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tradition - Page 368

  • [Communiqué] La famille c’est notre identité – tous à Paris le 24 ma

    [Communiqué] La famille c’est notre identité – tous à Paris le 24 marsNovopress relaie cet appel du mouvement identitaire à rejoindre la manifestation du 24 mars en défense de la famille et de la filiation :

    “Comme lors des précédentes manifestations (à Paris le 13 janvier dernier, mais aussi au sein des nombreux rassemblement dans nos régions), ce dimanche 24 mars les Identitaires marcheront pour défendre la famille !

    La famille est le siège de la filiation, la filiation est le tout premier lieu de définition de notre identité. Ne nous y méprenons pas, il ne s’agit pas avec la loi Taubira d’un simple enjeu “sociétal” mais bien d’une révolution anthropologique amorcée par des apprentis-sorciers qui se sont donnés pour mission de casser tous les repères permettant aux êtres humains de savoir qui ils sont, d’où ils viennent et donc aussi “de qui” ils viennent.

    Nous appelons tous nos amis, sympathisants et militants à participer à la grande manifestation de dimanche et à nous retrouver à 13h30 Porte Maillot, au 75 avenue de la Grande Armée devant le bâtiment Peugeot.

    Dimanche, pour un Printemps Français, ne ratez pas le rendez-vous !

    ———-

    A l’appel de : Génération Identitaire, Bloc Identitaire, association Les Identitaires, Nissa Rebela, Collectif Identité et Filiation.

    http://fr.novopress.info/

  • Le comte de Paris dénonce le "mariage" pour tous

    Les Hommes et les femmes sont ils égaux ?

    Un vieux sage animiste Dogon m’a dit un jour :"N’oublies pas que les civilisations disparaissent lorsque les portes de l’abîme s’ouvrent et, qu’ainsi, l’Ouragan est lâché..."

    Une fois seul, je réfléchis à notre monde actuel et particulièrement à la France qui semble déroutée vers un effondrement apparemment inéluctable. Pourquoi ?...

    Si nous ne réagissons pas avec toutes nos forces ce maelström risque de nous engloutir. Les lois actuelles tentent déjà de détruire la famille, de séparer la Femme de l’Homme et bientôt de faciliter la disparition de la vieillesse par une euthanasie acceptée.

    Il y eut au XIX° et XX° siècles de spectaculaires prises de conscience pour réfléchir à la situation des femmes et de leurs droits civiques et pour nous les hommes la nécessité de modifier notre perception et notre comportement, non seulement vis a vis de leur position, mais aussi de devoir accepter en toute justice la volonté d’une évolution vers plus de respect mutuel.

    1750 avant Jesus Christ, Hammourabi, Roi de Babylone, avait codifié et gravé dans la pierre les rapports de l’homme et de la femme dans le mariage. L’institution perdura au fil des siècles et évoluera. S’adaptant à chaque étape de l’évolution, cette magnifique complémentarité entre l’homme et la femme, dans le respect de l’autre, peut être cité en exemple au XII° siècle en France : qui ne se souvient des épouses d’ardents chevaliers, partis aux Croisades, aux quelles ils remettaient les clefs et la responsabilité du fief, et notamment de Saint Louis qui confiait la Régence du royaume à Blanche de Castille, sa mère, femme d’expérience ?

    Ne confondons pas le "mouvement pour la libération de la femme", le M.L.F., justifié et nécessaire au XIX° siècle, avec ces nouvelles "Amazones" poussées par un mondialisme sans axes, sans frontières ni critères. Elles ont participé, de leur côté, en 1995 à la conférence mondiale de la Femme à Pékin, pour se poser en victimes de l’homme, prenant appui sur les théories de l’antique J.J.Rousseau qui affirmait que l’homme naît bon et que la société le pervertit. Ce nouveau clan des Amazones aimeraient bien faire table rase de plusieurs millénaires de construction sociale pour transférer le pouvoir de décision exclusif et celui d’imaginer l’avenir à elles seules, dans une sorte de chacune pour soi.

    Cette vision, cette politique globale de construction d’un sur moi féminin est en train de prendre corps dans les projets de lois annoncés. J’ai déjà écrit sur les conséquences du mariage pour tous, qui dans un premier temps détruirait la famille et, dont les conséquences, la procréation médicalement assistée (PMA) déracinerait l’enfant sans passé. Mais n’est-ce pas le but souhaité par les néo- trotskistes ? L’école deviendrait également un instrument pour conditionner l’enfant, dés deux ans, et peut même avant dans le ventre de la mère ! Quelle liberté pour les jeunes de 14 ou 15 ans, puisqu’on leur supprime la possibilité de pouvoir s’orienter vers une carrière manuelle, alors qu’ils sont en échec scolaire renouvelé.

    Quant à la théorie du genre, celle de l’indifférenciation des sexes, des expériences ont dores et déjà lieu dans des écoles maternelles en France. On formatera nos chérubins en hermaphrodites jusqu’à leur puberté afin qu’ils puissent choisir leur appétence, leur sexe, alors qu’ils se trouvent encore dans l’ignorance de ce qu’ils sont et confrontés à ce qu’ils doivent déjà choisir. L’égalité prônée, divinisée, existe-t-elle réellement, profondément ?

    La Norvège nous répond. Elle s’était lancée dans ce mouvement d’indifférenciation des sexes. Elle avait pris des mesures politiques dans le but de mettre en place une vraie égalité entre femmes et hommes. Malgré tout l’attirail de lois, la Norvège constate qu’elle s’est fourvoyée dans une impasse. Elle revient donc au bon sens, les hommes et les femmes sont égaux, certes dans leurs complémentarités. D’après le professeur Simon Baron-Cohen, éminent psycho-pathologiste de l’Université de Cambridge, le niveau de testostérone dans le foetus détermine le sexe. Il existe donc une explication biologique à la différenciation des sexes. De plus les hommes et les femmes, malgré toutes les pressions législatives en Norvège, conservent toujours des centres d’intérêt différents et des capacités différentes et indispensables pourtant à la complémentarité, c’est là la richesse de notre humanité si diverse.

    Parlons de l’avenir de notre civilisation tellement tourmentée. Saint Exupéry avait écrit :" Il ne s’agît pas de prévoir l’avenir, mais de le rendre possible." J’ajouterai qu’il ne peut s’agir de bouleverser le présent mais de construire un avenir apaisé, seraient-ce, par miracle, les buts annoncés par certains gouvernements ? Il nous incombe à tous, Occidentaux, Françaises et Français de rendre l’avenir de nos enfants possible. Nous devons remettre de l’ordre dans la maison. S’il est juste qu’hommes et femmes puissent être égaux socialement, ils demeurent néanmoins biologiquement différents et cette différence devient une complémentarité pour construire l’avenir.

    On ne supprime pas brutalement une civilisation de plusieurs millénaires. Theilhard de Chardin disait :"le passé nous a révélé la construction de l’avenir" , oui osons construire l’avenir. Un avenir de bon sens qui ne soit pas castrateur pour quiconque. Un avenir qui détiendrait un vrai droit éthique et démocratique pour pouvoir promulguer des lois qui ne puissent tendre à manipuler les êtres humains, mais à les respecter. Un avenir qui nous enseigne notre Histoire, notre langue et ne creuse pas la tombe de notre culture. Osons encourager la recherche et l’apprentissage car il est honteux d’assister sans rien faire aux vagues successives du chômage. Souhaitons que les Gouvernements d’aujourd’hui comme de demain aient l’intelligence de comprendre qu’on ne vole pas aux gens leur liberté d’être et de faire.

    Henri, Comte de Paris, Duc de France - IMRF

    http://www.actionfrancaise.net

  • Éloge de la frontière

    Ce titre fut un billet de Paul-Marie Couteaux donné aux Epées en décembre 2005 (n°18) du temps que les royalistes faisaient de belles choses ensemble. Le succès relatif du nouveau Front national à l'élection présidentielle a dévié les thèmes de campagne des candidats sélectionnés par le Système pour le second tour. Le président-candidat a découvert la frontière. C'est de Toulouse que nous avons entendu ce morceau de bravoure tracé de la plume des "nègres" de l'Elysée :

    «Depuis 30 ans une partie des élites et le système, notamment médiatique, ont confondu le sentiment national hautement humaniste avec le nationalisme qui est une idéologie dangereuse». «Le patriotisme, c'est l'amour de la patrie, le nationalisme c'est la haine de l'autre.» Ces élites «ont ouvert la porte à la loi des communautés et des tribus». «A l’intérieur des frontières de la France, il n’y a pas de frontières religieuses, ethniques.»
    Frontières, le mot fut placé cinquante fois au moins. M. Sarkozy n'a pas eu le temps de tirer sa leçon de l'histoire de France, qui depuis les premiers rois mit en coïncidence un territoire, la nation qui y vit, la langue commune qu'elle y parle, les marchés où elle échange et la monnaie du prince qui y circule ; il y a des historiens dans l'équipe de campagne. Ils lui ont appris, que les frontières furent patiemment repoussées par la monarchie jusqu'à ce que Vauban borne le "jardin à la Française de Keyserling" ; que la nation prit conscience de ses frontières puisqu'on les défendait âprement et les crût naturelles alors qu'elles avaient été créées artificiellement par un Etat opiniâtre ; que si les nations de Russie, de Pologne, d'Allemagne se contentaient d'aires aléatoires, la France avait "bâti" son périmètre pour en sauver l'intégrité. Restait à fermer la béance du nord-est en poursuivant la marche au Rhin. L'histoire n'a pas fini le travail des rois, la République avait pris la suite... jusqu'à la guerre des nationalismes, répétée deux fois, qui se termina par un projet d'abolition des frontières. Nous arrivons au bout de l'expérience ! Mais ce n'est pas le sujet du jour.

    Quoiqu'il advienne de cette ligne de démarcation dans les années futures, ces frontières sont en empreinte dans le mental de chacun de nous. Individuelle et portative, il faut utiliser la frontière intérieure sans attendre la réhabilitation politique de la frontière extérieure qui peut très bien ne pas se faire, par molesse ou sous pression des partis de l'étranger.

    Relevons la frontière intérieure
    Alors sans attendre le label Made in France achetons français. Apprenons à retourner les étiquettes des vêtements, à lire les mentions d'origine sur les produits qui nous tentent. Même un peu plus cher, préférons le produit national, quitte à freiner un peu notre consommation. Achetons des Citroën, des Renault, des Peugeot, des Smart, des Yaris ; construites même ailleurs, il en retombera quelque chose chez nous. Prenons Air-France quand nous partons ; Air France quand nous revenons. Partagé largement, ce travail de désillement du consommateur finira pas améliorer nos comptes commerciaux.

    Mais une frontière, même mentale, est une limite à franchir, sinon elle ne sert pas à grand chose. Elle n'existe en chacun que s'il a conscience de la sauter. Le Français est en même temps casanier, et c'est normal dans le plus beau pays du monde, et curieux d'autrui, à tel point qu'on nous fit le reproche d'être forts en conquêtes mais peu résistants à les conserver. La nation a besoin d'améliorer sa pratique des langues étrangères en commençant par celles qui nous entourent. Il faut quitter les vacances bronze-cul et prendre l'habitude de visiter nos voisins, puis derrière eux plus loin, les leurs, et ainsi de suite jusqu'à franchir un jour l'Himalaya pour rencontrer l'outre-monde. Nous avons la chance d'habiter le continent d'excellence, ne nous lassons pas de le parcourir. L'ouverture d'esprit que nous en retirerons servira à nourrir créativité et inovation dont ce pays a tant besoin pour se relever. Il est inutile pour cela d'appeler au brassage des idées étrangères chez nous, comme en sont si friandes nos parasélites parisiennes. Allons plutôt nous-mêmes les brasser dans leurs pays d'origine comme nous sûmes le faire au temps béni des colonies. Nous étions quand même moitié moins cons quand nous parcourions l'empire, au lieu de le faire défiler chez nous comme aujourd'hui.

    Mais une frontière mentale peut être trompeuse aussi
    Ne créons pas un monde lithographique en quadrichromie prisonnier de notre hexagone intérieur. Soyons ouvert à quiconque veut partager nos valeurs, avec parfois l'enthousiasme un peu agaçant du nouveau converti ; facilitons-lui l'accès des codes civilisationnels qu'il veut acquérir, et osons lui signifier également nos "interdits" qui participent de notre génie territorial. Faut-il encore nous-mêmes bien les connaître ! Un approfondissement de la civilisation française devrait être programmé en lieu et place de la théorie du genre par exemple, et poursuivi bien après la fin des études. Réhabilitons la littérature classique, pour s'apercevoir qu'elle nous étonne encore. Relire les Caractères de La Bruyère engendre une émotion textuelle qui rivalise avec celle que procure du Proust. On l'a oublié.

    Il n'est donc pas besoin d'attendre que le sauveur quinquennal remette en vigueur nos frontières pour les disposer chacun dans nos idées et dans nos activités les plus banales. Qui nous en fera le reproche ? C'est pur patriotisme finalement, et rien de nationaliste.

    http://royalartillerie.blogspot.fr

  • Video de la cérémonie des « Bobards d’Or » 2013


    Les Bobards d'Or 2013 de la Fondation Polémia par Agence2Presse

  • Reportage de France 3 Centre : “Vox Populi : les Identitaires à visage découvert”

    TOURS (NOVOpress) - France 3 Centre a consacré un reportage à Vox Populi, le mouvement enraciné et patriote tourangeau. Les journalistes ont suivi les militants de Vox Populi lors de plusieurs actions et rassemblements et ont également interrogé son dirigeant Pierre-Louis Mériguet. Signalons, une fois n’est pas coutume, le traitement honnête par les journalistes de l’action de Vox Populi. Militants qui ont présentés ainsi : « Ils sont jeunes, issus de tous milieux, attachés à leurs racines locales. Oubliés les codes vestimentaires skinheads et les actes violents, “les Identitaires” ressemblent à tout le monde en apparence. »

    http://fr.novopress.info

  • De la manifestation pacifique au soulèvement national

    Depuis l'annonce du Président de la République d'appliquer son engagement de campagne, le 31, d'ouvrir les droit au mariage et à l'adoption aux couples homosexuels, et le projet de loi Taubira sur le mariage pour tous, une large partie des Français manifeste son opposition. Cette opposition s'est faite dans un premier temps par des manifestations pacifiques : 75 manifestations le 23 octobre dans 75 villes de France, puis les 17 et 18 novembre dans plusieurs grandes villes de France (Lyon, Nantes, Paris, Rennes, Toulouse, etc.). Là commence la bataille des chiffres : 70.000 personnes à Paris selon la police, 200.000 selon les organisateurs, 40.000 personnes à Lyon selon la Police, 52.000 selon les organisateurs. Bref, plusieurs centaines de milliers de personnes s'oppose à ce projet de loi. Ces manifestations sont pacifiques et reconnues comme telles par tous, malgré les contre-manifestations (interdites) tentant de troubler ces rassemblements autorisés.

    Le 13 janvier, trois cortèges convergent vers le Champ-de-Mars à Paris rassemblant plus d'un million de personnes. Mais le pouvoir en place commence à minimiser l'ampleur de ce mouvement et annonce 340.000 manifestants !

    Jusqu'alors les opposants se regroupent derrière le collectif "La Manif pour Tous" qui représente trente-cinq associations opposées au projet de loi. Plusieurs personnalités représentent ce mouvement en tant que porte-parole : Laurence Tcheng, fondatrice de La Gauche pour le mariage républicain, Xavier Bongibault, fondateur de Plus Gay sans Mariage, Frigide Barjot, fondatrice de Pour l’Humanité Durable, Tugdual Derville, délégué général d'Alliance VITA, Camel Bechikh, président de Fils de France, Lionel Lumbroso, fondateur de David et Eugena, Philippe Brillault, maire du Chesnay, Béatrice Bourges, présidente du Collectif pour l’enfance, Antoine Renard, président des Associations familiales catholiques et Franck Meyer, président du Collectif des maires pour l'enfance. Trois portes paroles de ce collectif seront reçu à l'Elysée le 25 janvier après de nombreuses demandes.

    Le 2 février des actions sont menées dans de nombreuses villes en France.

     

    A l’occasion du vote solennel de la loi en première lecture à l’Assemblée nationale, le collectif La Manif Pour Tous avait proposé aux citoyens français de venir voter près de l’Assemblée nationale, place Edouard Herriot. Cette manifestation, normalement déclarée dès le 7 février, a été interdite la veille (à 21h40 !) par le Préfet de Police de Paris.

    Le 15 février à l'initiative de Philippe Brillault, Maire du Chesnay, Conseiller général des Yvelines une pétition rassemblant 700.00 signatures est déposée au Conseil Economique Social et Environnemental demandant une saisine sur le projet de loi pour l’homoparentalité pour tous et le mariage pour tous. Cette pétition historique sera jugée irrecevable par le président du CESE.

    Fin février, 200.000 français envoient des cartes postales à l'Elysée, à l'initiative d'un mouvement étudiant, l'UNI, plusieurs d'entre elles reviendront à l'expéditeur avec la mention "N'habite Pas à l'Adresse Indiquée" et réclamant une taxe.

    Le 24 mars la mobilisation continue et le collectif demande une manifestation sur les Champs Elysées. Cette manifestation est interdite par la Préfecture de Police, le Ministre de l'Intérieur confirme cette interdiction sans proposer d'itinéraire alternatif. Par cette interdiction le pouvoir en place croit pouvoir dissuader les Français de manifester. Au contraire, il transforme une manifestation pacifique en soulèvement national. Les français seront aux rendez-vous ; Le nombre de cars et de trains affrétés sont deux fois plus nombreux que pour le 13 janvier. Mais les collectifs sont aujourd'hui nombreux à s'opposer au projet de loi appelant à différentes initiatives et rassemblements.

    par ParitedansleMariage (son site)

    http://www.agoravox.fr

  • Communiqué de presse du Printemps français

    Tout comme le mouvement de La Manif pour Tous est parti des provinces le 17 novembre, le Printemps Français est né du coeur de nos régions. C’est un mouvement de citoyens solidaires qui se dressent contre la Loi Taubira qui est illégitime parce qu’elle reconnait implicitement un droit à l’enfant. C’est un mouvement de résistance pacifiste, un mouvement spontané et populaire.

    Le Projet de loi « mariage pour tous » met en jeu notre identité et l’avenir de nos libertés, de nos traditions, de la culture de nos Provinces et de notre Pays. La France est une famille de familles. Le pays de nos parents est l’héritage de nos enfants. Nous voulons le leur transmettre, intégralement, de Père en fils et de Mère en fille, comme toutes les générations qui nous ont précédées. Nous sommes tous nés d’un père et d’une mère ! C’est inscrit dans l’histoire, c’est naturel !

    Après des manifestations balayées, après une pétition d’envergure historique et irrecevable, après le mépris d’élus et de représentants du pouvoir, malgré les réserves du Conseil d’Etat, malgré les avertissements de l’Académie des Sciences morales et politiques, malgré tout cela, le Gouvernement fait la sourde oreille. Nous entamons donc un bras de fer, nous ne lâcherons rien: à l’issue de la manifestation du 24 mars, nous ne partirons pas tant que le Projet de Loi ne sera pas retiré.

    Nous continuons a mobiliser les gens pour la grande Manifestation Nationale.

    Venez nombreux le 24 mars. On ne lâche rien!

    http://www.actionfrancaise.net

  • [Paris] Samedi 23 septembre 2013 : Premières Assises de la Résistance chrétienne

    Premières Assises de la Résistance chrétienne Samedi 23 mars de 19h30 à 22h30

    Forum de Grenelle, Paris XVème

    Face à une société fière de se dire post-chrétienne, nous voulons affirmer la valeur imprescriptible de la civilisation chrétienne, civilisation de l’amour fondée sur une foi intrépide, sur le sens du service, de la responsabilité personnelle et de l’entreprise, sur la famille comme institution et pas comme option…

    Aujourd’hui les problèmes politiques sont tellement radicaux qu’ils deviennent des problèmes spirituels.

    Nous touchons à la vérité elle-même, foi athée contre foi chrétienne.

    Programme :

    19H20 : Ouverture des portes

    19H40-20H20 :
    - Entre 2012 et 2013 : Pourquoi notre monde a changé. Jeanne Smits, Gabrielle Cluzel, Guillaume de Thieulloy et Abbé G. de Tanoüarn

    20H20 – 20h50 :
    - Le pape au cœur de la résistance mondiale. Laurent Dandrieu (Valeurs actuelles), Christophe Dickès (Monde et Vie) et Philippe Maxence (L’Homme nouveau)

    20h50 – 21h15 : Pause

    21H15 –22 H15 :
    - Les moyens de la Résistance
    - La presse libre : Bruno Larebière, communicant
    - Internet : Les prodiges de la Toile avec Michel Janva (Salon beige), Daniel Hamiche (Riposte catholique) et Eric Martin (Nouvelles de France)
    - Le droit : Un combat, Bernard Antony, président de l’AGRIF
    - La guerre est culturelle, Guillaume Bernard, politologue
    - Comment le combat est « politique d’abord », Catherine Rouvier, politologue

    22h15 : Buffet, ventes, dédicaces.

    Pour en savoir plus, rendez-vous sur notre site internet

    ou appelez le 07 62 07 26 41

    Forum de Grenelle, 5 rue de la Croix-Nivert, 75015 Paris - Métro Cambronne

    Tarif plein : 10 € - Tarif réduit : 5€

    http://www.actionfrancaise.net