
07/08/2023
(…) Le parquet, qui avait requis un mandat de dépôt n’a pas été suivi par le juge des libertés et de la détention qui a décidé de placer le suspect sous contrôle judiciaire.
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07/08/2023
(…) Le parquet, qui avait requis un mandat de dépôt n’a pas été suivi par le juge des libertés et de la détention qui a décidé de placer le suspect sous contrôle judiciaire.
Ils vous avaient peut-être échappé. Cet été, nous vous proposons de lire ou relire les meilleurs articles publiés cette année par BV.
Cet article a été publié le 07/12/2022.
Il n'y a pas qu'à la cour de Louis XIV que les favoris d'un jour pouvaient subitement tomber en disgrâce. Deux de nos grands écrivains contemporains, Michel Onfray et Michel Houellebecq, ont eux aussi fait les frais de la tyrannie bien-pensante. Heureusement sans grand dommage pour eux, tant cette tyrannie a perdu de son pouvoir.
L'entretien de 45 pages, publié par Front populaire, entre Michel Onfray et Michel Houellebecq n'en finit pas de provoquer, dans la presse, des convulsions qui, plutôt que l'humanisme rationnel dont les éditorialistes se revendiquent, évoquent davantage la fureur d'un possédé face au Saint-Sacrement. Pourtant, hier, ou avant-hier, si on veut, les deux Michel étaient des icônes. Houellebecq, avec Les Particules élémentaires, avait inventé un style, celui de la dépression postmoderne, du sexe triste et du déclin de l'Occident. Onfray, avec son Antimanuel de philosophie, donnait à voir une manière d'apprendre iconoclaste, jubilatoire, et montrait des talents de vulgarisateur immédiatement acclamés. Ils imposèrent également leur personnage médiatique, chose importante en ces temps de spectacle prophétisés par Guy Debord : Onfray était l'hédoniste qui ne sourit pas, le jouisseur nietzschéen vêtu de noir. Houellebecq était le petit-bourgeois terne, cachant un clochard visionnaire.
Les guerres - en plus des destructions et des tragédies - créent des systèmes de corruption, qui exploitent le chaos dans le pays pour gagner de l'argent de diverses manières. Un grand groupe de personnalités est impliqué dans la fabrication de ces systèmes, certaines d'entre elles occupent des postes officiels, et chacune d'elles connaît bien son rôle et le fait parfaitement, et les principales victimes sont de simples citoyens qui, aux yeux de ces corrompus, se transforment en de simples morceaux de viande et rien de plus.
Dans un arrêté du 1er août, le maire RN de Fréjus David Rachline avait interdit le port du burkini lors des baignades en mer et ce, jusqu’au 17 septembre 2023 inclus. Suite à un recours de la LDH, le tribunal administratif de Toulon vient de suspendre cet arrêté, ce samedi 5 août.
25/01/2015
Dans son roman polémique qui raconte la domination musulmane en France, l’écrivain Michel Houellebecq “n’a pas tort”, selon la Secrétaire perpétuelle de l’Académie française, Hélène Carrère d’Encausse. (…)
Il y a bien des enseignements à tirer de l’histoire des peuples natifs américains, ces Amérindiens dépossédés de leurs terres et quasiment éradiqués sur ordre des autorités des Etats-Unis d’Amérique. A ce titre, la collection Nuage rouge des éditions du Rocher réalise un travail précieux en rééditant les traductions françaises d’ouvrages anciens et de référence sur le sujet. Parmi les dernières publications, Automne cheyenne de Mari Sandoz (1896-1966) mérite attention. Cette femme a passé de longues années à ses recherches méthodiques et rigoureuses pour ensuite écrire différents volumes sur l’histoire des Indiens.
Le billet de Patrick Parment
On a tout lieu de désespérer de l’Allemagne depuis qu’elle est aux mains de sociaux-démocrates, totalement aliénés aux normes du très anglo-saxon libéralisme larmoyant des droits de l’homme. On croyait également que largement lobotomisés par le masochisme freudien américain depuis la défaite de 1945, et dont le symbole fut le chancelier Adenauer, l’Allemagne ne s’en remettrait pas. Il semblerait qu’il n’en est rien avec l’émergence de l’AfD (Alternative für Deutschland), un parti politique né en 2013 qui préconisait la dissolution de la zone euro, avant qu’Angela Merkel ne décide, en 2015, d’accueillir un million de réfugiés. Depuis, l’AfD est la petite bête qui monte de la politique allemande, au point d’effrayer les poids lourds du CDU. Et ce n’est pas un hasard si l’AfD a connu ses premiers succès dans l’ex-RDA, le communisme ayant protégé ses habitants des affres de la société de consommation. En Allemagne de l’est, la culture allemande jouit encore d’une authenticité que ne connaît quasiment plus sa partie ouest. C’est dire si le réveil au réalisme politique est une bonne nouvelle.