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La crise sanitaire engendrée par le Coronavirus frappe une Europe qui pensait être sortie de l’histoire. Face à une situation grave, l’état d’impréparation de nos élites politiques saute aux yeux. Comme si le pire n’était plus possible. Comme si la vie des sociétés européennes n’était plus qu’un long fleuve tranquille.
Plus de stocks, que du flux tendu. Délocalisation, même pour les entreprises stratégiques. Insuffisance de moyens hospitaliers, policiers, militaires. Si gouverner c’est prévoir, nous pouvons considérer que nous ne sommes plus gouvernés. Aucune vision à long terme, que de la gestion comptable. Et à ce jeu-là, nos élites nationales n’ont rien à envier à celles de Bruxelles. Le problème n’est pas institutionnel mais bien idéologique.
Le mardi 13 juin 1564, le jeune roi Charles IX accompagné de sa mère Catherine de Médicis fit son entrée à Lyon que la peste ravageait. On mourait partout, dans les rues comme chez soi. Les cimetières étaient pleins de morts et d’agonisants entassés ensemble. Les fossoyeurs, habillés en jaune, jetaient les cadavres dans le Rhône. D’après l’historien Claude de Rubys (1533-1613), la peste à Lyon causa 60 000 morts. Chiffre certainement excessif, mais éloquent. Ambroise Paré, le père de la chirurgie moderne, figurait dans le cortège royal. C’était le chirurgien de Charles IX comme il l’avait été de son père Henri II et de son frère aîné François II.
Âgé d’une cinquantaine d’années, il avait une vaste expérience des épidémies et autres malheurs du temps. Après le retour à Paris, Catherine de Médicis lui demanda de rédiger un traité de la peste, et, dans ce cadre, de faire le récit du voyage à Lyon. Le traité décrit une réalité terrifiante.
Les Chinois vivent sous une dictature qui use des moyens de la dictature, entre autres la propagande. L’information officielle ne se soucie pas de la vérité, cette adéquation de la pensée aux choses (note à l’attention de Sibeth Ndiaye : là, c’est vraiment de saint Thomas d’Aquin), mais seulement d’établir une version assez crédible pour être martelée jusqu’à s’imposer, et qui sert bien évidemment ce qu’elle perçoit comme étant ses intérêts. Le quasi-monopole des médias rend ce contrôle plus aisé que dans un monde où les médias sont libres, multiples, concurrentiels et non soumis à une autorité politique. Mais la propagande est aussi diffusée à l’extérieur des dictatures, parfois. Il semblerait que la Chine ait décidé de promouvoir l’idée qu’elle a très efficacement jugulé l’épidémie, affichant un bilan officiel de seulement 3.301 décès au 27 mars 2020, suivant la synthèse de l’OMS.
Ils se veulent indépendants et libérés du politiquement correct. Ils font un tabac sur les plateformes vidéos. Ils représentent un ton nouveau. Avec sa rubrique « Les nouveaux talents », TV Libertés donne « carte blanche » aux nouvelles générations et tout particulièrement au jeune « youtubeur » Théo. Après la fin de la « French Connection », le gros du trafic de drogues s’exporte en Colombie. Là-bas, c’est de la cocaïne qui est fabriquée et devinez par qui ? Par nos chimistes français issus de l’ancien trafic défait. Rapidement, ils s’allient à Pablo Escobar et parviennent à recréer un marché mondial autour d’une petite ville : Medellín. Souvent pointés du doigt comme des malfaiteurs indépendants, se jouant des lois et des États, capables de corrompre des gouvernements entiers, les cartels, à l’image de celui de Medellín, sont parfois les outils d’organisations encore plus puissantes. A qui profite le crime ? C’est ce que nous allons tenter de découvrir dans cette courte vidéo écrite et réalisée par Théo .
Ancien responsable de la DGSE dans les années 1980, puis fortement engagé dans la montée en puissance des opérations spéciales (COS) dans les années 1990, Xavier Guilhou est un spécialiste reconnu de la prévention des risques, de la gestion des crises et de l’aide à la décision stratégique. Dans l’entretien qu’il a accordé à Bruno Racouchot, directeur de Comes Communication, il déclare :
Patrick Devedjian n’est plus. L’occasion de se souvenir de son parcours, fait de contradictions et de rancœurs.
Bref, le défunt était aussi – et surtout ? – la somme de ses propres incohérences ; inévitable lot de la nature humaine. La famille explique souvent beaucoup. La sienne, arménienne ayant fui les massacres turcs au début du siècle dernier, demeure sa matrice qui l’amène à penser que la marche de l’humanité tendrait à se résumer à un affrontement eschatologique entre islam et chrétienté.
En 2017 l’élite technocratique, la « technocrature » donc, au travers son mandataire Emmanuel Macron, à pris le pouvoir politique. Tous les pouvoirs ! Si elle a dégagé « l’ancien monde », celui de l’élite politique, en une soirée électorale, c’est tout simplement car il était disqualifié et qu’il fallait sauver le Système. Macron l’a fait tout comme Bonaparte avait sauvé la République le 18 Brumaire. La dénonciation de cette prise de pouvoir technocratique a rapidement été réalisée – souvent avec pertinence – par la Gauche et l’ultra-gauche mais dans une approche complotiste qui ne peut satisfaire la nouvelle génération des jeunes maurrassiens du XXI° siècle.
Il existe bel et bien des liens entre la CIA, la France et le trafic d’héroïne. Aussi surprenant que cela puisse paraître, c’est de ces relations inavouables qu’est né l’un des premiers cartels de drogues international : »La French Connection ». Ne nous y trompons pas, cette appellation, réduisant le trafic à notre chère France, permet habilement d’en minimiser l’ampleur. Si il y a bien un domaine où la mondialisation fut heureuse, c’est bien dans les trafics illégaux, et particulièrement celui des stupéfiants. La France n’en est que la partie émergée. Ainsi, en étudiant l’histoire du trafic de stupéfiants, nous mettons en lumière certains enjeux occultés, et rappelons quelques liens parfois oubliés. Cette vidéo sera la première d’une série de 3 épisodes ayant pour ambition la synthèse d’un marché, parfaitement illicite, et pourtant bien intégré à notre PIB.
Comme d'habitude, il faut tout écouter et nous ne relèverons ici que quelques points particulièrement significatifs.
1) Zemmour a beau jeu - et bien raison - de déclarer "ridicule" la façon dont Macron parle de "guerre" : certains dans son entourage vont même jusqu'à le comparer à Clemenceau ! On touche le fond de l'absurde.
2) Zemmour a encore raison lorsqu'il note que cette mobilisation demandée aux français pour sauver l'économie est "tellement contradictoire" avec le confinement et le "restez chez vous"...
3) Mais surtout, Zemmour rappelle avec raison la grande différence entre l'esprit public patriotique de 1914 et l'esprit public d'aujourd'hui. Il suffit de lire les lettres des Poilus ("Je me bats pour la France", "Je crois en Dieu"...) : aujourd'hui, dit Zemmour, on a tellement démoli le patriotisme qu'il va être très dur d'envoyer les gens au combat économique. Ce "on" c'est le ministère de la des-éducation nationale, c'est le Système qui s'acharne depuis 1875 à démolir tout ce qui faisait l'homme ancien pour le remplacer par l'homme nouveau, sans Dieu et sans Roi, sans Racines et sans Traditions, sans Passé et qui déteste son Histoire parcequ'on la lui a raconté d'une façon mensongère...
4) Et donc maintenant, on nous sort 25 ordonnances pour sauver l'économie (dit-on) sinon c'est la ruine de la France ! La semaine pourra aller jusqu'à 60 heures, au lieu des 48 heures maximales d'aujourd'hui (seul point positif, ce sera peut-être la fin - enfin ! - des 35 heures)...; il faudra travailler 7 jours sur 7 (donc le Dimanche) : "on va nous demander Germinal !" s'exclame Zemmour. En 1914, les français ont répondu présent, on peut rester dubitatif pour aujourd'hui lorsque l'on voit l'état de l'esprit public, créé par le Système !