l'information nationaliste - Page 1435
-
LES MONDIALISTES EN GUERRE CONTRE LE PEUPLE AVEC VALÉRIE BUGAULT
-
Les épuisantes confusions économiques du patron du PS Olivier Faure dans une posture « anti-riche » démago
C’est épuisant.
En France nous confondons tout, surtout à gauche.
On peut être de gauche ou être sensible à la justice sociale et au fait de ne laisser personne sur le bord du chemin par humanisme et c’est mon cas.
Mais il est possible d’avoir cette sensibilité sans avoir de détestation du riche ou sans dire des âneries économiques.
Dans le classement de Challenges, il y a les 500 familles françaises les plus riches. Cette richesse n’est pas un flux de revenus, mais la valorisation au moment de la clôture du bilan des actifs détenus.
La valeur d’une entreprise va fluctuer dans le temps à la hausse comme à la baisse.
-
Le patron de l’Incorrect, responsable pôle Culture et patrimoine de Reconquête !
La Lettre A découvre ce qui est indiqué sur Twitter :
-
Jean-Yves Le Gallou : « L’extrême centre, c’est l’anarcho-tyrannie »
À Angers, de jeunes patriotes ont été agressés devant leur local à coup de mortiers et de machettes. Ils se sont défendus. Ils ont été placés en garde à vue.
Partout en France, des citoyens qui payent leurs impôts et leurs amendes vont devoir refinancer des équipements publics détruits dans des quartiers de l’immigration sous contrôle des dealers.
Et une semaine d’émeutes ethniques va être utilisée par le pouvoir pour restreindre les libertés publiques et la liberté d’expression.
Ce régime d’extrême centre porte un nom : l’anarcho-tyrannie.
En 2021, Jean-Yves Le Gallou accordait un entretien à Breizh-Info à propos de ce concept d’anarcho-tyrannie, mélange de laxisme et d’autoritarisme décrit parfaitement la logique de l’État français et du régime Macron. Quel meilleur moment pour publier à nouveau cet entretien, plus que jamais d’actualité ?
Polémia -
Guillaume Bigot sur le désastre de l’immigration : « la responsabilité de la classe dirigeante est absolument massive [et] elle se réfugie dans le déni et le mensonge »
-
Le piège de la guerre raciale
-
Depuis les druides jusqu'à Byblos
Ce titre veut accrocher votre attention en reliant l'alphabet phénicien et notre chère langue française. J'essaierai de montrer un cheminement possible. Quoi qu'il en soit, les signes idéographiques, qui auraient pu mieux préciser les variations subtiles de la pensée celtique, furent délaissés. Une possibilité d'écriture disparue.
A contrario nous pouvons constater que les chiffres arabes ont un dessin unique ; ils se prononcent de multiples façons mais se comprennent très précisément par tous. Que serait notre monde s’il y avait la confusion des chiffres autant que celles des vocables ?
Quand nous regardons les moyens de communiquer entre les hommes, nous ne pouvons qu'être frappés par l'importance des signes muets. Un geste, une mimique, une attitude sont nos premiers dialogues. En fréquence, en importance, ils sont beaucoup plus nombreux que tout autre moyen d'expression. Il semblerait même qu'avant d'arriver à l'oral, il y ait l'image. -
L'auto-vassalisation de l'Union européenne : Comment, à partir de grands pays, réussir ensemble à en faire un petit.
Il apparaît que les Etats-Unis nous piétinent – cela nous le savions – mais qu’en plus, ils nous méprisent de nous laisser piétiner.
Un sursaut est nécessaire.
Il ne peut se faire dans la configuration politique actuelle car, la politique étrangère étant confisquée par le président et le président étant le président des bourgeois compradores, le peuple est, par construction, baisé.
Seul le peuple est porteur de la dignité, dépositaire de la fierté ; les autres ne pensent qu’à une chose : faire du pognon. « Pourvou qué ça doure ! »
-
Emmanuel Macron à Pau : « Qui avait prévu ce qui allait se passer ? »
Avant de se rendre sur l’étape du Tour de France, le président a échangé avec des élus du 64 ce jeudi matin à Pau. Il est revenu longuement sur les émeutes :
-
Émeutes à Lyon : le maire écolo a planqué sa police municipale
À Lyon, c'est un peu comme à Paris ou à Bordeaux. Ou à Grenoble. Ou à Nantes. Les riches habitants du centre, que l'on appelle parfois bobos, ont élu des maires hors-sol qui prennent des décisions incompréhensibles au commun des mortels.
À Nantes, un jeu de chamboule-tout anti-flic. À Paris, un concert de soutien aux émeutiers, avec la bénédiction de la mairie.
Et à Lyon... eh bien, à Lyon, on a une police municipale, mais on ne s'en sert pas. Du moins, pas vraiment. Bien sûr, les agents municipaux doivent être bien occupés en temps de paix, avec les petits ou grands délits ainsi que les P.-V., probablement. Mais en temps de pré-guerre civile, comme lors des émeutes qui ont organisé la rencontre entre les bourgeois et les racaille, niet.