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L’histoire jugera sans doute avec beaucoup de sévérité notre aventure douteuse vers les voitures électriques.
Tout d’abord les fabriquer est un fiasco environnemental, car sur le cycle de production entier du véhicule, la pollution est certes délocalisée dans des pays que nous ne regardons pas, mais elle est bien réelle et largement pire que celle engendrée par un véhicule thermique.
Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, Roland Hélie, Didier Lecerf
Les Amis franciliens de Synthèse nationale sont venus nombreux vendredi soir à la réunion de printemps organisée à Paris. La salle était pleine et il a même fallu ajouter des chaises. C'était en effet une reprise car, hormis bien sûr notre Journée BBR du mois d'octobre dernier, cette réunion amicale était la première dans la capitale depuis la fin des confinements successifs de ces dernières années. Ce fut donc une bonne occasion de retrouver nos lecteurs et amis.
Un mineur figure parmi les individus appréhendés. Tous portaient l’équipement caractéristique des émeutiers : chaîne de vélo, barre de fer, matraque télescopique. Le Parquet de Bordeaux précise que deux des individus mis en cause sont déjà bien connus de la police pour outrages, port d’arme, usage de stupéfiants. Ils seraient proches de l’ultragauche.
De nombreux observateurs politiques se désolent, en voyant cette France exsangue, enflammée, subissant depuis plusieurs jours une déferlante de violence noire et cagoulée.
Il existe, en réalité, deux types de réactions. La première consiste à dénoncer immédiatement, à s’indigner devant cette horde de gauchistes décérébrés qui ne souhaitent qu’une seule chose : le chaos. La seconde façon de réagir consiste, cette fois-ci, à « seulement » regretter ces affrontements tout en expliquant que le véritable responsable est le président de la République. Il serait l’unique fautif de cet immense brasier qu’il décide d’attiser au gré de sa suffisance.
Une note de l’hebdomadaire anglais Sunday Times publiée ce dimanche 26 mars indique que l’armée ukrainienne perd jusqu’à 200 de ses combattants quotidiennement dans la bataille d’Artemovsk (Bakhmout) avec les forces russes.
Selon l’hebdomadaire anglais, neuf mois après le début de la bataille de Bakhmout, la ville a été presque entièrement rasée et 90% de sa population d’avant-guerre de 70 000 personnes a fui. Mais les forces ukrainiennes s’accrochent toujours, malgré la perte d’environ 100 à 200 soldats par jour.
Alors que le navire humanitaire s’apprêtait à porter secours à une embarcation en détresse samedi matin, les Libyens n’ont pas hésité à tirer des coups de feu à proximité des sauveteurs de SOS Méditerranée.
Ancien haut fonctionnaire, il a été diplomate, mais aussi sous-préfet.
Il connaît donc bien les rouages de la haute administration publique avec laquelle il a pris ses distances ces dernières années. Très actif sur Twitter, compagnon de route des Gilets jaunes et du mouvement social dont il a documenté en vidéo les manifestations, il dénonce régulièrement les violences policières qui les accompagnent. Des violences policières dont il a été lui-même victime à plusieurs reprises. Laurent Bigot accorde cet entretien à Théophile Kouamouo au lendemain de la grève et des manifestations du 23 mars, à la suite desquelles on a pu avoir l’impression de vivre dans un pays en situation d’insurrection générale. Violences policières généralisées et la plupart du temps gratuites, feux de poubelles et incendies d’édifices, où va la France ? Pourquoi Laurent Bigot considère-t-il comme très inquiétantes les scènes auxquelles il a assisté ce jeudi ? Comment est-on passé du maintien de l’ordre à ce que l’ancien sous-préfet désigne désormais comme de la “répression” pure et simple ? Le pouvoir d’Emmanuel Macron s’est-il mis dans une impasse ? Se trouve-t-il désormais dans un positionnement où l’égo surdétermine tout le reste ? Entretien.
Des missiles et des drones iraniens ont « saturé » les missiles NASAMS américains, qui ont fini par percer les défenses aériennes.
Les attaques de missiles contre les bases militaires américaines situées à proximité des principaux champs d’hydrocarbures de la Syrie sont l’un des principaux sujets du jour pour le monde occidental. Le sujet s’est avéré si sérieux qu’il a même supplanté le conflit ukrainien, pour lequel des milliards de dollars sont dépensés en pompage militaire et informationnel, dans les premières pages des médias occidentaux.
« La réforme des retraites ne signe pas la retraite des réformes ». C’est en usant de ce jeu mot à l’humour contestable, que le porte-parole du gouvernement a annoncé dans un entretien au Journal du Dimanche, l’intention d’Emmanuel Macron de poursuivre les réformes « impopulaires, mais nécessaires à l’avenir du pays ». Alors que des centaines de rassemblements ont eu lieu samedi dans toute la France, et que l’intersyndicale prépare sa 10e journée de mobilisation, Olivier Véran assure que la volonté de réforme du gouvernement n’est pas enrayée par la contestation massive contre la réforme des retraites et l’utilisation du 49-3.