Dans une précédente note, j’évoquais le cas de l’usine Saupiquet de Quimper, victime d’une délocalisation qu’il n’est pas absurde de taxer de spéculative et qui laisse plus de 120 personnes sur le carreau, sans emploi ni promesse fiable d’emploi prochain. Mais il serait malhonnête ou faux de penser que c’est la seule et unique cause des fermetures d’usines et d’entreprises aujourd’hui.
Une autre cause des fermetures d’usines actuelles doit être évoquée et dénoncée : la hausse des prix de l’énergie, devenus insupportables pour nombre d’entreprises ou de commerces, de la petite boulangerie de village à la grande unité de production de pneumatiques comme Michelin.