«Ce n’est pas une priorité d’imposer le confinement dans certains quartiers.»
Un haut responsable du gouvernement français a reconnu que des mesures de confinement draconiens imposés au reste de la population ne devraient pas être mises en œuvre dans les ghettos du pays afin d’empêcher les émeutes.
Dans une lettre divulguée au Canard Enchainé, le secrétaire d’État français au ministère de l’Intérieur, Laurent Nunez, a déclaré : « Ce n’est pas une priorité de forcer le confinement dans certains quartiers et d’empêcher les rassemblements. »
Dans une autre visioconférence, Nunez a ajouté que de restreindre les mouvements et fermer les magasins dans les réputées banlieues françaises risquaient d’engendrer des troubles sociaux violents s’ils étaient appliqués trop rigoureusement.
Un préfet régional qui participait à l’appel a convenu que les entreprises qui avaient été fermées dans d’autres régions de la France devraient rester ouvertes dans les quartiers pauvres afin d’aider à la « médiation sociale ».
« Cette atteinte aux lois essentielles, ce mépris manifeste pour la population dans son ensemble, survient à un moment où la police, les ambulances et les pompiers font face à des niveaux d’hostilité records lorsqu’ils s’aventurent dans la banlieue où des gangs mettent le feu à des voitures, puis les attaquent lorsqu’ils arrivent pour les aider », écrit Damian Wilson sur RT.
Comme illustré dans la vidéo ci-dessous, chaque fois que la police tente d’appliquer des mesures de quarantaine, voire tout autre acte d’application de la loi dans les zones à forte densité de migrants, elle est immédiatement encerclée et intimidée par des bandes de migrants. Il n’est pas rare que des camions de pompiers et des ambulances soient attaqués dans ces zones «sensibles».
Lire la suite sur Alterinfo