Depuis sa récente réélection, Donald Trump incarne plus que jamais une figure singulière de la scène politique mondiale. Son retour sur le devant de la scène s’inscrit dans une tendance qui semble aujourd’hui s’affirmer avec force outre-Atlantique : celle d’une "post-politique", une forme de communication politique épurée de l’art du raisonnement, où le discours se résume à une série de slogans bien frappés. Dans cette ère de l’instantané et de l’image, Trump se distingue comme un maître dans l’art d’incarner ses messages. Là où l’homme politique français doit justifier chaque promesse, chaque projet, Trump n’a qu’à affirmer — le verbe lui suffit, la posture achève le reste.
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Tom Homan : qui est le nouveau « Monsieur immigration » de Donald Trump ?
Tom Homan, ancien directeur intérimaire de l’ICE (Immigration and Customs Enforcement), fait son retour aux côtés de Donald Trump, nommé comme « Tsar des frontières » pour la prochaine administration. Cet homme expérimenté, qui a consacré plus de 30 ans de sa vie à l’application des lois sur l’immigration et la sécurité nationale, représente une figure de fermeté et de rigueur pour la protection des frontières américaines.
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Les artilleurs russes ont frappé un groupement de forces ukrainiennes
Le groupement Dniepr a utilisé des obusiers D-30 pour toucher les cibles détectées par le renseignement aérien, raconte un correspondant de Sputnik sur place. -
La France doit quitter l’Otan et s’allier avec la Russie
Sommes-nous des citoyens transatlantiques ou des citoyens paneuropéens ? Pourquoi les Européens devraient-ils s’insérer dans un Commonwealth du XXIe siècle piloté par Washington ? L’avenir de l’Europe est eurasiatique, pas euro-atlantique.
L’Europe ne va pas de Washington à Bruxelles, mais de Brest à Vladivostok. L’océan Atlantique sépare l’Amérique de l’Europe, alors que l’Europe et la Russie sont deux grands voisins complémentaires. La Grande Europe doit devenir « notre Maison Commune et non pas un théâtre d’opérations militaires » a pu dire Mikhaïl Gorbatchev.
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Le souvenir qui s'efface, l'espérance qui demeure...
C’était un 11 novembre de brouillard et de pluie, avec une éclaircie trop brève, comme le symbole climatique des temps de 1918 et de 2024… Il ne faisait pas meilleur temps en 1918, et l’humidité de ce jour de 2024 n’est rien au regard des orages d’acier que subirent les poilus et leurs adversaires teutons : l’avons-nous oublié ? Car la mémoire des nations est capricieuse, parfois oublieuse, et l’actualité permanente dans laquelle vivent nos sociétés contemporaines de consommation, de communication et de présent permanent, n’aide guère à se souvenir pour ceux qui n’ont pas vécu ces temps désormais lointains des guerres et des occupations de notre territoire historique. Une anecdote pour s’en convaincre : ce matin, une mère de famille et sa fille adolescente s’apprêtaient à payer le stationnement de leur véhicule dans une rue de Versailles, toute proche de la Mairie et de son immense monument aux morts couvert de centaines de noms et de quelques dates à l’écho de glas. Leur rappelant alors que le 11 novembre était jour férié et que, donc, le stationnement était gratuit, je vis leur surprise, non feinte : « Férié ? Ah bon, mais pourquoi ? ».
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Dépenses nuisibles : les Européens sont le premier peuple à financer son propre remplacement
Jean-Yves Le Gallou, co-fondateur de l’Institut Iliade et président de Polémia, donne rendez-vous le samedi 16 novembre à Paris, au Forum de la Dissidence, sur le thème « 3000 milliards de dette : chassons les dépenses nuisibles ! ». Il répond aux abonnés à la lettre de l’Institut Iliade, à un certain nombre de questions :
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Toulon (83) : un homme de 19 ans connu comme étant une figure de la cité de la Beaucaire en garde à vue après la découverte de fusils d’assaut et plusieurs centaines de munitions
INFO BFM TOULON VAR. Un homme, défavorablement connu des services de police pour des affaires de stupéfiants, a été interpellé dans la nuit de dimanche à lundi. Lors d’une perquisition, des pistolets et des armes automatiques ont été découverts.
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Aucun droit de parole à Bruxelles pour parler de la paix en Ukraine selon Thierry Breton.
Trump à peine élu et pas encore à la maison Blanche, on peut pourtant déjà entrevoir les conditions de l’arrêt de la guerre en Ukraine, c’était quelque chose qui était inconcevable !
C’est ainsi que commence Thierry Breton ancien mamamouchi européen et camarade commissaire politique à la grosse Commission.
Puis il va encore plus loin en expliquant…
“Et je peux vous le dire dans les couloirs de la Commission Européenne on n’avait absolument aucun droit de parole.”
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L’heure de la « France puissance »
Combat royaliste 48
Par Philippe Germain
Jamais nous ne cesserons de rire devant la galéjade de « l’Europe puissance » et pour défendre les intérêts territoriaux français, nous lisons Entre empires et nations, un chemin français (2006) du bainvillien Gilles Varanges en nous calant sur un vocabulaire contemporain tiré de cycles historiques.
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V.RUSSIE - REFLECHISSEMENT !!! SUR LA SITUATION EN UKRAINE ET LA VIE EN RUSSIE