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«J’ai une manière de travailler particulière, explique-t-elle. C’est comme ça depuis mes débuts : je passe d’un pays à l’autre. Ça me rend libre, même si parfois je me sens déracinée.» Sa jeunesse de mannequin lui a appris à aimer cette existence nomade, de «bohémienne» ose-t-elle, toujours entre deux avions et deux langues.