
« Rien ne va plus », cette petite phrase habituellement prononcée au casino, autour d’une roulette, s’invite dans la politique sous forme de principe de réalité. A savoir que l’influence européenne et sa traduction sur le terrain commencent à se voir au point qu’il n’y a plus besoin de statistiques pour comprendre ce qui nous arrive et percevoir les changements en cours. Les Irlandais, les Italiens, les Hongrois et bien d’autres ne veulent plus de migrants, plus du « pacte migratoire », celui consiste à obliger les pays à prendre, non pas des « migrants », mais des conquérants d’origine arabo-afro-musulmane, que l’on doit non seulement accueillir mais également subventionner, alors que personne n’a voté pour ça. Au RPF, cela à toujours été l’une de nos propositions : on vient en France à ses frais. Non seulement les peuples européens ont bien compris que l’on payait et même que l’on payait très cher, pour accueillir des gens sans aucune justification économique, mais que ces gens ne venaient pas, ou pas tous et de loin, avec des intentions amicales. Nunez, le nouveau Ministre de l’intérieur, que l’on connaît bien, serait paraît-il réticent à donner les chiffres de la délinquance. Non seulement les chiffres, mais le profil des délinquants, toujours le même et qui n’a pas changé depuis trois à quatre décennies, celui qui monopolise les places de prisons.
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