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l'information nationaliste - Page 3288

  • "Privilège blanc" ? Où ça ?

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Jamais en reste quand il s'agit d'importer en France un concept progressiste américanoïde pour en faire un objet de développement polémique, de débat intellectuel et, au bout du compte, d'affrontement, Emmanuel Macron, dans un entretien-fleuve publié par l'hebdomadaire L'Express paru ce mardi évoque l'idée de "privilège blanc" supposé favoriser l'accession de ceux qui en bénéficient à la réussite sociale, au logement, à l'éducation et à la culture.
    En ces temps de "discrimination positive" pratiquée en toute matière et en tout lieu, on chercherait pourtant bien en vain ce soit-disant privilège.
    Le "privilège blanc", c'est de se taire et de raser les murs dans certains quartiers de nos villes.
    Le "privilège blanc", c'est de risquer à toute heure du jour et de la nuit l'agression, le viol ou l'égorgement.
    Le "privilège blanc", c'est le couvre-feu de fait établi bien avant la crise sanitaire qui interdit aux femmes de sortir dans la rue dès le soir tombé.
    Le "privilège blanc" c'est de recevoir des crachats sur un terrain de football.
    Le "privilège blanc" c'est de devoir s'agenouiller en signe de repentance.
    Le "privilège blanc" c'est de voir les traditions, les valeurs, les principes qui ont fait notre civilisation bafouées et traînées dans la boue.
    Le "privilège blanc", c'est de se retrouver en exil et sous surveillance dans son propre pays.
  • Angers : les jeunes nationalistes dénoncent les effets de la politique libérale du pouvoir macronien

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  • Bossuet au naturel

    Bossuet au naturel .jpegEntretien avec le Père Renaud Silly

    On l’appelle l’Aigle de Meaux. Il a souhaité mettre toute l’autorité qu’il s'est acquise au service de l’Église. Mais suffit de s'en approcher pour comprendre que, dans son texte, le cœur n'est jamais loin Bossuet au naturel ? C'est un cœur attiré par le surnaturel chrétien.

    Père Renaud Silly, vous venez de publier une édition de textes de Bossuet dans la célèbre collection Bouquins chez Robert Laffont. L'œuvre de l'évêque de Meaux est intimidante par ses proportions. Mais apparemment, vous, vous avez su briser la glace ?

    Le portrait d'apparat de Bossuet peint en 1701 par Rigaud ne lui a pas rendu le meilleur service en le figeant dans la représentation d'un prélat olympien. Par ailleurs, l'éloquence sacrée lui donne droit de cité dans les études littéraires, au titre de la supériorité et de la créativité de son style. Mais cette prédilection pour une petite fraction de son œuvre a l'effet néfaste de vitrifier Bossuet tonnant dans la chaire, devant un parterre surtout aristocratique.

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  • Fraude sociale : un Somalien touche deux fois les mêmes allocations depuis plusieurs années

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    Un homme de 34 ans, de nationalité somalienne, a été jugé, lundi 21 décembre 2020, à Caen (Calvados), pour avoir abusé divers organismes sociaux afin de toucher deux fois des allocations, rapporte Actu.fr Normandie

    Deux préfectures, deux identités, toutes les allocations en double

    Lundi 21 décembre 2020, Aziz*, mis en cause pour « détention et usage de faux documents administratifs »« fausses déclarations dans le but d’obtenir autorisations et prestations sociales indues », a comparu devant le tribunal correctionnel de Caen (Calvados). Les faits recouvrent la période de mars 2014 à août 2018. Les organismes lésés sont la préfecture, la CPAM et la CAF du Calvados, Pôle emploi, l’Office français de protection des réfugiés apatrides et le centre des finances publiques.

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  • Espagne : le ministère de l’intérieur fait affréter des bateaux pour reconduire des migrants algériens en Algérie

    Le ministère de l’Intérieur a chargé la compagnie maritime espagnole Trasmediterránea d’affréter trois navires pour transférer en Algérie d’Alicante quelque 120 migrants en situation irrégulière en Espagne.

    Conformément aux conditions convenues, “un maximum de 40 immigrés irréguliers” voyageront sur chacun des trois navires, accompagnés des policiers qui assurent le service d’escorte correspondant. Le coût de chaque voyage a été estimé à 65000 euros et comprend le transfert des citoyens et agents algériens, l’entretien des groupes et l’hébergement dans les cabines des fonctionnaires du corps national, étant susceptibles de faire l’objet de dépenses – selon l’Intérieur – Il peut être financé par le Fonds d’intégration des migrations d’asile (FAMI) de l’Union européenne.

    via Fdesouche

    https://www.tvlibertes.com/actus/espagne-le-ministere-de-linterieur-fait-affreter-des-bateaux-pour-reconduire-des-migrants-algeriens-en-algerie

  • Piqûre de rigueur – Une obligation de vaccination qui ne dit pas son nom, par Etienne Lafage

    vaccin obligatoire

    L’idée vient tout droit d’Israël et a été importée en France par plusieurs députés de l’UDI. Mettre en place un passeport sanitaire pour permettre aux futurs vaccinés « d’avoir le droit de vivre normalement ». L’idée fait son chemin.

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  • Les signes d'un nouveau populisme chrétien (texte de 2017)

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    Entretien avec François Bousquet

    François Bousquet est l’un des journalistes les plus talentueux de sa génération. Il a consacré son dernier livre à Patrick Buisson et à ce qu’il appelle « la droite buissonnière » prolonge ici sa réflexion sur le populisme chrétien.

    Qu'est-ce qui a conduit Patrick Buisson à évoquer un « populisme chrétien » ?

    C'est dans un entretien au Monde, en date de juin 2013, que Buisson a lancé cette expression. La loi Taubira venait juste d'être adoptée par le Parlement en dépit de la très forte mobilisation de la Manif pour tous. C'est néanmoins cette mobilisation, à la fois par son intensité et par sa qualité, qui a poussé Buisson à formuler l'hypothèse d'un populisme chrétien.

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  • LA FAUTE DU KAISER

    L’hégémonie allemande voulue par Guillaume II a préparé la guerre de 14

         Alors que l’actualité internationale est commandée, à propos de la crise syrienne, par le bras de fer entre Obama et Poutine et par les divisions entre Européens, se replonger dans le monde d’il y a un siècle, c’est à la fois retrouver des éléments comparables (la mondialisation, l’ambition russe manifestée jusqu’au Moyen-Orient, le dynamisme allemand) et des différences radicales (la plus tangible étant que les Etats-Unis, à l’époque, ne comptaient pas, hors l’Amérique latine, sur la scène internationale).
         Comme l’univers a changé ! Le constat s’impose en lisant le livre que Charles Zorgbibe consacre à Guillaume II. Juriste et historien, ancien professeur à la Sorbonne et ancien doyen de la faculté de droit de Paris-Sud et recteur d’Aix-Marseille, l’auteur, qui a déjà publié des biographies de Herzl, Delcassé, Metternich et Talleyrand, est un spécialiste des relations internationales. C’est donc cet angle qu’il privilégie pour relater la vie du dernier empereur allemand, dans un ouvrage facile à lire, mais dont on peut regretter les trop nombreux dialogues prêtés aux personnages, procédé qui, ces échanges n’étant pas attestés, altère malheureusement le caractère scientifique de ce travail qui s’appuie pourtant sur une documentation solide.
         Roi de Prusse et empereur allemand en 1888, Guillaume II se sépare de Bismarck dès 1890, donnant un « nouveau cours » (Neue Kurs) à la politique allemande. En liaison avec l’essor industriel du Reich, le souverain pousse son pays à l’expansion commerciale, maritime et coloniale. Mais cette politique heurte de plein fouet les intérêts britanniques, et incite la France à se rapprocher de la Russie : ainsi se met en place le mécanisme des alliances qui enclenchera la Première Guerre mondiale.
         Zorgbibe est indulgent avec son héros. Il ne peut cacher, cependant, les contradictions de Guillaume II qui menait cette politique en voulant rester ami avec l’Angleterre – il était un petit-fils de la reine Victoria – et en aspirant à la paix avec la France. A partir de 1913, la logique des faits sera plus forte, et l’Europe roulera vers la guerre. S’il n’était pas le seul coupable, le Kaiser n’en était pas innocent.

    Jean Sévillia

    Guillaume II, de Charles Zorgbibe, Fallois, 398 p., 24 €.

    https://www.jeansevillia.com/2015/04/11/la-faute-du-kaiser/

  • Le racket du prix de l’électricité ne cesse de prendre de l’ampleur

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    Année après année, la facture d’électricité devient de plus en plus lourde pour les Français. Un consommateur moyen (abonnement à 6 kVa, consommation de 2.267 Kwh) payait 332 euros en 2010 et règle désormais 481 euros en 2020, soit une augmentation de 44,6 % en dix ans à comparer avec une inflation à moins de 10 % sur la même période. Or les coûts de production ont peu augmenté, la France ayant la chance d’avoir un parc de centrales nucléaires conséquent, n’en déplaise aux écologistes.

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