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  • Manuels Valls réveillé à Bordeaux ce matin

    Sur le Figaro

    "Quelque soixante opposants au mariage gay, dont des militants du Printemps français et de la Manif pour tous, ont tenté ce matin à Bordeaux de "réveiller" le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, qui avait passé la nuit à la préfecture. Munis de sifflets, les manifestants s'étaient donné rendez-vous vers 5h45, via réseaux sociaux et textos, pour tenter de "réveiller" le ministre, qui logeait à la résidence préfectorale, dans le centre-ville, après un déplacement hier en Gironde et avant son départ pour Marseille".

    Sur info-Bordeaux qui propose une vidéo : 

    "Le ministre de l’intérieur était en déplacement à Bordeaux et logeait cette nuit à l’hôtel de la préfecture. Vers 05h30 ce matin, plusieurs dizaines de jeunes sont venus le réveiller avant son départ pour Marseille, aux cris de « Valls démission », « Hollande ta loi on n’en veut pas » ou encore « dictature socialiste ».

    Les forces de l’ordre étaient en nombre, et dirigées par le commissaire Jean-Claude Borel-Garin (photo), elles avaient bouclé tout le quartier. Ce dernier n’a pas hésité à faire sortir les gazeuses face à des manifestants totalement pacifiques.

    Face à la pression des anti « mariage pour tous », les sorties en province des ministres sont désormais couvertes par d’importants dispositifs policiers. Le signe d’un gouvernement de plus en plus coupé du peuple ?"

    Lahire   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le grain de sel de Scipion : Trop caron !

    grain de sel 1.jpgDepuis que Zemmour et Naulleau ont été évincés de l’émission « On n’est pas couché » présentée par Laurent Ruquier sur TF1, je m’efforce de ne plus la regarder. Hélas, j’ai eu le tort de faire une exception samedi dernier. En effet, le triste sire Aymeric Caron, aussi pâle et terne successeur de l’intelligent Naulleau dans le rôle du critique de gauche que l’est à sa droite sa consoeur Natacha Polony dans le fauteuil du fougueux Zemmour, disait toute sa déception de voir le Pape François, présenté lors de son élection comme l’ami des pauvres, tenir aujourd’hui des propos « rétrogrades » sur l’avortement et l’euthanasie.

    Car pour ce Caron-là, être près des pauvres est sans doute une attitude exclusivement progressiste, de gauche bien sûr, alors que la culture de mort qui pousse les bo-beaux esprits à se prononcer, sans même avoir réfléchi à la question, pour l’avortement ou l’euthanasie lui apparaît évidemment comme une indispensable « avancée sociétale », au même titre que le mariage homo, la PMA, la GPA ou la recherche sur les embryons.

    Une fois de plus, Caron a montré qu’il ne comprenait rien, en particulier à la religion catholique qui, si elle invite à secourir les pauvres nous appelle aussi à défendre la vie, à ne pas tuer les enfants dans le ventre de leur mère et à respecter les derniers instants des mourants.

    Décidément, je jugement cinglant de Zemmour sur Caron s’est encore vérifié lors de cette émission : « Dans le nom de Caron, il y a deux lettres de trop » ! Je vous laisse deviner lesquelles…

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • LES « DISPARUS» D'ALGÉRIE

    Crime sans châtiment... Que sont-ils devenus ?

    L'atroce, lancinante, mais nécessaire mémoire fouaille le cœur et les entrailles de certains d'entre nous au souvenir douloureux de «notre» Algérie. Certains diront : encore l'Algérie ! Mais comment ne pas voir que ces «événements» sont à l'origine de la dégénérescence patriotique et démographique actuelle ? Ces événements funestes et dramatiques ont des dates : 19 mars (cessez-le-feu unilatéral en Algérie à la suite des accords d'Evian) ; 26 mars 1962 (massacres de la rue d'Isly à Alger) ; 7 juin 1962 (assassinat légal du sergent Dovecar et de Claude Piegts) ; 3 juillet 1962 (indépendance de l'Algérie et abandon des populations) ; 5 juillet 1962 (massacres à Oran alors que l'armée française sous le commandement du général Katz, mort dans son lit, restait l'arme aux pieds dans ses casernes) ; 11 mars 1963 (assassinat légal de Bastien-Thiry) ; 6 juillet 1963 (assassinat légal du lieutenant Degueldre). Aucune victoire ? Si, bien sûr, il y en eut, sur le terrain militaire où notre armée avait écrasé le FLN, mais pas sur le «terrain politique», car, depuis le 13 mai, le sort de l'Algérie était entre les mains criminelles de celui aux promesses de qui elle avait cru et qu'elle avait porté au pouvoir : le sanglant De Gaulle... La France était alors un pion stratégique entre URSS et Etats-Unis, jalousée parce que établie sur les deux bords de la mare nostrum, et régnant encore sur de (supposées) riches possessions «coloniales», ces « perles de l'Empire » où nous mesurons et pesons en euros aujourd'hui les conséquences de la lâche démission de l'homme blanc !

    Mais ce calendrier tragique, que voulait rappeler cette stèle de Marignane - provisoirement enlevée (du moins nous l'espérons !) - égrène les étapes sanglantes des lâchetés successives de la France pour le plus grand malheur de ceux qui lui étaient confiés ou qui s'en étaient remis à elle.

    Et c'est pourquoi, à dessein, j'ai repris ce titre de « Crime sans châtiment » sous lequel nos amis pieds-noirs avaient déjà placé, en 2000, leur colloque de Nice. Ces rapatriés dont les ancêtres avaient, de leur sueur, de leurs peines, de leur sang souvent, arrosé et nourri ce sol d'Algérie devenu «leur» patrie et qui souffrirent tant d'épreuves lors de son abandon. Certains même, parmi eux, refusant d'être des «dépatriés» se cramponnèrent encore sur le sol d'Afrique du Nord, le seul qu'ils aient connu : 300 000 Français « de souche » se maintinrent, sur un million de souche européenne, dans un pays de 10 millions de « Français à part entière» jusqu'à l'été 1962. Ils n'étaient plus que 100 000 un an, que l'on ne peut pas tous qualifier de « pieds-rouges » après cet été abominable... n'ayant eu le choix qu'entre « la valise et le cercueil » ...

    Et ce fut pour beaucoup le cercueil ! Et pire : l'absence de toute sépulture chrétienne pour les milliers de ceux (3 300, 6000 jusqu'à 15 000 suivant les sources officielles ou officieuses) qui disparurent à jamais, enlevés, massacrés ou mis en camp de travail ou dans les bordels de l'ALN par un FLN triomphant qui s'ingénia en même temps à faire payer aux 150 000 harkis, moghaznis et autres supplétifs abandonnés par le chef de la Ve République et ses servants, leur fidélité à la France en les dépeçant, ébouillantant, découpant, écartelant, émasculant. Quelques femmes, épouses de militaires, furent extraites de leur geôle, et se suicidèrent lors de leur retour en métropole.

    C'était Pierre Messmer, alors ministre des Armées, ancien légionnaire, qui avait osé déclarer solennellement, au nom du président de la République, le 21 mars 1962 : « L'armée française assurera la protection des Français d'Algérie pendant 3 ans. » Sinistre ministre récompensé de sa lâcheté et de sa félonie par un fauteuil à l'Académie française suivi, quelques années après, sans que nous réussissions à le faire passer en Haute Cour de justice, d'obsèques nationales ! Ce fauteuil d'Immortel est, juste retour des choses, maintenant occupé par madame Veil dont les stigmates de la mort ornent également l'habit vert !

    Je sais, on pinaille, atrocement, sur les chiffres, le flou ayant été soigneusement entretenu des deux côtés de la Méditerranée parce qu'il arrangeait les gouvernements respectifs. Dès le 3 juillet et l'indépendance «célébrée» par plusieurs centaines d'atroces assassinats et disparitions d'Oran, nos ressortissants musulmans ne furent plus que des Algériens soumis à la loi islamique d'un pays musulman. Et les Européens, parfois des familles entières, qui n'avaient pas d'attache familiale en métropole et ne pouvaient, de ce fait, être réclamés par quiconque, pas même par des voisins que l'exode précipité, après l'arrestation en avril du chef de l'OAS, le général Salan, avait séparés, bousculés, paniqués, ne furent réclamés par personne et ne sont évidemment pas comptés dans ces macabres statistiques. C'est dire assez que celles qui nous sont présentées, les officielles, le sont a minima !

    Pourtant, le 23 mai 1962, le problème des enlèvements d'Européens avait été évoqué par Louis Joxe auprès du Comité des Affaires algériennes. Mais l'ardeur des enquêtes, qui ne pouvaient plus être que de police, car après le 19 mars, la paix des braves interdisait toute opération militaire, fut freinée par De Gaulle, Pompidou et Louis Joxe, pour qui le seul combat à mener était celui contre l'OAS.

    Ce fut pire encore après que nous eûmes replié notre drapeau, car s'abattit alors la chape de plomb du silence gouvernemental qui comblait d'aise et d'un lâche soulagement la plupart des métropolitains, mais de désespoir les exilés à la recherche de l'un des leurs. On leur fit rapidement comprendre, et très officiellement, que la mention «disparu» ou «recherché» accolée au nom de celui dont ils espéraient le retour, les priverait du bénéfice des aides qu'ils sollicitaient pour subsister en «mère-patrie», alors que la mention «décédé» leur en ouvrait les droits. D'où la clôture immédiate de toute enquête, la sortie des statistiques et le silence de la mort...

    Jusqu'au jour où Le Monde, L'Esprit Public de Philippe Héduy, L'Aurore, Aux Ecoutes, Itinéraires de Jean Madiran, Rivarol de René Malliavin, réveillèrent les consciences en s'angoissant du sort de nos compatriotes. Le scandale fut dénoncé. Tant à l'Assemblée nationale qu'au Sénat. Des missions parlementaires, en 1963 et 1964, furent envoyées et des enquêtes de la Convention internationale de Genève conduites sur place et qui conclurent, comme le rapport de la Commission internationale des recherches historiques sur les événements d'Algérie, à l'existence des camps dénoncés, mais évidemment vides lors des visites car les prisonniers étaient transférés d'un endroit à un autre... Il s'agissait surtout de ne pas gêner la jeune République algérienne où déjà des règlements de comptes et des exécutions entre «libérateurs» s'effectuaient de manière sanglante. Le délégué de la Croix-Rouge du Secteur Europe dont les yeux s'étaient ouverts, enfin, sera muté en Asie après qu'il eut remis un rapport accablant à Chirac et Mitterrand, puis au secrétaire d'Etat aux Rapatriés (30-12-1986).

    Le capitaine Leclair, le colonel de Blignières et Me François Patrimonio (tous décédés aujourd'hui) remettront à la Cour de La Haye un Livre blanc sur ces disparitions au nom de l'ASFED créée en 1967. Mais une enquête ne pouvait avoir lieu que si les deux parties (France et Algérie) étaient d'accord. Elles l'étaient... mais pour oublier ces victimes bien importunes, victimes de dégâts collatéraux sans doute, en réalité d'une coupable impéritie politique. Là encore, complicité dans l'abomination de ce crime sans châtiment !

    Le 24 décembre 1985, Bernard Antony, député européen, déposera une proposition de résolution, suivie d'une lettre ouverte de Jean-Marie Le Pen à ses collègues députés européens, appuyée par Yann Piat, Guy Herlory, Pierre Descaves, Me Georges-Paul Wagner, Michel Poniatowsky et Roger Holeindre, épaulés par des journalistes comme Philippe Tesson de Combat, le pied-noir et Prix Nobel d'économie Maurice Allais. Et cette liste de défenseurs de la parole donnée serait incomplète si l'on ne rendait pas hommage au magnifique et persistant travail de Présent où les articles fouaillants d'Alain Sanders rafraîchissent les mémoires et, mieux encore, rappellent les responsabilités !

    La LICRA elle-même en 1991, au nom de «l'universalité de son combat» dénonça le maintien dans les prisons algériennes de 500 harkis rescapés du massacre de 150 000. Boumédienne n'avait-il pas lui-même déclaré le 26 janvier 1971, 14 ans auparavant : « A Paris, on semble ignorer que nous détenons un grand nombre d'otages français. Quand il le faudra, nous en communiquerons la liste à la presse. Alors, pour obtenir la libération de ces otages, il faudra y mettre le prix. » La France, héritière du gaullisme, ne releva même pas l'élégance du propos. Elle n'eut que la lâcheté d'accorder... des visas !

    Parmi les écrits et les documents qui m'ont permis de mener - avec passion cette enquête, je me dois de mentionner France Fraternelle (Robert Laffly), Tradition et Progrès (Pierre Poujade), Rivarol (René Malliavin), Le Chardon (François Brigneau), Minute (J .-F. Devay), les ouvrages récents, à la rigueur chirurgicale, de Jean Monneret, du capitaine Leclair, les archives inédites du général Faivre, mais aussi les numéros spéciaux de La Nouvelle Revue d'Histoire et d'Historia. Il semblerait que les Archives du Quai d'Orsay se soit rouvertes récemment à la demande du Haut Commissariat aux Rapatriés... Si je vous cite tant de monde, c'est pour vous montrer que notre famille reste grande et riche de volontés et de talents et qu'un jour, que nous espérons tous prochain, justice sera faite comme s'y emploient, avec autant d'acharnement que de courage et de talent, nos amis de VERITAS et de l'ADIMAD.

    Les peuples sans passé n'ont pas d'avenir. Le nôtre ne s'illuminera qu'à la lueur des consciences réveillées et de l'espérance brandie en étendard.

    C D-T Présent du 14 mars 2009

  • Mères Veilleuses : Soyez nos Jeanne !

    Par Baudy Bod. 

    Quelle fut la surprise de tous ces hommes aguerris au combat lorsque se présenta devant eux cette jeune fille à la conviction marquée ! Quelle fut leur stupeur lorsqu’elle s’adressa à eux, non comme aux chefs qu’ils étaient, mais tel un général haranguant ses troupes ! Quelle fut leur incrédulité lorsqu’ils la virent mener la charge sur les remparts d’Orléans ! Pourtant, ils auraient dû savoir eux, ces conseillers militaires, ces stratèges des premières heures, que la conviction d’agir pour la Vérité est le fondement du courage.

    Toutes ces années ils étaient là, entourant le dauphin Charles qui ne savait plus s’il devait lutter pour sa couronne ou se résigner et demeurer un Roi sans sacre. Car, en France, si la mort du précédent entraine l’avènement du suivant au cri du célèbre « le Roi est mort, vive le Roi ! », pour se revendiquer bras armé de Dieu, il doit être oint. Plus qu’une histoire guerrière, c’est un ode au courage qui germe avec Jeanne la pucelle. Elle est la voix de l’espérance, lorsqu’armée de son fanion elle défie crânement l’ennemi pour aller planter l’étendard fleur de lysé sur les remparts d’Orléans. Elle est de ceux qui d’une parole, d’un geste ou d’un regard vous font comprendre que la bataille est gagnée, quelle qu’en soit l’issue. Elle est de ces héros qui encaissent les coups avec le sourire, parce qu’ils savent que leur résistance forcera l’admiration de leur bourreau.

    Aujourd’hui Mères Veilleuses je vous le dis : Soyez nos Jeanne ! Vous êtes par votre maternité, par votre statut de mère, les boxeurs des temps nouveaux. Vous avez durant toute votre vie encaissé tous les coups. Acceptant de mettre entre parenthèses une carrière prometteuse pour donner la vie. Continuant votre passion sans jamais oublier votre nouvelle mission de mère. Multipliant concessions et sacrifices, pour l’amour d’une vie. Oui, vous êtes ces boxeurs capables d’encaisser tous les coups en gardant le sourire… Mais comme dans tout combat, vient l’heure de la riposte : vous savez que votre heure est venue.

    Mères veilleuses

    Cette lutte ancrée dans votre maternité a un sens beaucoup plus grand qu’un simple combat de boxe. Vous entrez en guerre pour l’enfant. Pour le droit de chaque enfant à grandir dans les bras d’une mère et d’un père. Une guerre pour le féminisme moderne, où la femme existe aussi comme dépositaire de la maternité. Alors saisissez l’étendard rose de votre mouvement, ceignez l’écharpe blanche, symbole de votre détermination pacifique, brandissez la flamme de votre maternité pour défendre cette filiation ! Oui, nous sommes tous des dauphins en mal de couronnement. Oui, nous avons pu grandir dans une famille où la figure du père croisait celle de la mère. Parfois par intermittence il est vrai, mais toujours en lien avec nos origines. Luttez pour que la continuité des liens biologiques prime ! Boutez hors de France l’idéologie du Gender, venue de cette nouvelle Angleterre comme une histoire qui se répète !

    Et lorsque votre regard croisera celui de vos fils, maris, ou amis faites leur comprendre que lorsque les mères en sont réduites à descendre dans la rue c’est que l’heure est grave et que chaque homme doit désormais vous épauler. Faites-leur comprendre que votre courage n’a de sens que s’il galvanise leurs convictions. Faites-leur comprendre que chaque écrit, chaque veillée, chaque manifestation est un coup de bélier dans le rempart du Gender. Et lorsque certains vous traiteront de folles, souvenez-vous qu’il n’existe pas de plus belle vocation que celle de défendre sa famille comme vous le faites.

    http://latableronde.wordpress.com/

  • Biélorussie : La Chine construit une ville-atelier aux porte de l’Europe

    La Chine construit une ville entière dans les forêts proches de Minsk, la capitale de la Biélorussie (dont le nom signifie “la Russie Blanche” NDLR), dans le but de créer un immense parc industriel proche de l’Union européenne et de son économie.

    La ville devrait accueillir 155.000 personnes, permettant à la Chine de se créer une sorte de hub entre l’Europe et l’Asie: les exportations chinoises ne seront plus qu’à 275 kilomètres de la Pologne et de la Lituanie, deux pays membres de l’Union.

    Le futur parc industriel prévoit une exonération d’impôts et de taxes foncières sur place pour les sociétés qui viendront s’y installer et y investiront un minimum de 5 millions de dollars (3,8 millions d’euros), qu’elles soient chinoises où originaires d’autres pays. De grandes entreprises sont déjà intéressées par le projet.

    La Chine investit 5 milliards de dollars (3,8 milliards d’euros) dans cette opération, et la ville nouvelle sera reliée à l’aéroport de Minsk par une ligne de train à grande vitesse. L’énergie sera fournie par une centrale nucléaire construite par la Russie et livrée en 2018. Une première partie de la ville nouvelle sera terminée en 2020, et la livraison finale est prévue pour 2030.

    Autre avantage: les accords entre la Biélorussie, la Russie et le Kazakhstan permettront aux produits issus de cette ville-atelier de passer les frontières de ces deux derniers pays sans barrière douanière.

    Le Premier ministre chinois, Li Keqiang, s’est rendu le 26 mai en Allemagne, seul pays de l’Union inclus dans son tour du monde, pour renforcer son partenariat économique avec le pays. Le choix stratégique de long terme de la Chine est en effet de développer sa coopération avec l’Allemagne, son premier partenaire économique en Europe.

    Cette visite a permis aux deux pays d’apaiser les tensions sino-européennes, fortes depuis que la Commission européenne a annoncé vouloir taxer fortement l’importation chinoise de panneaux solaires. Une proposition que conteste Angela Merkel, qui a pris la tête des pays européens opposés à la mesure.

    Du côté bélarusse, l’alliance avec la Chine est une manière de réduire sa dépendance à la Russie. L’Union européenne et les États-Unis ont intensifié les sanctions contre le pays depuis que son dirigeant (depuis 1994) Alexander Lukashenko a emprisonné des opposants politiques. La mort de Mouammar Kadhafi puis de Hugo Chavez, deux alliés du régime, l’isole un peu plus…

    La Biélorussie n’est donc peut-être pas l’endroit idéal pour se rapprocher du marché européen, mais un précédent projet plus modeste, en Bulgarie, avait échoué en 2010.

    Slate  http://fortune.fdesouche.com

  • Rappel aux forces de l’ordre de l’interdiction d’exécuter des ordres illégaux

    Rappel aux forces de l’ordre de l’interdiction d’exécuter des ordres illégaux

    L’AGRIF communique :
    L’AGRIF et ses avocats constatent les faits suivants :
    Un peu partout, des forces de police et de gendarmerie sont détournées par le gouvernement Hollande à des fins de répression idéologique contre l’immense mouvement d’objection de conscience morale face à la loi radicalement antihumaine imposée par la dictature LGBT-OGM. (AGRIF)
    Le pouvoir provisoirement en place emploie contre ce mouvement de défense de la dignité humaine toute la panoplie des moyens des régimes totalitaires :
        – Déshonorante tentative d’instauration d’un climat de peur par le ministre des Gaz et Matraques, Manuel Valls, pour essayer, en vain, de dissuader les familles de venir clamer leur détermination de ne pas accepter une loi de désintégration de l’humanité ;
        – Arrestations nombreuses, incessantes et totalement arbitraires de personnes pacifiques, pour simple « délit de bonne gueule », ou par exemple pour simple port de vêtements siglés « la Manif pour tous », voire pour simple port d’un drapeau français, manifestement non prisés par les ministres de la dictature socialiste et de l’écologie subvertie ;
        – Cas de mères de famille attendant leurs enfants à la sortie des écoles, ignoblement embarquées dans les fourgons par de pauvres exécutants sans souci des droits des personnes et du sort des enfants ;
        – Placements sur écoutes, filatures, arrestations, rétentions, mises en garde à vue à des fins d’intimidation et de fichage et en violation flagrante du droit se succèdent ainsi comme aux époques annonciatrices des persécutions jacobines, nazies et communistes.
    Cependant, la police et la gendarmerie ne font plus face à la délinquance grandissante dont on occulte des faits très graves. Et rien n’est fait contre les actes de profanation d’églises et de cimetières qui se multiplient et contre lesquels, malgré les plaintes de l’AGRIF, les enquêtes ne sont pas diligentées.
    Les dirigeants et avocats de l’AGRIF constatent, comme des millions de Français, que l’actuel gouvernement, imposant une loi immorale de déni d’humanité par tous les moyens de manipulation et de violation d’une authentique démocratie respectueuse de la loi morale naturelle et éternelle, s’est enfermé dans l’illégitimité et sombre désormais dans l’illégalité la plus grossière. Ils vont riposter à cette situation d’iniquité par tous les moyens de justice et de droit encore subsistants et en appellent aux magistrats protecteurs de la défense des libertés.
    Les forces de l’ordre sont aujourd’hui employées à des missions de répression et d’intimidation des honnêtes gens qui ne réclament que de pouvoir s’exprimer.
    Elles savent pourtant que prévaut désormais fermement depuis 1945 dans le droit international et national la doctrine dite des « baïonnettes intelligentes ». Celle-ci dispose que les agents de l’Etat sont responsables pénalement s’ils exécutent des ordres manifestement illégaux (article 122-4 du Code pénal), notamment les atteintes arbitraires à la liberté individuelle qui sont réprimées par l’article 432-4.
    Ce dernier article fait encourir 7 ans d’emprisonnement aux auteurs et aux donneurs d’ordre portant atteinte arbitrairement à la liberté individuelle.
    Des dizaines de plaignants, notamment soutenus par l’AGRIF et assistés par ses avocats, et bien d’autres encore en concertation avec eux, vont saisir dans les prochains jours les instances judiciaires de plaintes contre les atteintes aux droits les plus fondamentaux de la personne humaine.
    Bernard Antony

    antonyb@wanadoo.fr
    28/05/2013  http://www.polemia.com

    Pris sur le vif sur l’Esplanade des Invalides :

    – « Là on voit les motivations de Vals : 30 arrestations au Trocadero…350 à la Manif du mariage pour tous …cela démontre que les casseurs venant des banlieues non rien a craindre avec ce gouvernement ….deux poids deux mesures….on s’en rappellera aux prochaines élections..n’ayez crainte… »

    Voir aussi : 

    http://www.ndf.fr/poing-de-vue/28-05-2013/lettre-ouverte-au-president-de-la-republique-apres-la-rafle-des-champs-elysees-du-25-mai-2013

    http://www.ndf.fr/poing-de-vue/29-05-2013/25-mai-2013-la-rafle-des-champs-elysees-ou-comment-un-pere-de-famille-sest-fait-placer-en-garde-a-vue-pendant-24-heures-pour-une-simple-ballade-sur-la-plus-belle-avenue-du-monde

  • Valls devra-t-il répondre de ses exactions devant la justice ?

    Interpellation d’anti-mariage gay : un avocat va déposer plainte

    Et dire qu’Hollande venait célébrer l’esprit de la Résistance !

    Lu dans Le Figaro : Un avocat représentant des manifestants s’apprête à déposer plainte pour « atteinte à la liberté d’aller et venir ». Il souhaite également saisir le Défenseur des droits.

    Des lycéens, une femme enceinte, un aveugle, un prêtre, des dames catéchistes et des retraités âgés de plus de 70 ans… Quatre-vingt-treize personnes, des opposants au mariage homosexuel mais aussi de simples passants, ont été interpellés lundi après-midi, en marge d’une manifestation spontanée à proximité du lycée Buffon à Paris, où François Hollande effectuait une visite. « Un déplacement de population déguisé !, s’insurge Me Grégoire Étrillard, qui défend plusieurs personnes interpellées. L’objectif était juste de les éloigner du président de la République ». Fort de nombreux témoignages, l’avocat s’apprête à déposer plainte pour « atteinte à la liberté d’aller et venir ». Il souhaite également saisir le Défenseur des droits.

    Certes, la manifestation s’est tenue à l’appel du Printemps français, qui rassemble des opposants radicaux au mariage homosexuel. Mais la majorité des personnes interpellées n’avaient rien à voir avec ce mouvement que le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, envisage d’interdire. Certains, indique l’avocat, n’ont fait que scander quelques slogans, comme « Hollande, ta loi, on n’en veut pas ! », d’autres se sont simplement approchés de l’attroupement. Poussettes et jeunes enfants

    Louis, 23 ans, a été interpellé alors qu’il voulait rentrer chez lui en moto, « sans aucune notification ni raison apparente ». « Ni moi ni mon amie n’avions de signes de la Manif pour tous, raconte Marie-Laure, jeune maman. Cependant, partageant ces valeurs, nous nous sommes jointes au groupe de jeunes. Petit à petit, le dispositif de CRS nous a poussé sur la place du métro Pasteur. Quelques autres mamans nous ont rejoint en attendant la sortie des classes à 16h. Certaines avec leurs poussettes et leurs jeunes enfants ».

    L’une de ces jeunes mamans a eu beau expliquer aux CRS qu’elle avait « deux enfants adoptés à récupérer », elle est embarquée, sans « aucune explication que ‘vous n’aviez qu’à pas être là’ » dans un bus bondé où il « faisait une chaleur étouffante ». « Ensuite, ils ont relevé notre identité et nous ont demandé notre filiation (père et mère) !, s’exclame cette mère de famille « pas extrémiste, mais excédée ». Nous avons attendu sous un préau bordé de barbelés pendant plusieurs heures ».

    Patrick et Brigitte accompagnaient leur tante de 80 ans faire ses courses quand ils ont repéré l’attroupement. « Nous discutions entre nous avec des passants quand nous avons réalisé que nous étions peu à peu encerclés par les CRS, raconte Patrick. On nous a alors demandé de monter dans un car de police. Ma tante n’ayant pas ses médicaments pour le coeur, le conducteur a alors dit à son collègue ’la vieille, elle descend”. Elle a ensuite été prise en charge par des passants indignés… »

    « Il n’y a aucun fondement juridique à restreindre la liberté de quelqu’un sans motif » Me Etrillard 

    Et c’est alors, poursuit Ségolène, que « le plus drôle est arrivé » : « Avec les autres femmes arrêtées, nous avons éclaté de rire !, se souvient-elle. La police venait d’arrêter des mères de famille, catholiques et catéchistes, et les avait emmenées au commissariat… rue de l’Évangile, à deux pas de la Porte de la Chapelle ».

    Me Etrillard ne « comprend toujours pas quelle a été la procédure qui a permis de garder des gens ainsi pendant plusieurs heures ». « Il n’y a aucun fondement juridique à restreindre la liberté de quelqu’un sans motif, souligne-t-il. S’agissant de gens particulièrement calmes et respectueux de l’autorité, c’est un abus de la force publique qui n’est pas acceptable ». Sa plainte est destinée à « donner un coup d’arrêt à une pratique de canalisation des manifestations, qui semble prendre de plus en plus de libertés avec la loi ».

    Le Figaro  http://www.actionfrancaise.net

  • "Manif pour tous ou garde à vue pour tous ?"

    LpCette fois, c'est le Point qui se pose la question... Ce gouvernement va commencer à se sentir bien seul.

    "Depuis plusieurs jours, les arrestations d'opposants au mariage pour tous se multiplient, et ce sans raison apparente pour certains.

    Dimanche 26 mai, après les incidents qui ont émaillé la fin de la Manif pour tous, 231 opposants au mariage homosexuel sont arrêtés et placés en garde à vue. Héloïse Pamart et Élise Marchand, amies et étudiantes, font partie du lot. Contactées par Le Point.fr, elles tiennent à dénoncer les conditions révoltantes de cette nuit passée "dans les geôles" de la République. Si toutes les deux avaient bien participé à la manifestation, elles avaient levé le camp avant le début des débordements. C'est en tentant de regagner le métro Concorde, "après avoir bu quelques bières non loin de là", qu'elles sont arrêtées.

    Héloïse tente alors de convaincre les CRS de les laisser s'en aller. "Un flic en civil" s'en mêle et menace, tout en déployant sa matraque télescopique, "de lui péter les genoux". Parquées dans un panier à salade (un bus de police, NDLR) "puant et sale", elles sont conduites dans un commissariat "glauque" du 18e arrondissement de Paris, rue de l'Évangile. Entre "deux parties de cartes", un officier de police judiciaire (OPJ) finit par les placer en garde à vue pour non-dispersion après sommation. Plus de deux heures se sont déjà écoulées depuis leur interpellation...

    Héloïse est alors contrainte par des "fliquettes" de retirer son soutien-gorge dans une pièce ouverte aux regards de tous. Des policiers rient à la vue de sa carte de membre de l'UMP (elle ne l'est plus aujourd'hui, NDLR). La jeune fille ne peut pas s'empêcher de pleurer. Mais ce n'est pour elle que le début d'une longue nuit" (suite). 

    Témoignez, faites témoigner. Il faut que la vérité soit connue...

    Lahire  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • [Tribune libre] J’aime pas les agents – Par Flavien Blanchon

    [Tribune libre] J’aime pas les agents – Par Flavien Blanchon

    « J’aime pas les agents », c’est la réaction du hussard bleu de Nimier quand on lui annonce l’arrivée, pour enquêter au régiment, de deux officiers des Renseignements généraux. Ç’a toujours été le fond de mes sentiments envers les forces de l’ordre, comme on les appelle, policiers en uniforme ou en civil, CRS, gendarmes mobiles. J’aime pas les agents.

    Je n’ai donc nullement été surpris, ces derniers mois, par les récits et les images des brutalités ou même des sévices infligés par ces « forces de l’ordre » aux manifestants contre le mariage dit pour tous. Je n’ai même pas été scandalisé : le régime est un scandale permanent.

    Ce qui me stupéfie, c’est que certaines victimes – et victimes directes, des gens qui ont été matraqués, gazés (image en Une), raflés, entassés dans des gardes à vue arbitraires –, s’obstinent à vanter leurs conversations avec « le sympathique gendarme » ou « le gentil commissaire » qui leur auraient assuré qu’ils étaient de cœur avec elles : nous savons bien que vous n’êtes pas des casseurs, vous êtes des jeunes bien polis vous, ça nous change, nos ordres sont absurdes, etc. etc. Certains sites catholiques conservateurs se spécialisent dans ce genre de « témoignages », agrémentés de photos attendrissantes de familles BCBG prenant la pose avec des CRS tout sourire, ou d’illuminés, sans doute diacres permanents, qui déambulent avec des pancartes : « CRS, je te pardonne, tu ne fais pas un boulot facile ». On peut même y lire des missives dégoulinantes de bons sentiments, en pur style conciliaire charismatisant, à « Frère policier » et « Sœur policière ».

    Je ne sais pas si les policiers qui affirment souffrir dans leur cœur des ordres qu’ils exécutent, peuvent être sincères, ou s’il s’agit juste de la méthode classique pour mettre les prisonniers en confiance et leur faire signer des procès verbaux falsifiés. Je ne ferai pas de casuistique pour déterminer jusqu’où il peut être légitime d’aller dans l’obéissance. La morale individuelle est ici secondaire. Il est même anecdotique que l’actuel ministre de l’Intérieur soit une sinistre brute – la plupart de ses prédécesseurs étaient-ils autre chose ? Le fait essentiel est que les « forces de l’ordre », comme tout l’appareil de l’État en France, sont ordonnées à la destruction du peuple français : destruction spirituelle, morale et même, depuis des décennies, par l’immigration de masse et le métissage imposé, biologique. Ces « forces de l’ordre » servent une entreprise qui n’est, objectivement, rien d’autre qu’un génocide.

    Je suis de ceux qui auraient rêvé, en fait de grand sursaut français contre la tyrannie, d’autre chose que la Manif pour tous : qui auraient préféré, si cela avait dépendu d’eux, que ce soulèvement se produisît plus tôt, sur d’autres enjeux, avec d’autres symboles et derrière d’autres chefs. Mais le mouvement a eu lieu, il est là et il peut être – c’est le message ultime que Dominique Venner nous a écrit de son sang – le point de départ de la Reconquista. L’aveugle dureté de la répression, les dénis de justice criants dont sont victimes les manifestants, le deux poids deux mesures qui est systématiquement appliqué à leur détriment et au bénéfice des bandes ethniques, tout cela même – qui paraît absurde et qui est éminemment logique puisque c’est la logique même du Grand Remplacement –, sera salvateur s’il déclenche une prise de conscience.

    Un reportage, malveillant mais pas inintéressant, sur les jeunes Versaillais qui manifestent, donne la parole à un curé conciliaire. Pour lui, « le rapport aux autorités » a changé :

    « Dans le public des manifs il y avait vis-à-vis de l’État, de la police, un respect, une considération, des gens qu’on considérait comme les garants de valeurs. Aujourd’hui, il n’y a plus ce principe de base. Et ça c’est un basculement vraiment surprenant chez des gens qui par nature sont consensuels, plutôt bourgeois. […] J’ai un gendarme que je connais, qui était venu me voir en me disant qu’il espérait que les gens n’allaient pas pour autant perdre le respect du gendarme, du concept. Il me disait : “J’ai conscience qu’on a pu obéir à des ordres absurdes […]. Mais surtout, dites aux gens de ne pas faire l’amalgame, de ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain, dites-leur de ne pas perdre ce respect du gendarme.” »

    Ce respect du gendarme, de la police, de la justice, de toutes les prétendues autorités, de toutes les institutions dévoyées et perverties, censées protectrices et devenues génocidaires, il est pourtant vital de le perdre. Il ne s’agit pas d’aller jeter des bouteilles sur les CRS – les flics en civil s’en chargent très bien tout seuls. Il ne s’agit pas de se complaire dans l’illégalité en pure perte, avec pour seul résultat de servir d’épouvantail commode aux médias du Système : le mot d’ordre de Maurras, « avancer par tous les moyens, même légaux », est plus que jamais d’actualité. Il s’agit d’une libération intérieure, préliminaire impérieux de la survie. L’irrespect, aujourd’hui, est une hygiène mentale.

    Flavien Blanchon http://fr.novopress.info/

    Crédit image : copie d’écran d’une vidéo, DR.