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Appel à la résistance !
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JUSTICE pour les Hommen !
Février 2013 : Des Femen profanent Notre Dame de Paris, le torse couvert d’injures, elles détériorent volontairement une des nouvelles cloches exposées dans la nef. Refusant de sortir, elles font preuve de violences sans état d’âme.
Elles sont relâchées par les forces de police, sans garde à vue, après un simple contrôle d’identité.
Juin 2013 : Des Homen « profanent » Roland Garros. Pacifiques, ils se laissent interpeller par les équipes de sécurité.
Après 48 h de garde à vue, ils sont déférés au Palais de Justice et doivent être jugés en comparution immédiate aujourd’hui à 9 h sous le motif fallacieux de violence volontaire aggravée.
Ainsi il est plus grave de perturber un match de tennis, rendez-vous de la jet set internationale que de souiller la cathédrale de Paris, mémoire millénaire des peuples de France.
Jusqu’à quand , les Français supporteront-ils de tels dénis de justice ? Jusqu’à quand la police de la pensée dira-t-elle sa loi ?
Le jeune homme en rouge de Roland Garros, fait écho à la jeune femme en rouge de la place Taksim. Ils sont tous deux symboles de liberté face à l’oppression. Les gouvernements légaux de Turquie et de France se ressemblent. Ils perdent leur légitimité car ils violent la conscience des peuples.
Peuple de Paris, peuples de France, levez-vous ! Soutenez ces jeunes gens qui eux réclamaient justice pour vos enfants ! Venez devant le Palais de justice à Paris, comme ils viennent place Taksim à Istanbul. A Bordeaux, Grenoble, Lyon ou Marseille, retrouvez-vous devant les tribunaux ! Demandez justice !
Hildegarde http://www.actionfrancaise.net
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Vendredi 14 juin : Opération “Pour la fête des pères, les papas parlent aux papas”
Ce dimanche 16 juin 2013 est certainement la dernière fête des pères. Désormais, pour empêcher toute discrimination envers les enfants de familles dont les parents 1 et 2 sont des lesbiennes, la fête des pères doit être retirée des calendriers. Ainsi, on évitera que des enfants ne puissent, ce dimanche là, offrir un cadeau à un papa… qui n’a pas d’existence. Et puis désormais le mot père est banni de l’état civil. Il en est de même concernant la fête des mères.
En attendant, on va expliquer aux enfants qu’au nom de la théorie du « gender », de toute manière tout cela n’a pas de sens puisque « papa porte une robe ». C’est en effet le titre d’un album que l’éducation nationale de Vincent Peillon fait entrer dans le programme des CP-CE1. Pour « arracher les enfants à leurs stéréotypes familiaux » (sic).
Si le port de la robe par les hommes n’était qu’une mode, cela ne nous dérangerait pas : après tout, les Ecossais portent le kilt, les Latins portaient la tunique, et dans de nombreux pays du Moyen-Orient et d’Afrique les hommes portent des robes… sans parler des prêtres catholiques avec leurs soutanes !
Sauf qu’ici, il ne s’agit pas de mode : le « papa » que Vincent Peillon propose à nos enfants ne se contente pas de porter une robe, il se maquille comme une femme, et peut-être s’épile-t-il comme elle ; passons sur le reste. L’objectif est donc bien l’indifférenciation des genres : avec le « gender », papa porte les attributs de maman, papa est une femme comme les autres.On se demande pourquoi Vincent Peillon n’est pas venu présenter sa réforme en robe ? Peur du ridicule ? Serait-il aussi sclérosé que la société dont il condamne les modèles ?
Alors, nous, PAPAS EN COLERE, nous proposons de faire cela à sa place et d’aller présenter en robe le programme que Vincent Peillon destine à nos enfants, pour que les gens sachent de quoi il nous parle réellement, ce que nous propose en vérité le gouvernement.
Nous vous proposons donc de participer à l’opération :« Pour la fête des pères, les papas parlent aux papas »
Vendredi 14 juin, à la sortie de l’école primaire de votre quartier ou de votre village, 16h30 (sortie de classes), venez tracter contre « le gender à l’école » habillés en robe (nos épouses arriverons à coup sûr à trouver quelque chose qui nous ira !) : la robe est le point essentiel car c’est ce qui pour nous, papas, sera un attifement qui donnera son retentissement à l’opération : nous démontrerons ainsi que la question des rôles respectifs de la femme et de l’homme n’est pas une question de préjugés mais que l’apparence vestimentaire est la clef de l’identification visuelle de nos égales, inimitables et naturelles respectives dignités.
Il n’y a pas besoin de déclaration préalable à faire aux autorités publiques pour un tractage : on y va, on le fait, on explique aux parents d’élèves, aux enfants, c’est tout.
Auparavant, imprimez les tracts joints à ce message et photocopiez-les : deux tracts format B5 sur une même feuille A4 que vous coupez en deux permettra des économies de papier (pauvres arbres…), et limitez le nombre de tracts au nombre d’élèves de l’école. La BD en partie gauche est destinée aux enfants, la partie droite aux parents.
Soyez au minimum deux pour un tractage : il n’est pas donné à tout le monde d’affronter, isolé, les sarcasmes inévitables ; on tient parce qu’on se soutient.
Ne forcez pas les gens à prendre vos tracts s’ils n’en veulent pas : votre présence est en soit un témoignage et nos actions sont aussi pacifiques que transgressives.
N’en rajoutez pas sur le ridicule : il ne s’agit pas d’une gay-pride à l’envers mais d’une opération d’information des familles de vos écoles sur les dangers de l’idéologie du gender que Vincent Peillon veut introduire dans les programmes scolaires. Maquillages outranciers et autres strings doivent rester l’apanage des provocations du lobby gay. Comme toujours nous saurons agir avec la plus grande dignité.
Avant de quitter les lieux, ramassez les tracts que des gens auraient jetés par terre.
L’avant-veille ou la veille, prévenez la presse locale pour que l’opération ait du retentissement.
Pour récupérer le tract en format PDF, un modèle de communiqué de presse et un argumentaire, écrivez-nous à : papasencolere@gmail.frNous voulons notre fête des pères : ni le gouvernement, ni le lobby gay ne pourront nous en priver.
Faites passer largement.
Bon courage à tous les participants et en avant les PAPAS EN COLERE contre le « gender ».
Retrouvez-nous sur Facebook : www.facebook.com/papas.encolere.fr
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Les catholiques poignardés dans le dos
Depuis des mois les Français - en particulier les catholiques - luttent pacifiquement contre une loi visant à changer les fondements de notre civilisation : Manif pour tous, Pétition devant le CESE, Printemps Français, Hommen, Veilleurs, Antigones, etc…C'est tout un peuple qui se lève face à un gouvernement qui n'a d'autres réponses que l'obstination, les arrestations arbitraires et le gazage d'innocents.Face à ce nouveau totalitarisme, un seul mot d'ordre : « On ne lâche rien ! ». La persévérance et le courage des Français suscitent l'admiration du monde entier.Et pourtant... ils viennent d'être lâchés ! Poignardés dans le dos par le Conseil Famille et Société de la Conférence des Évêques de France !Sous le titre « Poursuivons le dialogue » (sic) cet organisme épiscopal regrette que « l'homophobie existe toujours dans la société et dans nos communautés catholiques » et ose avancer que « c'est une preuve de maturité démocratique que d'accepter sans violence que son propre point de vue ne soit pas retenu » !On aimerait qu'il demande à la « génération garde à vue » où se trouvent les violences...Mais il y a plus grave encore : le Conseil Famille et Société n'hésite pas à contredire ouvertement la doctrine catholique en affirmant que le fait de ne pas garder la chasteté dans les amitiés homosexuelles ne « dévalorise pas cette expérience » !Madame, Monsieur pouvons-nous rester silencieux face à une telle aberration ? Jamais ! ON NE LÂCHE RIENC'est pourquoi je vous demande de signer cet appel respectueux adressé à Monseigneur Pontier, nouveau Président de la Conférence des Évêques de France, en cliquant ici.Diffusez ce message à vos contacts ! La Fille aînée de l'Église ne peut être ainsi souillée.Je compte sur vous et, dès à présent, un grand merci.¢Catherine Goyard, Présidente d’Avenir de la Culture -
Pour une résistance chrétienne. Samedi 29 juin au Centre Saint Paul
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Relâchez les Hommens
Communiqué :
C’est avec stupeur et indignation que nous apprenons ce mardi 11 juin à 17 h 30 l’incarcération de 4 jeunes militants dits Hommens de la lutte contre la loi de dénaturation du mariage.
Ils n’ont strictement commis aucun crime contre des biens ou des personnes. Ils ont seulement profité d’un lieu et d’une circonstance pour émettre leur protestation qui est aussi la nôtre.
On ne peut que comparer cela à la complaisance des pouvoirs publics pour les actions violentes, racistes et christianophobes du groupuscule des Femens. Ces dernières notamment, on s’en souvient, avaient fait irruption à Notre-Dame de Paris, se rendant coupables de vols et de violences. Elles ont été immédiatement relâchées, comme d’ailleurs après d’autres provocations.
On mesure là l’effarante partialité du gouvernement Hollande-Ayrault-Valls-Taubira.
Les soussignés appellent tous leurs adhérents et amis, et par-delà tous les Français, à manifester leur écoeurement devant ce déni de justice et leur soutien aux jeunes incarcérés.
Signataires :
- Bernard Antony, président de l‘AGRIF.
- Daniel Hamiche, directeur de l’Observatoire de la christianophobie.
- Vivien Hoch, Itinerarium.
- Jeanne Smits, directrice de Présent.
- Guillaume de Thieulloy, directeur de Riposte Catholique.
- Michel Janva, Le Salon Beige
- Abbé Guillaume de Tanouärn, directeur du Centre Saint Paul.
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Fête de la Ligue du Midi
COMMUNIQUÉ
Retenez votre week-end !Fête de la Ligue du MidiSamedi 29 et Dimanche 30 juin 2013en Petite CamargueStands, conférences, allocutions, livres, jeux, détente...Garderie d’enfantsVeillée, bucherGrilladesInscription obligatoireLigue du MidiBP 1-711430912 – Nîmes cedex 2Tel: 04 34 40 41 29 / 06 83 25 36 10 -
Mariage tantouses : misère des lycées sous contrat… (avec la Franc-maçonnerie)
Mardi dernier, quinze à vingt élèves d’un important lycée catholique de Toulouse s’étaient présentés en classe avec le fameux maillot représentant une famille, sans manifester pour autant ni sans être groupés. Ils se sont donnés le mot via Facebook car ils veulent réagir à ce qui leur semble «une injustice» : quelques jours auparavant, un camarade de première est venu en cours avec ce sweat-shirt et s’est vu contraint de l’enlever par la direction, condition sine qua non pour réintégrer sa classe.
Grosse polémique entre l’établissement, les élèves et leurs parents, la direction. Celle-ci empêchant les jeunes d’aller en cours et menaçant même de les exclure… (source)C’est bien « le » directeur d’Albert le Grand
Par ailleurs, beaucoup de catholiques bordelais risquent d’être surpris en découvrant les prises de position du directeur de Saint Albert Le Grand, établissement catholique sous contrat.
Le 24 mai dernier, son directeur Bertrand Gaufryau publiait (avec « mgr » Jacques Gaillot) une tribune sur le site Huffingtonpost (dirigé par Anne Sinclair et très marqué à gauche), intitulée « Mariage gay: on n’arrête pas la marée qui monte ».
Dans cet article caricatural aux arguments idiots, Gaufryau vantait la loi Taubira dans des termes que l’on croirait issus d’une association LGBT : « C’est un événement qui fera date dans l’histoire de notre pays et une avancée démocratique considérable. Ce projet fondé sur l’Amour et l’extension des droits de tous, n’en fait perdre aucun aux autres. Il n’est en aucune manière une menace pour les familles dites « normales », ni une régression pour la société et encore moins la fin de la civilisation ». (source)
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Tous les espoirs sont permis
"[...] Oui, cette mobilisation a ceci d'historique qu'elle a "révélé", au sens chimique du terme, la République : pas une institution "républicaine" qui, aujourd'hui, ne soit discréditée aux yeux des Français, lesquels assistent, en direct, à la décomposition d'un régime qui, tout en recourant au mensonge institutionnel pour imposer le mensonge anthropologique, est parallèlement devenu incapable de dissimuler les pratiques mafieuses qui n'ont cessé d'alimenter ses profiteurs, droite et gauche confondues. C'est désormais à la page des faits divers qu'il faut prendre connaissance de la vie politique française, et ce, comble de l'indécence ou de l'insouciance, alors que le chômage touche désormais de plein fouet cinq millions de nos compatriotes ! Certes, le pays légal peut respirer ! Paris ne vaut plus une messe puisque NKM a été élue candidate de la droite parlementaire aux municipales parisiennes et que le prochain maire sera de toute façon sociétaliste. Hollande peut continuer en toute tranquillité à racketter les familles pour rééquilibrer une branche famille qui n'est en déséquilibre que parce que l'État la pille allègrement, puisque l'opposition, d'accord sur le fond, fait le service minimum. L'Europe peut continuer à faire semblant de nous donner des leçons et de vouloir nous imposer ses "réformes", puisque nos élites dénationalisées ont déjà tout abdiqué ! N'empêche, retourner à ses occupations comme si rien ne s'était passé, ce serait ignorer ce qui frappe les observateurs les plus impartiaux : à savoir que ce n'est pas un pays réel vieilli et fatigué qui s'est levé et s'est mobilisé, et ne cesse désormais de veiller, mais la jeunesse même du pays, celle qui, assurément, ne vole, ne casse ni n'organise de tournantes - c'est pour ça qu'elle n'intéresse pas Taubira - mais qui, en revanche, est destinée, demain, à prendre les rênes du pouvoir. À côté de cette jeunesse-là, la quadra NKM paraît d'un autre siècle - d'un vingtième qui n'en finit plus de se liquéfier dans ses utopies permissives.
Tous les espoirs sont permis. Ils le sont parce que ces jeunes ont eu, finalement, la chance à leur premier engagement d'être confronté au vrai visage de Marianne. Ils ont en même temps appris et compris que les fameuses valeurs républicaines dont ils étaient bassinés depuis l'enfance dissimulaient un mensonge et une compromission, bref, une imposture de tous les instants, sur fond de corruption et d'indifférence aux malheurs réels des Français. Oui, ce qui s'est levé depuis six mois finira bien par croître et produire ses fruits car cette espérance repose sur des racines solides : celle d'un peuple qui, en dépit des attaques de toutes sortes - morales, intellectuelles, démographiques, sociales et avant tout spirituelles - dont il est l'objet depuis tant de décennies, continue de résister. C'est à cette résistance du peuple français contre la tyrannie de l'imposture qu'il convient de consacrer toutes ses forces. La résurrection est à ce prix."
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Manif pour Tous : le général Dary ne regrette rien !
Le général Dary a écrit à Jean Dominique Merchet pour lui signifier son mécontentement suite à un article plus que fantaisiste le concernant :
"Je dois vous faire part de mon indignation. Cet article porte atteinte à mon honneur de soldat et d’officier général, comme à celui de mes deux camarades que vous citez dans le même article (...) Il m’est difficile de comprendre comment un journaliste de votre autorité au sein de l’institution militaire ait pu accorder le moindre crédit à des rumeurs et affabulations répandues par des publications jusque là inconnues du public comme de moi-même ! (...)
Je refuse de la même manière le procès d’intention qui repose sur des liens familiaux. Il n’est ni anormal, ni illégal d’avoir un de ses proches religieux, quand bien même serait-il dans un monastère, curé de paroisse ou même rabbin ! Il n’est ni anormal, ni illégal d’avoir dans sa famille un homme politique, quand bien même serait-il de droite, de gauche ou du centre ! Et puis, pour celui qui n’est, a priori fils ou frère de personne, mais qui a retrouvé sa liberté d’expression - à laquelle il a librement renoncé durant 40 ans en embrassant la carrière militaire - il ne semble ni anormal, ni illégal de pouvoir enfin s’exprimer sur des sujets de société (...)
Cet amalgame continue en mêlant indistinctement l’appartenance religieuse, alors que nous sommes dans une armée laïque, comme la participation éventuelle de cadres ou de leurs enfants à la Manif pour tous, alors que cette participation relève du domaine privé, tant que les lois de la République sont respectées. L’amalgame que vous faites avec nos armées est tout aussi inacceptable, pour des soldats et officiers qui ont consenti de tels sacrifices sur les théâtres d’opérations, et qui n’ont pas vraiment de leçon de fidélité à la République à recevoir !
Je ne sais pas si mes deux camarades également nommés vous diront, officiellement ou non, ce qu’ils pensent de votre article, mais je puis vous dire que, personnellement, je ne me suis pas du tout reconnu dans votre écrit et que, bien au contraire, celui-ci tend à salir l’image de notre armée, de votre armée ! Quant à moi, engagé dans ce mouvement par conviction personnelle, je peux simplement ajouter que je ne regrette rien !"