Mormach
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D’un seul coup, Ansarullah du Yémen a mis en échec l’Occident et son ordre fondé sur des règles.
Qu’ils aient été inventés dans le nord de l’Inde, dans l’est de la Chine ou en Asie centrale – de la Perse au Turkestan – les échecs sont un jeu asiatique. Aux échecs, il arrive toujours un moment où un simple pion est capable de bouleverser l’ensemble de l’échiquier, généralement par le biais d’un coup dans la dernière rangée dont l’effet est tout simplement impossible à calculer.
Oui, un pion peut imposer un mat sismique. C’est ce qui se passe actuellement sur le plan géopolitique.
D’Antoine de Lacoste dans Politique Magazine :
Deux grands conflits retiennent l’attention du monde, en Ukraine et dans la bande de Gaza. Nous ne savons pas quand ils se termineront : peut-être jamais en Israël, peut-être en 2024 en Ukraine. Pour ce dernier, cela dépendra, entre autres, du bras de fer opposant républicains et démocrates aux Etats-Unis.
Ce bras de fer va être d’une intensité croissante en raison des élections présidentielles à venir en novembre prochain. D’ici-là, la longue litanie des primaires va démarrer le 15 janvier dans l’Iowa et s’étirer sur des mois.
Il y a dix ans, l'Europe nous imposait le traité constitutionnel européen constituant une atteinte majeure à la Démocratie. A y regarder de plus près, cela n'a rien de surprenant : Le projet européen porte dans ses gènes un caractère clairement anti démocratique. L'objectif des dirigeants a toujours été de faire l'Europe contre la volonté des Peuples et en supprimant les Etats-nations pour les mettre aux mains de dirigeants non élus.
Par son traitement de l’actualité proche des 70 % de Français qui trouvent qu’il y a une immigration incontrôlée liée à un danger culturel et à une explosion de certaines criminalités, la petite chaîne de Bolloré est devenue la petite bête (immonde, bien sûr) qui monte, qui monte, qui monte. Alors le système médiatique qui pense à 80 % le contraire, si bien représenté par Olivier Fogiel à la tête de la chaîne de Drahi, a trouvé la solution : faire monter au créneau une valeur sûre, Laurent Ruquier.