
Toujours émanant de National Interest cet article sur les alliés de l’axe, les Italiens. Après la Deuxième Guerre Mondiale, toute ma petite enfance a été ainsi bercée par le récit du manque de combativité des armées italiennes. Leur absence de performance était attribuée à une sorte de trait culturel propre aux Italiens, peu enclins aux exploits guerriers. Mais l’analyse faite ici de leur absence de formation et surtout de motivations puisqu’il est clairement exprimé que ces paysans auraient préféré fraterniser avec les Russes que renforcer les arrogants Allemands se prenant pour la race d’élite. Si les Roumains ont laissé en Union Soviétique des souvenirs déplorables, accusés de pratiquer exécutions de juifs et communistes, les Italiens se montraient plus proches des populations. Ce texte est donc peut-être pour qui sait lire entre les lignes une manière d’hommage. (note de danielle Bleitrach)