
Cette semaine, des scouts catholiques sèment la panique, Hidalgo fustige les peine-à-jouir et Bardella se la joue 0SS 117 !
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Rishi Sunak est-il pressé de quitter le 10 Downing Street pour ne pas avoir à gérer la suite de la guerre d’Ukraine?
Nous sommes loin des origines de l’instruction publique. Certes, il a toujours existé des « pensées uniques », comme on dit aujourd’hui, des croyances prépondérantes, voire intolérantes, mais jamais on n’aura vu, comme depuis la République, ce souci d’unicité produire un tel système. Aux différents temps monarchiques, aussi bien ceux de la féodalité que de l’absolutisme moderne, les écoles étaient d’abord épiscopales – le savoir édifié dans les monastères ayant plus rarement vocation pédagogique – puis les universités, suivant l’exemple de celle de Bologne, ont dépendu plus largement de l’autorité pontificale, et leur autonomie allait jusqu’à offrir aux étudiants en France des privilèges civiques étonnants, jusqu’en matière pénale.
Deux hommes sont allés au secours d’une femme de 82 ans victime d’une tentative de viol à son domicile du XIXe arrondissement de Paris, ce mercredi après-midi. L’un d’entre eux a été sérieusement blessé par le suspect dans sa fuite. (…)
(…) Il y a deux semaines, un groupe de lycéens manifestant leur soutien au peuple palestinien s’était rassemblé devant l’établissement scolaire, bloquant son entrée et commettant des dégradations.
Face à cette situation, le proviseur avait pris des dispositions pour éviter les blocages, mais aussi par la suite annoncé des sanctions à l’encontre des élèves qui ont essayé de bloquer et de dégrader le lycée.
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
Non, le samedi 11 mai 2024, aucun parti politique n’a gagné une élection. Les journaux quotidiens du Système médiatique d’occupation mentale l’ont fort bien compris en réagissant dès le 13 mai par des articles partiaux aux titres excessifs et racoleurs.
Ainsi lit-on dans Le Monde du 14 mai 2024 que « les néo-fascistes ont défilé en toute impunité à Paris ». Vraiment en toute impunité ? D’abord interdite par la préfecture de police de Paris sous le prétexte éculé de troubles à l’ordre public, la manifestation est finalement autorisée. Le tribunal administratif de la capitale casse quelques minutes avant le début du défilé cet arrêté préfectoral liberticide. Libération du 13 mai rapporte les propos d’Olivier Cahn, professeur de droit pénal à l’université de Caen, qui y voit un nouvel échec par procuration du ministre de l’Intérieur. Chez Darmanin, « dès que le droit entre en conflit avec l’intérêt politique, dit cet universitaire, c’est le droit qui s’efface ». Effacement lui-même annulé par la justice et donc revers majeur pour la place Beauvau.