
Quand on dénonce les postures ou actions du gouvernement, ou de Macron, certains détracteurs y voient un acharnement injustifié, ou une mauvaise foi avérée. La critique est jugée insupportable car elle pointe du doigt ce qui est fait ou pas d’ailleurs, sans se préoccuper de l’effort réalisé. Les mêmes concluent, non sans une amertume compréhensible, que quoique le pauvre homme fasse, il se trouve sous le feu des accusations, forcément injustes et infondées, et rejettent cette virulence sur la liberté d’expression qui permet ce genre d’écarts, ou le manque de courage de ceux qui auraient l’outrecuidance d’émettre des solutions en lieu et place des spécialistes.