Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Marine Le Pen : « Oui, je peux battre Macron »

    Profession-de-foi-MLP-1-1-600x849.jpg

    A quelques jours du second tour de la présidentielle, Marine Le Pen a accepté de répondre aux questions du Parisien – Aujourd’hui en France.

    La candidate à la présidence de la République lâche ses coups contre son adversaire Emmanuel Macron. Et se dit sûre de battre le candidat d’En Marche !



    EXCLUSIF. Marine Le Pen : «Oui, je peux battre… par leparisien

    https://fr.novopress.info/205495/marine-le-pen-oui-je-peux-battre-macron/

  • Pourquoi en tant que marxiste ex-communiste et juif je voterai Marine

    Premier tour des élections, une manip de bas étage.

    1- L’état profond anglo-saxon a voulu détruire les vieux partis traditionnels complètement déconsidérés par l’action des réseaux sociaux et a voulu recomposer une nouvelle force politique dite par dérision « anti système » afin de tromper le peuple, qui mettait en avant la critique du dit « système ». Cette force politique devait être unique mais ne pouvait être composée que par les anciens politiciens de tous les anciens partis de droite comme de gauche comme l’avait déjà tenté Sarkozy en intégrant des « socialistes» dans son gouvernement. Ce parti devait être strictement à la disposition de l’état profond US pour continuer ses objectifs de guerre contre la Syrie et la Russie, surtout après l’alignement de Trump sur ses objectifs mais la terreur qui les a saisi après son élection avec son programme de paix.

    2- Ils ont choisis une marionnette, Emmanuel Macron, tout comme Obama avait été choisis. Un homme jeune, nouveau, beau physiquement (pour le vote féminin). Derrière cette marionnette devait finalement se rallier tous les politiciens habituels évidemment en commençant par les moins marqués par les anciens pouvoirs, ce fut l’opération Bayrou, et même et surtout d’anciens communistes comme Robert Hue ou Patrick Braouzec qui devaient donner une note contestatrice à ce nouveau groupe politique, tout comme ils avaient choisis un noir aux USA pour tromper le peuple.
    Premier problème, Macron fut une erreur de casting bien que s’étant avéré efficace à la banque Rothschild et donc présenté et promu par elle. Un bon banquier ne fait pas un bon politicien. Macron s’est rapidement montré stupide, inefficace très loin de la hauteur de sa tache.

    3- Pour promouvoir son candidat, l’état profond US devait balayer ceux qui pouvaient lui faire de l’ombre et s’avérer moins obéissants. Le premier à détruire fut Fillon, on fit donner l’artillerie lourde médiatique contre lui, il fut détruit menu par la presse du pouvoir alors qu’il n’avait commis aucun délit.

    4- Puis comme attendu l’argument unique et massif contre Marine Le Pen qui devait être présentée par force à Macron fut de la traiter de fasciste par tout ce que la France comporte de voix ayant accès aux médias officiels. Mais au premier tour ce type d’argument fut laissé un peu de côté puisqu’il fallait absolument qu’elle soit au second.

    5- Bricolage du premier tour. Les sondages véritables ne devaient pas être très bons pour le nullissime Macron qui accumulait les bourdes car manifestement les résultats furent manipulés et de très nombreuses irrégularités furent commises et constatées.

    Deuxième tour ou l’essence du combat.

    6- Comme prévu on retrouve le candidat de l’état profond US et de la finance mondialiste face à la candidate nationaliste.  Comme prévu fut lancé par toutes les bouches de l’artillerie médiatique le slogan « Le Pen fasciste », slogan simple, non argumenté et devant parler plus au cœur qu’à la raison. On pensait jouer sur du velours. Comme prévu on lança un front pseudo républicain ou tous les politicards chevaux de retour du malheur français se rallièrent soit en appelant à voter Macron soit en appelant à l’abstention.

    7- Contre attaque de Marine Le Pen.

    D’abord une petite aparté marxiste. Aujourd’hui la contradiction principale entre le capital et le travail s’est déplacée. Le capital est maintenant mondialiste et l’action principale d’accumulation capitaliste s’effectue par l’endettement des nations avec des capitaux virtuels fabriqués à l’occasion, mais les intérêts énormes de ces dettes sont payés par l’argent prélevé par l’impôt sur tous les français toutes classes confondues.

    Donc la contradiction principale se situe entre les nations et la finance mondialisée. Le Front National, parti nationaliste classique s’est trouvé devant l’obligation de suivre sa propre logique et donc de présenter une politique d’opposition fondamentale au capitalisme mondialisé.

    D’un autre côté, l’ex Parti Communiste et avec la gauche a suivi un chemin inverse. Le PCF en 1972 se sabordait déjà en signant un programme commun avec un PS qui était depuis la Libération un instrument dans les mains de l’impérialisme étasunien. Tout comme le Front National, le PCF a poursuivi sa logique puis, après avoir muté en simple parti de gauche il a pratiquement disparu.

    La gauche ouvrière et révolutionnaire était remplacée par une gauche sociétale libérale ne rassemblant plus que petits bourgeois et petits nantis des centres ville. Le PCF s’effondrait en tous lieux ou sa population de base était remplacée par une immigration massive qui évidemment ne se reconnaissait pas dans ce parti. Le reste de la classe ouvrière ou elle subsistait passait massivement côté Front National voyant ou se trouvait son intérêt de classe.

    L’exemple éclatant fut donné par la visite de Marine Le Pen aux usines Whirlpool promises à la fermeture et délocalisation en Pologne, elle fut accueillie triomphalement alors que Macron la suivant fut accueilli lui par force quolibets.

    8- Contre attaque des Réseaux sociaux.

    Aujourd’hui un grande partie de la communication politique s’effectue par l’entremise des réseaux sociaux notamment FaceBook et Twitter.
    Le rassemblement autour de Macron, de tous les vieux chevaux de retour politiciens, de la totalité des médias et des nantis du show business eu le même effet qu’aux USA avec Trump.

    Les gens n’ont plus confiance depuis longtemps dans ces institutions. En dépit de la répétition perpétuelle comme moulin à parole « Le Pen fasciste, » contre toutes démonstrations, l’effet inverse commence à se faire sentir, d’autant plus que Macron brille de moins en moins par son manque d’intelligence politique.

    « Le Pen fasciste » est une anti thèse, car le Front National fut le seul parti à avoir critiqué le coup d’état nazi en Ukraine et à avoir soutenu la révolte du peuple du Donbass et sa guerre contre les véritables nazis ukrainiens ce mot d’ordre « Le Pen fasciste » est apparu contradictoire avec les faits.

    9- Aujourd’hui une très grande inquiétude règne au sein de l’état profond US et de ses marionnettes, une réédition de l’élection de Trump contre toute attente peut se dessiner tant ce Macron débile dégoutte le peuple et tant la campagne de Marine Le Pen est intelligente.
    Ce deuxième tour est en train de se transformer en référendum d’initiative populaire pour ou contre la mondialisation capitaliste, pour ou contre l’indépendance de notre nation.

    Chacun devra choisir son camp puisqu’il n’y a plus que deux camps, l’effet «Le Pen  fasciste » semble se diluer, en effet si le Front National était nazi, fasciste, négationniste, il tomberait sous les coups de la loi Gayssot, ce qui n’est pas le cas, alors c’est un parti nationaliste intégré à la république.

    10- L’avenir de la France est en train de se jouer par la complète recomposition du paysage politique et des enjeux. Maintenant la lutte des classes s’incarne dans l’opposition entre Nationalistes et Mondialistes et ce sera partout la même chose en Europe comme aux USA.

    Le ralliement de quelques figures du gaullisme à Marine Le Pen comme Nicolas Dupont-Aignant et Marie France Garaud va dédiaboliser le combat nationaliste et ouvrir les vannes de la ruée du peuple français vers l’indépendance.

    Source

    http://www.voxnr.com/8894/pourquoi-en-tant-que-marxiste-ex-communiste-et-juif-je-voterai-marine

  • Daniel Conversano et sa bande : "Les français en ont plein l'cul des..."

  • Boussole anti Macron

    « Dis-moi qui tu hantes, je te dirai qui tu es » (Pascal) : Junker et Merkel sont pour Macron. Deux bonnes raisons d'être contre ! A fond contre !

    Hollande vote Macron, Valls prêt à travailler avec lui dans une future majorité : Macron c'est bien le gouvernement PS presque reconstitué.

    People un jour, people toujours ! : Sarko allait au Fouquet's, le banquier Macron va à La Rotonde avec Arditti, Attali, Bern, Line Renaud..
    Dans l'inconscient collectif, le symbolique, il y avait « Sarko le Fouquet’s », « Fillon les costards », voilà « Macron La Rotonde » : lamentable !
    Excellente remarque de Bourdin à Gérard Collomb, soutien de Macron, sur « la platitude absolue de sa réaction dimanche soir ». Réponse de Gérard Collomb ? La voix de son maître : rien... 
    La Mafia blanchit l'argent des trafics, Macron recycle les ratés, les faillis, les vieux chevaux de retour de la classe politicienne usée jusqu'à l'os... 
    Deux infos, une bonne et une mauvaise. La mauvaise : Macron c'est Hollande pour cinq ans encore. La bonne : en pire, c'est impossible... Et, en plus, même pas sûr !
    Le pays légal et ses privilèges : contre le FN ! Nous, révolutionnaires du chaos explosif des conservateurs du désordre : tous contre Macron !
  • Vincent Martigny : « Le combat identitaire ne fait que commencer »

    Combat-identitaire-2-600x399.jpg

    Le-1-240x350.jpgMaître de conférences en science politique à l’Ecole polytechnique et chercheur associé au Cevipof, Vincent Martigny est un homme de gauche qui s’intéresse tout particulièrement au nationalisme et aux débats sur l’identité et co-anime, avec Thomas Wieder du journal Le Monde, L’Atelier du pouvoir sur France Culture. Sous le titre « Ces essayistes qui font monter Marine Le Pen », il signe cette semaine dans Le 1 un article engagé consacré à l’influence des thèses défendues par Patrick Buisson, Eric Zemmour et Philippe de Villiers. En voici la conclusion :

    « Quels que soient les résultats du second tour le 7 mai prochain, les trois essayistes [Eric Zemmour, Philippe de Villiers et Patrick Buisson, Ndlr] continueront de semer les graines de leur influence dans les rangs de la droite classique (notamment autour de Laurent Wauquiez), chez les catholiques conservateurs, dans la jeune génération des militants de la droite identitaire (à l’image des journalistes Eugénie Bastié et Geoffroy Lejeune) ou auprès de Marion Maréchal-Le Pen, qu’ils couvent d’attentions. »

    L’auteur de Dire La France – Culture(s) et identités nationales ajoute :

    « Quand Marine Le Pen oriente ses messages politiques de deuxième tour autour de l’opposition entre patriotes et mondialistes, on mesure l’influence des trois essayistes dans la pensée de la dirigeante frontiste, et au-delà. Dans ce contexte, et tandis que le clivage “France ouverte“ contre “France fermée“ semble appeler à structurer durablement la réorientation de la vie politique française, tout porte à croire que le combat identitaire ne fait que commencer. »

    https://fr.novopress.info/

  • L’infection libérale par Georges FELTIN-TRACOL

    Voici l’éditorial du n° 54 de Réfléchir & Agir présent en kiosque. Abonnez-vous ! Réabonnez-vous !

    Sur son blogue, le 5 juin 2016, Julien Rochedy, ancien directeur du FNJ, aujourd’hui en rupture avec le néo-Front, s’exclame : « Nous sommes donc, désormais, des libéraux » quand bien même son libéralisme serait « post-moderne » et anti-mondialiste. L’économiste et essayiste Hervé Juvin vante dans Le Mur de l’Ouest n’est pas encore tombé les mérites supposés du national-libéralisme. Fin mai 2016 se tenait à l’initiative de Robert Ménard le « Rendez-vous de Béziers » au cours duquel furent adoptées des propositions libérales et identitaires.

    Encore à la remorque des libéraux !

    Ces trois exemples démontrent que les « droites nationales » n’ont toujours rien compris au combat des idées, qu’il ne faut pas adopter le vocabulaire de l’ennemi et qu’une indécrottable paresse intellectuelle les pousse à approuver la facilité, un libéralisme censé s’opposer à l’étatisme et au socialisme alors qu’il en est le principal fourrier. Les calamités du gouvernement PS n’excusent pas, ni ne justifient ce ralliement stupide aux visions obsolètes d’Adam Smith, de Frédéric Bastiat, de David Ricardo, de Ludwig von Mises, de Friedrich Hayek, de Milton Friedman ou de Murray Rothbard.

     

    On ne peut pas à la fois défendre les identités populaires, exiger le rétablissement des frontières, vouloir contrôler les flux migratoires et célébrer la libre-circulation des capitaux et des marchandises. Système individualiste global aux effets dévastateurs multiples, le libéralisme est incompatible avec la conception communautaire, organique et holiste de notre entre-soi collectif. L’ineffable Thatcher avait bien affirmé un jour que la société n’existe pas…

    Indispensable troisième voie

    Le refus du libéralisme ne signifie pas admettre le socialisme marxiste et l’étatisme; il suggère au contraire de redécouvrir, d’adopter et de reformuler les théories dites de troisième voie, du justicialisme argentin à l’écologie décroissante, des réflexions les plus pertinentes du christianisme social à la pratique réussie des coopératives ouvrières de production, véritables agents de l’indispensable démondialisation.

    En effet, comme le libéralisme, la mondialisation financialiste et marchande n’est pas une fatalité : il revient aux Albo-Européens aidés par les peuples des autres continents à reprendre en main leur destin et de se détourner au plus vite du chant pathétique et dangereux des sirènes du libéralisme.

    Georges Feltin-Tracol

    http://www.europemaxima.com/linfection-liberale-par-georges-feltin-tracol/

  • Marion MARECHAL-LE PEN (01/05) interviewée après le meeting de M. LE PEN à VILLEPINTE