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  • Marine Le Pen: « Dans le quartier de Redouane Lakdim à Carcassonne, les policiers ont été pris à partie par des jeunes qui chantaient sa gloire! »

    Selon Marine Le Pen : « Dans le triangle Perpignan-Narbonne-Carcassonne il n’y a que 3 policiers affectés à la surveillance des radicalisés »,  « le gouvernement attend le début de l’accomplissement d’un acte terroriste pour agir! » « les fichiers S étrangers ou bi-nationaux doivent être expulsés du territoire et déchus de la nationalité française », « Ceux qui sont Français doivent être jugés pour intelligence avec l’ennemi. », « L’État français a le droit de choisir qui vient chez lui et qui reste. Pas besoin de tribunal pour cela. » « Dans le quartier de M. Redouane Lakdim à Carcassonne, les policiers ont été pris à partie par des jeunes qui chantaient sa gloire! », « Ces jeune-là n’ont même pas été arrêtés. », « Le climat n’était pas tendu, c’était un climat de soutien à l’acte terroriste qui venait de se perpétrer. », « Il existe des centaines d’enclaves » islamistes comme celle de Carcassonne en France.  » Il faut arrêter de distribuer la nationalité française. », « Il faut cinq ans de présence discontinues sur le territoire pour avoir la nationalité française. « Il ne doit plus y avoir d’automatisation d’obtention de la nationalité. » « Il faut limiter le nombre de personnes à surveiller en les expulsant ». « La loi de Macron sur la Sécurité intérieure c’est zéro ». « Macron n’a jamais pris la mesure du terrorisme ». « Selon Castaner, il faut faire rentrer les islamistes de Syrie et les juger s’il est prouvé qu’ils ont commis des actes répréhensibles », rappelle-t-elle pour déplorer un tel laxisme, comme si être allé en Syrie pour combattre n’était pas suffisant . Elle demande aussi d »Interdire les Frères musulmans ». Autres sujets abordés: La Syrie, Mayotte, Sarkozy, … Etc.

     

    Voir aussi:

    http://www.medias-presse.info/marine-le-pendans-le-quartier-de-redouane-laktim-a-carcassonne-les-policiers-ont-ete-pris-a-partie-par-des-jeunes-qui-chantaient-sa-gloire/89258/

  • Nicolas Dupont-Aignan : « Le sang des héros ne peut cacher la démission de l’Etat face à l’islamisme »

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    [TRIBUNE] Nicolas Dupont-Aignan : « Le sang des héros ne peut cacher la démission de l’Etat face à l’islamisme » >> https://bit.ly/2pGPiSW 

  • Éric Zemmour : « Quand Macron, l'homme de la start-up nation, célèbre le français ! »

    BILLET - Le chef de l'États a dévoilé mardi 20 mars devant l'Académie française, un grand plan pour redynamiser l'usage du français et la francophonie. Le start-uper Macron défendant la langue de Molière ? Un joli paradoxe, nous dit Éric Zemmour. [RTL 22.03].  Il nous souvient que voilà déjà beau temps, Félix Leclerc, superbe chanteur québécois, dans un entretien à la télévision française, où on lui demandait si quelque chose le gênait en France lors de ses séjours, avait répondu : « La langue ... anglaise ». Que dirait-il à l'ère Macron ?  LFAR

    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge 

    Oyez, oyez, braves gens ! La langue française sera demain la troisième langue la plus parlée du monde. C'est notre seigneur Macron qui nous le fait mander. Oyez, oyez braves gens ! Sonnez trompettes et battez tambours !

    Mais au fait, sera-t-elle encore parlée en France ? On peut s'interroger, en parcourant les rues et les panneaux publicitaires : les « French bank » pour la Poste, les « I love TGV », les « We love technology » pour Bouygues. Sans parler des titres de films américains qu'on ne prend même plus le temps de traduire. 

    Éric Zemmour

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le succès de la Fête du Pays Réel est un signal politique et religieux

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    La Fête du Pays Réel fut une véritable réussite. Comme l’a dit Alain Escada, président de Civitas, dans son discours final, voilà qui devrait en faire réfléchir plus d’un, tant dans le domaine politique que religieux, car cette réussite a été obtenue sans rien renier des convictions tranchées de ce mouvement catholique qui affiche fièrement sa devise « DIEU PATRIE FAMILLE » au-dessus de la tribune de ses intervenants.

    A 9h45, ce samedi 24 mars, devant la porte de l’Espace Jean Monnet à Rungis, la file des visiteurs s’allonge, tandis qu’à l’intérieur ce sont des dizaines de bénévoles qui s’affairent aux derniers détails et que plus de 125 exposants terminent leurs installations. Depuis 7h du matin, des messes se suivent dans une petite salle transformée en chapelle, auxquelles peuvent assister bénévoles et exposants qui le souhaitent.

    A 10h, les portes s’ouvrent au public qui doit d’abord passer entre un portique de sécurité avant de faire la file à la billetterie. Au même moment, dans la grande salle des exposants, un moine capucin entame la bénédiction des stands.

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    Un quart d’heure plus tard, dans la salle des conférences, l’abbé Xavier Beauvais monte à la tribune. Il ouvre la journée par une prière. Ensuite, brièvement, Alain Escada signale le message reçu de Mgr Tissier de Mallerais qui regrette de ne pouvoir être présent mais accorde sa bénédiction à cette Fête du Pays Réel et à ses participants. L’abbé Beauvais prononce alors le premier discours de la journée et fustige vigoureusement la laïcité.

    Le public déambule à sa guise, les uns assistent attentivement à cette première intervention, les autres découvrent avec surprise l’ampleur des lieux. La surface dévolue aux exposants a déjà doublé pour cette deuxième édition de la Fête du Pays Réel.

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    http://www.medias-presse.info/le-succes-de-la-fete-du-pays-reel-est-un-signal-politique-et-religieux/89216/

  • Bien commun et service public

    6a00d83451619c69e201b7c95b9367970b-250wi.jpgDans Monde & Vie, Eric Letty revient sur la grève de la SNCF :

    "[...] Ce 22 mars, premier jour d’une grève par intervalles qui s’étendra jusqu’en juin, se pressaient donc sur le quai des gares de banlieue des grandes métropoles françaises, des foules d’usagers (c’est le terme le mieux approprié), agglutinés aux wagons des quelques trains qui circulaient pour avoir une chance de se rendre à leur travail, quitte à passer parfois plus d’une demi-heure serrés comme harengs en caque. C’est le prix à payer, paraît-il, pour la défense du statut des futurs cheminots et aussi (surtout ?) pour préserver le fromage des puissants syndicats de la SNCF. En face, le gouvernement annonce qu’il ne cédera pas. Vrai ou faux ? Nous verrons ça au bout des négociations qui devront s’engager tôt ou tard. Mais la vraie question n’est pas là.

    Les cheminots, comme les fonctionnaires qui défilaient aussi ce jour-là, veulent défendre le service public – deux mots qui, dans leur bouche, se confondent avec la notion de bien commun. Ce devrait être l’occasion d’engager un débat, que personne ne se souciera pourtant d’ouvrir, sur le véritable sens de ce sacro-saint « service public » et sur l’importance ahurissante qu’il a pris, sous l’impulsion d’un État dont la prétention à se constituer garant et représentant du bien commun est illustrée par l’expression consacrée d’« État-Providence ».

    Par ce titre, il se fait Dieu, divinité à la fois héritière et rivale du christianisme, le monothéisme dégénérant ici en monopole.

    L’icône typique de la charité d’État, c’est la Sécurité sociale ; mais l’étatisme providentiel a inventé une flopée d’allocations et d’aides diverses, qui, allouées en vertu d’une logique « redistributive », persuadent les Français qu’il est le Souverain juste et bienfaiteur. Et tant pis si ce bienfaiteur leur fait l’aumône en leur restituant une partie de l’argent dont il les a préalablement dépossédés – et ne leur laisse même pas le mérite de la générosité, qu’il a en quelque sorte nationalisée.

    Il suffit de voir qui a fondé ce beau système pour comprendre ce qu’il en est : ainsi, à l’origine de la Sécurité sociale, au lendemain de la Libération, des hauts fonctionnaires socialistes comme Pierre Laroque collaborèrent-ils avec le ministre communiste du Travail Ambroise Croizat. À la même époque, d’autres ministres communistes, mis en selle par le général De Gaulle, contrôlaient la fonction publique (Maurice Thorez), la production industrielle (Marcel Paul), la Santé, puis l’Économie (François Billoux), le ministère de l’Air (Charles Tillon). Les concepteurs du plan de réforme du système éducatif français, Paul Langevin et Henri Wallon, étaient, eux aussi, tous deux encartés au parti communiste. Ce sont ces gens-là, socialistes et communistes, qui ont organisé le service public et dressé les autels de l’État-Providence. On ne peut pas comprendre cette religion si on l’oublie.

    Les Français ont été si bien habitués à cette omnipotence de l’État que beaucoup d’entre eux en restent dupes – d’autant qu’on ne leur présente pas d’autre alternative que l’étatisme ou l’individualisme libéral. Il existe pourtant une autre solution, qui s’appuierait sur les communautés et les corps intermédiaires, en laissant à l’État régalien le soin d’arbitrer, de contrôler et, au besoin, de suppléer à un manque en vertu du principe de subsidiarité. Il n’est pas interdit de le rappeler, avant que la France ne s’engage de nouveau, dans la confrontation, sur une voie de garage."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Jean-Frédéric Poisson « J’ai rencontré Marine Le Pen ! »

    Jean-Frédéric Poisson est le président du Parti Démocrate Chrétien. Ancien candidat de la primaire de la Droite, il est aux côtés de Nicolas Dupont-Aignan pour animer la plateforme des « Amoureux de la France ».

    Invité sur TVLibertés, il annonce sa volonté de participer à un programme commun de la Droite ouvert à tous les eurosceptiques. Et pour se faire, l’ancien député a rencontré la présidente du Front National, Marine Le Pen.

    En ligne de mire, les Européennes de juin 2019. Jean-Fréderic Poisson mène aussi la charge contre la politique d’enfumage d’Emmanuel Macron et dénonce la mascarade organisée par le gouvernement contre les Etats généraux de la bioéthique.

  • Message de Roland Hélie aux participants au 2e dîner de Synthèse nationale samedi dernier à Paris

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    Soyez les bienvenus au 2e dî­ner annuel cliquez ici des Amis franciliens de Synthèse nationale.

    Après la réussite du premier dîner que nous avions organisé l’an passé, ici même, à l’occasion du 70eanniversaire du Mouvement social italien, dî­ner au cours duquel notre camarade Massimo Ma­gliaro, ancien respon­sable national du MSI, nous avait éclairé sur l’histoire de son mouvement, nous avons décidé d’institutionnaliser ce nouveau rendez-vous annuel entre nos lecteurs et amis et notre revue.

    Nous pensons en effet que, dans la situation actuelle, il faut que les natio­naux, les nationalistes et les identitaires multiplient les occa­sions de se retrouver pour créer une véritable communauté combat­tante face à l’oligarchie mondialiste qui veut détruire notre nation et notre civilisa­tion. Il y a les meetings et les manifs, il y a les actions militantes et il y a aussi les réunions amicales comme celle de ce soir.

    Nous avons l’honneur et le plaisir de recevoir ce soir Jean-Marie Le Pen, Président d’honneur du Front national, qui nous parlera de ses Mémoires cliquez là dont le premier tome vient de sortir en librairie. Ce livre rencontre un énorme succès et il est d’ores et déjà classé parmi les meilleures ventes, ce qui ne nous surprend pas vraiment.

    Pendant des décennies, Jean-Marie Le Pen a incarné, en particulier lors des différentes élections présidentielles, la Droite nationale, sociale et populaire. Il avait prévu dès le début les dangers qui mena­cent de plus en plus la France et l’Europe. Il a été calomnié, insulté, condamné… Mais aujourd’hui un nombre croissant de nos compa­triotes reconnaît la véra­cité de ses dires et a envie, finalement, de mieux le connaître. C’est sans doute ce qui explique l’engouement pour son livre qui sera suivi, dans quelques mois, par un second tome. Mais je laisserai le soin au Prési­dent Le Pen de nous en parler lui-même.

    Quelques mots maintenant pour vous donner des nouvelles de Syn­thèse nationale. Notre prochain grand rendez-vous est fixé au di­manche 14 octobre à Rungis. Ce sera notre douzième Journée natio­nale et identi­taire à laquelle vous êtes tous conviés. Une fois de plus cette journée devra être une réussite car elle sera l’aboutissement d’une année d’efforts militants pour faire avancer nos idées et un tremplin vers 2019.

    Sur le plan éditorial, notre petite maison a publié cette année plu­sieurs livres dont celui de Carl Lang, Président du Parti de la France, Un che­min de résistance, et celui d’Hubert de Mesmay, Autop­sie d’un crash annoncé. De plus la campagne que nous avons amorcée au printemps dernier autour du livre d’Alban d’Arguin, Eo­liennes un scandale d’Etat, ne cesse de s’amplifier. Ce thème original nous permet, à cha­cune des conférences de l’auteur, de nous faire con­naître encore plus dans la France profonde.

    Quant au site d’information quotidien Synthèse nationale, lien perma­nent entre notre organisation et nos sympathisants, il est regardé chaque jour par plus de 5 000 personnes.

    Félicitons-nous aussi du partenariat que nous avons établi avec le groupe Libertés. Le jeudi à 18 h, vous pouvez ainsi retrou­ver l’émission « Syn­thèse » que j’anime avec Philippe Randa sur Radio Libertés.

    Mais tout cela à un prix. Tout ce que nous faisons, c’est grâce à votre générosité à tous. Nous ne sommes financés ni par les subven­tions grasse­ment attribuées à nos ennemis, ni par aucune hypothétique puis­sance étrangère. Il manque toujours quelques milliers d’€ pour boucler notre budget. Nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes et c’est grâce aux sacrifices de quelques-uns que Synthèse nationale réalise ses projets. Si nous avions un peu plus, nous pourrions faire beaucoup plus.

    Des projets nous en avons beaucoup et le premier d’entre eux, c’est le renouveau d’une véritable Droite nationale digne de ce nom en France.

    Lors de la dernière présidentielle, en mai 2017, le Système a uti­lisé son ultime rustine : Emmanuel Macron. Et contre toute attente, ça a mar­ché. Au moment où l’on assiste à une « droitisation », voire à un « sur­saut identitaire » de nos compatriotes, l’hyper classe apa­tride continue à nous im­poser sa volonté mortifère. Cela, nous ne pouvons pas le tolé­rer.

    Chers Amis, nous profiterons bien sûr de cette soirée patriotique pour vous demander de nous aider une fois de plus. Des enveloppes sont disponibles à cet effet sur votre table. Vous pourrez, si vous le souhai­tez, mettre votre contribution à l’intérieur et les déposer dans la cor­beille prévue à cet effet au « stand librairie » à la sortie de la salle.

    Vous pouvez aussi nous aider en :

    - vous abonnant à nos revues, Synthèse nationale bien sûr, et aux Ca­hiers d’Histoire du nationalisme.

    - achetant les livres que nous proposons (les auteurs présents vous les dédicaceront).

    - adhérant aux Amis de Synthèse nationale présidés par Jean-Paul Chayrigues de Olmetta et animés en Ile-de-France par Hugues Bouchu.

    Par avance nous vous remercions.

    N’oubliez jamais la devise que nous avons fait nôtre à Synthèse natio­nale : « Tant que les patriotes se battront, la France existera… »

    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

    Pour aider Synthèse nationale cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Valérie Bugault : Les banques internationales contre les Etats.