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l'information nationaliste - Page 4796

  • Affaire Audin : une scandaleuse repentance démagogique

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    Claudine Dupont-Tingaud

    Présidente de Réagir et Agir cliquez là

    Le président de la République, chef des Armées, vient de se livrer à une scandaleuse repentance démagogique pour ce disparu en Algérie en 1957, Maurice Audin, demandant pardon au nom de l’État Français à sa famille, alors qu’il ne fut qu’un parmi tant d’autres de nos ressortissants à disparaître au cours de ces années où la terreur ennemie ne s’est pas arrêtée aux accords d’Évian du 19 mars 1962.

    Notre Président se rend ainsi complice actif du crime contre l’Humanité que fut, sous l’état gaulliste, l’abandon de la souveraineté de la France en Algérie, dont son « héros » fut l’un des premiers responsables, conduisant à un autre abandon, celui des populations : 200 000 civils, femmes, enfants et vieillards torturés, mutilés, assassinés par la barbarie FLN auxquels s’est ajoutée la communauté des harkis, trahie et livrée après que ses hommes eurent été désarmés sur ordre du pouvoir suite à ces accords à sens unique déplorables !

    Un acte scandaleux. Après que l’État gaulliste, dans sa lâcheté, eut confié à notre armée, tel Ponce Pilate, un travail de police, Maurice Audin en a peut-être subi les conséquences, mais pour sa trahison, elle certaine, envers sa patrie, la nôtre, en collaborant avec l’ennemi qui tentait et réussissait à s’imposer par la terreur !

    Un acte regrettable. Il n’y a pas excuse à faire lorsqu’un traître protège le plus cruel et le plus vil des adversaires, celui qui n’a laissé à nos compatriotes que le choix de la valise ou du cercueil, celui-ci ne désespérant pas, depuis plus de 50 ans, qu’une loi de reconnaissance et de réparation soit votée par l’Assemblée Nationale !

    Un acte démagogique. L’intervention ne fut-elle pas faite à la veille de la fête du Parti Communiste en opération de séduction électorale de ses adhérents… dont fut Maurice Audin ? C’est ce parti qui facilita l’implantation d’une organisation interdite dès 1955, complice des indépendantistes et qui venait de montrer en Indochine et en Hongrie ce dont étaient capables les héritiers de Staline !

    Un acte mensonger. Mensonge en effet que de laisser croire à notre jeunesse que morale, éthique et honneur peuvent être issus de cette mémoire hémiplégique qui fausse la vérité historique d’une colonisation globalement bienfaitrice et qui efface les conséquences dramatiques de la trahison à la parole donnée par l’Armée et par l’État.

    Un million de Français furent expatriés vers une métropole inconnue et beaucoup plus hostile à eux-mêmes qu’elle ne l’est actuellement pour les migrants. 100 000 harkis et leurs familles furent sacrifiés, l’Algérie fut certes émancipée mais ruinée par la gabegie de ses nouveaux dirigeants et vit aujourd’hui sous la menace d’un islam sanguinaire et conquérant !

    Mensonge également que de ne pas affirmer où est la vérité et de ne pas rendre justice à nos pionniers !

    Merci de faire comprendre que l’intelligence du cœur n’est pas l’apanage du Président Macron et de faire remonter notre incompréhension comme notre colère vers celui-ci.

    Pour en connaître davantage sur les crimes du FLN, lisez les livres présentés par Jean-Pierre Rondeau :

    • Crimes et attentats FLN en Algérie française, cliquez ici.

    • Aspects véritables de la rébellion algérienne, cliquez ici.

  • A visage découvert

    lallegorie_de_la_simulation_musee_des_beaux-arts_angers_14932303058-236x300.jpgDans notre conception de la laïcité à la française,  seul l’Etat  est sommé de respecter la neutralité religieuse, les citoyens étant libres de pratiquer leur culte et plus généralement de s’habiller comme ils le souhaitent. Pour autant,  la loi du 11 octobre 2010 interdit la dissimulation du visage dans l’espace public. Un principe rappelé notamment sur le site officiel de l’administration  française, ce qui interdit  de facto le port du voile intégral islamique (burqa) dans la rue. Une mesure nécessaire mais  qui ne résout  en rien,  sur le fond, les problèmes  de désintégration culturelle  de notre société. L’Afp nous apprenait  que 67 % des 36% électeurs inscrits qui se sont rendus hier  aux urnes dans le canton suisse de Saint-Gall « ont voté  en faveur d’une interdiction de la burqa dans l’espace public de leur région. Une réglementation déjà en vigueur depuis juillet 2016 dans le Tessin voisin. » Une votation citoyenne (referendum initiative populaire) qui a confirmé,  au grand désespoir des Verts et de la Jeunesse socialiste helvétiques,   un texte déjà  adopté par le parlement régional.  « Le Conseil central islamique suisse a qualifié dimanche cette mesure d’islamophobe. » Islamophobie dont ferait preuve l’opposition nationale selon certains de ses adversaires, lesquels ne reculent décidément devant rien. «Je croyais avoir eu droit à tout » rapportait ainsi Marine le 20 septembre,   «eh bien non ! Pour avoir dénoncé les horreurs de Daech par tweets, la  justice me soumet à une expertise psychiatrique ! Jusqu’où vont-ils aller ?! » Commentaire de Bruno Gollnisch: «Les malades ici ne sont pas là où on les cherche… »

    Malade Yann Moix ?  Le ministre de de l’Intérieur Gérard Collomb, qui soit dit en passant, sait parfaitement que les porteuses de burqa en France sont très  rarement verbalisées dans les quartiers musulmans,  de crainte de déclencher des émeutes, a  condamné la dernière sortie en date de cet écrivain et essayiste.  Connu pour son engagement militant de longue date contre l’opposition nationale, M. Moix,  dont les faits et gestes sont toujours relayés complaisamment  sur le site La régle du jeu  de son ami BHL, peine à rebondir médiatiquement.  Du moins  depuis qu’il a quitté son poste de chroniqueur dans  l’émission de Laurent  Ruquier le samedi  soir sur France 2.   Sur le plateau de l’émission Les terriens du samedi sur C8, il a  trouvé matière à faire parler de lui.   Alors que le  journaliste  Frédéric Ploquin présentait son  livre La peur a changé de camp, sur les difficultés et les dangers croissants  du métier de de policier,  Yann Moix a déclaré:  «Vous venez dire ici que les policiers ont peur (…), que vous chiez dans votre froc. » «La peur au ventre, vous n’avez pas les couilles d’aller dans des endroits dangereux. »

    M Moix devrait pourtant connaître toutes les limites qui sont  imposées aux policiers par l’idéologie laxiste-progressiste-multiculturaliste-immigrationniste et par un   pouvoir politique  qui entravent parfois grandement,  voire souvent,   leur capacité d’action. Leur courage personnel,  leur probité, leur sens du devoir ne sont certainement  pas en cause. 

    Le commandant Patrice Ribeiro du syndicat Synergie, à l’instar de beaucoup de ses collègues, n’a pas manqué de réagir rapporte l’Afp: « La diarrhée verbale haineuse de ce bobo (M. Moix, NDLR)  qui baigne dans le luxe et l’argent est ignominieuse et indécente. »  « Chaque jour des milliers de policiers, qui gagnent 10 ou 20 fois moins que ce plumitif de salon, risquent, exposent leur intégrité physique dans des quartiers dont ce monsieur ne sait même pas où ils se trouvent sur une carte de France et où vivent des gens qui sont pris en otage par les voyous», a-t-il ajouté.

    Une réalité que n’ignore pas Nicolas-Dupont Aigan qui annonçait hier lors  du discours de clôture  du congrès de son parti Debout La France ( DLF), au Cirque d’Hiver, à Paris, sa candidature aux élections européennes de 2019. Cette décision de faire cavalier seul, au moment ou nos compatriotes sont de plus en plus nombreux à s’apercevoir de l’impasse mortelle de l’euromondialisme et du multiculturalisme,   a été actée par Marine. « On avait une fenêtre de tir historique, rien politiquement ne nous sépare.  L’alliance est un long travail. » a-t-elle observé tout en réaffirmant  hier, lors de la Fête du Drapeau à Mantes-La-Ville, l’objectif tout à fait réaliste du Rassemblement National d’arriver en tête des prochaines élections  européennes.

    Au nom d’une certaine  logique,   cohérence et  efficacité politique, il était certes possible d’espérer   quel’homme qui a su briser le tabou des tabous, en soutenant  avec panache Marine Le Pen au lendemain du  premier  tour de la présidentielle, accepte de nouveau notre main tendue. Crédité de 6% des intentions de vote, contre 21% pour la liste RN dans un tout récent sondage, l’alliance proposée  par Marine à M. Dupont-Aignan dans le cadre des élections de mai prochain aurait certainement  eu pour effet  d’enclencher une dynamique,  d’augmenter les chances du camp national, patriote et  souverainiste de creuser l’écart avec  la liste euromondialiste de LREM.

    Une question européenne qui taraude aussi sans surprise la gauche britannique. Lors du congrès du parti travailliste (labour) cette fin de semaine à Liverpool, son dirigeant, Jeremy Corbyn s’est prononcé  contre la tenue d’un  second référendum sur le Brexit, hypothèse plébiscitée en revanche par la très grosse majorité des adhérents de ce parti. Cependant  précise  l’Afp,  « un vote sur un nouveau référendum serait organisé avant la fin du congrès travailliste mercredi, mais (M. Corbyn)  a souligné que la question qui serait soumise aux militants n’avait pas encore été définie. Je respecterai ce qui sera décidé au cours de ce congrès » a-t-il dit.

    « (M Corbyn) a rappelé dimanche sur la BBC que 40% des électeurs du Labour avaient voté en faveur du Brexit au référendum de juin 2016» , tandis que « plusieurs députés et figures du parti travailliste, dont le maire de Londres Sadiq Khan, ont déjà pris position en faveur d’une nouvelle consultation, pour laquelle milite également la confédération syndicale TUC.»

    Jeremy Corbyn lui-même, mettait en garde  il y a deux ans   contre la  « catastrophe »   que serait une sortie de l’Angleterre de  l’UE,  à laquelle les électeurs  issus de l’immigration non européenne  sont  très majoritairement opposés. En juin 2016,  une semaine avant le vote sur le Brexit, Le Point donnait la parole   à Tony Travers« spécialiste du Grand Londres », selon lequel  « l’immigration est la vraie thématique de ce référendum, la capitale anglaise, foncièrement anti-Brexit, allie immigration et prospérité.  Londres a toutes les caractéristiques du maintien dans l’Union européenne : une population jeune, très éduquée, en majorité aisée. De plus, 40 % de la population est née à l’étranger et 40 % n’est pas blanche. À sa manière, le nouveau maire, Sadiq Khan, illustre par excellence cette ville-monde.» Bref , notions nous:   bobos+ City+ immigration de peuplement+ idéologie multiculturaliste= adhésion à Bruxelles. CQFD…

    Ce soutien électoral que le parti travailliste trouve dans les quartiers pluriels, dont bénéficie  pareillement chez nous  les partis de gauche et/ou  pro-bruxellois, de LFI à LREM, serait aussi la cause, selon certains commentateurs,  des accusations d’antisémitisme  portées  contre des cadres du parti travailliste. Il sont  soupçonnés de vouloir  flatter les bas-instincts d’une partie de l’électorat musulman. Toujours selon l’Afp, « Jeremy Corbyn a reconnu en août que sa formation avait un réel problème d’antisémitisme et assuré que sa priorité était de rétablir la confiance avec la communauté juive. La crise a été alimentée par la réticence du parti à adopter la définition complète de l’antisémitisme de l’International Holocaust Remembrance Alliance (IHRA), de crainte que cela ne l’empêche de critiquer la politique israélienne.»  Ladite définition rapportait Libération, a finalement était validée début septembre  « par le National Executive Committee (NEC), l’instance dirigeante du Labour ;  une  « définition complète de l’antisémitisme – avec les onze exemples qui l’accompagnent – telle que définie par l’IHRA. L’adoption s’accompagne d’un communiqué indiquant que cette décision ne diminuera d’aucune façon la liberté d’expression sur Israël ou les droits des Palestiniens. »

    L’assimilation  entre critiques de l’Etat israélien et antisémitisme,  antisionisme et antijudaïsme est l’objet de moult colloques, rapports et cogitations au sein d’une gauche tiraillée entre  ses différentes  clientèles. L’antisionisme, le soutien au peuple palestinien sont historiquement  des marqueurs  forts à l’extrême-gauche.  Ils s’inscrivent  plus globalement  dans le cadre d’un  tiers-mondisme, d’une hostilité à l’impérialisme occidental  dont  l’Etat d’Israël et ses colons  seraient un exemple et une émanation. Il apparaît en tout cas assez évident que le vœu de  judiciariser, sanctionner, interdire toutes critiques de l’Etat d’Israël reviendrait à alimenter un complotisme ou un antijudaïsme  qu’on prétend combattre

    Lors du colloque de l’Association (d’extrême-gauche)  France-Palestine-Solidatité (AFPS) sur le thème «A-t-on le droit de critiquer la poltique israélienne»,   organisé en février dernier sous la patronage de la franco-turco-israélienne, Esther Benbassa, sénatrice EELV, certaines exigences de de l’IHRA ont été dénoncées.  Entre autres  le fait que « Les manifestations de l’antisémitisme peuvent inclure le ciblage de l’Etat d’Israël .» «L’Etat d’Israël est cité à 9 reprises dans ces exemples (énoncés par l’IHRA, NDLR)…». «Il est dangereux, était-il indiqué plus globalement, de prétendre définir un racisme particulier, alors que la loi française réprime de la même manière toute forme de racisme. Un groupe de personnalités françaises ont pris position à la suite du vote du Parlement européen. Cette prise de position est parue dans le journal Libération le 4 juillet 2017 » était-il  rappelé.

    L’AFPS est un membre actif du Comité européen de coordination pour la Palestine dont le siège est à Bruxelles et qui intervient auprès des instances de l’UE. On le constate une nouvelle fois, ceux à gauche qui dénoncent  l’oppression, les atteintes aux droits-de-l’homme; les   dénis de souveraineté et d’identité de peuples  sous le joug de colonisateurs, ne sont pas choqués plus que cela par les involutions d’une Europe bruxelloise  ou le délit d’opinion  a été rétablie, ou le droit des peuples autochtones et des citoyens  à disposer  d’eux-mêmes, à  rester eux mêmes,  est combattu et  ostracisé… avec leur bénédiction. Sans faux-semblant, sans hypocrisie  et à visage découvert,   c’est  bien la mouvance  nationale qui  défend   aujourd’hui partout en Europe les   libertés  que nous avons reçu en héritage. Et ce n’est pas un des moindre enjeux du scrutin de l’année prochaine que de tout faire pour les rétablir ou les conserver. 

    https://gollnisch.com/2018/09/24/a-visage-decouvert/

  • Debout la France tente l’union des droites

    Debout la France tente l’union des droites

    Le congrès de Debout la France a eu lieu au Cirque d’Hiver, en présence des Amoureux de la France, avec

    • Bernard Monot et Yasmine Benzelmat (ex-RN)
    • JC Martinez (ex-FN)
    • Véronique Besse (ex- député MPF)
    • Bruno North (CNIP)
    • Jean-Frédéric Poisson (PCD)
    • Paul-Marie Coûteaux, ancien conseiller de Marine Le Pen et ex-dirigeant du SIEL,
    • Erik Tegnér (LR)
    • Claudine Kauffman, sénatrice ex-FN du Var
    • le conseiller régional RN Eric Dillies
    • François de Voyer, proche de Marion Maréchal

    https://www.lesalonbeige.fr/debout-la-france-tente-lunion-des-droites/

  • Économie : ambiance Désert des Tartares et drôle de guerre avant l’explosion totale du Système

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    Marc Rousset Boulevard Voltaire cliquez ici

    L’offensive allemande a bien eu lieu en mai 1940 et l’ennemi a bien fini par apparaître dans le Désert des Tartares, mais les milliers de milliards de dollars émis par les banques centrales ainsi que l’augmentation continue de la dette mondiale publique et privée font merveille pour repousser l’échéance du krach à venir qui conduira à l’effondrement de la monnaie, émise alors en quantité illimitée, et à l’hyperinflation.

    Nous vivons tout simplement la sombre prédiction du grand économiste autrichien Ludwig von Mises :

    « Il n’y a aucun moyen d’éviter l’effondrement final d’un boom économique dû à l’expansion du crédit. La seule alternative consiste à faire en sorte que la crise arrive plus vite, suite à un abandon volontaire de l’expansion de crédit, ou plus tard, impliquant ainsi une destruction finale et totale du système monétaire en question. »

    Selon l’ancien Premier ministre britannique Gordon Brown, « nous courons le risque de nous diriger tel un somnambule vers une nouvelle crise » car les gouvernements ne se sont pas attaqués aux causes de la crise de 2008. De plus, la collaboration entre les banques centrales et les gouvernements ne serait pas possible dans une crise post-2018 et « on assisterait plus à la recherche d’un bouc émissaire que d’une solution ». Ces propos sont confirmés par l’économiste Sony Kapoor, ancien conseiller de l’Union européenne en 2008, pour qui « la coopération internationale qui existait entre 2008 et 2009 n’existe plus avec Trump et le Brexit. Notre situation est donc plus fragile. Cette fois, ça pourrait être pire. »

    Le malade turc continue d’inquiéter l’Europe : inflation de 17 %, fuite massive des capitaux avec un effondrement de la livre de 40 %, chute de la Bourse de 20 %, relèvement des taux d’intérêt à 24 % et besoins de refinancement non couverts à l’horizon d’un an pour 230 milliards de dollar,s dont 110 milliards pour les banques et 65 milliards pour les entreprises. Au Venezuela, l’inflation a atteint le taux grotesque de 1.000.000 % par an, tandis qu’en Argentine, le peso continue de s’affaiblir avec une dette libellée à 80 % en dollars et un taux directeur élevé de 60 % de la banque centrale.

    En matière économique, le jeune prince héritier Mohammed ben Salmane d’Arabie saoudite va droit dans le mur. Après l’échec de l’introduction en bourse d’Aramco, le PIF (Fonds public d’investissement saoudien) se lance dans des transactions tape-à-l’œil qui ne font pas baisser le chômage du pays et ne diversifient pas son économie : investissements dans le tourisme spatial Virgin Galactic, Uber, projet d’une mégapole de 500 milliards de dollars sur la mer Rouge.

    La dette publique et privée de la Chine est passée de 1.700 milliards de dollars, en 2001, à 25.500 milliards de dollars, en 2016, tandis que 200 milliards de produits chinois viennent d’être taxés, en plus, à 10 % et 25 % (1er janvier 2019) par Trump, avec une menace sur 267 milliards de dollars d’importations chinoises supplémentaires. La Bourse de Shanghai vient de perdre 20 %. Quant aux États-Unis, ils investissent peu dans les projets civils d’infrastructures, mais trop dans leurs dépenses militaires de 600 milliards de dollars par an (Russie 69 milliards de dollars, Chine 216 milliards de dollars). Trump rêve de dévaluer le dollar dans sa guerre commerciale avec la Chine, raison supplémentaire pour laquelle les Russes et les Chinois jouent la carte de l’or comme actif ultime dans leurs banques centrales.

    La Deutsche Bank, qualifiée en 2016 de « source majeure de risque » par le FMI, ne représente plus que 21 milliards d’euros en Bourse et a dû se séparer de 7.000 personnes, avec une chute du titre de 34 % depuis le 1er janvier, tandis que la Commerzbank ne vaut plus que 10 milliards d’euros. L’indice sectoriel « Euro Stoxx Banks » est en chute de 14 % depuis le début de l’année (BNP perd 12,4 % et Société générale 12,08 %). Les taux bas qui pénalisent la rentabilité, la dette italienne et les craintes de krach expliquent la méfiance des investisseurs pour le secteur bancaire.

    JP Morgan, qui ferait mieux de se taire, prétend que la prochaine crise devrait être moins aiguë que la précédente. Steve Bannon, lui, a confirmé, le samedi 22 septembre, lors d’une intervention publique en Italie, une nouvelle crise financière, assurant : 

    « Elle fera paraître celle de 2008 comme un pique-nique dominical. Ce sera une crise de la dette, une crise monétaire. »

    La crise prendra-t-elle sa source en Chine, au Japon, à Wall Street, en Italie, en Espagne, en Grèce ? Personne ne peut répondre à la question, tandis que persiste dans l’économie mondiale l’ambiance drôle de guerre et Désert des Tartares.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Aide aux migrants : l’Aquarius privé de pavillon

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    Après Gibraltar, ce sont à présent les autorités maritimes du Panama qui ont retiré leur agrément au navire pour “non-respect” des “procédures juridiques internationales”.

    L’Aquarius s’était retrouvé en juin dernier au milieu d’un bras de fer européen avant de pouvoir débarquer des migrants recueillis en Méditerranée.

    Pour le ministre italien de l’Intérieur, cette décision ne change rien : les ports italiens restent fermés à l’Aquarius, a fait savoir Matteo Salvini sur Twitter.

    Matteo Salvini a par ailleurs indiqué qu’il allait poursuivre tous ceux qui aidaient les trafiquants de migrants.

  • Les « fake news » ont représenté moins de 0,1% d’un total de 60 millions de tweets politiques durant l’élection présidentielle de 2017

     Loin d’un « tsunami » de fausses nouvelles, les « fake news » ont représenté moins de 0,1% d’un total de 60 millions de tweets politiques passés au crible durant l’élection présidentielle de 2017, et ont surtout été échangées par des twittos affiliés à François Fillon et Marine Le Pen, selon une étude du CNRS et de l’EHESS. (…)

    L’autre grand axe d’étude a porté sur les « fake news » ou fausses nouvelles: l’équipe du Politoscope a analysé les tweets relayant sous forme de liens des intox identifiées comme telles par les « décodeurs » du Monde.

    Résultat: près de 5.000 tweets ont été détectés, soit moins de 1% du corpus de tweets analysés (0,081%).

    http://www.fdesouche.com/1075435-enquete-les-fake-news-ont-represente-moins-de-01-dun-total-de-60-millions-de-tweets-politiques-durant-lelection-presidentielle-de-2017

  • « Plan Pauvreté » : les contre-propositions de la Dissidence Française

    Communiqué de la Dissidence Française

    Emmanuel Macron a présenté aujourd’hui son plan destiné à « prévenir et lutter contre la pauvreté ». Énième projet de lutte contre la pauvreté – notre pays compte aujourd’hui près de 9 millions de pauvres, preuve de l’échec des plans antérieurs – ce plan se contente de répéter les mêmes erreurs qui depuis 40 ans aggravent le problème de la pauvreté au lieu de le résorber.

    Ainsi, en créant un « Revenu Universel d’Activité » par la fusion de minimas sociaux déjà existants et en se contentant des quelques ajustements habituels de politique sociale (contrats aidés, insertion etc), le gouvernement passe à côté du problème, et prétend traiter les conséquences en négligeant les causes. Pire : en réservant certaines mesures (ouvertures de crèches, cantine à 1 euro) aux « quartiers prioritaires » – c’est-à-dire aux banlieues qui bénéficient déjà des largesses de la politique de la ville – le gouvernement va accentuer la préférence étrangère et la fracture territoriale au détriment de la majorité des Français.

    À rebours de ces mesures surannées, la Dissidence Française porte des propositions de justice sociale et de solidarité nationale pour véritablement endiguer la pauvreté :

    • instauration de la préférence nationale, en réservant en priorité aux Français les offres d’emplois, de logements, de formations et d’hébergement d’urgence ;
    • relance de l’économie et augmentation du pouvoir d’achat par une refonte de la fiscalité et l’instauration d’une taxe unique sur les transactions électroniques et financières, en remplacement des impôts, taxes et charges sociales existantes ;
    • lancement d’un plan d’urgence pour l’hébergement et le logement, impliquant la réquisition de logements vides détenus à des fins spéculatives et l’interdiction de la spéculation immobilière ;
    • mise en place d’un statut particulier pour les mères de famille, qui pourront bénéficier d’un revenu minimum garanti lorsqu’elles font le choix de consacrer à leurs enfants et à leur foyer.
    • Retrouvez toutes nos propositions dans le programme de la Dissidence Française.

    Pour la France et les Français d’abord !

  • Contes et légendes du communisme français : la légende patriotique

    Certains de ces épisodes les plus légendaires se rapportent à une période que le PCF eut bien du mal à assumer quand, devenu en 1945-1946 premier parti de France par les suffrages, il revendiquait la direction du pays au nom de son patriotisme et de son indépendance à l’égard de Moscou. En effet, héraut de l’antinazisme jusqu’en juillet 1939, le PCF se trouva fort dépourvu quand fut venue l’alliance entre Hitler et Staline, le 23 août 1939
         Présenté comme un pacte de non-agression censé défendre la paix en Europe, on apprit en 1948 par les archives allemandes, confirmées et au-delà par les archives soviétiques après la chute de l’URSS, que ce pacte était assorti de clauses secrètes par lesquelles les deux dictateurs totalitaires se promettaient le partage de l’Europe orientale : la Pologne serait divisée par moitié, et les États baltes et la Bessarabie reviendraient à l’URSS. 
         C’est de fait ce pacte qui, libérant Hitler de la menace d’un second front à l’Est, l’engagea à attaquer la Pologne dès le 1er septembre 1939 et à donner ainsi le coup d’envoi de la Seconde Guerre mondiale. Le 17 septembre, l’armée rouge envahissait à son tour la Pologne qui était dépecée, et les partages étaient scellés par un second traité germano-soviétique, « d’amitié et de délimitation des frontières », le 28 septembre. 
    Les communistes français absolument stupéfaits face à ce virage à 180 degrés de la politique stalinienne, et si la masse des adhérents quitta sur la pointe des pieds, l’appareil demeura fidèle à Moscou et appliqua la politique imposée par Staline. 
         Désormais, le PCF devait combattre en priorité le gouvernement français, devenu « fauteur de guerre » pour s’être solidarisé avec la Pologne. Interdit par le gouvernement l 26 septembre 1939, le PCF plongea dans la clandestinité et diffusa une propagande pacifiste et prosoviétique – donc pro nazie – allant jusqu’à prôner l’antimilitarisme et le sabotage dans les usines de guerre. Etant donnée l’influence communiste dans les milieux ouvriers, cette attitude pesa sur le climat délétère qui régnait en France durant la « drôle de guerre » et devait aboutir à la défaite de juin 1940. 
    C’est dans ce cadre que le jeune député Maurice Thorez, qui avait été mobilisé et avait rejoint son régiment en septembre 1939, fut littéralement enlevé le soir du 4 octobre à son cantonnement, sur ordre de l’Internationale communiste, par une équipe de confiance qui le fit passer clandestinement, dès le lendemain matin, en Belgique. De là, Thorez et sa femme, sous passeports soviétiques, prirent tranquillement, fin octobre, un avion pour Stockholm d’où ils rejoignirent l’URSS où le couple passa toute la guerre, avant de rentrer en France en novembre 1944. Ce qui n’empêcha pas le PCF de faire croire que, durant toutes ces années, le secrétaire général du parti était « à son poste dans la lutte contre l’occupant nazi »Encore fallait-il savoir que ce poste était... à Moscou
    Stéphane Courtois, Mythes et polémiques de l’histoire

  • Le maire d’Angers finance les gauchistes

    Le maire d’Angers finance les gauchistes

    Christophe Béchu, maire ex-LR d’Angers (il a quitté le parti en décembre 2017), a versé 50 000€ à L’Etincelle, une association d'”antifas”, aux méthodes violentes. Cette subvention est dénoncée par une campagne d’affichage que les habitants ont découvert ce matin.

     https://www.lesalonbeige.fr/le-maire-dangers-finance-les-gauchistes/