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  • Le PiS vainqueur des élections polonaises : quelle leçon pour Bruxelles et les libéraux ?

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    Il ne s’agit, certes, encore que de sondages de sortie des urnes, mais tout indique que le PiS va pouvoir continuer à gouverner seul la Pologne pendant encore quatre ans. Dans un contexte de participation record pour la Pologne, à 61 %, le parti Droit et Justice de Jarosław Kaczyński parvient à obtenir 44 % environ des votes, contre 37,5 % en 2015, quand la participation avait été de 51 %. En nombre d’électeurs, il est donc passé, dans ce pays de 38 millions d’habitants, de 5,7 millions, aux législatives de 2015, à 6,2 millions, aux européennes de mai dernier, et à quelque 8 millions, aux législatives de dimanche. Il peut donc compter, selon les premières estimations, sur 239 sièges à la Diète, soit 9 de plus que la majorité absolue.

    Dans la dernière ligne droite de la campagne électorale, la plupart des commentateurs étaient d’accord pour dire que le PiS menait une campagne bien ficelée, avec un programme lisible et des propositions concrètes, tandis que les libéraux de la Coalition civique (KO), menés par la Plate-forme civique (PO) de Grzegorz Schetyna, semblaient méconnaître eux-mêmes leur programme fluctuant et ont perdu leur reste de crédibilité en cherchant à concurrencer les sociaux-conservateurs du PiS sur le terrain des promesses sociales.

    Parallèlement à sa politique sociale généreuse par rapport à celle des gouvernements précédents, le PiS a su, par une lutte efficace contre une fraude fiscale très mal maîtrisée sous les gouvernements de Donald Tusk, réduire les déficits publics. La catastrophe financière annoncée par les libéraux au début des gouvernements du PiS n’est donc pas arrivée, et tous les voyants économiques sont, au contraire, au vert.

    Mais ce qui a permis au PiS d’étendre son emprise sur l’électorat polonais, c’est aussi la radicalisation de l’opposition. Après la défaite cuisante de la Coalition européenne qui rassemblait les libéraux et la gauche sociale et sociétale contre le PiS pour les élections européennes de mai, il y avait, pour ces législatives, trois blocs d’opposition : les libéraux et les libéraux-libertaires de la Coalition civique, renforcés par les Verts, la gauche post-communiste alliée à l’extrême gauche sociale et sociétale, et enfin le parti agraire PSL revenu à un discours plus conservateur après l’expérience douloureuse de la Coalition européenne qui avait vu son électorat rural se tourner massivement vers le PiS en mai dernier.

    Du coup, le PSL réussit son pari en obtenant environ 9 % des voix, juste derrière le bloc de gauche, à environ 12 %. À en croire les sondages de sortie des urnes, les nationalistes et les libéraux-conservateurs alliés au sein de la Confédération réussissent, eux aussi, leur pari en dépassant le seuil minimum des 5 % des voix.

    La leçon à tirer de ce scrutin pour les libéraux et pour Bruxelles est double :

    D’abord, les discours de l’opposition sur la fin de la démocratie et les attaques menées depuis Bruxelles contre la majorité et le gouvernement que se sont choisis les Polonais au travers d’élections libres et transparentes sont contre-productifs. Mercredi dernier, à quatre jours des élections, la Commission européenne lançait une nouvelle procédure contre la Pologne à propos des réformes du système judiciaire par le PiS. L’opposition s’en félicitait, mais les électeurs polonais, blasés par quatre ans de manœuvres du même genre, ne se sont pas laissés impressionner.

    Ensuite, l’électorat polonais, composé en grande partie de catholiques, est majoritairement conservateur, pro-famille et pro-vie. En adoptant, comme la gauche, les postulats du lobby LGBT, même s’ils n’ont pas encore osé remettre en cause la loi plutôt restrictive sur l’avortement, les libéraux ont permis au PiS de récupérer l’électorat modéré du centre qui est celui qui permet de gagner les élections en Pologne.

    Du même auteur, pour en savoir plus sur les politiques du PiS et sur les sources du conflit avec Bruxelles :

    Comprendre la situation politique en Pologne. Comment la Pologne a basculé en 2015 dans le « Camp du Mal » (pour Bruxelles et les médias dominants)

    L’actualité polonaise vue de droite

    https://www.bvoltaire.fr/le-pis-vainqueur-des-elections-polonaises-quelle-lecon-pour-bruxelles-et-les-liberaux/

  • En France, 3,1 millions de personnes ont plus de 100 ans !

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    Pieter KERSTENS

    C’est le chiffre relevé par le très officiel Répertoire National d’Identification des Personnes Physiques et dévoilé dans un pré-rapport sur l’immigration publié par la sénatrice N. Goulet et la députée C. Grandjean le 3 septembre 2019.

    De son côté l’INSEE avait recensé 21.000 centenaires en 2016. A qui donc, pour quels montants et durant combien de temps auraient bénéficié les prestations sociales de ces 3.080.000 « fantômes » ?

    Autre curiosité : la France compte 67 millions d’habitants, mais 110 millions sont inscrits au RNIPP et 84 millions seraient toujours en vie. C’est grotesque.

    Au royaume du Docteur Micron, tout est possible quand le laxisme, la complicité et l’incompétence dirigent nos administrations :

    • Depuis des années 1,8 million de Cartes Vitales auraient été délivrées à des étrangers vivant hors de France, sur base de documents falsifiés.
    • En septembre 2013, un rapport de l’Inspection Générale des affaires Sociales relevait que 8 millions de Cartes Vitales surnuméraires étaient toujours actives.
    • Le magistrat Ch. Prats, membre de la délégation nationale à la lutte contre la fraude de 2008 à 2012, avait évalué en décembre 2018 que la fraude aux prestations sociales correspondait à 14 milliards d’euros tous les ans, et cela en violation de l’article L.114-12-3 du code de la Sécurité Sociale.

    De nombreux parlementaires ont, depuis plus très longtemps, relevé que « l’immigration clandestine était un vecteur très important de fraude ». Mais ce sujet tabou a été ignoré par les gouvernements successifs, au prétexte de ne pas remettre en cause le multiculturel et le pluriethnique, piliers du « Vivrensemble » et du « Padamalgam ». Ces 280 milliards d’euros (au minimum) ont été volés dans les caisses de l’Etat par des délinquants immigrés et augmenté les déficits publics et la dette nationale.

    Quand donc les crétins humanistes et progressistes qui sévissent dans nos administrations vont-ils cesser de nous mentir et mettre en place des contrôles efficaces pour en finir avec ce scandale de faux documents et de fraude documentaire ?  Il suffirait de croiser les fichiers…

    Les responsables de cette gabegie sont ces chantres de la Nouvelle Religion Droits-de-l’Hommiste, ces gourous du métissage à tous les étages. Ces saltimbanques du devoir de mémoire et de la repentance obligatoire. Ces inquisiteurs de la Police de la Pensée qui refusent toute contestation et composent cette mafia socialaud-écolo-libero-capitaliste qui impose sa doctrine et ses dogmes depuis 40 ans et nous ont conduits au fiasco général.

    Selon Ch. Prats « il faut tordre le cou à ces études qui prétendent que l’immigration rapporte plus qu’elle ne coûte. Elles oublient l’imputation des coûts des services publics et des infrastructures ». La main-d’œuvre clandestine et les chefs d’entreprise délinquants alimentent une fraude massive aux cotisations sociales. Il est grand temps que cela cesse. Il vaut mieux aller chercher l’argent dans la poche des fraudeurs plutôt que d’augmenter les prélèvements ou baisser les prestations des Français, comme leurs retraites.

    « Frauder le fisc et la Sécurité Sociale, c’est voler nos concitoyens ! »

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Offensive turque : et après ? – Journal du mardi 15 octobre 2019

     

    Offensive turque : et après ?

    L’offensive turque du mercredi 9 octobre contre les positions kurdes en Syrie a bouleversé le jeu de poker proche-oriental. Recep Tayyip Erdogan semble à présent seul contre tous mais il a plus d’un tour dans son sac.

    Attentat raté à Notre-Dame de Paris

    Plus de trois ans après la tentative d’attentat à la voiture piégée sur le parvis de Notre-Dame de Paris, le procès des protagonistes a rendu son verdict. Les principales accusées, deux femmes, ont écopé de 30 et 25 ans de prison ferme.

    Les pompiers sonnent l’alerte

    Les sapeurs pompiers montent à Paris. Ce mardi et après plus de 3 mois de grève, les pompiers étaient mobilisés pour protester contre leurs conditions de travail. Ils réclamaient un entretien avec le ministre de l’intérieur ou le Premier ministre. TVLibertés était au cœur de la manifestation

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/offensive-turque-et-apres-journal-du-mardi-15-octobre-2019

  • Donald Trump contre l’Etat Profond aux Etats-Unis

    Donald Trump contre l’Etat Profond aux Etats-Unis

    Hier sur Twitter, le président des Etats-Unis a indiqué pourquoi il ne comptait pas intervenir militairement pour défendre les Kurdes, après avoir annoncé des sanctions économiques contre la Turquie :

    Après avoir vaincu 100% du califat ISIS, j’ai en grande partie déplacé nos troupes hors de Syrie. Laissons la Syrie et Assad protéger les Kurdes et combattre la Turquie pour leur propre terre. J’ai dit à mes généraux, pourquoi devrions-nous nous battre pour la Syrie et Assad afin de protéger le pays de notre ennemi? Quiconque veut aider la Syrie à protéger les Kurdes me convient bien, que ce soit la Russie, la Chine ou Napoléon Bonaparte. J’espère qu’ils vont tous très bien, nous sommes à 12 000 km!

    Charles Gave analyse le bras de fer interne aux Etats-Unis, qui oppose actuellement Donald Trump et ce que l’on appelle “l’Etat profond” :

    Pendant les deux premières années de son mandat, Trump est bloqué par une enquête qui vise à déterminer s’il ne serait pas un agent Russe à la solde de Poutine (sic). Cette enquête fut confiée à monsieur Mueller, ancien patron du FBI et membre actif de l’Etat profond US. Le rapport final ne sortit, de façon fort opportune, qu’après les élections au Congrès où les républicains perdirent la majorité à la chambre des représentants. Le rapport était vide et le Président complètement innocenté, alors même que les grands média aux USA (relayés par les media français) pendant des mois expliquaient à longueur de page que monsieur Trump était certainement coupable et sa condamnation certaine.

    La contre-attaque Trumpienne se mit alors en place, sur deux fronts.

    · L’inspecteur général du ministère de la Justice, monsieur Horowitz, fût chargé de faire une enquête pour déterminer qui avait autorisé lancé cette enquête (illégale et sans précèdent) sur le nouvel élu, qui avait organisé des écoutes, illégales elles aussi, sur la campagne du futur président, qui avait fait fuiter des documents tous plus faux les uns que les autres en direction d’une presse extraordinairement complaisante etc… Déjà les numéros deux, trois, quatre du FBI ou du ministère de la Justice sont tombés, déjà le patron du FBI a été viré, mais les rumeurs sur le contenu du rapport de monsieur Horowitz font état de complicité au plus haut niveau, la ministre de la Justice sous Obama, Obama lui-même, ce saint homme, aurait autorisé toutes ces saloperies, le patron de la CIA , l’ex patron du FBI et bien d’autres encore pourraient être impliqués, ce qui constituerait une grande première dans l’histoire des USA puisqu’il s’agit ni plus ni moins qu’une tentative de coup d’état contre un Président légalement élu, ce qui ne s’est jamais passé dans l’histoire des USA. Cette enquête porte le nom « d’enquête sur les enquêteurs », ce qui ne manque pas de sel. Le rapport devrait être publié dans les semaines qui viennent.
    · Mais il y mieux, beaucoup mieux. Il faut savoir que le ministère de la Justice était resté dans les mains des démocrates, le ministre nommé par Trump (Jeff Sessions) s’étant déclaré incompétent parce qu’il avait pris un verre avec l’ambassadeur Russe. Le nouveau ministre de la Justice (Intronisé en janvier 2019), monsieur Barr, qui s’est adjoint un deuxième enquêteur, le juge Durham, l’un des juges les plus indépendant et redouté aux USA, se sont eux chargés de l’enquête sur les complicités internationales qui nourries le complot sur le territoire américain. Outre le FBI et la CIA d’autres services secrets en particulier ceux de la Grande-Bretagne, de l’Italie, de la Roumanie, de l’Ukraine, (le fameux dossier Steele, serait de fabrication Ukrainienne) et de l’Australie semblent être impliqués jusqu’au cou. En fait, ce que l’on me raconte est proprement stupéfiant et mérite d’être développé en détail au profit des lecteurs de l’IDL. Bien sûr, je ne peux pas garantir la réalité de ce que je vais avancer, mais je crois que les sources que j’utilise sont fiables. Je vais décrire ci-dessous l’essentiel de ce qui s’est passé laissant de côté et faute de place de nombreux détails, mais je crois que ce résumé est conforme à ce que j’ai lu ou entendu.

    Tout part de l’Ukraine, en 2014. Il faut savoir que l’Ukraine est l’un de ces pays qui souffre d’avoir de mauvaises frontières et à l’intérieur duquel existent deux populations qui n’ont pas vraiment envie de vivre ensemble.

    · D’un côté, nous avons une population Russophone qui ne comprend pas très bien pourquoi elle a été séparée de la Russie, et bien sur la Crimée en faisait partie.
    · De l’autre, une population Ukrainophone, longuement martyrisée par les communistes et qui hait férocement tout ce qui est Russe.

    Le Président en exercice en 2014, Viktor Ianoukovitch. avait été élu par la partie du pays favorable à la Russie et tout en étant remarquablement corrompu, il ne faisait pas tâche parmi les autres hommes politiques locaux, disposait d’une majorité au gouvernement et était globalement favorable à la Russie. Voilà qui ne convenait pas du tout aux attentes des Etats-Unis… et donc « ils » pensèrent qu’il était urgent d’intervenir. Ce qui m’amène à quelques réflexions d’ordre plus général.

    La diplomatie américaine depuis l’arrivée de Poutine a deux objectifs en ce qui concerne la Russie

    1. Empêcher l’Ukraine de fusionner avec la Russie à nouveau. Pour cela, elle a proposé à l’Ukraine de rejoindre l’Otan tandis que l’Europe proposait à ce pays d’être intégré dans la communauté européenne. Ces deux objectifs sont TOTALEMENT en contradiction avec l’accord signé entre Gorbatchev et Reagan qui précisait qu’en aucun cas un pays ayant une frontière commune avec la Russie ne rentrerait dans l’Otan, accord qui avait déjà été violé par la Pologne et les pays baltes…
    2. Interdire l’accès de Sébastopol à la flotte et à l’armée Russe, car la Russie à partir de Sébastopol contrôle militairement la Turquie et grâce à la basse de Tartous en Syrie, donné par le père de l’actuel président Syrien à la Russie juste à côté de Lattaquié, tout le proche orient, ce qui agace beaucoup les stratèges américains. L’’axe Tartous-Sébastopol est vital pour la Russie. (Pour ceux qui s’intéressent aux événements Syriens et à leurs relations avec l’Ukraine, voir mon intervention sur le sujet sur BFM business il y a quatre ou cinq ans, « Poutine joue au bridge et les européens à la belote».

    Le Président Ukrainien a eu à l’époque la mauvaise idée (sans doute à cause de pressions immenses exercées par la Russie de Poutine) de refuser et l’intégration militaire à l’Otan et de devenir membre de la communauté Européenne.

    Et donc les Etats-Unis se virent « obligés » d’organiser un coup d’état en Ukraine en s’appuyant sur ceux qui haïssent la Russie (dont un certain nombre sont de vrais nazis) et le Président légalement élu fut viré en quelques jours pour être remplacé par un autre faisant preuve de plus de compréhension envers les demandes des autorités américaines.

    · Consternation des partisans de la Russie (dans le Sud Est de l’Ukraine) qui font sécession, la guerre civile commence et elle fera des dizaines de milliers de mort tandis que la Russie, qui a fort bien compris la manœuvre s’empare de la Crimée pour garder Sébastopol après avoir organisé un référendum où 95 % des électeurs votent en faveur du rattachement à la Russie.
    · Fureur de l’administration Obama qui lance des sanctions contre la Russie, qui, en passant, ruinent une grosse partie de l’agriculture Grecque, Polonaise et Française et qui durent toujours, ainsi que la guerre civile larvée en Ukraine.

    Pour « aider » l’Ukraine, le FMI (madame Lagarde) débloque immédiatement 25 milliards de dollars et l’Europe 18 Milliards d’Euro, ce qui n’est pas rien… (Quel talent a cette femme pour prêter de l’argent qui ne sera jamais remboursé. On est content d’avoir enfin quelqu’un de compètent à la tête de la BCE)

    Et bien entendu, si l’on regarde l’économie Ukrainienne, il est presque impossible de savoir où est passé cet argent, car à l’évidence il n’est plus en Ukraine. Apparemment, il a été siphonné en grande partie par des locaux aidés par des gens bien placés aux USA au travers des banques Danoises ou Allemandes situées dans les pays Baltes). On sait par exemple que le propre fils de Joe Biden Vice-Président d’Obama, (candidat à l’élection présidentielle de 2020) a largement émargé a des sociétés Ukrainiennes possédées par des oligarques a la limite du gangstérisme. On est cependant rassurés sur leur honorabilité quand l’on réalise que ces personnalités locales sont aussi les plus gros donateurs à la fondation Clinton.

    De 2014 à 2019, l’Ukraine a donc littéralement été pillé par des criminels locaux associés à des représentants de l’Etat profond US. Et puis, soudainement, la manne inépuisable des subventions internationales (FMI. Fonds Européens), s’arrête net car une tuile monumentale tombe sur tous ces braves gens avec l’élection totalement inattendue de Trump qui a fait campagne sur deux thèmes :

    1. Nettoyer le marais pestilentiel à Washington et éradiquer la corruption qui y règne
    2. Améliorer les relations avec la Russie.

    Panique à Washington (et à Londres) où CIA, et FBI (qui ont largement participé aux événements en Ukraine et dont les chefs ont dû participer à la curée) organisent la contre-attaque avec l’aide des services secrets britanniques en créant de toutes pièces une soi-disant collusion entre Trump et Poutine, ce qui fait perdre deux ans au Président. Mais quand le rapport Mueller arrive, il est totalement vide…

    Et là, deuxième coup de tonnerre, le Coluche Ukrainien est élu à la Présidence sur un programme de lutte contre la corruption.

    Et donc monsieur Trump donne un coup de téléphone quelques temps après a ce nouvel élu et lui dit trois choses :

    1. D’abord qu’il est entouré de gens très corrompus et qu’il lui faut se méfier. Le Président lui répond qu’il le sait et qu’il va continuer à les virer.
    2. Après quoi, monsieur Trump lui demande si le ministère de la Justice Américain pourrait avoir accès à un serveur informatique qui se trouve en Ukraine et qui se trouve être celui du parti démocrate américain… Question : Qu’est-ce que fout le serveur du parti démocrate en Ukraine ? Et le Président Ukrainien de répondre qu’il n’y voit pas d’inconvénients, réponse qui panique les démocrates…
    3. Et le Président Ukrainien, plein de bonne volonté, de demander au Président américain ce que faisait en Ukraine son avocat personnel, Monsieur Guilani, ancien maire de New-York, ce à quoi Trump répond qu’il fait une enquête sur la famille Biden qui semble avoir touché de gros, très gros pots de vin en provenance d’Ukraine. Satisfaction de l’Ukrainien.

    Et en même temps, nous apprenons que monsieur Barr, le ministre de la Justice, et le Juge Durham se sont déplacés à Londres et à Rome ensemble pour enquêter sur les services secrets étrangers qui, à l’évidence, ont été complices, et en particulier sur un individu très douteux, monsieur Misfud, Maltais d’origine, professeur de son état et certainement membre des services secrets britanniques. Comme c’est de cet homme qu’est parti TOUTE l’enquête sur monsieur Trump et la Russie, s’il se mettait à table, il est à craindre que toute une partie de la haute administration Obama aux USA et du parti démocrate (les Clinton en tête) ne se retrouve en prison assez rapidement, ce qui déclenche une nouvelle attaque de panique à Washington.

    A l’évidence, l’étau commence à se resserrer sur les crapules qui du coup se mettent à très mal dormir et comprennent qu’il faut agir vite, très, très vite. Et donc la décision est prise de mettre immédiatement en examen le Président Trump devant la chambre des représentants (contrôlée par les démocrates) au prétexte que Trump aurait demandé à son homologue Ukrainien de l’aider à coincer les Biden, ce qu’il n’a pas fait… Pas de chance : Trump rend public immédiatement la conversation entre eux deux et le compte rendu montre que le Président n’a rien de demandé de semblable. Ce qui n’empêche pas la presse de répéter en boucle ce mensonge, y compris en France et le parti démocrate de lancer la procédure “d’impeachment” qui va donc commencer incessamment et sous peu devant la chambre des représentants… Mais le lecteur aura déjà compris qu’il ne s’agit que d’un contre-feu allumé par les démocrates pour disqualifier messieurs Barr et Durham en prétendant que ce sont des juges politisés et le même lecteur aura compris que Trump a tout intérêt à laisser les démocrates s’enferrer pour mieux les flinguer quelques semaines avant les élections de Novembre… Qui plus est et pour essayer d’aller le plus vite possible, les démocrates refusent tout droit à la défense du Président (accès aux témoins, contre interrogatoire menés par ses avocats), ce qui est sans précèdent aux USA. Du coup, Trump refuse de répondre aux questions et aux convocations de la Chambre et nous sommes en train de rentrer dans une crise constitutionnelle aux USA, car la tentative de coup d’état aux USA continue. Peut-être faudra-t-il que la Cour Suprême tranche…

    Mais la vérité finira bien par s’imposer : les informations qui vont sortir sur l’Etat Profond US et son incroyable corruption vont arriver… entre maintenant et les élections de Novembre, ce qui va faire l’effet le plus profond sur l’électorat, et si au moment des élections, la moitié des dignitaires démocrates se retrouvent en prison ou en fuite et l’autre moitié totalement déconsidérée pour n’avoir officiellement rien vu, il devient difficile de s’imaginer que Trump et les républicains seront battus.

    Un dernier mot sur les succès géopolitiques de cette classe de malfaiteurs. L’affaire Ukrainienne et l’affaire Syrienne sont étroitement liées.  Le Qatar a d’immenses réserves de gaz naturel. La grande idée de nos crapules de l’Etat profond était de faire passer un pipe-line du Qatar à la Turquie, au travers de la Syrie, ce qui aurait permis de foutre en l’air l’économie Russe en les privant de leur principale ressource, les exportations de gaz russe vers l’Europe, ce qui était le but ultime de ces grandes manœuvres. Hélas, la Syrie est gouvernée par les Alaouites, une branche du Shiisme et les qataris ont refusé ce plan tant que les Assad étaient au pouvoir car les qataris sont des Sunnites Wahhabites purs et durs qui n’ont que mépris pour les Shiites. Qu’à cela ne tienne dirent les américains, nous allons organiser une révolution en Syrie pour que les Sunnites reprennent le pouvoir. D’où la guerre civile en Syrie qui fera près de 300000 morts et des millions de réfugiés se déversant sur l’Europe. Au moment crucial ou tout risquait de basculer, la Russie avec Poutine est intervenue militairement pour sauver le régime des Assad et empêcher ISIS de prendre le pouvoir en Syrie comme l’espérait les américains (ISIS est une création des Etats-Unis), ce qui a fait s’effondrer le plan de l’état profond US. Les membres de cet état profond (Brenan, Comey, Clapper, Clinton, Obama, Biden) doivent écumer de rage puisque Poutine les a ratatiné deux fois, une fois en Syrie, une fois en Ukraine, ce qui donne des ailes à Trump, qui du coup va retirer les troupes US du moyen-Orient où elles se font tuer sans aucune raison juste pour enrichir quelques salopards à Washington. Voilà qui rendrait le monde beaucoup plus sûr. Depuis les Clinton, les Etats- Unis étaient tombés sous le contrôle d’une mafia criminelle. Nous arrivons au moment (peut-être) ou cette mafia va cesser de nuire et si c’était le cas, le monde redeviendrait vivable, très vite.

    https://www.lesalonbeige.fr/donald-trump-contre-letat-profond-aux-etats-unis/

  • Interdiction de faire de la politique !

    Numériser.jpegDe toutes parts, on nous l’assure : le populisme, où qu’il se dresse, est un échec. Bien entendu, la réalité est un peu plus compliquée. Analyse.

    De l'Italie à la France, du Royaume-Uni à la Pologne, de l’Autriche à la Hongrie - et combien d'autres encore - partout, semble-t-il, ceux qu'on nomme, avec un brin d'emphase et de mépris tout à la fois, les « populistes » semblent perdre du terrain, alors que partout (ou presque) ils progressent dans les urnes. Cherchez l'erreur…

    Le populisme, voilà l'ennemi ! Tel semble être aujourd'hui la devise des successeurs indigents d'Alphonse Peyrat et des continuateurs étriqués de Gambetta. Orban, Le Pen, Salvini, Johnson… tant d'autres se dressent qui agacent, semble-t-il par leur seule présence, les sectateurs dévots de Bruxelles.

    Inquiets des résultats électoraux successifs qui agitent les démocraties européennes, ceux-ci ne cessent d'aller répétant que le populisme est partout en échec. Mais il n'est pas sûr que faire l'autruche soit la meilleure manière, aujourd'hui, de se rassurer.

    Les européistes les plus décidés ont ainsi applaudi bien vite à la solution rapide de la crise italienne ils soupirent de soulagement en constatant les défaites successives que Boris Johnson enregistre depuis son arrivée à la tête du gouvernement britannique, et en additionnant les manifestants qui, ici et là, protestent contre les politiques de leurs leaders populistes.

    De fait, à Rome, Matteo Salvini n'a pas pu tirer, comme il le souhaitait, les marrons du feu qu'il avait lui-même allumé. Et Boris Johnson multiplie, comme atteint d'une scoumoune insensée, les difficultés sur le chemin qui doit mener le Royaume-Uni au Brexit.

    Le risque de gouverner et décider

    Dans l'un et l'autre cas, on nous explique que, en réalité, la chute des leaders populistes est due à une incompréhension fondamentale de la chose publique, incompréhension doublée d'incompétence. C'est faire un peu vite, nous semble-t-il, le procès d'adversaires qui ne devraient leurs victoires électorales qu'à une honteuse démagogie. Et, au passage, c'est prendre des millions de citoyens, d'électeurs, d'Européens, pour des imbéciles.

    Certes, on peut considérer que le coup de poker de Matteo Salvini a été un coup perdant, le président de la République italiens n'ayant pas suivi son idée de provoquer des élections anticipées. Mieux, il a réussi à se trouver une majorité qui, en lui évitant le recours aux urnes, lui a permis de se débarrasser d'un trublion qui aggravait la tension déjà palpable, entre Rome et Bruxelles.

    L’exemple italien est, à ce point, aussi typique que peut l'être l’actuelle crise britannique. À savoir que l’on se trouve devant des dirigeants politiques qui ignorent la réalité plutôt que d'avoir à prendre le risque de décider, de gouverner. De prendre des décisions.

    Que s’est-il passé à Rome, en effet ? Une nouvelle coalition a pris le pouvoir qui se trouve constituée de deux partis que tout ou presque oppose, et qui n'ont eu de cesser ces dernières années, de s’opposer.

    Est-il politique de nommer des gouvernants dont le seul but semble être de se refuser à poser des actes ? Et dont la coalition est fondée sur ce refus, et le refus de l'homme qui incarnait une volonté politique (qu’elle soit bonne ou mauvaise est une autre histoire ?

    Bruxelles agite l’épouvantail du populisme, et cela lui suffit pour mener la barque de l'Union européenne, chaque pays se contentant de suivre les décisions et directives européennes. Certains pays en se dotant, comme l'Italie, de gouvernements contre-nature. Certains en se passant même, comme la Belgique, d'avoir un gouvernement.

    Et ainsi, alors que le gouvernement Conte I était perçu comme populiste, le gouvernement Conte II est désormais un gouvernement proeuropéen. Tout et l'inverse de tout. Combien de temps un tel gouvernement pourra-t-il tenir ?

    Peu importe, en définitive, puisque l’on arrive même aujourd'hui à persuader les électeurs que, lorsqu'ils ont voté pour de « mauvais » gouvernements, c'est qu'ils avaient été trompés. Mais comment peuvent-ils désormais, en votant à l'inverse de ce qui semblait faire leurs convictions d'hier, être persuadés de ne pas l'être de nouveau ?

    Un échec, oui ! Celui de la politique.

    En criant « au loup » à chaque fois qu'un homme politique assure à ses compatriotes qu'ils n'ont pas à se repentir de préférer leur patrie à celles de leurs voisins, les européistes pensent prouver que l'expérience populiste est un échec.

    Or il n'en est rien. Ce à quoi conduit cette culpabilisation permanente des électeurs, c'est à un rejet non du populisme, mais du politique en lui-même. Détruire la confiance n'est jamais une saine manière de faire de la politique.

    Qu'importe ! On va nous répétant que le populisme est fondé sur une vision fausse d'un affrontement entre le peuple et les élites. Mais ce sont bien les élites qui, en dénonçant les peuples qui votent « mal », creusent ce fossé.

    Un jour où il avait tâté plus encore que d'ordinaire, sans doute, de la dive bouteille, Jean-Claude Juncker, président sortant de la Commission européenne, l’a déclaré sans faux-semblant. Interrogé au mois de janvier 2015 sur la volonté qu exprimerait un pays de sortir, démocratiquement, de l'Union européenne (il s’agissait alors de la question grecque), Jean Claude Juncker avait répondu « Il ne peut pas y avoir de choix démocratique contre les traités européens ».

    Autrement dit, un vote qui va à rencontre de l'Union européenne ne peut pas être démocratique.

    Démocratie confisquée

    C'est pour cela que le Brexit en particulier, et le populisme en général, sont des dangers pour Bruxelles. Pour cela, c'est-à-dire parce que la démocratie a été confisquée par une oligarchie qui s'en veut l'incarnation.

    À partir de là, on peut faire dire ce que l'on veut à tout - à commencer par les chiffres. On trouve extraordinaires les élections des candidats qui nagent dans le sens du courant, en oubliant d'observer les taux d'abstention qui ne cessent de gonfler. En revanche, lorsqu'une foule manifeste contre un gouvernement populiste - prenez le cas du premier ministre tchèque fin juin - on oublie qu'il est arrivé au pouvoir parce que ses concitoyens lui ont accordé leurs suffrages.

    La dialectique est telle, qu'elle met en péril l’équilibre du système démocratique. Si le peuple prend réellement conscience de ce qu'il est floué, la réaction peut être violente.

    C'est pour cette raison, n’en doutons pas, qu'un Jean-François Kahn pouvait écrire, il y a deux ou trois ans, qu'il ne fallait pas dénoncer le populisme, mais au contraire distinguer les populismes. Nuancer le propos. « Nous sommes aujourd'hui confrontés, pour l’essentiel, à des populismes pour le pire, affirmait-il. Or, ne nous y trompons pas ce populisme-là, qui gagne partout du terrain, on ne pourra le mettre en échec que si on parvient à refonder un populisme pour le meilleur »

    À l'époque, il donnait comme modèle de ce « meilleur » populisme Benoît Hamon. Il faut se pincer, et comprendre que, avec un peu d'intelligence, on peut faire dire aux mots ce que l'on veut. Et le faire admettre par le plus grand nombre. Pour le fondateur de Marianne, cela consisterait donc à « fédérer en un vaste mouvement de renouveau démocratique les différentes couches sociales constitutives du peuple réel ». En clair, à réinjecter du peuple dans la démocratie confisquée par les oligarques afin de pouvoir, de nouveau, le canaliser.

    On est, ou non, démocrate. Mais on ne peut prétendre jouer sur les deux tableaux. Endormir le peuple pour lui faire croire qu’il décide quand il ne cesse de se faire berner, bercer de l'illusion qu'un jour sa souveraineté le conduira au bonheur, pendant que des technocrates, non élus parfois, se partager gâteau.

    Non, le peuple, ce n est pas eux !

    Hugues Dalric monde&vie 3 octobre 2019

  • [VIDÉO] Débat tendu entre Eric Zemmour et le journaliste Mohamed Sifaoui au sujet de l’islam en France

    Débat tendu entre Eric Zemmour et le journaliste Mohamed Sifaoui sur CNews : « Je prends l’islam au sérieux. […] Regardez ce qu’il se passe aujourd’hui, regardez toutes les études sur la ré-islamisation dans toutes les banlieues françaises. »

  • Une découverte tardive : le danger Erdogan

    6a00d8341c715453ef0240a4baa020200d-320wi.jpgLes bonnes consciences s'étranglent sans nul doute à juste titre de voir Erdogan, de voir ses troupes, fictivement membres de l'Otan, et de voir en même temps leurs alliés islamo-terroristes, pénétrer dans le territoire juridiquement syrien de la Rojava kurde.

    Remarquons d'abord que cette découverte a quelque chose d'un peu tardif, quand on mesure que cette forme d'intervention militaire a été pratiquée de manière constante depuis un demi-siècle, depuis l'occupation impunie du nord de l'île de Chypre mais aussi lorsque l'armée d'Ankara multipliait les raids contre l'Irak, etc. Les atteintes aux droits de l'Homme et les déportations systématiques de populations ne sont pas une nouveauté.

    Ayons la lucidité de reconnaître que ce n'est pas l'appartenance de la République de Chypre qui a fait [légèrement] monter la préoccupation des grandes âmes, mais la perspective des forages pétroliers dans la zone économique de l'île et en Méditerranée orientale.

    Les révoltes kurdes n'ont jamais cessé, elles ont toujours été réprimées dans le sang et le silence de la communauté internationale alors que les traités de la première guerre mondiale avaient promis la création d'un Kurdistan libre.

    Les Kurdes forment effectivement, encore aujourd'hui, on le découvre de plus en plus, le dernier grand peuple sans État.

    Que l'opération en cours ait été rendue possible par la décision calamiteuse du président américain n'exonère pas l'Europe de sa coupable absence et, pis encore, de sa criante impuissance. Rappelons ici un point d'histoire : Ce n'était pas aux États-Unis, mais à la France, que le traité de Sèvres de 1920 et la Société des Nations avaient donné mandat de protéger la Syrie.

    Dans "La Question turque et l'Europe" je rappelle aussi dans quelles conditions, particulièrement honteuses, et stupides, déjà lors de la signature en 1939 de l'accord anglo-franco-turc ont été livrées une partie des populations kurdes et syriennes, celles du sandjak d'Alexandrette qui allait devenir la province "turque" du Hatay, que la France était censée protéger.

    Depuis la publication, il y a maintenant 10 ans de ce petit livre consacré à la Turquie, les choses ont, en effet, beaucoup évolué. Elles ont incontestablement empiré.

    Erdogan est allé dans le sens que l'on pouvait hélas prédire : il continue sa logique et son entreprise de reconstitution de l'Empire ottoman, rêvant de faire fonction de commandeur des croyants de l'islam sunnite, sultan-calife siégeant à Ankara, comme jadis ses devanciers à Constantinople.

    Il est vrai que le président turc, désireux d'une extension de ses prérogatives, fait appel à des figures plus modernes et plus parlantes peut-être que celles des sultans ottomans. Il cite désormais en exemple d'un régime présidentiel efficace l'Allemagne nationale socialiste. Aurions-nous affaire à un "islamo-hitlérien"?

    À l'heure où, comme les États-Unis, la France retire ses Forces spéciales face à son offensive, on se préoccupe, et cela nous semble la moindre des choses, d'assurer la sécurité des personnels français militaires et civils présents dans la zone. Nous pourrions cependant nous interroger sur cette "moindre des préoccupations".

    Nous sommes aussi obligés de constater que les ministres européens n'ont même pas été capables de s'accorder sur la cessation des ventes d'armes à la Turquie, en raison, nous dit-on, du veto de la Grande Bretagne qui, pourtant, demande à quitter l'Union européenne dans 15 jours. Les 27 États Membres ne pouvaient-ils pas s'accorder sur une décision commune ?

    Le Ministre des affaires étrangères luxembourgeois donne, quant à lui, une mesure correcte de leur impuissance collective. Concernant l'opération de l'armée turque en Syrie, il déclare : "En tant qu'Européens, nous ne sommes pas en mesure d'arrêter cela. Nous devons le dire aux gens honnêtement." Voilà au moins qui est franc.

    Jean-Dominique Merchet, chroniqueur militaire de L'Opinion peut ainsi nous offrir un résumé de la situation, qui conclut : "Rarement dans l’histoire récente, nous n’avions vu une telle déconfiture française. La colère de Paris ne traduit que son impuissance. Pour la France, l’affaire syrienne aura été consternante de bout en bout."

    JG Malliarakis 
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    Une réunion des Amis de l'Insolent

    Jeudi 17 octobre  JG Malliarakis donnera une conférence suivie d'un débat sur le thème "Les Sociétés de pensée et la Révolution" de 18 h à 20 h Brasserie du Pont Neuf 14 quai du Louvre Paris 1er

    6a00d8341c715453ef0240a4df3ef6200b-120wi.jpgUn livre qui n'a jamais été démenti depuis 10 ans
    Jean-Gilles Malliarakis : "La Question turque et l'Europe".
    Depuis 2014 le parlement d'Ankara a voté la possibilité pour l'armée turque de pénétrer en territoire syrien ou irakien. Alors, l'illusoire alliance entre ce pays et l'occident était à nouveau réaffirmée. Et pourtant les objectifs poursuivis par la Turquie se sont révélés bien différents.
    Or, ce pays reste candidat à l'Union européenne. Et on cherche à rendre ce projet présentable, pour complaire aux sympathisants de l'islamisme. Depuis 20 ans, tous les actes d'Erdogan bouleversent l'illusoire laïcité instituée par Mustafa Kemal..
    ••• Un livre de 190 pages au prix de 20 euros.
    • à commander sur la page catalogue des Éditions du Trident
    • ou par chèque en téléchargeant un bon de commande

    https://www.insolent.fr/2019/10/une-decouverte-tardive-le-danger-erdogan.html

  • Recalée à la Commission européenne, Sylvie Goulard devrait revenir à la Banque de France avec une rémunération conséquente

    Sylvie Goulard, candidate malheureuse à la Commission européenne, pourrait revenir à la Banque de France, avec une rémunération conséquente à la clé : environ 24 351,25 euros par mois.

    Avant d’échouer à la propulser à Bruxelles, via le siège réservé à la France, le président de la République l’avait déjà nommée à un autre poste de prestige, en janvier 2018. Celui de sous-gouverneur de la Banque de France. Une fonction dont elle a pris congé à compter du 1er septembre dernier – sans percevoir son salaire, précise l’institution – pour se consacrer à la procédure de nomination des commissaires européens à Bruxelles. Celle-ci venant de prendre fin, Sylvie Goulard s’apprête, selon toute vraisemblance, à retrouver ses fonctions. […]

    Selon le rapport d’activité annuel de la l’institution, la rémunération brute totale de la seconde sous-gouverneure s’est élevée à 210.251 euros bruts en 2018, soit un peu moins de 18.000 euros par mois. Un salaire “au prorata de sa présence”, précise l’institution à Capital. En clair, payée du 22 janvier au 31 décembre seulement, Sylvie Goulard aurait normalement dû percevoir quelques milliers d’euros supplémentaires. À ce confortable salaire, il convient d’ajouter l’indemnité de logement brute imposable de 5.712 euros par mois, dont elle bénéficie. De son côté, le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Gahlau – qui rend public son salaire depuis 2016 – a touché 288.098 euros bruts en 2018, soit environ 24.000 euros bruts par mois. […]

    capital

    http://www.fdesouche.com/1277677-recalee-a-la-commission-europeenne-sylvie-goulard-devrait-revenir-a-la-banque-de-france-avec-une-remuneration-consequente

  • Le Danemark rejette le système de redistribution des migrants de l’UE

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    Le Danemark a récemment déclaré qu’il refuserait de prendre part à la nouvelle proposition de Bruxelles de répartition des migrants, que certains des Etats membres ont adopté.

    Le ministre danois de l’immigration et de l’intégration, Mattias Tesfaye, a déclaré que son pays ne participerait pas à l’arrangement qui permettrait de répartir les migrants nouvellement arrivés entre divers États membres, rapporte le média danois The Local.

    A la fin septembre, quelques Etats membres de l’UE ont accepté d’accueillir plus de migrants, dans un « effort de redistribution », lors d’une réunion à Malte.

    Le Danemark ne veut rien entendre

    « Nous ne voulons pas prendre part à la redistribution convenue entre les pays de l’UE et le soi-disant accord de Malte », a déclaré Tesfaye lors de la réunion de mardi entre les ministres européens de l’intérieur au Luxembourg.

    Le ministre danois a alors averti que le nouveau programme de redistribution de l’UE ne ferait qu’encourager davantage de migrants à traverser la Méditerranée.

    « Je pense que c’est une solution à court terme car de plus en plus de bateaux navigueront vers les ports européens », a déclaré Tesfaye.

    Jusqu’à présent, en dehors de quatre pays de l’UE qui ont élaboré un plan de répartition des migrants, seuls trois autres Etats membres ont adhéré au programme – l’Irlande, le Portugal et le Luxembourg.