Vendredi dernier à Washington, le président américain, Barack Obama, a tenu à « honorer » de sa présence le “gala” de la conférence annuelle de Planned Parenthood, premier avorteur aux États-Unis avec 300000 bébés tués chaque année dans ses avortoirs ! Obama est par ailleurs le premier chef d’État américain à se rendre au gala de Planned Parenthood. Lors de son discours, Obama a assuré le PP qu’avec lui, « il aurait toujours un président à ses côtés ».
Mais le comble était à venir… Le président américain a cru pouvoir invoquer la bénédiction de Dieu pour les avorteurs : « Dieu vous bénisse ! », a-t-il en effet terminé. Comme si Dieu pouvait bénir ceux là même qui exterminent dans le ventre de leur mère les vies humaines, conçues, dont il est l’Auteur ! Pas une religion n’admet l’avortement ! Pas une structure de pensée qui reconnaisse l’existence d’une transcendance ne fait l’apologie du crime commis sur les petits d’homme ! Invoquer la bénédiction de Dieu sur des avorteurs, voilà qui est pour le moins singulier et incongru !!
Il faut cependant rappeler que le Planned Parenthood a contribué à hauteur de 15 millions de dollars à la dernière campagne présidentielle d’Obama. La même année, le gouvernement d’Obama subventionnait cette association de malfaiteurs à hauteur de 87 millions de dollars PP…
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=Mpm_giEdj0E
http://www.contre-info.com/
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Mesdames, venez tester le régime Valls !
Mesdames, venez tester le régime Valls !
Attention aux grains (de Vals) !
Un régime révolutionnaire, testé par la rédaction : pour l’été, vous serez belles et rebelles !
Où ?
Dans le cadre prestigieux des Invalides, du Champ-de-Mars et des quartiers chics de nos belles villes de France.
Avec qui ?
Vos amies, vos filles, vos sœurs, vos collègues, mais pas seulement entre filles. Votre mari, vos enfants, vos adolescents, vos parents sont bienvenus. Sans limite d’âge.
Quoi ?
Un programme personnalisé vous permettra d’alterner sport et méditation, travail vocal et activités manuelles. Quelques exemples : nos animatrices vous conduiront au cœur des manifestations (pour marcher, crier, bouger, taper sur des casseroles), vous trouveront les plus belles pelouses pour des sit-in (pour la paix intérieure), passeront avec vous la nuit à veiller (une occasion unique de contempler les étoiles), vous apprendront comment apporter votre soutien aux plus jeunes (confection de banderoles, de kits antilacrymogènes), etc. En option : chant choral. Possibilité d’after (après démaquillage, déconseillé aux personnes porteuses de lentilles).
Possibilité de privatisation pour enterrement de vie de jeune fille, anniversaires de mariage, fêtes de famille, etc.
Quand ?
A votre choix, mais surtout en fin de journée et début de nuit.
Code vestimentaire :
Tenue décontractée de saison, chaussures de sport, foulard, petit sac à dos. En option : fleurs dans les cheveux. Matériel non fourni : pour les manifestations, batterie de cuisine, sifflets, bouchons d’oreille conseillés. Pour les veillées, bougies parfumées, thermos, petits fours, gâteaux maison. Pour les sit-in, lectures pacifistes. Pour les after, liste sur demande.
Code couleur :
Selon les actions envisagées, bleu et rose fuchsia, ou passe-muraille.
Vos armes pour réussir :
Bonne volonté, bonne humeur, sens de l’humour, cohésion, imagination.
Un must :
La garde à vue, pour tester votre zen attitude dans les lieux les plus sordides.
Une certitude :
Vos kilos superflus s’envolent, votre teint se réveille, votre jeunesse revient ! Pour l’été, vous serez belles et rebelles !
Durée de l’offre :
jusqu’à fin mai au moins – extension possible jusqu’au 14 juillet.
Offre non limitée :
Faites-la circuler à vos 10 meilleures amies ! Messieurs bienvenus.
Anne-Laure Blanc
Boulevard Voltaire
27/04/2013
Correspondance Polémia – 29/04/2011
http://www.bvoltaire.fr/annelaureblanc/mesdames-venez-tester-le-regime-valls
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L'Agrif aide les victimes de violence policière
Lu ici :
Face aux manifestations pacifiques, le gouvernement a eu, dès le 24 mars 2013, des réactions indignes. La police de Manuel Valls n’a pas hésité à gazer ce que Gabrielle Cluzel a appelé « la France bien élevée », des femmes, des enfants.
Depuis, les mesures arbitraires se multiplient : gardes à vue de 67 veilleurs qui ne troublaient en aucun cas l’ordre public, maintien au commissariat pendant 4 h pour de prétendues vérifications d’identité, prolongations vexatoires de gardes à vue et défèrements après 48 h de garde à vue devant le procureur après maintien abusif pendant une nuit supplémentaire au dépôt du Palais de justice, violences policières, atteintes à la liberté individuelle de jeunes et moins jeunes gens commettant le crime de porter un tee-shirt de la « Manif pour tous » au lieu de tee-shirt de Che Guevara. La liste n’est pas exhaustive.
Il s’agit bien en pratique d’une traque et d’une tentative d’intimidation des opposants au prétendu mariage homosexuel d’un gouvernement aux abois. Cette loi qui cristallise une opposition massive et de fond constitue un « changement de civilisation » comme le dit elle-même TAUBIRA.
Conformément à l’article 2 de ses statuts, le but général de l’AGRIF est de « défendre les valeurs menacées de notre civilisation, combattre les idées subversives, proposer des solutions de renouveau ».
Dans ce cadre, l’AGRIF met ses avocats à la disposition des manifestants injustement ou arbitrairement verbalisés, arrêtés, détenus, poursuivis ou violentés. L’AGRIF aidera, dans la mesure de ses maigres moyens, ceux qui la solliciteront.
Les avocats de l’AGRIF ont déjà passé de nombreuses heures en gardes à vue. Ils sont amenés à défendre de nombreux manifestants tout au long du mois de juin prochain lors de nombreuses audiences.
Toute demande d’aide ou d’assistance sera soumise à l’appréciation du Président ou d’un membre du bureau de l’association. AGRIF : 70 bd Saint-Germain
75005 PARIS, tél : 01 40 46 96 31, agrif@wanadoo.fr
Lahire http://www.lesalonbeige.blogs.com/ -
A Nice, les Identitaires viennent rappeler que l’agression de deux homosexuels était surtout FRANCOPHOBE
NICE (NOVOpress) - Ce soir devant le Palais de Justice de Nice, le Comité Ahura Basta (“maintenant ça suffit”) qui dénonce l’insécurité à Nice a organisé un rassemblement pour revenir sur l’agression de deux jeunes le 21 avril dernier. Philippe Vardon (président de Nissa Rebela, les identitaires du Pays Niçois) a pris la parole lors de ce rassemblement symbolique ayant réuni une quarantaine de personnes (image ci-dessus).
Dans son intervention, il a rappelé que les médias locaux et nationaux, les politiques, les associations LGBT s’étaient emparé de cette affaire en mettant en avant le supposé caractère “homophobe” de cette agression, tout en omettant – volontairement – de parler du racisme antifrançais, pourtant clairement évoqué par Raphaël, l’une des victimes, dans tous ses témoignages.
Ainsi, Philippe Vardon a appelé à rétablir la vérité et l’équilibre. Là où les médias avaient sciemment pointé du doigt les opposants au projet de loi Taubira, désignés comme coresponsables si ce n’est coauteurs de cette lâche agression, le dirigeant identitaire a lui rappelé que les victimes ont désigné des “gens des pays de l’Est” et que les agresseurs ont demandé à leurs futures victimes avant de les frapper : “Français ou Tchétchène ?” On semble, en effet, loin du profil des manifestants rassemblés autour de Frigide Barjot…
Les victimes elles-mêmes sont venues assister à ce rassemblement et écouter l’intervention de Philippe Vardon, qui a pu s’entretenir longtemps avec elles à l’issue du rassemblement. Raphaël reconnaissait lui-même que le caractère francophobe de son agression avait été totalement laissé de côté par les grands médias. Pour l’instant, malgré l’autosatisfaction permanente de Christian Estrosi sur son système de vidéosurveillance (ce qui n’empêche pas Nice d’être la grande ville française la moins sûre) les agresseurs n’ont été ni identifiés, ni arrêtés.
http://fr.novopress.info/Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, France et politique française, lobby, tradition 0 commentaire -
2 mai 73 : Chute de Massada
Le 2 mai 73, la forteresse de Massada tombe aux mains des légionnaires. C'en est fini de la première guerre juive contre la domination de Rome.
L'ultime résistance
Construite au IIe siècle avant JC, au temps des Maccabées (ou Asmonéens), la forteresse de Massada surplombe de 400 mètres les rives sauvages de la mer Morte. C'est le dernier îlot de résistance juive à l'occupation romaine.
Des membres de la secte extrémiste des zélotes s'y réfugient après avoir fait régner la terreur dans le pays. Armés d'un poignard, ils avaient coutume d'assassiner leurs compatriotes suspectés de collaboration avec l'occupant ! On les avait surnommés pour cette raison «sicaires», du latin sica, qui signifie poignard.
Au nombre d'un millier, avec leurs femmes et leurs enfants, sous la conduite d'un chef nommé Eleazar ben Jair, les Zélotes résistent pendant trois ans à plus de 15.000 légionnaires. Ceux-ci n'arrivent à accéder aux murailles qu'en aménageant une rampe artificielle depuis le pied du rocher.
Le seul récit que l'on ait de ce siège nous vient de l'historien juif Flavius Josèphe, qui assiste le général romain. Quand les assiégeants pénètrent dans la forteresse, ils doivent affronter l'incendie allumé par les Zélotes avant de découvrir les cadavres de ceux-ci. D'après l'historien, qui n'a pas lui-même vu l'intérieur de la forteresse, dix des assiégés auraient tué les autres avant de se suicider eux-mêmes. Tous seraient morts à l'exception de deux femmes et cinq enfants. Voici un extrait de son récit (traduction de René Harmand, Paris, 1911) :
«... Ensemble, ils embrassèrent, étreignirent leurs femmes, serrèrent dans leurs bras leurs enfants, s'attachant avec des larmes à ces derniers baisers ; ensemble, comme si des bras étrangers les eussent assistés dans cette oeuvre, ils exécutèrent leurs résolution, et la pensée des maux que ces malheureux devaient souffrir, s'ils tombaient aux mains des ennemis, était pour les meurtriers, dans cette nécessité de donner la mort, une consolation. Enfin, nul ne se trouva inférieur à un si grand dessein ; tous percèrent les êtres les plus chéris. Malheureuses victimes du sort, pour qui le meurtre de leurs femmes et de leurs enfants, exécuté de leur main, paraissait le plus léger de leurs maux !
Aussi, ne pouvant plus supporter l'angoisse dont ces actes une fois accomplis les accablait, et croyant que ce serait faire injure aux victimes de leur survivre même un court instant, ils entassèrent promptement au même endroit tous leurs biens et y mirent le feu ; puis ils tirèrent au sort dix d'entre eux pour être les meurtriers de tous ; chacun s'étendit auprès de sa femme et de ses enfants qui gisaient à terre, les entourant de ses bras, et tous offrirent leur gorge toute prête à ceux qui accomplissaient ce sinistre office. Quand ceux-ci eurent tué sans faiblesse tous les autres, ils s'appliquèrent les uns aux autres la même loi du sort : l'un d'eux, ainsi désigné, devait tuer ses neuf compagnons et se tuer lui-même après tous ; de cette manière, ils étaient assurés qu'il y aurait égalité pour tous dans la façon de porter le coup et de le recevoir. Enfin, les neuf Juifs souffrirent la mort et le dernier survivant, après avoir contemplé autour de lui la multitude des cadavres étendus, craignant qu'au milieu de ce vaste carnage il ne restât quelqu'un pour réclamer le secours de sa main et ayant reconnu que tous avaient péri, mit le feu au palais, s'enfonça d'un bras vigoureux son épée tout entière dans le corps, et tomba près de ceux de sa famille...»
De Massada à Varsovie, le mythe à l'épreuve
Le souvenir de Massada a ressurgi avec brutalité en avril-mai 1943, lorsque les derniers juifs du ghetto de Varsovie se sont soulevés contre les SS allemands dans une tentative héroïque et désespérée. Ce fut pratiquement, contre les nazis, le seul acte de résistance armée au génocide des Juifs.
Le mythe de Massada a toutefois été mis à l'épreuve par les fouilles menées de 1963 à1965 par le général et archéologue Ygael Yadin, ainsi que le rappelle Le monde de la Bible (n°180, novembre-décembre 2007).
Si la rampe de terre construite par les Romains est avérée, de même que l'incendie des installations, rien ne vient démontrer la réalité du suicide collectif. Celui-ci relèverait sans doute d'une exagération épique propre à l'historien.
Deuxième guerre juive
En Judée même, le sentiment national n'est pas mort avec la prise de Massada.
Deux générations plus tard, l'empereur Hadrien est lui-même effrayé par la vigueur du particularisme juif. Il décide de le combattre par une campagne d'hellénisation : la circoncision est prohibée, Jérusalem rebaptisée «Colonia Ælia Capitolina» et un temple dédié à Jupiter Capitolinus est édifié sur les ruines du précédent. La Judée elle-même perd son nom. Elle est intégrée à la province de Palestine, ainsi nommée en souvenir des anciens habitants du littoral, les Philistins.
Mais un jeune exalté du nom de Bar Kochba («Fils de l'étoile») prend la tête d'une nouvelle révolte et s'empare de Jérusalem. Il malmène la légion égyptienne XXII Deiotariana chargée de faire régner l'ordre.
Hadrien se rend sur les lieux et appelle la Xe légion bretonne, sous le commandement du général Gaius Julius Severus, pour mater la rébellion. La campagne militaire va durer trois ans, de 133 à 135, et entraîner la mort de plusieurs centaines de milliers de Juifs. À son terme, la Judée sera durablement ruinée et les Juifs auront, qui plus est, l'interdiction de se réinstaller dans la ville de Colonia Ælia Capitolina, l'ancienne Jérusalem.
Joseph Savès. http://www.herodote.net -
Du printemps français au sursaut contre-révolutionnaire
A l'Elysée, à Matignon, à l'Assemblée nationale ainsi qu'au Sénat, l'essentiel de la clique politicienne s'obstine à rester sourde et aveugle au mécontement croissant du pays réel mobilisé depuis des mois pour défendre la Famille, le mariage et la parenté.
. La France s'enfonce chaque jour un peu plus dans le totalitarisme organisé par une gauche omnipotente. Et cela se fait avec la complicité du centre mou et de la droite flasque, comme nous l'avons vu lors du vote au Sénat organisé à main levée et en catimini dans une assemblée quasi vide. Peu importe leur bord politique, la grande majorité d'entre-eux n'a pas eu la décence de se déplacer, préférant n'apparaître que devant les caméras ou lors de manifestations.
. Les médias se précipitent pour contribuer à la manipulation de l'opinion publique. Chaque homosexuel qui trébuche devient aussitôt la victime d'une agression "homophobe". Un Français de souche hétérosexuel victime d'une agression, c'est devenu tellement banal que cela n'intéresse quasi aucun journaliste. Mais qu'un homosexuel se fasse bousculer quelque part et cela devient une affaire d'Etat afin de culpabiliser les honnêtes Français qui continuent à affirmer que le mariage doit rester l'union d'un homme et d'une femme. Par contre, combien de journalistes s'émeuvent de la façon dont, depuis le 24 mars dernier, des milliers de personnes ont arbitrairement subi les gaz lacrymogènes et les coups de matraque de CRS et de gendarmes transformés en police politique ? Des enfants, des mères de famille, des vieillards, des prêtres, des étudiants, sont traités de façon scandaleuse mais pas un journal télévisé ne le dénonce. Vendredi dernier, un religieux a littéralement été tabassé puis mis en garde à vue par des CRS mais qui s'inquiète de cette dérive du régime ? Nous sommes la France bien élevée, celle des étudiants qui vont en cours, des Français qui travaillent et qui payent leurs impôts et la police se comporte vis-à-vis de nous comme jamais elle n'oserait le faire ni face à la CGT ni dans les banlieues. Cela suffit !
. Le pouvoir croit s'en sortir en accélérant l'agenda. Mais il n'a pas compris que la sentence des parlementeurs ne signifie pas la fin de notre mobilisation. C'est au contraire l'effet inverse qui se constate. Et la Providence nous place dans cette situation inattendue : 45 ans après Mai 68 et son flot de subversion, c'est un Mai 2013 marqué par l'esprit contre-révolutionnaire qui pourrait bien surgir de ce printemps français en cours.
C'est dans cette perspective d'un mois de mai contre-révolutionnaire que CIVITAS vous convie à trois rendez-vous.
1° Le Congrès de la France Catholique, ce 27 et 28 avril (de 14h à 18h, 164 rue Javel dans le 15ème arrondissement). De nombreux intervenants se succèderont à la tribune pour analyser la situation alarmante et proposer des pistes concrètes pour résister, riposter et reconstruire.
2° Le défilé en hommage à Ste Jeanne d'Arc, le dimanche 12 mai à 14h30, de la place Saint-Augustin à la place des Pyramides. Attaquer la Famille, c'est également attaquer la Patrie et la Foi. Dans ce contexte, Sainte Jeanne d'Arc s'impose comme le modèle de chef dont la France a cruellement besoin. Soyons nombreux à le témoigner publiquement.
3° La manifestation du dimanche 26 mai. CIVITAS organisera ce jour-là une grande manifestation nationale dont le mot d'ordre sera "Du balai !". Oui, venons nombreux de toute la France pour que la clameur "Du balai !" se fasse entendre à tous les destructeurs de la Famille, de la Patrie et de la Foi.
Que ces trois rendez-vous soudent les rangs de tous les partisans d'un sursaut contre-révolutionnaire. Et bien sûr, n'oublions pas de huer chaque ministre en déplacement. On ne lâche rien !
CIVITAS à Lyon ce samedi 4 mai
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Budget : l’armée dans le colimateur de l’Elysée
Le Livre blanc de la défense sera remis aujourd’hui lundi, à 11h30, au chef de l’État. Un livre qui préconiserait la suppression de 20.000 postes dans les armées, entre 2015 et 2019. Dans le détail, l’armée de Terre perdrait l’une de ses huit brigades de combat, soit 7000 hommes, une cinquantaine de chars lourds et une soixantaine d’hélicoptères. Quant à l’armée de l’Air, elle se verrait amputée de deux escadrons, soit une cinquantaine d’avions, ce qui représente un cinquième de son ordre de bataille.
La publication du Livre blanc a été différée à plusieurs reprises, en raison notamment des opérations au Mali. Des tensions ont été ressenties entre Bercy et la Défense, notamment sur le volet budgétaire. Le ministère des Finances est en effet accusé de vouloir sacrifier la Défense au nom de la baisse des dépenses publiques…
Que la France ait à faire des économies, cela va de soi en cette période de crise. Encore qu’une politique de réindustrialisation et de relance de l’emploi, qui permettrait celle de la consommation et de la croissance, sera toujours une option préférable : pourvu qu’on prenne les moyens de cette politique… En tout état de cause, s’il faut faire des économies, faut-il absolument les faire dans les domaines régaliens qui participent de la souveraineté nationale ? Encore une fois, la France sortira affaiblit de ces choix budgétaires. Mais c’est vrai, plus besoin d’armée pour protéger le pays et préserver la paix : l’Europe s’en charge !
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Vous avez volé l'âme de la France, par Éric Muth
Vous êtes au gouvernement pour l'égalité des droits Madame Taubira, et ce que vous faites est illégitime, votre loi n'est pas applicable parce qu'elle est mensongère. Votre désir de changer la civilisation relève plus d'un fantasme personnel que d'une réalité humaine.
« Le mensonge est pour les socialistes une méthode de gouvernement », proclame Jean d'Ormesson, et cette vérité s'applique encore plus à vous qui êtes Ministre de la justice.
L'indépendantiste que vous êtes a une haine de la France et votre fierté est d'avoir réussi à porter un coup à notre société française.¢
Votre gouvernement a imposé à notre pays « le mariage pour tous » en dépit de l'opposition grandissante des Français. Ce qui est légal n'est pas forcément moral, et le Peuple de France, par son témoignage silencieux doit transformer la Société civile. Son hostilité envers votre funeste loi doit s'incarner dans des engagements concrets.
Les homosexuels en otage, c'est également un vaste marché que vous nous préparez : marché d'enfants, de sexe, cliniques spécialisées... Le premier Salon du mariage gay vient de voir le jour à Paris. Comme par hasard quelques jours après votre loi votée. Il était important, selon les organisateurs, que ce salon existe pour répondre à la demande des couples homos. Comme si cette perversité était une raison de mode.
« On a souhaité anticiper les désirs des futurs mariés en mettant en avant des prestations gay friendly, on n'est pas opportuniste. On a décidé il y a deux mois de réaliser ce petit happening sympathique et bon enfant et on ne s'attendait ni à l'accélération du calendrier parlementaire, ni à une telle virulence de la part des opposants », explique Claire Jollain, organisatrice du « g-day », le premier salon du mariage gay.
Cette loi Taubira aussi légale soit-elle ne suffira pas à fonder une légitimité morale, et l'explosion sociale d'une grande ampleur qui se prépare sera irréversible.
http://www.francepresseinfos.com/ -
Barrès réhabilité, par Bastien Vallorgues
Longtemps principale figure de la République des Lettres et modèle de plusieurs générations d’écrivains, Maurice Barrès est aujourd’hui bien oublié tant des institutions que du public. 2012 marquait les cent cinquante ans de sa naissance, le 20 août 1862. Cet événement n’a guère mobilisé les milieux officiels plus inspirés par les symptômes morbides d’une inculture abjecte. Le rattrapage demeure toutefois possible puisque 2013 commémorera la neuvième décennie de sa disparition brutale, le 4 décembre 1923 à 61 ans, à la suite d’une crise cardiaque. belle session de rattrapage pour redécouvrir la vie, l’œuvre et les idées de ce député-académicien.
Paru en 2009, un essai biographique aide grandement à ces retrouvailles. Or son auteur, Jean-Pierre Colin, n’a pas le profil du barrésien habituel. En effet, universitaire lorrain, Colin fut le conseiller ministériel de Jack Lang. Par ailleurs, cet homme de gauche est aussi comédien et dramaturge. On pourrait dès lors craindre que l’ouvrage dénigre Barrès. Il n’en est rien. Jean-Pierre Colin exprime plutôt une réelle empathie pour l’auteur de La colline inspirée. En outre, son livre se lit avec plaisir et aisance.
Homme de lettres, romancier et journaliste, le Lorrain de cœur n’est pas d’un seul bloc au contraire de son vieil ami Charles Maurras. « Barrès aura été toute sa vie d’une certaine façon l’anti-Maurras. » Jean-Pierre Colin qui ne partage nullement les idées maurrassiennes qualifie néanmoins l’éditorialiste de L’Action Française d’« écrivain authentique, pétri d’hellénisme et le félibre a sa place dans le panthéon français. C’est toutefois un homme abrupt dans ses convictions, haineux dans ses inimités, intolérant dans ses idées et fanatique dans son projet ».
Le paradoxe Barrès
« Anti-Maurras », Barrès l’est assurément, car, par sa célébration de la terre et des morts, il incarne le dernier des romantiques français. Il voulut donner une politique à ce courant, répondant ainsi au primat de la langue d’Herder. Député boulangiste de Nancy de 1889 à 1893, il participe à la rédaction du titre boulangiste La Cocarde à partir du 5 septembre 1894. Il siégera de nouveau à la Chambre en tant qu’élu conservateur des Halles de Paris de 1906 jusqu’à sa mort.
Étonnant élu de Paris qui habite à Neuilly-sur-Seine ! Cet anti-parlementariste sera parmi les doyens de la Chambre des députés et éprouvera un réel attachement à la fonction parlementaire. Lors de certaines de ses interventions, Barrès célèbre le collectivisme. À d’autres moments, il saluera la Commune de 1871 et envisagera d’écrire sur Louise Michel, la « Jeanne d’Arc » communarde. Est-ce si surprenant pour l’inventeur du « socialisme nationaliste » ? Ce contempteur de l’immigration se liera avec une rare intensité charnelle avec la comtesse Anna-Élisabeth de Noailles d’origine roumaine, de dix ans son aînée. cette humanité riche en contradictions fera que « Anatole France, Marcel Proust ou Léon Blum l’auront toujours gardé dans leur estime ». Colin rappelle au contraire que la publication d’Un jardin sur l’Oronte indignera les critiques catholiques pour son immoralisme. Ce livre de 1922, Barrès renoue avec sa jeunesse anarchiste et égotiste de L’Ennemi des Lois (1893).
La liberté d’esprit concerne aussi son traitement de l’affaire Dreyfus. Si « Barrès sera quand même de ceux qui reviendront sur leur aveuglement, […] alors que l’Affaire Dreyfus a perdu de son intensité, il ne retranche rien de ses écrits antérieurs, même les plus incisifs. D’une façon générale, il n’aimera jamais désavouer les positions qui auront été les siennes, à un moment ou à un autre, estimant que sa pensée forme un tout ». Colin n’hésite pas à critiquer sévèrement les analyses, pleines de contresens, de Zeev Sternhell.
Maurice Barrès s’intéresse à la littérature dès 1884 quand il lance une éphémère revue, Les Taches d’Encre. L’édition ensuite de ses premiers romans va lui valoir une notoriété certaine si bien qu’il sera bientôt appelé le « Prince de la Jeunesse » grâce à Paul Adam qui lui offrit en 1889 une pièce à l’effigie de l’empereur Alexandre Sévère sur laquelle était inscrite « Princeps Juventatis ». il y a plusieurs significations à ce geste. Retenons que Barrès n’a jamais fait son âge réel et conserve toujours une allure juvénile. Mais le célèbre Lorrain savait cacher sous une apparence adolescente « un redoutable polémiste ».
Par delà ce talent polémique, Jean-Pierre Colin perçoit dans l’œuvre de Barrès politique la préfiguration des idées gaullistes de la Ve République. Il est le passeur idoine entre le bonapartisme du XIXe siècle et le gaullisme du XXe ! Barrès n’a jamais rencontré Charles de Gaulle, mais ce dernier avait à La Boisserie ses œuvres complètes. Barrès gaulliste n’aurait pas été incongru. Jean-Pierre Colin évoque une uchronie parue naguère dans Le Figaro montrant un Barrès de 78 ans réagissant à l’Occupation. Après une période d’observation et de silence, Barrès qui n’a jamais apprécié Philippe Pétain – il préférait Hubert Lyautey -, dénonce la Collaboration… Irréaliste ? Dès juillet 1940, Philippe Barrès, son fils unique, rejoignit Londres et la France libre. En 1951, il deviendra député de Meurthe-et-Moselle sur une liste du R.P.F., ce qui corrobore une filiation intellectuelle entre le barrésisme et le gaullisme.
Un pré-gaullisme
Dès sa période boulangiste, Barrès fait sien la devise de son champion : « Dissolution – Constituante – Révision ». Il rêve d’un État laïc, du recours fréquent aux referenda, d’un pouvoir exécutif stable et puissant élu au suffrage universel direct. Barrès réclame en outre une France forte, impartiale et décentralisée. La décentralisation est un thème cher pour ce Lorrain qui a aussi des attaches familiales dans le Gévaudan. En arrêtant la centralisation parisienne, il entend « donner à chaque province dont est née la France, la vie qui lui manque du fait d’une excessive centralisation, qu’elle ait été autrefois monarchique ou aujourd’hui républicaine ». Mais il souhaite aller avec le régionalisme. « Chez Barrès, le régionalisme est d’abord un phénomène culturel et c’est dans cette dimension qu’il peut, non pas contredire l’unité française, non pas contrecarrer l’action du pouvoir central, mais au contraire nourrir l’unité politique de la diversité dont elle a été historiquement le produit. » Il doit inciter à l’enracinement, seul véritable fondement du nationalisme qui « est la loi qui domine l’organisation des peuples modernes (La Cocarde, 21 novembre 1894) ». « L’enracinement de Barrès est de nature politique [… car], adepte de la plus grande liberté dans l’écriture, Barrès, nourri du scientisme propre à son siècle, et plus spécialement du darwinisme, a cependant une vision totalement déterministe de la société », ce qui explique que « républicain, le nationalisme de Barrès était tragique ». Inventeur d’une Lorraine idéale, « l’enracinement barrésien, loin d’être une prison, est un effort de l’âme pour se souvenir d’où elle vient, mais l’âme n’est pas un feu follet, elle est incarnée, et l’être humain, souvent ballotté par les événements, parfois définitivement transplanté, mêlera ses anciennes racines à celles qui vont de nouveau pousser, dans un terroir nouveau, son pays d’adoption ». On retrouve le fond romantique de sa pensée. Député, Barrès est parmi les premiers à se soucier du patrimoine culturel et local.
Jean-Pierre Colin éclaire d’autres facettes presque inconnues du Barrès politique. Il le défend face à ses détracteurs sur son rôle de « Rossignol des massacres » pendant la Grande Guerre fratricide européenne. Journaliste et député, Barrès ne peut s’engager du fait de son âge et d’une santé fragilisée par des excès de table et de cigarettes. Destinataire de nombreuses lettres venues tant du front que de l’Arrière, des « Poilus » que de leurs entourages, Barrès se fait le mémorialiste du conflit. Il en rédigera vingt-quatre volumes ! Quand il n’écrit pas des articles qui sont parfois censurés par les autorités militaires parce qu’à la germanophilie culturelle trop prononcée, Barrès s’active auprès de ses collègues : création de la Croix de Guerre, port du casque d’acier, usage du réchaud à alcool dans les tranchées. Il défend mutilés et victimes de guerre face à l’administration, obtient pour les épouses des mobilisés une indemnité journalière et exige le droit de vote des femmes veuves de guerre !
Dès la paix revenue, il s’inquiète des conséquences des traités de 1919 – 1920. Voyageur impénitent en Espagne, en Italie, en Grèce et en Orient, il souhaite le maintien de l’Empire ottoman, promeut une Allemagne fédérale et encourage les sécessions séparatistes de la Rhénanie du Nord, de la Rhur et de la Rhénanie du Sud. Dans ses derniers textes, ce passionné de la vallée rhénane envisage l’éventualité d’une Fédération européenne…
Maurice Barrès. Le Prince oublié trace le portrait original et captivant d’un écrivain qui mérite beaucoup mieux que son image supposé détestable. Jean-Pierre Colin fait bien mieux : il le réhabilite !
Bastien Vallorgues
• Jean-Pierre Colin, Maurice Barrès. Le Prince oublié, Infolio, Gallion (Suisse), 2009, 249 p., 22 €.
Source: Europe Maxima
http://cerclenonconforme.hautetfort.com/ -
Le pacte immoral :
Deux grands lycées parisiens qui se sont déconnectés du système informatique du ministère et ont mis en place des modes d'admission parallèles. Des ministres (et un président) qui annoncent des réformes mais n'arrivent pas à les faire appliquer. Des enseignants qui font faire des dictées en cachette. Le Capes que l'on donne à des candidats qui n'ont pas eu la moyenne et qu'on lâche ensuite dans des classes difficiles. Une pédagogie " nouvelle " où l'orthographe n'est plus une fatalité mais " une matière à discussion ". Après la nomenklatura, l'omerta, la franc-maçonnerie, entre autres sujets sensibles, Sophie Coignard met à nu l'Éducation nationale. Ses ministres, ses idéologues, ses syndicats : tous ceux qui depuis vingt-cinq ans mènent l'école à la ruine. Le plus scandaleux ? Ils agissent en toute impunité. À l'origine de cet immense gâchis, un " pacte immoral " entre les élites qui prétendent nous gouverner et les apparatchiks qui sacrifient nos enfants par pur cynisme. Ceci n'est pas un livre sur l'éducation. En tout cas pas seulement. C'est d'abord un document féroce et un récit effarant sur l'hypocrisie et la lâcheté du pouvoir.
http://www.actionroyaliste.com