquiétés par les excès de zèle policiers, contraires aux principes qui fondent notre démocratie."
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Quand tout est dit…
Sans pouvoir politique authentique et souverain, la France est condamnée à être ballotée au gré des intérêts qui ne sont pas les siens...
Nos lecteurs connaissent le professeur Olivier Tournafond...
Piqûre de rappel !
Lecture de circonstance, égard à notre « riche » actualité...Portemont
« Le royalisme est actuellement en France, mais aussi dans le monde occidental, un courant de pensée profondément original qui procède d'une vision des choses différente de la vision dominante. On parlera ici de manière synonyme de « royalisme » et de « monarchisme », même si certains ont pu attribuer aux deux termes des sens légèrement différents.
Opposer la monarchie à la démocratie n'a guère de sens pour les monarchistes. Les monarchistes ne sont pas hostiles à la démocratie dès lors qu'elle ne prétend pas devenir une sorte de religion de substitution, chassant la religion véritable, celle qui est fondée non pas sur l'adoration du nombre, de la quantité et de l'argent, mais sur la transcendance et la valeur et aussi évidemment l'amour puisque là réside l'essence même de Dieu.
D'une manière générale, contrairement à la pensée révolutionnaire et républicaine qui fonctionne sur le modèle de la « logique formelle » sources d'oppositions et d'exclusions (gauche ou droite, Roi ou Peuple, progressiste ou réactionnaire, capitaliste ou anticapitaliste, etc...), la pensée royaliste fonctionne à l'inverse sur le modèle de la « logique paradoxale », celle qui accepte d'associer des éléments contraires.
Ainsi, pour nous, les droits du peuple ne sont pas antinomiques des pouvoirs du Souverain, de même que l'inégalité n'est pas incompatible avec la solidarité collective. De même nous considérons que l'autorité et les règles de droit ne sont nullement incompatibles avec les libertés. Que bien au contraire, elles protègent et encadrent la liberté des hommes.
En deux mots, le royalisme est beaucoup plus qu'une simple doctrine politique, c'est une approche philosophique différente de celle qui domine actuellement notre civilisation matérialiste. Les royalistes sont des « antimodernes », ce qui ne signifie pas qu'ils rejettent l'idée de progrès, mais qu'ils considèrent que l'Occident matérialiste s'est engagé il y a deux cents ans dans une fausse voie.
Cette voie pouvait paraître séduisante de prime abord, car elle flattait les tendances naturelles de l'homme (soif de richesses, de pouvoir, de liberté... espérance dans un progrès facile et illimité... jalousie et ressentiment des foules aussi...), mais le recul de l'histoire montre qu'elle reposait sur une erreur intellectuelle fondamentale qui est la facilité, le dogmatisme et le refus du réel.
Aujourd'hui ce modèle est à bout de souffle. Il est en ruine même. Voyez la Grèce, Chypre, le Portugal, l'Italie, l'Espagne...et la France bientôt !
Et l'effondrement menaçant de cette gigantesque escroquerie intellectuelle, qui porte le nom de « démocratie parlementaire », risque fort de faire des dégâts. C'est à juste titre qu'Arnaud Colbert, économiste et lointain descendant du ministre du Roi, déclarait il y a quelques années : « Attendons- nous au pire. Et le pire n'est jamais décevant ! ».
Au fond, l'alternative est aujourd'hui simple pour nos compatriotes :
Soit ils cessent de se battre pour se laisser mollement aller aux forces fatales et mortifères qui rongent notre civilisation, et pour devenir à terme les esclaves économiques des nouvelles puissances comme la Chine, car la nature n'aime pas les faibles...
Soit ils se redressent pour créer un nouveau modèle de civilisation en puisant dans leurs traditions et leur patrimoine collectif. Et pour permettre l'éclosion d'une nouvelle Renaissance. N'oublions pas que la Renaissance a d'abord été la résurrection du pouvoir politique et de la souveraineté.
D'aucuns jugeront ce programme irréaliste. Ceux-là ont déjà fait le premier choix, le choix de l'autodestruction... »
Olivier Tournafond
Professeur à l'Université de Paris-Est -
« En route pour Ithaque ! » – l’Université d’Été de Génération
Communiqué du 17 juin 2013
:: « En route pour Ithaque ! » – l’Université d’Été de Génération Identitaire ::
« Le pouvoir socialiste semble avoir choisi de nous désigner comme ses ennemis, la Génération Identitaire ne le décevra pas ! », c’est ainsi que se terminait le communiqué annonçant la création de Génération Identitaire à la fin de l’été 2012. Du toit de la mosquée de Poitiers au siège du PS rue de Solférino, en passant par notre campagne « Génération Solidaire » auprès des SDF et la mobilisation contre la loi Taubira, nous nous sommes efforcés depuis de tenir cette promesse.
De telles opérations, tout autant que la structuration de Génération Identitaire, sont rendues possibles grâce à un effort permanent de formation des militants et responsables. L’Université d’Été qui se tiendra dans le Dauphiné (à proximité de Grenoble) du lundi 12 au samedi 17 août, s’inscrit dans cette démarche.
Dirigé par une équipe de formateurs expérimentés, cette Université d’Été est une occasion unique d’apprendre, chanter, transpirer ensemble dans un cadre naturel d’exception, et ainsi de resserrer les liens entre les participants.
Cette session, intitulée « En route pour Ithaque ! », permettra – en parallèle de la formation militante – de s’intéresser à l’œuvre d’Homère et aux aventures d’Ulysse, mythe majeur de notre civilisation.
Onzième rendez-vous de formation estivale pour les jeunes identitaires, premier pour le mouvement Génération Identitaire, notre Université d’Eté s’adresse en priorité aux cadres. Tout adhérent souhaitant y participer doit recevoir le parrainage d’un Conseiller fédéral.
> Lundi 12 au samedi 17 août, Dauphiné, participation de 60 € par personne
> Renseignements et inscriptions : contact@generation-identitaire.com—–
GENERATION IDENTITAIRE
Site : www.generation-identitaire.com
Messagerie : contact@generation-identitaire.com
Facebook : http://www.facebook.com/GenerationIdentitaire
Twitter : https://twitter.com/G_IDENTITAIRE -
Manif pour Nicolas au Panthéon : "La vérité est avec nous et la vérité rend libre"
Ainsi s'exprime en direct et devant une foule immmense la mère de Nicolas qui lance un appel au calme avec une dignité qui invite à l'admiration (lire ici la lettre des parents de Nicolas).
Avant c'était maître Gruau qui avait la parole :
"Il a été coursé par les forces de police sans raison (...)
3 jour et 3 nuits avant d'être jugé pour rien. On commence à être habitué (...)
Il a été purement et simplement mis en prison. Nous avons fait une demande de liberté en appel".
Auparavant, c'était M Legaret qui prononça un discours :
"La France est un pays de liberté, liberté qui a été conquise parfois au prix de la vie de nos ancêtres (...)
Aujourd'hui, Nicolas est victime d'une lettre de cachet (...)
On a gardé à vue des étudiants, des Marianne. Aujourd'hui, on a embastillé Nicolas".
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Le Pape appelle à abroger la loi Taubira : merci François !
Il n’a pas sa langue dans la poche, notre pape François, et c’est pour cela qu’on l’aime. En rappelant aux 45 députés et sénateurs français, reçus en audience samedi au Vatican, que leur tâche peut également consister à « abroger des lois », en affirmant que l’Église « désire apporter sa contribution spécifique sur des questions profondes qui engagent une vision plus complète de la personne et de son destin », non seulement au niveau « anthropologique ou sociétal, mais aussi dans les domaines politique, économique et culturel », et en se félicitant que « la société française redécouvre des propositions faites par l’Église […] qui offrent une certaine vision de la personne et de sa dignité en vue du bien commun », le nouvel apôtre des pauvres prouve à nouveau son courage et sa perspicacité.
Son courage, on n’en doutait plus ; la réforme de gouvernement de la curie qu’il a engagée, sa parole vraie, directe et incisive vis-à-vis de quelques princes cléricaux carriéristes en attestent. Mais l’allusion claire à l’abrogation de la loi Taubira, qu’il relie à une redécouverte en France de la doctrine sociale de l’Église, révèle sa capacité à comprendre ce qui se vit chez sa fille aînée, éternelle jouvencelle, d’une manière bien plus lucide que la plupart des administrateurs, élus ou non, du vieil Hexagone.
S’il est une nation qui a été ratiboisée dans son identité par un laïcisme anticlérical, c’est bien la France. S’il est un pays où moins qu’un autre on pouvait imaginer que des chrétiens, que l’on croyait affadis et tous au moins septuagénaires, se lèvent au nom de leurs valeurs contre un projet de loi gay-friendly, c’est bien celui de la première convention.
Pourtant, la profondeur de ce qui se dit dans les assemblées de Veilleurs partout en France chaque soir, la vitalité des engagements de groupes comme les Mères Veilleuses ou les Hommen, la sagesse qui inspire des associations soucieuses de la formation des leurs, comme Alliance Vita ou Renaissance catholique, témoignent d’une singulière conception anthropologique puisée aux sources d’une Église aussi inspirée qu’à son origine.
Ils ont raison, les commentateurs, quand ils parlent de radicalisation, à condition qu’on la comprenne au sens de retour aux racines que donne son étymologie. Et n’en déplaise à quelques culs bénis, faux chouans et vrais tartuffes, qui cachent leur tiédeur derrière une pseudo-prudence de façade, c’est une bonne chose ! C’est le retour aux racines d’une civilisation qui a porté au plus haut la dignité de l’être humain et à laquelle quelques apprentis sorciers alliant malthusianisme et théorie du genre voudraient substituer la leur, toute imaginaire qu’elle est.
45 parlementaires français vont revenir de Rome, exhortés par le Pape d’insuffler aux lois un « esprit, une âme qui ne reflète pas uniquement les modes et les idées du moment ». Ils vont rencontrer dans leurs départements et leurs circonscriptions des Français galvanisés par neuf mois de combat et de résistance contre une loi parfaitement emblématique de ce qu’est un « projet tendance » dépourvu de tout fondement naturel solide. Si tout ce petit monde est capable de s’entendre, d’entendre surtout le souffle mystique qui peut rendre au sel d’un peuple le goût qu’il croyait avoir perdu, les mois qui viennent nous promettent d’être particulièrement épicés.
Merci François !
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Communiqué de l'Action française : Nicolas, prisonnier politique
Quand le sectarisme le dispute à la haine.
On ne cesse de le répéter, nous sommes sous le joug d’un Etat totalitaire qui utilise la justice comme une arme de répression. Il ne suffisait pas que les « inspecteurs la bavure » sévissent sur nos trottoirs matraquant et gazant tout ce qui de près ou de loin ressemble à un manifestant anti-Taubira.
Maintenant on est passé au degré supérieur : vous êtes patriote, vous êtes catholique, ? Allez tout droit en prison sans passer par la case départ.
La justice, comme son nom l’indique, est censée analyser les situations, examiner le contexte, être juste quoi.
Non, naïfs que vous êtes, ça c’est fini, c’était avant.
Le changement c’est maintenant.
Nicolas, jeune homme de 24 ans en marge de la manif devant les locaux de M6, sans casier judiciaire, a eu le malheur de prendre la fuite devant une dizaine de flics (en civil) armés de « tazer » et de matraques, et de se réfugier dans un restaurant. Il a été frappé à terre devant les clients de l’établissement horrifiés.
Comme il fallait justifier une telle violence complètement gratuite, il a été déféré, jugé et immédiatement incarcéré. Deux mois de prison ferme et une amende.
Tandis que pratiquement dans le même temps, la bande qui a attaqué le RER D et dévalisé les voyageurs est relaxée.
Si on ne voit pas que notre justice s’intéresse plus au délit d’opinion qu’à la délinquance crapuleuse, que notre république a remplacé nos juges par des accusateurs publics, c’est que ce régime de terreur a déjà fait son œuvre dans les esprits, devenus lâches, résignés ou contaminés par la haine distillée par le pays légal contre les Français sans doute jugés trop honnêtes pour être honnêtes.
Désormais, les choses sont claires. Il n’y a plus d’Etat, plus de justice, une police de « tontons Macoutes ». On n’attend plus que Duvalier pour oindre notre président normal.
Nous disions résistance et on nous disait outranciers.
Les donneurs de leçon, méprisants et/ou bigleux ne voient pas plus loin que leur assiette de « fastfood »
Mais, qu’on me permette cette échappée grandiloquente, ils ne voient pas « le vol noir du corbeau sur nos plaines », ils n’entendent pas « le cri sourd du pays qu’on enchaîne ».
Cela veut dire, petit père, que nous sommes appelés à résister et, de fait, dans une certaine radicalité, puisque le pouvoir use de la force sans modération, comme ferait une armée d’occupation si elle avait à mater les plus dangereux : ceux qui défendent les valeurs constitutives de la patrie.
Alors debout armée de l’ombre, apprêtons nous au combat, sans arme, puisque nous avons choisi la non-violence, mais sans faiblesse.
On ne lâche rien.
Le Centre Royaliste d’Action Française http://www.actionfrancaise.net