Au printemps 1967, la Grèce était plongée dans une crise politique et institutionnelle grave. De plus, le Parti communiste, persuadé de sa popularité, se préparait à instaurer un régime marxiste sanguinaire qui finirait d’achever le pays. Il faut rappeler que nous sommes en pleine « guerre froide » et que le « berceau de la démocratie » est entouré de pays, qu’il s’agisse de l’Albanie maoïste ou de la Bulgarie alignée sur Moscou, bien peu « démocrates ». Ajoutez à cela les tensions ancestrales avec la Turquie voisine ravivées par la question chypriote.
l'information nationaliste - Page 795
-
Sortie cette semaine du nouveau Cahier d'Histoire du nationalisme (n°27) : "GRÈCE, 1967-1974 : LE SEPTENNAT DES COLONELS"
-
Une manifestation de 163 chefs d’établissements parisiens pour dire stop aux menaces de mort : ils dénoncent l’agressivité des parents et les fausses accusations d’islamophobie
L’élément déclencheur, c’est l’incident de mercredi 28 février au lycée Ravel : un proviseur menacé de mort après avoir rappelé à des élèves l’obligation de retirer leur voile. Selon ces proviseurs et principaux, les altercations de ce type sont loin d’être exceptionnelles.
Lien permanent Catégories : France et politique française, immigration, insécurité, lobby 0 commentaire -
VILLAGE RUSSIE - DIPLO RUSSE VERSUS DIPLO FRANCAISE ... Y'A PAS PHOTO !
-
[Entretien] « Les importations massives d’Ukraine ont déstabilisé des filières agricoles »
Cette spécialiste des questions de développement et de famine a présidé l’ONG Action contre la faim et publié bon nombre d'ouvrages sur les enjeux agricoles et alimentaires (elle vient d’être promue officier du Mérite agricole). Son dernier livre Sa Majesté le maïs : la plante que nous adorons détester mais qui sauve pourtant le monde (Éditions du Rocher) est un plaidoyer en faveur de cette céréale cible des écoterroristes et qui régresse en France. À l’heure de la révolte de la paysannerie française, Sylvie Brunel revient sur les productions nationales et les distorsions de concurrence avec d'autres pays du monde, notamment l'Ukraine.
-
La bataille de Las Navas de Tolosa (16 juillet 1212)
Au XIe siècle, en Espagne, le califat omeyyade entre dans une phase de “décomposition”. En 1031, il n’y a plus de calife, et al-Andalus éclate en une multitude de petits États appelés taifas, sur des bases ethniques. La reconquête s’accélère pour les États chrétiens du Nord. En 1086, l’année qui suit la prise de Tolède, les rois des taifas appellent à l’aide les Berbères almoravides qui venaient de fonder un empire en Afrique du Nord. L’émir Yûsuf ibn Tashfin stoppe alors la reconquête en écrasant l’armée chrétienne à Sagrajas (1086) avant de rembarquer pour le Maroc.
Les chrétiens parviennent néanmoins à rétablir la situation et l’expansion chrétienne reprend. En Afrique du Nord, la puissance almoravide s’effondre, remplacée par les Almohades. Ceux-ci débarquent en Espagne et s’opposent aux chrétiens, avec sur le plan militaire des hauts et des bas. En 1195 survient le désastre d’Alarcos pour les chrétiens, un traumatisme en Occident car survenant peu après la reprise de Jérusalem par les musulmans en Orient (1187). Les chrétiens sont repoussés jusqu’au Tage. -
Quand Macron utilise la politique internationale pour camoufler sa politique intérieure désastreuse
par H16
La petite phrase, prononcée avec une apparence de sérieux et des petits sourcils bien froncés comme il faut, a beaucoup occupé la presse la semaine dernière : pour Emmanuel Macron, on ne peut pas exclure l’envoi de troupes occidentales dans le cadre du conflit russo-ukrainien.
Sans grande surprise, cette petite phrase a fait autant le tour des salles de rédaction de presse que celui des quartiers généraux des principaux partis politiques français, puis des chancelleries où, très rapidement, c’est surtout la consternation qui a dominé.
-
L’Europe d’une guerre à l’autre (IV—3) – Qui a déclenché la Première Guerre Mondiale ?
Par Nikolay STARIKOV – Oriental Review
Le matin du 1er août, Nicolas II reçoit l’ambassadeur d’Allemagne. Il maintient fermement que la mobilisation ne représentait aucune menace pour l’Allemagne et n’avait en outre aucune intention hostile. De plus, il serait impossible d’arrêter immédiatement la mobilisation en raison des énormes étendues de territoire concernées. Pourtalès transmit rapidement la substance de la conversation à Berlin. Les Allemands ne croyaient plus un mot, et en réalité la mobilisation russe se poursuivait dans son deuxième jour. Selon les plans d’avant-guerre de la Russie – qui étaient bien connus à Berlin – le 15ème jour, l’armée russe serait prête à attaquer.
-
Les paysans, l'hôpital, l'éducation nationale, les retraités, tout ça peut attendre
https://t.me/internationalreporters
La France revendique 3,8 milliards d’euros d’aide militaire versée à l’Ukraine depuis février 2022Le bilan a été publié le 3 mars par le ministère français des Armées.
-
Ceux qui pestent contre l’immigration mais défendent l’avortement sont inconséquents
Source Le Salon beige cliquez ici
Alors que 49 élus RN sur 91 (46 députés et 3 sénateurs) ont voté en faveur de la constitutionnalisation de l’avortement (mais seulement 11 contre, 20 se sont abstenus et quelques uns comme Laure Lavalette ont déserté), Olivier Frèrejacques, président de Liberté Politique, écrit :
[…] Ceux qui pestent contre l’immigration mais défendent l’avortement sont inconséquents. Une civilisation existe par la vitalité de sa population. Une population qui ne veut pas se reproduire est condamnée à mourir, à être remplacée. Refuser l’élan vital et le risque qu’il implique sont le lot d’une société qui meurt et qu’il convient peut-être même d’achever.
-
Entretien avec Christine Cotton