Communiqué du Printemps Français, en date du 23 avril 2013
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Printemps Français : INSOUMISSION !
Aujourd’hui, le gouvernement de François Hollande va lier son sort à la loi Taubira par un vote solennel à l’Assemblée. Il devra en subir les conséquences…François Hollande sera allé jusqu’au bout de l’illégitimité : seul Président de la République à tomber à moins de 25% d’opinion favorable, et ceci avec moins d’un an de présidence, il est aussi celui qui a le plus bafoué la démocratie en si peu de temps. François Hollande refuse d’écouter des millions de manifestants qui se mobilisent depuis six mois. Il rejette une pétition historique de 700.000 signatures. Il fait voter une loi inique et controversée à main levée au Sénat. Il bouleverse l’agenda parlementaire…¢François Hollande trahit tous les idéaux républicains. Il restera dans l’histoire comme celui qui a provoqué la plus grave crise sociétale en France depuis mai 68. Celui dont les ministres se sont révélés menteurs, tricheurs et fraudeurs à peine nommés. Celui qui aura été incapable de lutter contre le chômage ou l’insécurité.Avec un pareil bilan, n’importe quel homme d’État renoncerait à ses chimères… Pas François Hollande ! Pourquoi ? En faisant voter la loi Taubira dans ces conditions, François Hollande révèle la vraie nature de cette loi. Elle est la marque d’une idéologie à laquelle il est prêt à tout sacrifier. En faisant cela, François Hollande livre son sort à la rue !À partir d’aujourd’hui, nous entrons en dissidence contre le régime de François Hollande. Quand tous les moyens légaux ont été épuisés, il ne reste que l’insoumission ! On ne lâche rien".En signe de deuil, le Printemps Français appelle à manifester ce soir avec un brassard noir et vous invite à porter désormais un ruban noir à la boutonnière. -
Liquider mai 68, c’est maintenant !
L’été dernier, votre serviteur discutait avec des militants engagés dans la lutte contre le mariage gay de la probabilité de voir le peuple de France sortir de sa léthargie. L’élection de Flanby Ier nous rendait sceptiques.
Mais force est de constater que, depuis la manifestation du 24 mars, la contestation du mariage gay a changé de nature. Elle n’est plus simplement la contestation d’une loi absolument grotesque. Elle est le centre de cristallisation et de fédération de l’opinion catholique française qui, depuis plusieurs décennies, était atomisée et avalait les couleuvres du libéralisme-libertaire.
Le mariage gay est la couleuvre qui a fait déborder le vase.
Alors, à quoi assistons-nous ? À un début de contestation de l’ordre moraliste dont la gôgôche est le défenseur depuis mai 68 et que la droite officielle, complexée d’être elle-même, n’ose critiquer que du bout des lèvres quand elle ne l’accepte pas honteusement. [...]
Adrien Abauzit - La suite sur Boulevard Voltaire
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Du printemps français au sursaut contre-révolutionnaire
A l’Elysée, à Matignon, à l’Assemblée nationale ainsi qu’au Sénat, l’essentiel de la clique politicienne s’obstine à rester sourde et aveugle au mécontement croissant du pays réel mobilisé depuis des mois pour défendre la Famille, le mariage et la parenté.. La France s’enfonce chaque jour un peu plus dans le totalitarisme organisé par une gauche omnipotente. Et cela se fait avec la complicité du centre mou et de la droite flasque, comme nous l’avons vu lors du vote au Sénat organisé à main levée et en catimini dans une assemblée quasi vide. Peu importe leur bord politique, la grande majorité d’entre-eux n’a pas eu la décence de se déplacer, préférant n’apparaître que devant les caméras ou lors de manifestations.
. Les médias se précipitent pour contribuer à la manipulation de l’opinion publique. Chaque homosexuel qui trébuche devient aussitôt la victime d’une agression “homophobe”. Un Français de souche hétérosexuel victime d’une agression, c’est devenu tellement banal que cela n’intéresse quasi aucun journaliste. Mais qu’un homosexuel se fasse bousculer quelque part et cela devient une affaire d’Etat afin de culpabiliser les honnêtes Français qui continuent à affirmer que le mariage doit rester l’union d’un homme et d’une femme. Par contre, combien de journalistes s’émeuvent de la façon dont, depuis le 24 mars dernier, des milliers de personnes ont arbitrairement subi les gaz lacrymogènes et les coups de matraque de CRS et de gendarmes transformés en police politique ? Des enfants, des mères de famille, des vieillards, des prêtres, des étudiants, sont traités de façon scandaleuse mais pas un journal télévisé ne le dénonce. Vendredi dernier, un religieux a littéralement été tabassé puis mis en garde à vue par des CRS mais qui s’inquiète de cette dérive du régime ? Nous sommes la France bien élevée, celle des étudiants qui vont en cours, des Français qui travaillent et qui payent leurs impôts et la police se comporte vis-à-vis de nous comme jamais elle n’oserait le faire ni face à la CGT ni dans les banlieues. Cela suffit !
. Le pouvoir croit s’en sortir en accélérant l’agenda. Mais il n’a pas compris que la sentence des parlementeurs ne signifie pas la fin de notre mobilisation. C’est au contraire l’effet inverse qui se constate. Et la Providence nous place dans cette situation inattendue : 45 ans après Mai 68 et son flot de subversion, c’est un Mai 2013 marqué par l’esprit contre-révolutionnaire qui pourrait bien surgir de ce printemps français en cours.
C’est dans cette perspective d’un mois de mai contre-révolutionnaire que CIVITAS vous convie à trois rendez-vous.
1° Le Congrès de la France Catholique, ce 27 et 28 avril (de 14h à 18h, 164 rue Javel dans le 15ème arrondissement). De nombreux intervenants se succèderont à la tribune pour analyser la situation alarmante et proposer des pistes concrètes pour résister, riposter et reconstruire.
http://francejeunessecivitas.hautetfort.com/archive/2013/02/23/congres-de-la-france-catholique-les-27-et-28-avril.html
2° Le défilé en hommage à Ste Jeanne d’Arc, le dimanche 12 mai à 14h30, de la place St Augustin à la place des Pyramides. Attaquer la Famille, c’est également attaquer la Patrie et la Foi. Dans ce contexte, Ste Jeanne d’Arc s’impose comme le modèle de chef dont la France a cruellement besoin. Soyons nombreux à le témoigner publiquement.
3° La manifestation du dimanche 26 mai. CIVITAS organisera ce jour-là une grande manifestation nationale dont le mot d’ordre sera “Du balai !”. Oui, venons nombreux de toute la France pour que la clâmeur “Du balai !” se fasse entendre à tous les destructeurs de la Famille, de la Patrie et de la Foi.
Que ces trois rendez-vous soudent les rangs de tous les partisans d’un sursaut contre-révolutionnaire. Et bien sûr, n’oublions pas de huer chaque ministre en déplacement. On ne lâche rien !
Alain Escada,
président de CIVITAS
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Une partie du peuple de droite est lancée dans un mouvement assez proche du Tea Party
Lu dans Les 4 Vérités :
"Quand le PS est, comme aujourd’hui au fond du trou, il ressort les vieilles ficelles, sur la diabolisation de toute possibilité d’alliance entre l’UMP et le FN. Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce n’est pas, comme le clamait le slogan de 68, « l’imagination au pouvoir »! Que s’est-il passé au juste ? Tout simplement, ceci : Gilbert Collard, député du Rassemblement Bleu Marine, a défilé à côté d’élus UMP, dimanche 21 avril, contre le mariage gay. Évidemment, même la date devient matière à polémique. Car, souvenez-vous, le 21 avril, dans la mythologie socialiste, c’est l’anniversaire de cette funeste élection de 2002, qui vit Jean-Marie Le Pen éliminer Lionel Jospin et accéder au second tour… Et Harlem Désir, parfaite incarnation de la gauche morale (cette gauche si prompte à donner des leçons au monde entier, et si lente à expulser les repris de justice de sa hiérarchie !) a immédiatement déclaré : « La droite et l’extrême droite ont forgé leur union dans un combat d’intolérance. »
J’avoue que je rêve, moi aussi, que le mouvement de refus de la loi Taubira soit l’occasion d’un rapprochement entre toutes les tendances de la droite française, pour en finir enfin avec le socialisme. Mais nous n’y sommes pas. Il s’en faut de beaucoup. Jean-François Copé a ainsi repris les accusations absurdes de Harlem Désir pour dénoncer un « voisinage malencontreux ». Marine Le Pen a, quant à elle, vilipendé la récupération du mouvement anti mariage gay par l’UMP. Et, surtout, ni l’UMP ni le FN ne souhaitent clairement sortir du socialisme. Aucun parti de droite n’assume d’être à droite. C’est dire si le cauchemar du camarade Désir est bien loin de se réaliser. Hélas !
Cependant, si les appareils politiques ne sont pas mûrs, il n’en va pas de même des militants. Dans la manifestation, on entendait bien des personnes dénonçant d’un même élan les agressions contre la famille, les agressions contre l’identité nationale et les agressions contre la propriété (notamment la hausse des impôts). Il est clair que les organisateurs de la « manif pour tous » ne sont pas mûrs pour une telle politisation du mouvement. Mais il n’est pas certain qu’ils aient le choix. Et il est certain, en tout cas, qu’une partie du peuple de droite est lancée dans un mouvement finalement assez proche de la révolte du Tea Party. Reste à savoir quels en seront les débouchés politiques…
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Manif pour tous : bienvenue dans le XXIe siècle !
Les braves gens ont défilé en vain contre la loi Taubira. Michel Geoffroy fait le point.
Contrairement à ce qu’espéraient le pouvoir et les organes de propagande médiatique, la lutte continue malgré le vote de la loi Taubira. Les « braves gens » – ceux qui font tourner l’économie, payent des impôts et dont les enfants paieront les retraites – découvrent l’ampleur du mépris dont ils sont l’objet de la part de la classe politico-médiatique. Ils pourraient bien devenir enragés.
Polémia.
Les braves gens ont défilé en vain contre la loi Taubira légalisant le mariage des homosexuels, avec force drapeaux et ballons : une vraie kermesse, familiale et bon enfant, comme on les aime dans les patronages et les fêtes de fin d’école maternelle !
Les braves gens pensaient que, comme leurs parents en 1984 pour la défense de l’école libre, il leur suffirait de défiler en nombre dans les rues pour se faire entendre du gouvernement socialiste. Mais les braves gens ignoraient qu’ils vivent maintenant en post-démocratie. La « manif pour tous » vient de les faire entrer enfin dans le XXIe siècle !
Les braves gens ont découvert un Etat militant
Les braves gens pensaient que le Système politico-médiatique reconnaîtrait naturellement l’ampleur de leur mobilisation. Les politiques et les médias n’ont-ils pas habituellement les yeux de Chimène pour les manifestations de sans-papiers, les camps de roms et les défilés d’enseignants ? Mais les braves gens ont eu la mauvaise surprise de voir que les préfectures minoraient systématiquement leur nombre et que les médias emboîtaient servilement le pas, en plaçant sur le même plan les pro et les anti, l’agitation dérisoire des premiers ayant pour fonction de cacher la lame de fond des autres. Et que le gouvernement restait insensible à leur protestation.
Les braves gens ont découvert la violence d’Etat
Les braves gens pensaient que les forces de l’ordre se comporteraient comme dans les séries télévisées : féminines et bienveillantes. Les braves gens ont fait l’amère découverte que si la police et la justice se font tout miel vis-à-vis des « jeunes » des banlieues, des agresseurs de RER ou des casseurs de la CGT, elles n’hésitent pas, par contre, à réprimer durement les Français de souche : car vis-à-vis de ces derniers, il n’y a aucun risque de bavures !
Le port d’un tee-shirt intitulé « Djihad 11-Septembre, je suis une bombe » n’est pas sanctionné quand un jeune Maghrébin l’exhibe (*). Mais, au Jardin du Luxembourg, ceux qui arboraient le tee-shirt de « La Manif pour tous », ont été verbalisés. Bienvenue en post-démocratie !
Les braves gens n’avaient pas l’habitude des manifs. Certains, dans leur touchante virginité, criaient même « La police avec nous » !
Ils ont été fort surpris d’être refoulés, bousculés, aspergés de gaz lacrymogènes, ou placés en garde à vue comme des délinquants par des « forces de l’ordre » – des forces équipées comme pour soutenir un siège : un siège de poussettes et de bambins.
Les braves gens, qui en général ne fréquentent pas les préfectures, ne vivent pas en banlieue, n’utilisent pas les transports en commun et voient le monde au travers du journal Le Figaro ou de l’hebdomadaire Le Point, ne connaissent pas bien la police ni les institutions post-démocratiques.
Ils ne savent pas, par exemple, que de plus en plus de policiers, comme de militaires, d’ailleurs, proviennent des « minorités » ethniques et religieuses : ces policiers et ces policières ont en effet pour fonction principale de dialoguer avec les grands-frères des banlieues et ils se trouvent à cent lieues des préoccupations des autochtones hétérosexuels catholiques blancs. Et ce ne sont pas les commissaires de police francs-maçons qui les aideront à mieux comprendre les Français de souche.
Les braves gens ont découvert la désinformation d’État
Les braves gens haussaient les épaules quand on leur parlait de désinformation et de diabolisation. Ils n’en reviennent pas aujourd’hui d’avoir à leur tour été accusés, comme de vulgaires militants du Front national, d’homophobie, de violence ou d’extrémisme par tout l’appareil d’Etat et ses chiens de garde médiatiques.
Les braves gens, si respectueux des lois, ont découvert un appareil d’Etat militant, prêt à tout pour museler leur colère : intervenir au Mali pour détourner l’attention, obtenir la libération opportune d’otages de façon que les médias ne parlent que de cela, organiser et médiatiser des « incidents » ou des « agressions » pour présenter les manifestants comme de dangereux factieux, interdire l’accès aux grandes artères de façon à fractionner les cortèges, etc.
Bienvenue dans la France « normale », c’est-à-dire normalisée et mise au pas !
Les braves gens ont découvert qui gouverne
Les braves gens pensaient que le président de la République entendrait leur appel, comme son prédécesseur en 1984. Les consignes données par les organisateurs recommandaient d’ailleurs poliment de proscrire les slogans politiques. Mais les braves gens ignoraient que nous sommes à l’âge du 1984 d’Orwell, pas du 1984 de François Mitterrand.
Les braves gens, dont bon nombre étaient des cadres moyens ou supérieurs, n’avaient pas encore compris que le mariage homo, comme toutes les réformes « sociétales » mises en œuvre depuis 30 ans tant par la gauche que par la droite, a pour fonction de déstructurer la population, de lui faire perdre tous ses repères, afin de la transformer en docile « ressource humaine », au service des marchés.
Ils ne savaient pas non plus que l’Etat, socialiste ou non, méprise le peuple car il obéit désormais aux banques et aux marchés et qu’il n’hésitera pas à faire violence à la société s’il le faut, comme en Grèce ou à Chypre. Aujourd’hui, les gaz lacrymogènes : demain, peut-être les canons à eau, l’Etat d’urgence et les chars pour les faire taire.
Les braves gens qui avaient oublié de descendre dans les rues quand on adoptait les précédentes réformes sociétales, tout aussi calamiteuses que le mariage des homosexuels pourtant, découvrent un peu tard le processus qui se déploie à leurs dépens. Bienvenue dans le monde néo-libéral !
Les braves gens ont découvert l’UMPS
Les braves gens faisaient confiance aux partis politiques de la « droite » raisonnable. Ils comptaient sur elle pour faire barrage à la loi Taubira. Las ! Ils découvrent que les élus de droite, soucieux de ne pas paraître « homophobes » et de complaire aux médias, finassent et ne cessent de prendre leurs distances avec eux. Ces élus leur recommandent le « calme », ce qui veut dire qu’il ne faudrait pas trop contester le pouvoir. Ils mettent en garde contre la « radicalisation », c’est-à-dire contre la contestation des fondements du Système… que les élus de droite ont, il est vrai, contribué à mettre en place ! Au Sénat ces élus n’ont même pas demandé de scrutin public.
Les braves gens se sentent abandonnés et trahis. Bienvenue dans le monde de l’UMPS !
Merci à François Hollande !
Il faut, à vrai dire, remercier François Hollande : car avec son projet de mariage des homosexuels, il vient de raffermir la conscience politique de milliers d’autochtones qui jusqu’à présent vivaient dans la fausse quiétude d’une bulle protectrice.
Car il a fait découvrir aux manifestants contre la loi Taubira qu’en post-démocratie les minorités dictent leurs lois aux majorités que l’oligarchie réduit au silence. Ils viennent de comprendre que l’Etat et les médias mentent. Ils viennent de découvrir la véritable étendue de la « liberté » dont on leur rebat en permanence les oreilles : une liberté où l’on peut se trouver diabolisé dans les médias ou violenté par la police, du simple fait de ne pas partager l’idéologie du Système.
Les manifestants ont découvert aussi que la classe politique de droite ne soutenait pas le peuple français et se préoccupait plus de l’opinion des médias que de celle des électeurs. Rassemblés symboliquement avenue de la Grande Armée à Paris, les manifestants ont enfin pris conscience que de nombreux concitoyens pensaient et réagissaient comme eux. A Bordeaux, à Nice ou à Nantes aussi.
Avec le vote de la loi Taubira, l’oligarchie a encore gagné une bataille. Mais elle vient de déniaiser des centaines de milliers de Français : des centaines de milliers de personnes actives, motivées et de futurs électeurs. Il est désormais de moins en moins sûr qu’elle finisse par gagner la guerre qu’elle mène au peuple français.
Michel Geoffroy 23/04/2013 http://www.polemia.com
Note :
(*) Tribunal correctionnel d’Avignon, avril 2013. -
Légalisation de la parodie de mariage : Le Printemps français ne lâche rien
"Aujourd’hui, le gouvernement de François Hollande va lier son sort à la loi Taubira par un vote solennel à l’Assemblée. Il devra en subir les conséquences… François Hollande sera allé jusqu’au bout de l’illégitimité.
Seul Président de la République à tomber à moins de 25% d’opinion favorable, et ceci avec moins d’un an de présidence, il est aussi celui qui a le plus bafoué la démocratie en si peu de temps. François Hollande refuse d’écouter des millions de manifestants qui se mobilisent depuis six mois. Il rejette une pétition historique de 700.000 signatures. Il fait voter une loi inique et controversée à main levée au Sénat. Il bouleverse l’agenda parlementaire…
François Hollande trahit tous les idéaux républicains. Il restera dans l’histoire comme celui qui a provoqué la plus grave crise sociétale en France depuis mai 68. Celui dont les ministres se sont révélés menteurs, tricheurs et fraudeurs à peine nommés. Celui qui aura été incapable de lutter contre le chômage ou l’insécurité. Avec un pareil bilan, n’importe quel homme d’Etat renoncerait à ses chimères… Pas François Hollande ! Pourquoi ? En faisant voter la loi Taubira dans ces conditions, François Hollande révèle la vraie nature de cette loi. Elle est la marque d’une idéologie à laquelle il est prêt à tout sacrifier. En faisant cela, François Hollande livre son sort à la rue !
A partir d’aujourd’hui, nous entrons en dissidence contre le régime de François Hollande. Quand tous les moyens légaux ont été épuisés, il ne reste que l’insoumission ! On ne lâche rien".
En signe de deuil, le Printemps Français appelle à manifester ce soir avec un brassard noir et vous invite à porter désormais un ruban noir à la boutonnière.
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Vote de la loi Taubira : extension du domaine de la lutte – par Jean-Yves Le Gallou 23 avril 2013
PARIS (via Nouvelles de France) - Le vote de la loi Taubira ne sonne pas le retour à l’ordre LGBT protégé par les CRS. Il précède la poursuite, l’amplification, l’approfondissement et l’extension du domaine de la lutte. Le gouvernement va avoir du mal à faire rentrer le dentifrice dans le tube ! Chaud, chaud, le printemps sera chaud !
Poursuite du domaine de la lutte : la bataille pour le référendum, le vote pour tous
Une loi votée n’est pas une loi promulguée. Une loi promulguée peut être suspendue (comme le fut le CPE en 2006). Une loi promulguée peut être abrogée. Trois raisons pour les adversaires de la loi Taubira de maintenir la pression au moins durant tout le mois de mai, et de réclamer « le vote pour tous », le vote pour tous les Français, et non pas pour les seuls élus d’assemblées de moins en moins représentatives : rappelons que les députés socialistes qui ont voté la loi Taubira ont réuni seulement 16% des électeurs inscrits au premier tour des élections législatives de juin 2012. Pour apaiser les esprits, il faut faire les Français juges de la loi Taubira et les consulter par référendum. Laissez-nous voter !Approfondissement du domaine de la lutte : la bataille pour remettre l’école à l’endroit, la bataille pour les familles
Le gouvernement promeut d’autres projets hostiles à la famille : mise en cause des principes fondateurs des allocations familiales, enseignement de la théorie du genre à l’école (dès la maternelle !). Depuis 30 ans les familles subissent les dérives aberrantes de l’Éducation nationale, dans l’enseignement public comme dans l’enseignement privé. Elles doivent relever la tête et s’opposer aux peillonneries. Les réunions de parents d’élèves et les réunions parents/profs doivent servir à faire entendre le point de vue des majorités. La France des invisibles doit cesser d’être silencieuse. Il faut aussi combattre mairie par mairie, département par département et région par région les subventions publiques accordées aux lobbies qui imposent leurs lubies.Extension du domaine de la lutte : la contestation et l’imagination ont changé de camp
La bataille contre la loi Taubira a fait émerger de nouvelles formes d’action : veilleurs, happenings de rue, printemps français, mères en colère, apéros pour tous, mères pour la paix, Hommen, interpellations démocratiques de personnalités conformistes. Il est légitime de demander des comptes à ceux qui prétendent représenter le peuple et qui gouvernent au service des minorités, qu’elles soient sexuelles, ethniques, religieuses, sectaires, financières ou immobilières. Le temps est venu de l’opposition « au quotidien » et sur tous les grands sujets, économiques, sociaux, sociétaux, fiscaux, urbanistiques. Ce n’est pas seulement « on ne lâche rien », c’est aussi « on ne lâche sur rien ». Y compris contre les médias quand ils se comportent en organes de propagande et non pas d’information. Il n’y a aucune raison de continuer à accepter sans mot dire les bidonnages et les Bobards. La crainte doit changer de camp. L’arme fatale : le rire, la dérision, la bonne humeur.Mai 2013, la revanche de mai 1968 ?
Mai 68 a engendré un cycle de ruptures : ruptures morales (« Jouissons sans entraves »), rupture des identités (« Nous sommes tous des juifs allemands »), rupture des protections économiques (« Frontière=répression »). Les projets de François Hollande – dénaturation du mariage, droit de vote des étrangers, grand marché transatlantique – représentent l’aboutissement de ce cycle. La mobilisation du printemps 2013 peut en marquer la fin.C’est une rupture idéologique : le retour du sens, le retour des traditions, le retour des enracinements, la révolte de la majorité contre la dictature des minorités. C’est aussi une rupture technologique : c’est la classe médiatique qui a imposé l’idéologie Mai-68, ce sont les médias alternatifs qui la balayent. C’est enfin une rupture générationnelle : la génération 1968 – de Valls, ministre de l’Intérieur, à Bergé, ministre du nouvel ordre moral et médiatique – est bousculée par une génération de trentenaires ardents. La lotta continua ?Non, la lutte commence ! Sempre Avanti !
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Aux a… urnes, citoyens !
Contre un président de la république et un gouvernement tolérés par moins d'un Français sur cinq, nous exigeons la dissolution de l'assemblée et de nouvelles élections."Aux a... urnes, citoyens!"Non pas dans l’esprit de marcher sus contre l'Autrichien venant au secours de Louis XVI, otage des révolutionnaires et bientôt martyr - ainsi qu'en appelait cette illustrissime girouette de Rouget qui, 22 ans plus tard, fera chanter "Vive le roi" pour célébrer la restauration de Louis XVIII - mais pour combattre, abattre et jeter bas des piédestaux du pouvoir l’énarchie actuelle qui préside si lamentablement aux destinées de notre Patrie."Aux a... urnes, citoyens!""Ils" se bousculent aux frontières... pardon, à celles de l’espace Schengen. Car la France n'a plus de frontières. Car la France n'est plus un état indépendant, mais une province asservie aux diktats de l'Europe de Bruxelles. Car la France n'est plus une nation souveraine, à preuve qu'elle n'a plus SA monnaie, obéit à des lois qui n'ont plus rien à voir avec son droit coutumier, n'aura bientôt plus d'armée et vendra peut-être la bombe à l'Iran, au Qatar ou, pourquoi pas à l'Algérie afin qu'ensuite, pour grande et définitive repentance, on la prenne sur la g..., paie un tribut au pouvoir supranational qui l'appauvrit au bénéfice d'autres "provinces" lesquelles, sans vergogne, s'empiffrent de la manne jusqu'au dernier euro et, néanmoins de nouveau impécunieuses, l'entraînent avec elles dans les abîmes de la ruine.Car la France n'est plus une PATRIE, notion de la plus haute élévation que nos envahisseurs méprisent et piétinent de leurs abjects panards « embabouchés ». Car la France n'est plus vraiment la FRANCE, quand ne sonnent plus dans les villes et villages les cloches de ses églises, et que répètent dans l'ombre islamique de leurs mosquées les muezzins impatients de déverser sur nous, du haut de leurs minarets, les insanités d'un culte étranger et que nous vomissons.Attila ravageant l'Occident, c'était hier; Troyes 451, les champs Catalauniques sont le prélude de sa fin.Le Maure fondant sur la France, c'était hier; Poitiers 732, Charles Martel, le vainc et le "fout" dehors.Le Maghrébin envahissant de nouveau la France, c'est aujourd'hui; Poitiers 2012, érection d’une mosquée...Les Albanais, les Kosovars, les Turcs... c'est demain la suprématie des hordes islamiques, les prémices de notre fin à nous, si nous continuons par trahison, forfaiture, collaborationnisme, impéritie, lâcheté, apathie, désintérêt, désunion, humanisme à la noix, à "offrir le cou aux égorgeurs d'Allah."Nous sommes pour eux des infidèles, des mécréants, dont ils veulent l'éradication? Ils sont pour nous comme une pourriture, dont une bonne lessive nous débarrassera.Jeanne d'Arc, bientôt célébrée, a bouté les Anglais hors de France; nous "foutrons" les islamistes dehors, demain ou après-demain, qu'importe! Nous y parviendrons."Aux a... urnes, citoyens!"Contre un président qui n'a cessé de mentir durant sa campagne électorale afin de mieux circonvenir l’électorat, qui ne tient aucune de ses fallacieuses promesses, (il fait mieux en la matière que Sarko et c’est tout dire!) et qui, somme toute, est pire que son ministre Cahuzac en fait de duplicité. (Encore que, pour le second, il ne soit question que de fric, quand le premier est coupable, entre autres vilenies, de crime de lèse-concitoyens, et parmi ceux-là spécialement les " beaufs" qui n'ont voulu voir ni entendre, bienheureux simples d'esprit qui ont voté pour lui.)Contre un autocrate sans "c..." (c'est le sous-entendu volontairement abscons d'une Aubry), qui vire au stalinisme par veulerie; qui, ivre d'autosatisfaction, triste émule du Roi-Soleil, veut de Trierweiler faire une maîtresse d'État, allant jusqu'à avoir son Montespan dans son placard, et, qui peut savoir, nous préparant un futur héritier issu de ses scansions erratiques improbables, dont il pourrait convoiter en secret de faire "Moi Hollande II"...; qui, en attendant, entretient, aux frais des ploucs contribuables que nous sommes, et la dite favorite et l'un au moins des rejetons d'icelle."Aux a... urnes, citoyens!"Contre un grand vizir (on ne le répétera jamais assez, repris de justice et néanmoins nommé par son maître au gouvernement du pays), qui accuse à la Chambre ses opposants d'avoir fait violences à son parti lorsqu'il était lui-même dans l’opposition... quand c’est lui et toute sa meute qui, dans ces jours où ils multiplient les mini-coups d'État, font violence à plus de soixante-dix pour cent des Françaises et Français électeurs. Ne comptons pas les autres, citoyens capables civiquement, trop pleutres ou trop « j'm'en foutistes » pour se mouiller, qui n'ont de fait qu'un droit: celui de la fermer... une fois de plus!"Aux a... urnes, citoyens!"Contre une ministre de la Justice (comment parvenir à se faire à cette réalité qu'une "black" indépendantiste, et qui devrait être en geôle pour atteinte à l' intégrité de l'État, soit garde des Sceaux de France?!), qui anéantit nos valeurs - non pas tant judéo-chrétiennes et laïquement nationales, que tout simplement raciales (dans le sens de l' humain à côté de l' animal), et se rit ouvertement des stériles gesticulations des élus qui osent, il est vrai en vain face à ce pouvoir socialo-écolo-gaucho despotique, ne pas cautionner ses condamnables dérives. Avez-vous constaté avec quel mépris, quels éclairs de méchanceté à peine contenue la Guyanaise toise les représentants du Peuple qui ne sont pas de sa coterie, se revanche de nos prétendus "crimes" contre les siens, et quel acharnement elle apporte à la destruction de notre société qu'elle hait d'une haine inextinguible?Retournons-lui son exécration, sans nuance ni état d'âme."Aux a... urnes, citoyens!"Contre ce gouvernement "de gauche" pléthorique, vendu aux islamistes et autres Algériens, otage des minorités homosexuel(les), lâchement soumis à l'ignominieuse hydre qu'est l'Europe politico-économique abolitionniste de nos frontières, de notre monnaie, de nos libertés, de notre identité, de... Contre ce gouvernement "de gauche", qui pratique à tous les niveaux la chasse aux sorcières afin de mettre en place ses valets obséquieux pour mieux tenir le pays en son pouvoir. Contre ce gouvernement "de gauche", qui anéantit notre puissance énergétique; ce ne sont pas les éoliennes - GPA - dont Duflot est la nouvelle mère, qui la remplaceront. (Cervantes a déjà mis en scène de tels moulins à vent; mais le vent n'est-il pas la spécialité de la "gent" de senestre?). Contre ce gouvernement "de gauche", qui ne fait rien pour endiguer la désespérante descente aux enfers de notre génie, de nos industries, de nos entreprises petites et grandes, de nos emplois (ou plutôt non-emplois), en dépit des trépignements hystériques de l'inconséquent Montebourg. Contre ce gouvernement "de gauche", qui en bon pleutre apôtre du pacifisme, comme en 1939, détruit notre armée. Contre ce gouvernement "de gauche", qui poursuit devant les tribunaux aux mains de magistrats godillots les policiers plutôt que les assassins, et protège tout criminel dès lors que son faciès est tout sauf caucasien. Contre ce gouvernement "de gauche", qui..."Aux a... urnes, citoyens!"Contre un pouvoir qui permet aux malfaisants, pour le plus grand nombre impatients de nous égorger et de violer filles et femmes blanches ainsi qu'ils l'ont fait des "moukères Pied-Noir" et de leurs coreligionnaires ayant eu le tort d'être fidèles à la France (qui le perpètrent à cette heure en Égypte, pour se borner à ce tragique exemple), de nous insulter dans les rues de leur cul levé en l'air dans l'adoration de leur prophète de malheur, misérable libidineux pédophile particulièrement friand de cette gourmandise qui se niche entre les fesses, quand ils ne nous traitent pas de "putains de Français", ou ne nous promettent : "J'nique ta mère; j'encule ta sœur"... Euphémismes comparés à leurs réels propos, qu'une Frigide Barjot, bien réellement "barje", doit sans doute prendre pour de douces promesses de félicité. Tandis que, dans le même temps, le ministre de l'intérieur - (finalement avec ce type, l'expression devient un vilain mot) -, nostalgique des atrocités hispaniques de 1936-39, fait charger et gazer par ses sbires casqués, brandissant la matraque et la bombe lacrymo, des citoyens ayant l'audace de se croire en démocratie et de manifester leur mécontentement, parce que "ces sales cons d' empêcheurs de tourner en rond, y compris les enfants des dits sales cons" refusent de voir leur pays basculer dans le chaos de la confusion des genres et inféodé bientôt à une ethnie esclave des divagations pseudo mystiques, mais concrètement criminelles, d'un aliéné dépravé dont les os pourrissent depuis bientôt quatorze siècles dans le sable-cercueil d'Arabie."Aux a... urnes, citoyens!"Contre les profiteurs, menteurs, spoliateurs, concussionnaires, malversateurs, spéculateurs, fraudeurs, tricheurs, népotistes... fripons de basse engeance sans parole, sans honneur, socialos en un mot, qui se gobergent avec nos sous, tandis que nos salaires, nos appointements, nos soldes, nos gages, nos émoluments, nos traitements, nos honoraires, nos rémunérations, nos retraites, nos pensions, et même nos flasques chaussettes (triste livret A) sont les cibles de leur insatiable cupidité!Les socialistes sont, de tous les politiques "ordinaires" au pouvoir depuis 1879, les maquereaux infâmes d'une gueuse qu'ils confondent avec la république!Ils nous mènent à l'abattoir... mais à l'abattoir halal...Ne nous laissons pas faire, il en va de notre survie...Révoltons-nous!"Aux a... urnes, citoyens!""Bons entendeurs, je vous salue !
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Alain Escada dénonce la “dictature socialiste”
Alain Escada président de l’Institut Civitas muscle et radicalise son discours lors de la manifestation “Manif pour Tous” du 21 avril 2013 aux invalides à Paris. Il s’en prend également à Frigide Barjot.
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Merci Christiane, non merci Frigide…
Depuis quelques mois, il est de bon ton dans les milieux nationalistes et ailleurs de vomir sur Christiane Taubira. Pourtant, il ne faut pas avoir la mémoire courte, nous devons beaucoup à cette dame que nous devrions plutôt remercier chalereusement.
Rappelons en effet que c’est en grande partie grâce à elle qu’un certain 21 avril 2002 le PS était piteusement dégagé du second tour d’une élection Présidentielle et que Jean-Marie Le Pen, se retrouvant ainsi qualifié, nous offrait deux semaines de bonheur absolu au cours desquelles on ne se lassa pas de voir et revoir à la télé les têtes éberluées des apparatchiks socialistes au QG de Jospin au moment de l’annonce des résultats. Certes, l’enthousiasme fut de courte durée mais enfin… Il faut dire que, jusqu’à ce fameux 21 avril 2002, le second tour d’une Présidentielle ne faisait pas vraiment partie chez les nationaux de « la culture maison ». Donc, rien que pour cela, on peut dire : Merci Christiane !
Et 10 ans plus tard, Notre bienfaitrice récidive. Sa gaffe de 2002 visiblement oubliée (ou pardonnée) par ses copains socialistes, elle se retrouve Garde des Sceaux en 2012 lorsque ceux-ci revinrent aux affaires. A peine nommée, la Guyanaise se distingue en pondant une loi ridicule instituant une parodie de mariage toute aussi ridicule intitulée « mariage pour tous ». Il n’en fallut pas plus pour mettre des foules gigantesques dans les rues de toutes les villes de France et redonner par là même à des centaines de milliers de nos compatriotes attachés à la conception traditionnelle de la famille l’habitude et l’envie de manifester… Et l’obstination du gouvernement à maintenir ce projet de loi renforce chaque jour la détermination de ceux-ci à en découdre avec l’ensemble des politiques qui viseraient à détruire notre identité et notre civilisation. Alors, une nouvelle fois, n’ayons pas peur des mots : Merci Christiane !
Grâce à la persistante volonté incompréhensible de Hollande de vouloir imposer la Loi Taubira, de plus en plus d’opposants à celle-ci sont en train de basculer dans la radicalité. Un nombre croissant de Français ouvrent leurs yeux et se rendent compte que derrière le « mariage pour tous », il y a la théorie dite « du genre », et que derrière cette théorie sordide il y a la volonté de détruite toutes les identités et toutes les racines, et que derrière cette destruction des identités et des racines il y a la stratégie sournoise d’une idéologie génocidaire : le mondialisme.
Or, le seul rempart face au mondialisme est la prise de conscience à la fois nationale et ethnique de la part des Français. Le succès grandissant du mouvement d’opposition à la Loi Taubira en est sans doute l’amorce. Nous ne pouvons que nous en féliciter. Dans ce contexte, force est de reconnaître que les élucubrations dégoulinantes de bons sentiments et d’hypocrisie malsaine qui caractérisent les discours de Frigide Barjot semblent de plus en plus en désaccord avec la volonté de ceux qui forment maintenant le gros des bataillons de manifestants. Il suffit pour s’en convaincre d’avoir écouté les commentaires des uns et des autres pendant la manif de dimanche et d’avoir constaté le grand nombre de manifestants qui, après avoir défilé depuis la place Denfert Rochereau, ne sont pas restés aux Invalides pour supporter les insupportables jérémiades des organisateurs. Aux incantations stériles de Frigide Barjot et des siens, les manifestants répondent désormais : NON MERCI !
Pour notre part, au-delà de l’opposition à la Loi Taubira, c’est à une lutte totale contre le mondialisme que nous appelons. Nous donnons rendez-vous à nos compatriotes dimanche 12 mai, jour de la fête de Sainte Jeanne d’Arc, à 10 h Place de La Madeleine à Paris, pour une grande manifestation unitaire, nationaliste et populaire contre le mondialisme.
Roland Hélie Directeur de Synthèse nationale