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  • Paris vendredi 9 mars, Patrick Buisson au Cercle de Flore ... Un rendez-vous à ne pas manquer !

    Renseignements : cercledeflore@actionfrancaise.net

    Calendrier du Cercle de Florecalendrier.png

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/
  • Réforme de la SNCF – Marine Le Pen : “Est-ce que vous croyez que les sociétés privées vont aller sur les petites lignes ? Non !”

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    Marine Le Pen, président du Front national, était l’invitée de Marc Fauvelle ce mardi 27 février.

    Le gouvernement veut “privatiser la SNCF”. C’est ce que martèle Marine Le Pen la martèle, affirmant que la réforme du système ferroviaire et l’ouverture aux entreprises privées va forcément conduire aux prémices de la fin du service public.

    La présidente du Front national, qui appelle à l’éviction de Guillaume Pépy, patron de la SNCF, plutôt qu’à la réforme du statut de cheminot, est persuadée que les petites lignes régionales seront délaissées par les entreprises privées car peu rentables, ce qui conduire, à terme, à leur fermeture.

  • Conférence Dextra du 02/03 : L'impasse des féministes d'aujourd'hui

    Chers amis, chers camarades,
     
    Ce vendredi 2 mars, Dextra a la joie de recevoir Iseul Turan, porte-parole des Antigones, qui interviendra sur un sujet qui a fait couler beaucoup d'encre récemment, et nous parlera de 
     
    L'impasse des féministes d'aujourd'hui
     
    Nous vous attendons nombreux et ponctuels pour cette nouvelle conférence, à partir de 19 h, au Molière, 12 rue de Buci.
     
    A vendredi !

  • Réforme de la SNCF : en route vers la grève générale - Journal du Mardi 27 Février 2018

  • Vainqueur celui qui cessera de se justifier ! – Jean-David Cattin (Les Identitaires)

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    L’homme de droite a la fâcheuse tendance à se justifier, s’excuser, donner des gages. Éric Zemmour, dans le dernier Zemmour & Naulleau, faisait remonter ce besoin irrépressible à la peur de la guillotine. Deux siècles plus tard, la crainte de la mort sociale a succédé à celle de la mort biologique. Qui agit sans se plier à l’idéologie de gauche s’expose à cette mort sociale. Perte d’emploi, mise à l’écart associative, paria des médias… l’homme de droite est devenu un homme des catacombes. Qu’il surgisse au grand jour, avec ses arguments, ses raisonnements, ses faits et leurs commentaires, et le voilà bientôt enjoint par la gauche de s’expliquer, de se justifier et, terme du processus, de s’excuser. La morale de la gauche est sa meilleure arme politique. Qui ne le voit combat aveugle. Qui s’y plie a perdu. Qui croit habile de tenter de la retourner, en une sorte de judo, s’y perd.

    À force de reculades, l’homme de droite en vient à défendre des positions de l’adversaire. La candidature à la présidentielle d’Alain Juppé a été l’occasion pour plusieurs journalistes de rappeler quel était le programme du RPR en 1990 alors qu’il en était le Secrétaire général. Lors de l’émission Des paroles et des actes sur France 2, à l’évocation des mesures droitières qui y figuraient, notamment sur l’islam et l’immigration, le maire de Bordeaux a eu l’air sincèrement surpris et a reconnu sans sourciller qu’il s’était trompé.

    Cette lente évolution idéologique illustre la capacité de la gauche à tirer l’échiquier politique dans sa direction, à répandre sa pensée partout et à en chasser toute réfutation. Non en sortant victorieuse de l’affrontement des idées mais, au contraire, en évitant cet affrontement, en contraignant l’adversaire à ne pas combattre. D’aucuns ont baptisé cela le « mouvement sinistrogyre ». D’autres ont parlé de terrorisme intellectuel. Quoiqu’il en soit, le résultat est là : une certaine droite a peur. La gauche ne peut lui interdire de se présenter à des élections ni de les gagner. En revanche, elle lui a imposé une barrière à ne pas franchir : appliquer des idées de droite et notamment dans le domaine de l’identité.

    Comme Nicolas Sarkozy hier, Laurent Wauquiez aujourd’hui semble avoir compris que cette soumission était gage de défaite. Mais plus que les conseils d’un Patrick Buisson ou la pression d’une « droite hors des murs », c’est le poids électoral du FN qui a conduit ces hommes à ce constat. Pour autant, ni Sarkozy ni Wauquiez n’ont la stature pour incarner ce grand retournement de la droite française. Il leur manque l’épaisseur, le caractère, le goût du mythe et de l’histoire. En cela, ils ressemblent à la quasi-totalité des chefs politiques d’Europe de l’Ouest et, plus largement, occidentaux.

    On aurait pu croire jusqu’en 2016 que telle était la fatalité de nos vieilles nations épuisées et sorties de l’histoire. Or, l’irruption de Donald Trump a prouvé le contraire. Trump est une révolution. Il ne s’excuse jamais. Au contraire, il accuse son adversaire. Il lui fait revêtir le costume du « bad guy ». D’instinct il a compris le jeu de la gauche morale qui est au moins aussi active aux États-Unis qu’en Europe. Il l’a compris et il le balaye d’un seul revers de la main.

    Ne pas s’excuser, ne pas se justifier, au-delà des idées politiques défendues : telle doit être la ligne de conduite d’un homme politique qui veut emporter le suffrage populaire. Lorsque l’on a la conviction que son combat est légitime, il n’est nul besoin de le justifier. À force de justifications, d’excuses et de gages donnés, c’est la force de conviction de celui qui s’y soumet qui est mise en doute. La gauche comme la classe médiatique n’ont en aucun cas une quelconque autorité morale qui leur permet de distribuer les bons points. Celui qui s’en rendra enfin compte, à n’en pas douter, remportera la mise. En France comme aux États-Unis. Vainqueur celui qui cessera de se justifier !

    Jean-David Cattin

    http://www.les-identitaires.com/2018/02/vainqueur-celui-qui-cessera-de-se-justifier/

  • « Fake News ». Comment les médias américains ont lancé l’expression

    Dans un article publié sur le célèbre blog américain Zero Hedge – connu pour avoir révélé en 2009 que Goldman Sachs avait accès à des informations confidentielles concernant le trading algorithmique -, l’émergence du terme « fake news » est disséqué. Ce travail de fourmi – traduit par Mondialisation.ca – est aussi intéressant qu’inquiétant. A noter qu’en Français, le terme « fake news » se traduit par « bobards » et que les bobards médiatiques de l’année passée seront récompensés le 12 mars prochain.

    Quand un mot, une expression, une phrase que personne n’avait employés auparavant envahissent soudainement les médias et qu’ils y sont martelés ad nauseam, sous sommes en présence d’une campagne de propagande. Cas d’école avec l’expression particulièrement inepte « fake news ».

    Dans le sillage immédiat du massacre de Parkland, mercredi dernier en Floride, plusieurs organes d’informations majeurs ont publié une info selon laquelle le tireur, Nikolas Cruz, était membre d’une organisation suprémaciste d’extrême droite. En fait, les médias grand public avaient été envoyés sur une fausse piste par des utilisateurs du site 4chan et ont publié une « fake news ».

    Mais cette fausse info continue d’être relayée, bien que le département du Shérif de Leon County ait déclaré qu’il n’y a « aucun lien connu » entre le tireur et le groupe d’extrême droite.

    Le porte-parole du bureau du shérif Grady Jordan a expliqué jeudi que son bureau avait arrêté le leader de ce groupe suprémaciste, Jordan Jereb, au moins quatre fois depuis janvier 2014 et qu’il surveille de près les adhérents de cette organisation.

    Il dit que son bureau a des informations « très solides » sur le groupe et qu’il n’y a « aucun lien connu qui nous permette de relier Nikolas Cruz, 19 ans, à ce groupe ».

    Bien que cette énorme erreur des médias grand public ait été due à de la simple incompétence, ces mêmes médias ont participé à un effort apparemment coordonné pour étiqueter « fake news » tous ceux qui ont une autre opinion qu’eux, avec le soutien de quelques amis bien placés.

    Au cours d’une récente conférence de TEDx délivrée à l’université du Nevada, la journaliste d’investigation Sharyl Attkisson a révélé quelques-uns des premiers efforts pour faire entrer l’expression « fake news » dans le langage courant par une association sans but lucratif financée en partie par l’Open Society Foundation du milliardaire George Soros et par Google.

    Le groupe, « First Draft », avait annoncé un partenariat le 13 septembre 2016 pour « répondre au problèmes des canulars malintentionnés et des fake news », a dit Attkisson. « Le but était censément de séparer le bon grain de l’ivraie, d’empêcher les thèses complotistes non prouvées de figurer à des places d’importance dans les résultats des moteurs de recherche. De reléguer les versions modernes des anciennes histoire d’enlèvements par des extraterrestres aux oubliettes d’Internet ».

    First Draft – un projet du Centre Shorenstein pour les médias, la politique et les politiques publiques ( Shorenstein Center on Media, Politics and Public Policy) de l’école de sciences politiques et de gouvernement John F. Kennedy de l’université de Harvard – utilise des méthodes fondées sur la recherche pour combattre la désinformation en ligne. De plus, il fournit des conseils pratiques et éthiques sur la recherche, la vérification et la publication de contenus sourcés sur le web social.

    Claire Wardle, chercheuse au centre, dirige le travail de First Draft sous les auspices du centre Shorenstein et de son directeur, Nicco Mele. Des donations de la Fondation John S. and James L. Knight, de l’Open Society Foundation et de la Fondation Ford soutiennent notre travail – First Draft

    Un mois après le début, en septembre, de la campagne de First Draft contre les « fake news », le président Obama donnait son opinion sur le sujet.

    « Dans un de ses discours, il a estimé que quelqu’un devait intervenir et réguler la jungle de l’environnement médiatique du web » a dit Attkisson avant de noter que « le public n’avait rien demandé ».

    Attkisson soupçonne que le souhait exprimé par Obama a servi d’ordre de marche aux médias grand public – elle suggère que « peu de thèmes naissent de façon spontanée dans notre environnement » et qu’il fallait « suivre la piste de l’argent ».

    « Et si toute la campagne anti-« fake news » était un effort pour nous empêcher de voir ou de croire certains sites web et certaines informations en les discréditant ou en les étiquetant « fake news ? » a suggéré Attkisson.

    Parallèlement, un autre donateur majeur de l’effort de First Draft pour imposer l’idée des « fake news » n’était autre que l’ancien PDG d’Alphabet (la compagnie parente de Google) Eric Schmidt – un partisan majeur d’Hillary Clinton qui « avait offert ses services comme conseiller de campagne et en est devenu l’un des plus importants donateurs » a dit Attkisson. « Sa compagnie finançait First Draft à peu près au début de la campagne des élections présidentielles américaines. »

    Presque comme sur signal, Hillary Clinton s’est embarquée dans l’aventure de la dénonciation de « fake news » pendant que son « acolyte de l’association de surveillance des médias Media Matters, David Brock, disait en privé aux donateurs (d’Hillary) qu’il était celui qui avait convaincu Facebook de se joindre à l’effort ».

    « Toute l’affaire ressemblait trait pour trait au lancement d’une campagne de propagande » a dit Attkisson.


    Et tout d’un coup, l’expression « fake news » était partout :

    Grimpée en flèche de l’expression « fake news » dans les moteurs de recherche à partir de la fin octobre 2016

    Retour de boomerang

    Peu de temps après, la gauche libérale américaine perdait le contrôle de la nouvelle expression-fétiche qu’elle avait tant travaillé à imposer :

    « Mais il s’est passé quelque chose que personne n’avait anticipé. La campagne anti-fake news s’est retournée contre l’envoyeur. Chaque fois que ses partisans hurlaient à la fake news, Donald Trump les traitait eux-mêmes de « fake news », jusqu’à si totalement récupérer l’expression que même ceux qui en étaient à l’origine ont commencé à s’en distancer – y compris le Washington Post » dont elle note qu’il a plus tard cessé de l’employer. – PJ Media

    WaPo, 8 janvier 2018 : « Il est temps de retirer le terme mal utilisé « fake news »

    … Bien que le terme n’existe que depuis peu, sa signification s’est déjà perdue. En moins de temps qu’il n’en faut pour dire « Pizzagate », l’étiquette a été récupérée pour signifier plusieurs choses complètement différentes : des polémiques oiseuses de gauchistes libéraux. Des opinions à la gauche du centre. Ou simplement tout ce que, dans le domaine des informations, l’observateur n’aime pas entendre. » – Washington Post

    Ce qui est amusant, étant donné que le Washington Post avait été l’un des fers de lance de la propagation de l’expression, dès avril 2016 – avant même la campagne de septembre de First Draft.

    Chronologie de la campagne de propagande sur les « fake news » avant son invasion des médias grand public en octobre 2016 (en d’autres termes, la campagne d’amorçage).

    Le 2 avril 2016 : une recherche Google du terme « Fake News » filtrée par dates révèle qu’avant le 29 octobre 2016, la première occurrence de l’expression vient d’un article du Washington Post critiquant un site web pro-Trump.

    Encadré en orange, en haut à gauche, « avant le 29 octobre 2016 ».

    Recherche du terme « Fake News » par dates

    11 avril : Buzzfeed attise les flammes en reprenant l’engagement de 2015 de Facebook d’éliminer les canulars (hoax). A noter : Facebook n’employait pas l’expression « fake news » dans leur campagne de 2015, mais Buzzfeed l’emploie en avril – bien avant qu’elle se généralise dans les médias grand public.

    11 avril 2016 : « Facebook voulait un combat contre les Fake News. Il en a eu un »

    2 septembre, plus de deux semaines avant la campagne de First Draft, factcheck.org emploie le terme « fake news » en référence à une rumeur selon laquelle le président Obama allait supprimer le serment d’allégeance au drapeau des USA dans les écoles publiques.

    « Obama n’a pas interdit le serment. C’était une fake news »

    5 octobre, le Guardian rapporte que Buzzfeed déclare avoir fait l’objet d’un hack par un groupe de hackers, OurMine, dirigé selon le site par un adolescent saoudien dénommé Ahmad Makki, qui vandalise le site web de Buzzfeed et ajoute un message, « ne partagez pas de fake news sur nous ». Mark Zuckerberg, de Facebook, avait été auparavant hacké par le même groupe de hackers.

    « Buzzfeed hacké par OurMine. » Notons la présence de l’expression « fake news ».

    En fait, c’est tout un tas de PDG de compagnies tech et de célébrités qui avaient apparemment été « hackées » par le dit Ahmad Makki et son groupe OurMine (dont le site ourmine.org, qui se présentait à la fois comme pirate et expert en sécurisation de données, n’existe plus).

    « L’adolescent soudien est probablement derrière les hacks de douzaines de PDGs de compagnies tech et de célébrités »

    Le 7 octobre, deux jours après l’article du Guardian, Buzzfeed poste un article sur une « transcription fake » d’un discours d’Hillary Clinton » publiée par un site de « fake news ».

    8 octobre, Snopes [un site de « fact-checking » comme Buzzfeed ou le Decodex du Monde, qui s’est inspiré de cette tendance américaine en France, NdT] emploie l’expression « fake news ».

    13 octobre, la publication de gauche libérale Vanity Fair ressort l’histoire du combat contre les « fake news » de Facebook, que Zuckerberg pense gagner à l’aide d’une équipe « nouvelle et améliorée » dédiée à la traque des fausses informations.

    19 octobre, nos vieilles connaissances du Washington Post la remettent sur la table.

    En amont des élections – Politifact, un « fact-checker » co-parrainé par Facebook, emploie le terme « FAKE NEWS » dans un article du 23 octobre(Article « Fake news: Tampa Bay Lightning fires black player for raising fist during anthem », Politifact, 23 octobre 2017), et après les élections, Facebook et Google déclarent la guerre aux « fake news ».

    17 novembre, le Washington Post publie l’article d’un « auteur de fake news » sur Facebook qui pense avoir remporté la Maison-Blanche pour Trump en disséminant des « fake news ». (Article « Facebook fake-news writer: ‘I think Donald Trump is in the White House because of me’ », WaPo, 17 novembre 2017)

    9 décembre, Hillary Clinton délivre un discours sur « l’épidémie de fake news » – le même jour, l’un des principaux sites d’amorçage de la campagne de propagande, Buzzfeed, avait été dénoncé pour avoir publié des fausses donnéesdans un de leurs articles sur les « fake news ».

    « Clinton dénonce ‘l’épidémie’ de fake news dans un discours à Capitol Hill »

    En conclusion, l’expression soigneusement fabriquée « fake news » était de la simple propagande véhiculée par des partisans d’Hillary Clinton et les médias grand public pour tenter de discréditer les sources d’informations non approuvées, mais elle s’est effondrée sous le poids de son incapacité à faire passer efficacement son message, et le fait que Donald Trump – un communiquant très capable – ait su la récupérer à son avantage.

    Source : Article publié par Mondialisation.ca – Copyright © Zero Hedge, Mondialisation.ca, 2018
    Paru initiaelement sur Zerohedge sous le titre How WaPo, BuzzFeed, And Soros-Backed Group Pushed The Phrase « Fake News » Until It Backfired
    Traduction et note d’introduction Entelekheia

    Crédit photo : Domaine public, via PixaBay

    https://www.polemia.com/fake-new-medias-americains-expression/

  • 40 Days for Life : plus de 100 bébés sauvés de l'avortement

    6a00d83451619c69e201bb09f6c34a970d-250wi.jpgLe cap symbolique des 100 bébés sauvés de l'avortement a été franchi le lundi 26 février.

    Nous vous invitons à rejoindre cette chaîne de prière “de l’arrière” à tout moment : signalez que vous voulez y participer en confirmant votre adhésion à daniel.hamiche@gmail.com qui coordonne depuis des années cette chaîne de prière.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • UNE LUEUR D’ESPOIR : MARION !

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    La France, culpabilisée comme jamais de son histoire, ayant trouvé dans Mai 68 des justifications idéologiques à cette culpabilisation, a ouvert les vannes de son pays et de son histoire à des gens qui n’en croyaient pas leurs yeux de tant de générosité incompréhensible.

    Victorieux grâce, en grande partie, à la déliquescence de l’ancien tandem dirigeant du Front national, soutenu par la puissance médiatique, porté à bout de bras par le vide sidéral de nos élites « bobo », le Président Macron distille ses réformes et assume une posture qui fait croire à certains que le gaullisme est de retour.

    L’étincelle allumée par Marion Maréchal-Le Pen de l’autre côté de l’Atlantique nous redonne à espérer ! Avec cet éclat nouveau, le combat pour la liberté peut renaître. La reconquête idéologique ne part pas de zéro : elle s’appuie sur ce vaste courant identitaire qui traverse notre peuple, le peuple des campagnes, des villages, des petites villes, ce peuple qui saura combattre l’idéologie post-soixante-huitarde qui domine les métropoles mondialisées.

    L’expérience du passé sera enfin tirée, les faux débats laissant la place au bilan des vrais crimes, le caractère ambigu de la gauche historique et la réalité de ses complaisances avec le totalitarisme enfin démasquées, l’échelle des valeurs se remettra debout et la France pourra renaître.

    Paradoxalement, le nouveau pouvoir est une aide dans ce combat car il a érigé en principe de pensée et d’action la confusion idéologique. Cette confusion lui est consubstantielle, elle est dans sa nature. Ce pouvoir, auquel tant de gens font semblant de croire, a ouvert une parenthèse dramatique dans notre histoire. Il a remplacé la France par un vague concept flou : on ne sait plus ce qu’est notre pays et ce qu’il a fait de bien ou de mal. Il n’y a rien de consistant dans cette politique qui se pare des habits présidentiels de la Ve République pour promouvoir un « jeunisme » indécent et attaquer violemment le pouvoir d’achat des retraités. On nous dit que des mesures ont été prises que jamais la droite n’avait osé mettre en œuvre. Certes, mais cette droite s’était tellement gauchisée qu’elle en avait parfois oublié son alphabet.

    Sur la question de la submersion migratoire, que fait le pouvoir ? Il répand l’idée que notre générosité nous invite à accueillir le flot de migrants qui va déferler.
    Il nous amuse en opérant une distinction entre demandeurs d’asile et réfugiés économiques. Il veut nous faire croire qu’il va opérer un tri entre les uns et les autres. Mais déjà ce tri est jugé malsain par les associations pro-migrants et une partie de la majorité.

    Que fait le pouvoir contre l’islam politique qui annonce pourtant assez clairement sa volonté de devenir par étapes, conquérant aujourd’hui, omniprésent demain et peut-être majoritaire et hégémonique après-demain ?

    Le déclin n’est pas inéluctable, les pays d’Europe centrale nous montrent la voie de nations qui osent affirmer leur identité et ne pas céder aux diktats de l’Union européenne. Ces peuples amis, qui doivent être tristes de voir l’état de la France, n’attendent que son renouveau pour aider l’Europe à retrouver le chemin de l’espoir.

    Mais ne regardons pas toujours ailleurs ou avant. L’étincelle allumée à Washington la semaine dernière est bien française. Vraiment française. Et porteuse d’espoir !

    http://www.bvoltaire.fr/lueur-despoir-marion/

  • Reste à savoir si Le Monde publiera un correctif

    6a00d83451619c69e201b8d2de076c970c-250wi.pngDans Le Monde, le comique François Krug écrivait à propos des Mémoires de Jean-Marie Le Pen :

    "Reste à savoir s'ils trouveront des lecteurs, car les électeurs du FN ne sont pas réputés être de gros lecteurs."

    Autrement dit : les électeurs du FN sont des idiots qui ne savent pas lire.

    On apprend aujourd'hui que les 50 000 exemplaires du premier tirage des Mémoires de Jean-Marie Le Pen sont épuisés avant même leur mise en vente, prévue mercredi. Un second tirage a été lancé.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html