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  • Le problème migratoire est insoluble

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    L’immigration en cours depuis plus de 50 ans est un problème grave qui menace l’existence même de la civilisation européenne, la France déjà fortement africanisée étant, entre tous les pays d’Europe, le pays le plus menacé.

    Cette menace qui ne cesse de se renforcer est due à la décolonisation et à une idéologie égalitariste illusoire. Elle ruine notre pays, provoque l’insécurité, aggrave le chômage ; les politiciens en parlent tous les jours, vont de sommet en sommet, promettent tout ce que vous voulez, mais ne font rien. Je vais dire pourquoi.

    On compte déjà en France entre 10 et 15 millions d’immigrés, dont quelque 500 000 clandestins, la majorité d’entre eux provenant d’Afrique et d’Orient. Si l’on tient compte du droit du sol et du fait que bon nombre de familles immigrées sont en France depuis 3 générations, nouveaux Français souvent au chômage, faites le calcul. Pour cela, inutile de sortir de Polytechnique, il suffit de prendre le métro.

    Ces communautés, sans oublier Chinois, Indochinois et Philippins, déjà un cinquième de la population, vivent en France en circuit fermé. Elles parlent leur langue d’origine et sont parfaitement organisées pour profiter au maximum des avantages que les pouvoirs publics leur accordent, allocations financières, hébergement et soins. Elles ne s’intègrent pas. Ce sont des prédateurs. Il va sans dire que le coût financier de cette invasion est considérable. Le droit d’asile, c’est deux milliards d’euros par an, l’AME un milliard, la lutte contre l’infiltration islamiste des centaines de millions. Bref, une part non négligeable des 714 milliards d’euros que la France consacre chaque année au « social ». Et l’on prévoit officiellement, et le plus tranquillement du monde, une augmentation du droit d’asile et des autorisations de séjour de 20 % par an. Quelque 700 000 migrants sont en attente en Libye !

    Ainsi assiste-t-on à des situations stupéfiantes. À Paris, des bandes d’enfants et d’adolescents de 12 à 17 ans terrorisent des quartiers entiers et, à la belle saison, ils sont renforcés par des Roms, des enfants également, éduqués pour le vol à la tire. Je les ai vus moi-même opérer dans les transports en commun. C’est ce qu’on appelle la « mondialisation heureuse ».

    Le cas de Mayotte, cette Île perdue de l’océan Indien, mais département français au même titre que la Loire-Atlantique, est tout un enseignement. L’administration, préfet en tête, ne parvient pas à maîtriser l’immigration venue des Comores et de toute l’Afrique noire. Tous ces gens, finalement, obtiennent la nationalité française, si bien qu’à Marseille, par exemple, on compte plus de Comoriens que dans toutes les Comores !

    Et tout cela n’est qu’un début.

    Il est pour le moins surprenant qu’aucun dirigeant français ne tienne compte des indéniables prévisions exposées par Stephen Smith dans son ouvrage récent (voir ma chronique du 6 avril, n° 1138 des « 4 Vérités ») qui prévoit une augmentation exponentielle de l’immigration dans les décennies à venir, en raison de l’explosion démographique en Afrique noire.

    En Afrique, pour un jeune, émigrer en France est une obligation. C’est à la fois le bac et le service militaire. On part pour envoyer à la famille de quoi subsister et pour rembourser les 3 000 euros remis à des passeurs criminels. La France, c’est l’eldorado. Un Africain m’a dit : « Là-bas, en France, il suffit d’appuyer sur un bouton dans la rue pour recevoir des billets de banque. » Et, en effet, écrit « Le Figaro » du 26 juin : « Peu de pays comme la France offrent à leurs habitants les plus pauvres un revenu minimum, l’instruction gratuite, les colonies de vacances, les soins médicaux gratuits, ainsi que la prise en charge d’une partie des frais de logement. En Chine, pays communiste, tous ces services sont payants. »

    En face de cette invasion, que font les pouvoirs publics ? Ils nous racontent des histoires. Ils parlent de « hot spots », centres de regroupement des candidats à l’émigration. C’est une vue de l’esprit. Les Africains ne s’y rendront pas, de peur de ne pouvoir en sortir. La Libye, d’ailleurs, a déjà dit non.

    En France même, une partie importante de l’opinion est favorable à cette invasion, soit par ignorance, soit par idéologie, encouragée par les multiples organisations onusiennes et bruxelloises. Le seul fait d’avoir souhaité publiquement que la « France reste la France » a valu à Laurent Wauquiez une volée de protestations, Il est traité de « populiste », comme ces « abominables » dirigeantes hongrois, tchèques, polonais, maintenant italiens, qui veulent rester eux-mêmes et être honnêtes.

    Quant à l’aide au développement, cette litanie, on sait de quoi il s’agit. L’Afrique noire a déjà reçu de l’Occident, et en particulier de la France, l’équivalent du plan Marshall. La corruption en a été le principal bénéficiaire, avec « retour sur investissement » …

    Ajoutez à cette opinion le côté pratique et humain des choses. Si vous trouvez sur une plage 200 Africains avec femmes et enfants, vous n’allez pas les prendre par la peau du cou et les rejeter à la mer. Vous allez les secourir.

    En réalité, il n’y a qu’une seule solution à cet immense problème. C’est une opération conjointe Europe, Russie et Amérique pour contrôler la Libye, y renvoyer les migrants et arrêter les passeurs criminels qui agissent en toute impunité. Tout le reste n’est que bavardage, promesse non tenue et discours trompeur dans une Europe divisée, impuissante et aujourd’hui à la dérive. Cette Europe qui a mis des siècles et des siècles d’effort, de courage, de travail, d’intelligence, pour écarter la misère et qui, aujourd’hui commet le crime d’en importer une autre, pire encore que celle qui, autrefois, fit son malheur.

    Christian Lambert

    Article repris du site les4verites.com

    https://fr.novopress.info/211516/le-probleme-migratoire-est-insoluble/

  • Aboubakar Fofana : il aurait donc fallu que la presse cache ses démêlés avec la justice ?

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    Par Gabrielle Cluzel

    Cette excellente chronique qui revient sur les récentes émeutes de Nantes[Boulevard Voltaire, 9.07] ne dit que des vérités premières. On ne peut qu'approuver, partager.  LFAR

    Sur les émeutes de Nantes, les articles de presse se suivent et se ressemblent. On finit par les lire en diagonale, sans y prendre garde. Et pourtant certains sont de jolis morceaux d’anthologie.

    Ainsi celui du site RMC.BFMTV, qui annonce la constitution partie civile, ce lundi, de la famille d’Aboubakar Fofana.

    Passons sur l’introduction passablement surréaliste – « un calme relatif a a régné dans les quartiers de Nantes dans la nuit de samedi à dimanche. Seulement quelques (sic) véhicules ont été incendiés (…) ». Combien au juste ? Le site préfère rester vague. Comme sa racine l’indique, « relatif » permet… de relativiser. Avec souplesse, comme on tire délicatement sur un élastique. À partir de quel moment le calme relatif devient une émeute objective ? Tout est affaire d’appréciation. Sans doute doit-on comprendre, que les nuits précédentes, le curseur « intensité » ayant été mis assez haut, ce modeste incendie (18 voitures précisément, lit-on ailleurs, sur Le Télégramme) semble comparativement bien peu de chose.

    C’est surtout le titre qui attire l’œil et laisse perplexe : « On a sali la mémoire d’Aboubakar Fofana en faisant allusion à son passé ». Les propos ont été tenus pas l’avocat, citant la famille.

    Si l’on compatit à la peine des proches, si l’on comprend que ses démêlés avec la justice – il était « sous le coup d’un mandat d’arrêt » , « recherché pour vol en bande organisée, recel et association de malfaiteurs » (L’Obs) – ne soient pas ce qu’ils souhaitent retenir du jeune homme décédé, comment peut-on affirmer que citer des faits – qu’en l’occurrence nul ne remet en cause – serait « salir la mémoire » ? La mémoire n’est-elle pas, par définition, la conservation du passé ?

    Et donc en toute logique, si le CRS incriminé avait eu des antécédents de « violence policière », il aurait aussi fallu miséricordieusement les cacher pour ne pas porter atteinte à sa réputation ? À moins que cette censure de précaution ne vaille que pour certains ? Comment la presse pourrait-elle faire son métier, si elle occulte ce qui est avéré ?

    Décidons donc une bonne fois que par principe, toute fusillade, arrestation, altercation, tout règlement de compte, barrage de police forcé, n’impliquera plus désormais que des enfants de chœur, des rosières et des premiers communiants, ce qui rendra évidemment la compréhension des faits divers – tous confits dans l’eau bénite – plus complexe mais permettra de ne fâcher personne.

    On a légiféré contre les fake news. C’est insuffisant. Il faudrait encore, pour une partie de la population supposée stigmatisée, éradiquer tout ce qui n’est pasclean news, sweet news, sugar news, pretty news ? Informer en vérité va devenir décidément terriblement compliqué.  

     Ecrivain, journaliste

    Son blog

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Terrorisme : Les pouvoirs publics font du surplace – JT TVL 11 juillet 2018

    1)  Terrorisme / Les pouvoirs publics font du surplace

    La lutte contre le terrorisme laisse à désirer. Un rapport sénatorial pointe les failles françaises face à l’évolution du salafisme. La menace semble bien loin d’être endiguée.

    2) Sécurité / Palmarès de la Police : Paris a le bonnet d’âne !

    Le Figaro publie un palmarès de l’efficacité de la Police en France. Face à un taux de criminalité globalement à la hausse, le taux de résolution des affaires restent plombé au plus bas !

    3) International / OTAN : Trump tient les comptes

    Deux jours pour partager les dépenses de l’OTAN. Mercredi et Jeudi, les membres de l’organisation sont réunis à Bruxelles. Le rendez-vous tourne essentiellement autour d’un seul et même acteur : Donald Trump

    4)  Economie / Mc Donald’s  toujours en croissance

    5) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/2018/07/11/24221/terrorisme-pouvoirs-publics-surplace-jt-tvl-11-juillet-2018

  • Les passeurs sont des terroristes, des trafiquants d’armes et d’être humains

    6a00d83451619c69e2022ad3803441200d-800wi.jpgLors d’une rencontre avec le Premier ministre du gouvernement d’union national libyen, Antonio Tajani, président du Parlement européen, a indiqué souhaiter « une liste noire des gros trafiquants » et a suggéré la création de centres d’accueil à la frontière entre le Niger et la Libye. Ces passeurs

    « sont des terroristes, des trafiquants d’armes et d’être humains. Si nous n’arrivons pas à anéantir ces organisations criminelles, il sera très difficile de lutter contre l’immigration clandestine ».

    Les deux hommes ont discuté de l’importance de la surveillance de la frontière Sud du pays pour limiter les flux d'immigrés qui arrivent pour tenter de traverser la Méditerranée. La Libye est l’un des principaux points de départ pour l’Europe.

    Mais ces passeurs profitent de la complicité des ONG qui leur facilitent le travail.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

     

  • Des millions de lépreux célèbrent la victoire des Bleus…

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    Paul Le Poulpe Riposte laïque cliquez ici

    Le sport est cruel. Il y a une légende, en Coupe du Monde, qui veut que les équipes flamboyantes en début de tournoi, ne gagnent jamais le tournoi, alors que les équipes médiocres lors des poules vont souvent au bout. Eh bien, cela vient de se confirmer. La France vient de battre les Belges par un but à zéro et jouera donc la finale contre le vainqueur du match Angleterre-Croatie.

    Et pourtant, cette équipe de Belgique nous a enthousiasmés, marquant 14 buts en 5 matches, tandis que l’équipe de France désespérait ses supporters lors des matches de poule. Mais ensuite, les Bleus ont réussi deux superbes matches, contre l’Argentine et l’Uruguay, avec la réussite maximale. Quatre tirs contre l’Argentine, quatre buts, et deux tirs contre l’Uruguay, deux buts.

    Quant aux Belges, après être revenus de l’enfer en 1/8 de finales contre le Japon, ils ont éliminé le Brésil en 1/4 de finales, réalisant le plus grand exploit de leur histoire. La confrontation entre deux équipes semblables promettait donc d’être intéressante, voire passionnante.

    D’abord, ces deux pays ont beaucoup de similitudes sociologiquement. L’immigration massive qu’elles ont connue a forcément des conséquences sur la composition de leurs formations. L’équipe de France est fortement marquée par des joueurs d’origine subsaharienne, tandis que les Belges sont davantage influencés par des joueurs d’Afrique du Nord.

    Il faut reconnaître que ces joueurs de l’équipe de France, pourtant d’une médiocrité consternante lors des matches de poule, ont su se faire aimer des Français. Ils sont bien élevés, chantent « La Marseillaise », ne parlent pas « racailles », et permettent, contrairement à l’équipe de Domenech en 2010, aux Français de se reconnaître en eux.

    Ces joueurs sont humbles, même Pogba a su se mettre au service de la collectivité, et se sacrifient pour l’équipe. Ils ne tirent pas la couverture à eux.

    On peut penser ce que l’on veut du football, des millions de Français ont vibré derrière cette équipe, et ont poussé un « ouf » de soulagement, quand l’arbitre a sifflé la fin du match. Et d’autre part, nous avons assisté à un excellent match, joué dans un était d’esprit exemplaire par des joueurs qui se respectaient.

    Cette équipe de France n’est pas brillante footballistiquement. C’est loin d’être le Brésil de 1970, ou la France de Platini des années 1980. C’est une machine de guerre, d’une efficacité exceptionnelle, qui joue le contre remarquablement, et sait, par des coups de pied arrêtés, utiliser au mieux les qualités individuelles de leurs joueurs. Contre l’Argentine, l’arrière droit Benjamin Pavard avait marqué un but exceptionnel, relançant son équipe. Contre l’Uruguay, c’est Raphaël Varane qui a lancé les Bleus, par un superbe but de la tête. Cette fois, c’est le défenseur Samuel Umtiti, catastrophique lors des matches de poules, qui a marqué, sur un corner, toujours de la tête, le but de la victoire. Cette équipe mise tout sur la défense, avec un avant-centre, Olivier Giroud, qui se sacrifie, et n’a toujours pas marqué le moindre but. Et comme la défense est exceptionnelle, et le gardien, Hugo Lloris, en état de grâce, cela donne l’impression d’une muraille infranchissable, capable par ailleurs de se projeter rapidement vers des contre-attaques fulgurantes, grâce à la vitesse de Kylian MBappé.

    Certains ironiseront sur le fait que le 9-3 a battu Molenbeck. On peut voir les choses ainsi, mais c’est une vision réductrice. Nous avons déjà tout écrit sur ce sujet. Ce soir, l’essentiel n’est pas là. Des millions de Français sont à l’unisson de cette équipe, les Champs-Elysées seront pleins ce soir, et des millions de nos compatriotes vont sortir avec leur drapeau. Sont-ils des abrutis, qui vont, pour autant, oublier la cruelle réalité que connaissent nos compatriotes, au quotidien, victimes d’une politique suicidaire pour notre pays ? Bien sûr que non.

    La contradiction de cette victoire est bien là. Macron, qui a fait le voyage à Saint-Peterbourg, fustige à longueur de discours la lèpre nationaliste. Hier, au Congrès, il glapissait que la seule frontière de l’Europe opposait le progressisme au nationalisme, n’hésitant pas à comparer aux nazis ceux qui refusent l’invasion migratoire africano-musulmane de notre pays. Mais en même temps, l’euphorie collective de cette victoire est porteuse de cette exaltation du pays, qu’on l’appelle patriotisme ou nationalisme, que stigmatise le « Freluquet de l’Elysée ».

    A chaque jour suffit sa peine. Sachons apprécier la joie que procure à des millions de nos compatriotes cette victoire, et l’attente de la prochaine finale, et peut-être, à vingt ans d’intervalle, d’un deuxième sacre des Bleus. Et espérons qu’on ne verra pas trop de drapeaux algériens, marocains ou tunisiens dans ces cortèges, et que les islamo-racailles ne viendront pas foutre le bordel, comme c’est trop souvent le cas, dans ces soirées festives.

    Ce serait, par ailleurs, une belle histoire que le capitaine de 1998, Didier Deschamps, soit, 20 ans plus tard, le sélectionneur des Champions du monde. Mais rappelons-nous qu’il y a deux ans, alors que le plus dur paraissait avoir été fait, les Français ont perdu une finale de Coupe d’Europe, contre le Portugal, qui leur paraissait promise.

    Par ailleurs, pour être optimistes, disons-nous que l’amour des Bleus, montrés par des millions de Français qui sortent le drapeau, chantent La Marseillaise à pleins poumons, se traduira forcément un jour par une réaction à l’italienne de nos compatriotes.

    Que l’amour des Bleus se transforme au plus vite en « lèpre nationaliste », pour sauver le pays et nous débarrasser de Macron et sa clique.

  • Ce qui caractérise le discours gauchiste en France depuis 1974, c’est la compulsion de répétition, signe de son impuissance

    Malgré la critique répétée que Kaczynski adresse aux gauchistes, ceux-ci se sont reconnus dans son texte, ou plutôt ils ont perçu à la fois ses affinités avec leur perspective radicale et ce qui manquait aux extrémistes français. C’est comme si, dans sa solitude et sa folie, Unabomber avait retrouvé un secret qui était perdu depuis longtemps. En d’autres termes, il me semble que ce qui a fasciné dans le cas de Theodore Kaczynski, c’est qu’il soit passé à l’acte. Il a embrassé la « propagande par le fait » qui fut si chère aux anarchistes de la fin du XIXe siècle. Kaczynski, on le sait aujourd’hui, s’est inspiré dans son action de quelques œuvres littéraires qui l’avaient marqué, en particulier un roman de Joseph Conrad datant de 1907, L’Agent secret, qu’il possédait dans sa cabane du Montana. Si par ailleurs il existe un modèle historique sur lequel il a voulu modeler son comportement, c’est celui des anarchistes de la fin du XIXe siècle, que ce soit ceux de Chicago ou ceux de Paris. Theodore Kaczynski paraît plus proche de la démarche d’Emile Henry que de celle de Jean-Marc Rouillan. Or, ce qui caractérise le discours gauchiste en France depuis 1974, c’est la compulsion de répétition, signe de son impuissance. Il est devenu davantage une posture intellectuelle que l’expression d’une action véritable. Pour pouvoir être entendus, les gauchistes parlent plus haut qu’ils n’agissent ; le verbe a dans ces milieux perdu toute sa force. C’est la raison pour laquelle ils ne cessent de faire de la surenchère verbale plutôt que d’analyser lucidement les conditions présentes du développement économique et social, et de considérer ce qu’il est humainement possible de faire pour améliorer la situation. Ainsi, en refusant de regarder le réel en face, leurs propos ne débouchent que sur du vide ou des actions dérisoires. 
    Leur mal vient de plus loin. Il a sa source dans l’influence délétère d’un virus qui a d’abord contaminé en France les intellectuels médiatiques. Les symptômes de cette maladie sont avant tout une perte de puissance des mots, avec l’impossibilité de communiquer vraiment qui en est la conséquence. Le virus s’est manifesté pour la première fois à la fin des années 1960, au moment du mariage entre la télévision et l’intelligentsia française. Une telle union s’est faite au détriment de cette dernière : pour se faire voir dans les étranges lucarnes, les intellectuels médiatiques ont renoncé depuis plus de trente ans à dire quoi que ce soit de véridique, de mesuré ou d’original, afin de reproduire le discours sans saveur et sans aspérité des médias. Peu à peu, le mal à gagné toute la classe intellectuelle, à droite comme à gauche, ainsi que le milieu universitaire. La notoriété des auteurs n’y fait rien, au contraire. On dirait que les écrivains qui jouissent du succès le plus grand sont aussi ceux dont l’œuvre possède le moins d’impact sur le réel. Dès qu’ils présentent leurs livres à la télévision, leurs propos sont frappés d’impuissance ; ils se réduisent au statut d’un divertissement ; ils ne comportent plus aucun enjeu véritable. Par la suite, c’est l’ensemble du travail intellectuel qui a perdu sa force et sa légitimité. Entre la génération des baby-boomers et celle qui a suivi, la transmission intellectuelle a été interrompue, laissant la nouvelle génération sans repères pour guider son action. 
    Theodore Kaczynski, L’avenir de la société industrielle
    http://www.oragesdacier.info/2018/07/ce-qui-caracterise-le-discours.html

  • Aboubakar Fofana : comment les médias désinforment pour protéger les criminels

  • 15 000 fermiers sud-africains émigrent en Russie

    6a00d83451619c69e2022ad3803395200d-200wi.jpgUne délégation de 30 familles de fermiers sud-africaines vient d’arriver dans la région de Stavropol, en Russie. Elles font face à de violentes attaques et à des menaces de mort. Au moins 15 000 Boers, descendants de colons hollandais en Afrique du Sud, envisagent de s'installer en Russie en raison des tensions dans leur pays dues aux projets du gouvernement visant à les exproprier de leurs terres.

    « C'est une question de vie ou de mort: il y a des attaques contre nous. C'était arrivé au point où les dirigeants politiques attisaient une vague de violences ». « Le climat ici (dans la région de Stavropol) est tempéré, et cette terre a été créée par Dieu pour l'agriculture. Tout cela est très attractif ».

    Il y a eu 74 meurtres de fermiers et 638 attaques en Afrique du Sud, principalement contre des fermiers blancs, entre 2016 et 2017, selon les données du groupe de défense des droits des minorités AfriForum.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Géopôles : Les plaques tournantes du trafic de drogue

    Richard Haddad, animateur de l’émission Géopôles, traite deux sujets importants En première partie : Les plaques tournantes du trafic mondial de drogue et ses conséquences sur les pays concernés, exportateurs/importateurs. En deuxième partie : Les pays du Golfe et leur poids géopolitique et économique.
    Il reçoit pour nous éclairer sur ces sujets
    – Jean-François Barbieri, ancien policier et enquêteur de la brigade des stupéfiants à Marseille, puis agent détaché en Bolivie, un des trois gros producteurs et exportateur de cocaïne au monde.
    – Ghislain de Castelbajac, géopolitologue, spécialiste des pays du Golfe où il a travaillé pendant plus de dix ans indirectement pour le ministère de la défense émirati avant de fonder son propre cabinet d’intelligence économique à Dubaï.