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  • La signification occulte de la faucille et du marteau

    faucille-marteau

    La faucille et le marteau sont des symboles maçonniques présents dans le « tableau de loge » dès le premier degré d’initiation, celui d’Apprenti.

    La lecture au niveau initiatique est très différente de celle au niveau exotérique qui évoque un hymne à la construction sociale et au travail des ouvriers et des paysans.

    Le marteau est un instrument qui, métaphoriquement, aide le maçon à construire le Temple [de Salomon] – le Grand Œuvre – en même temps que d’autres outils comme l’équerre, le compas, le fil à plomb et la truelle ; il symbolise le pouvoir, la force, l’impérialisme, avec la même signification que le poing fermé.

    La faucille, par contre, est l’emblème de la philosophie, entendue comme succédané absolu de la religion, c’est-à-dire la gnose des initiés.

    L’ensemble est conforme à un programme : le Pouvoir (Haute Finance [juive]) fondé sur la gnose de la Contre-Eglise [maçonnique] pour le Gouvernement Mondial de l’Humanité.

    Epiphanius – Maçonnerie et sociétés secrètes (2005)

    Source : Bibliothèque de combat

    http://cmick23r.wordpress.com/

  • Johan Livernette : Le site slate.fr de Jacques Attali et l’élection de François 1er – VIDEO


    La vérité qui rend libre VIII par round_affectif

  • Merkel : “La Grèce doit quitter la zone euro maintenant !”

    Dans un article paru dans le quotidien allemand Die Welt datant du 28 mars dernier, la chancelière a fait part de sa lassitude vis à vis de la situation grecque ; exprimant son désir que la Grèce fasse enfin défaut et quitte la zone euro craignant que la situation de ce pays n’occasionne “des dommages plus importants“.

    Elle a par ailleurs comparé la situation de la Grèce actuelle à celle de la fin de la République Démocratique d’Allemagne.

    “Le sauvetage de la Grèce a échoué. La situation actuelle de ce pays ressemble à la fin de la RDA. Athènes doit quitter la zone euro avant que des dommages plus importants ne surviennent !”

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Comment l’Union Européenne prépare la destruction de notre mémoire au nom du droit à l’oubli

    Communiqué de l’AAF (Association des archivistes français)

    Au nom du droit à l’oubli, quel patri­moine pour l’Europe de demain ?

    Pour éviter que de grands opé­ra­teurs pri­vés du web (Google, Facebook etc.) puis­sent conser­ver et uti­li­ser des don­nées per­son­nel­les, la Commission euro­péenne et le Parlement euro­péen se pré­pa­rent à adop­ter, pour le prin­temps 2013, une solu­tion radi­cale : un règle­ment qui obli­gera tous les orga­nis­mes publics et pri­vés à détruire ou à ano­ny­mi­ser ces don­nées une fois que le trai­te­ment pour lequel elles auront été col­lec­tées sera achevé, ou passé un court délai. La com­mis­sion veut ainsi assu­rer aux Européens un droit à l’oubli qui garan­ti­rait le res­pect de leur vie pri­vée.

    Ce règle­ment por­tera sur les don­nées per­son­nel­les sur tou­tes leurs for­mes, infor­ma­ti­ques ou papier. Il s’appli­quera immé­dia­te­ment et s’impo­sera aux légis­la­tions natio­na­les déjà en place.

    Vous avez fini vos études ? L’école ou l’uni­ver­sité éliminera votre dos­sier. Vous avez vendu un bien immo­bi­lier ? Les ser­vi­ces du cadas­tre détrui­ront les tra­ces de votre pro­priété. Vous n’êtes plus employé par votre entre­prise ? Celle-ci sup­pri­mera les infor­ma­tions vous concer­nant. A cha­cun de veiller sur ses pro­pres don­nées, ne comp­tez plus sur les ser­vi­ces publics ou sur votre employeur ! [...]

    Collecter et conser­ver des don­nées indi­vi­duel­les à des fins patri­mo­nia­les ou juri­di­ques au delà des stricts besoins qui ont pré­sidé à leur créa­tion, assu­rer aux citoyens l’accès à l’infor­ma­tion tout en pro­té­geant les éléments essen­tiels de leur vie pri­vée est l’apa­nage des démo­cra­ties, qui dis­po­sent depuis long­temps de légis­la­tions stric­tes dans ce domaine.
    Il est aber­rant d’impo­ser les mêmes obli­ga­tions dras­ti­ques aux orga­nis­mes à visées com­mer­cia­les qui conser­vent des don­nées per­son­nel­les à seule fin de les mon­nayer, aux orga­ni­sa­tions pri­vées dont la cons­ti­tu­tion d’un patri­moine his­to­ri­que est déjà par­tie inté­grante de leur culture, et aux struc­tu­res en charge de mis­sions de ser­vice public. [...]

    L’opi­nion s’est émue récem­ment du sort des manus­crits de Tombouctou ? De la même façon, elle doit réa­gir à la dis­pa­ri­tion pro­gram­mée de sa pro­pre mémoire, réponse trop rapide des légis­la­teurs euro­péens pour contrer les visées, scan­da­leu­ses, de quel­ques socié­tés.

    Association des archivistes français

    http://histoire.fdesouche.com/

  • Redresser et humaniser notre société

     

    - Bloc-notes de campagne -

    Nous continuons la présentation du « programme électoral » de l'Alliance royale qui lance 34 candidats aux législatives. Le premier volet (Des idées dans un programme) modifiait les institutions et le mandat de député, le deuxième (Une vie chaque jour plus facile) cataloguait les réformes les plus essentielles en dehors des questions institutionnelles et ce troisième volet vise à humaniser notre société en s'appuyant sur le pivot de la famille.
    Une société plus humaine est plus compliquée qu'un pieux slogan. L'Alliance royale articule assez bien son dispositif. Le pivot en est la cellule familiale qu'elle entend protéger mais qui réclame un environnement favorable à son épanouissement pour le succès de sa fonction. Le texte en italique est celui de l'Alliance royale.

    Une famille plus sûre
    Refonder une véritable politique familiale pour soutenir les familles ; reconnaître leur place première dans l’éducation, la transmission des valeurs et la solidarité
    Est-ce à l'État de refonder une politique familiale ou doit-il s'en tenir à subventionner la démographie ? Vaste débat.
    Incorrigible libertarien, moins je LE vois, mieux je me porte. Mais tout le monde dans notre pays n'est pas en capacité de suppléance. Le maître-mot est subsidiarité avec son compère indissociable la responsabilité. Accorder un pouvoir politique à la famille par la création d'un collège électoral spécifique renvoie l'État à son rôle naturel d'arbitre en dégageant le champ des responsabilités au niveau local.

    Une éducation partagée
    Sans opposer le régime aux familles, quoique la tentation ait été forte au début de la III° République de caporaliser la jeunesse sous la houlette des Hussards Noirs, les tenants de l'ordre régnant se prévalent souvent de la sous-qualification des familles à l'éducation de leurs enfants pour dépasser la simple instruction publique et se substituer à elles à l'école. D'où le nom terrible du ministère ad hoc, "Education nationale". Ce n'est pas entièrement faux, mais pourquoi donc l'alphabétisation de la vieille France était-elle meilleure à la veille de la Révolution par le travail des maîtres d'école nourris par les bourgs et villages, qu'elle ne le fut sous le Premier empire ?  Par exemple en Bas-Languedoc, il fallut attendre la fin du Second empire pour retrouver le niveau d'alphabétisation obtenu par les clercs modestes de l'Ancien régime.
    A contrario, les valeurs transmises par les familles sont-elles toujours celles que nous recherchons ? Le "pays réel" est bien différent du pays rêvé et certaines orientations "familiales" sont inadmissibles en classe. Que l'on songe aux collèges des zones multi-ethniques où s'affrontent les haines rancies de l'arc méditerranéen.
    On embraye ici directement sur la carte scolaire, qui bloque le choix d'inscription au collège. Sa destruction est l'incitation la plus sûre aux écoles communautaires. Est-ce bien ce que nous cherchons, le communautarisme ? Il y a un réglage à peaufiner entre liberté d'organisation au niveau local et diversité des consciences. Pas simple.
    Ceci étant posé pour l'éducation, il s'agit de cerner les conditions de vie :

    Respecter la Vie
    Protéger la vie et la dignité de la personne humaine, notamment celle des enfants à naître, des handicapés et des personnes âgées.
    Développer une politique d’accueil des personnes en détresse, des mères et de la petite enfance. Faciliter l’adoption en France.

    Il n'est pas bien vu de dire qu'une société qui tue ses bébés et ses vieillards est gravement malade. Quand elle s'avise de marier les invertis dans la salle des mariages de la mairie, et d'offrir des enfants-jouets à des paires stériles par construction préalable, elle est en décadence et nous rappelle la pente irrésistible du Bas-Empire. Qui dans le champ politique aura la force de s'opposer à ces extravagances ? Pas grand monde dès lors que les modes de vie signalés sont ceux de clientèles électorales particulièrement actives dans le lobbying, relayées par la presse affairée au "progrès de l'humanité". On touche du doigt les vices de la démocratie d'étage national qui a substitué à la raison les envies de chacun. Lorsqu'elles précipitent en groupe de pression elles aboutissent au Parlement qui en prend acte.
    Contre cela nous sommes impuissants sauf à cibler les causes premières de ces désordres. L'avortement n'aura pas grand avenir dans ce pays si nous constituons les structures d'accueil des enfants non désirés en nombre suffisant, et en accompagnant les mères jusqu'à terme. On n'annulera pas les IVG de rattrapage d'une contraception loupée, sachons-le, mais au moins la société aura fait du mieux possible entre la liberté "moderne" et l'éthique sociale de l'espèce.
    A l'autre bout de la vie est la vieille guenille d'un corps dépassant bientôt sa date de péremption. Laisser souffrir les malades condamnés à brève échéance est insupportable lorsqu'on y est directement confronté, mais qui qualifie la certitude de la condamnation et la brièveté du délai restant ? c'est tout le problème. On mesure là l'inanité, l'imbécillité des lois universelles, quand elles font commerce de compassion. Ne peut-on laisser juges les médecins, juges des patients, juges des "ayant-droits" ? Faut-il légiférer sur tout jusqu'à laisser la main à des juges non-experts ? Question très difficile dont la prégnance va augmenter avec le vieillissement de la société et l'accroissement des coûts conséquents, car nous ne vivrons pas plus longtemps, mais nous vieillirons plus tard et longtemps. L'Europe asile de vieillards ? Il faut redresser la pyramide démographique. Se pose déjà la question de la santé :

    Une carte sanitaire performante
    Instaurer des services sociaux et hospitaliers de proximité
    En une ligne, on touche à la définition de la Sécurité sociale nationale française qui a cru réussir le mariage de la carpe et du lapin, la carpe étant le service public déboursant sur prescriptions du lapin privé faisant carrière. Les déficits énormes de cette belle construction communiste autorisent à reconsidérer le dispositif et à préconiser un nouveau système de soins élémentaires peu dispendieux et généralisé. Pour cela il faut des centres médicaux municipalisés convenablement dotés en personnel et matériel, et gratuits sans conditions de ressources. On les appelait jadis des dispensaires. On les a tués en les affublant de tous les maux pour faire place à la médecine de ville. Je connais beaucoup de gens qui s'en contenteraient, même si leurs prestations sont basiques. A la fin de l'histoire, tout part à l'incinérateur, n'est-ce pas ? Et pour beaucoup au paradis, alors ?
    A côté du réseau des dispensaires, croîtront et embelliront les lourdes machines de l'exploit que sont les centres hospitaliers à qui l'on demandera une gestion équilibrée des patients et des moyens, dans les limites des subventions possibles et consenties par les contribuables. Pas d'argent, pas de Suisses ? Faudra-t-il arrêter scanners et IRM le quinze novembre de chaque année pour que le peuple en manque de protection assimile la hauteur du défi budgétaire ?
    C'est un gros sujet, mais on ne peut "américaniser" le dispositif sanitaire français comme y poussent les compagnies d'assurances. Pour s'en prémunir, il faut sortir de l'idéologie d'une économie mixte, tout remettre à plat et appeler un chat un chat. L'essentiel est que tous les habitants de ce pays aient accès aux soins de base (dentaires et ophtalmologiques inclus), quelle que soit la couleur du chat. Ce qui pose la question de la démographie médicale à laquelle s'affronte avec courage d'ailleurs le Conseil de l'Ordre tant sont grands les déséquilibres. Après, pour monter en première classe, il faudra acheter le ticket en travaillant.

    Conclusion : un trou dans le décor
    Calé au fond du fauteuil et fermant les yeux sur notre belle société, je me dis que si mes grand-pères revenaient comme on le fait dans les films de science-fiction, ils n'en croiraient pas leurs yeux. S'être fait casser la gueule pour arriver à ça ? Que le régime politique soit assourdi par le défilé des casseroles de nos élites, passe encore, les barbichus de la Troisième étaient des experts en concussion ; mais que soient promus des comportements sociaux aberrants les sidérerait.
    "Notre" directeur général du FMI, complètement débordé par une pathologie de priape fou, était le champion socialiste à la présidentielle ! Le président élu est l'amant d'une dame mariée et la promène partout comme que le faisaient jadis sur les allées Paul Riquet de leur cocotte les gros marchands de vin de Béziers. Leurs épouses se poussaient du coude en terrasses à jauger les mérites rebondis des gourgandines. Le "couple" présidentiel normal emmènera-t-il au bassin du Luxembourg ses sept enfants ? Le premier ministre a pris six mois de prison (mais avec sursis comme toujours dans une affaire politique) pour favoritisme éhonté. Il a été réhabilité plus tard comme si le procès avait eu lieu à Prague. A en citer trois de l'équipe en place, nous choisirions l'amant de Mme Pulvar, mais il va s'accabler lui-même assez dans les semaines à venir, sur son projet ubuesque de "Redressement progressif", qu'il est inutile de lui tirer dessus.
    Un président normal disait le candidat Hollande, dans un gouvernement irréprochable ! Où ça donc ?
    On se plaît à rêver à un chef d'État normal, éduqué, poli, bien marié, entouré d'une famille normale et nous représentant dignement à l'étranger, sans en faire non plus une gravure sulpicienne ; mais arrivant à l'heure par exemple. Cette pointe de pyramide s'appelle ailleurs un roi, une reine, dont l'exactitude est la politesse, disait Louis XVIII.
    Pourquoi pas chez nous ?

    http://royalartillerie.blogspot.fr

  • Poudre de tyrannie

    La « manif pour tous » a pris une nouvelle dimension dimanche dernier (24 mars). Le choc des violences policières, tant physiques que morales et humaines, ainsi que les réactions des politiciens en place sont symptomatiques d’une accélération des évènements vers ce qui pourrait augurer d’une situation pré-révolutionnaire.

    Plusieurs éléments d’analyse :

    - La première réflexion que se sont faite les gens « normaux » (c’est à la mode d’utiliser ce terme, par opposition sans doute à l’anormalité de la situation !) c’est : mais pourquoi les policiers ont gazé des enfants et leurs parents (gaz lacrymogène) sans compter quelques élus et responsables politiques de l’opposition, alors qu’ils ne font rien de si spectaculaire et efficace contre les agressions et crimes commis quotidiennement par les vandales, barbares, marchands de drogue, trafiquants et violeurs ?

    L’explication est assez simple : ces délinquants et criminels ne constituent en aucun cas une opposition politique au système actuel.

    - Venons-en à la suite logique de ceci : des CRS envoient des gaz lacrymogènes, trainent des gens à terre – qui sont ces gens !? Certes ils ont tenté d’atteindre des rues dont l’accès était barricadé, mais ils sont selon toute vraisemblance des français « moyens », de ceux qui travaillent, paient des impôts (via lesquels notamment les forces de police !), ont un mode de vie français « classique », sont honnêtes. Immédiatement on ne peut s’empêcher de penser qu’il y a eu dimanche une disproportion inquiétante entre les actes et la répression. Des enfants de ces français classiques ont été gazés de plein front ! Le pouvoir leur inculque, dès le plus jeune âge, à ces graines d’opposants, qu’en cas de contestation, la punition sera terrible. Un régime qui « éduque » le mental par le traumatisme…

    Vous n’adhérez pas aux mesures décadentes du pouvoir politique ? Voilà ce qu’il vous en coûtera !(en plus de vos impôts !).

    - Ce type de répression n’est cependant pas nouveau. On l’observe largement depuis des mois en Grèce surtout, au Portugal et en Espagne aussi, où le peuple gronde massivement contre la troïka (personne ne sait rien en France sur nos voisins, black out médiatique oblige..). En France, nous avons eu un aperçu des violences de la police politique lors des manifestations anti CPE en 2006. Ces étudiants d’alors, eux aussi enfants des français classiques…

    Le bon peuple est mauvais (pour le système).

    - Le cadre global idéologique du mariage des futurs parent 1 + parent 2 de choix ou de nature homosexuel(le) est le mondialisme régressif (pléonasme) par piqûres de mesures décadentes sur le plan sociétal et punitives sur le plan économique et social. Le pendant des idéologues et de leurs suiveurs (profiteurs et/ou idiots utiles), c’est une haine viscérale pour l’Humain, ce qu’il est, ce qu’il a de naturel. L’enfant engendré biologiquement (bientôt, les enfants bio ?!) est une véritable création monstrueuse, dont la venue est d’ailleurs de plus en plus pathologiquement dramatisée (ou magnifiée). Ceux que nous combattons sont emprunts de mortifère…

    La bonne nouvelle est que, donc, logiquement, ceux-là bien que virulents et hyper actifs, n’en sont pas moins moribonds.

    La question dans cette affaire n’était pas d’accuser les parents d’emmener leurs enfants « au front », comme l’ont ironiquement avancé les socialistes en guise de justificatif à leur assentiment, ni de s’indigner des prétendus extrémistes en ultra-marge de la manifestation, vu la masse déplacée, on est au contraire enthousiaste de voir à quel point elle a été formidablement pacifique.

    Il faut évidemment continuer, plus que jamais. L’on sent bien que sous la mobilisation contre le « mariage pour tous », il y a autre chose, de plus profond.

    Prémices de printemps ? Pas tout de suite. Mais constatons qu’un régime qui se comporte de la sorte montre qu’il a peur du peuple. Un régime qui a peur du peuple n’a plus d’autre choix que d’user de la force contre le peuple. Dans les livres d’Histoire, on appellerait cela : début d’escalade vers la tyrannie !

    En attendant, un mot pour la jeunesse : si vous ne lisez pas, lisez tout de même au moins ces deux ouvrages : Le Meilleur des Mondes (Huxley) et 1984 (Orwell). Mais ne lisez pas passivement : faites le lien avec ce que nous vivons et risquons de vivre plus fortement encore.

    Car la violence observée dimanche sur nos enfants présage du pire, en cas de guerre…

    par Louise BUCHMANN, Responsable du SIEL-ALSACE http://www.siel-souverainete.fr

  • L'extrémisme, c'est eux !

    Faute de restaurer un lien de confiance avec le peuple français, l'aile californienne de l'UMPS use d'un stratagème rodé jusqu'à la corde : la diabolisation. Les opposants au mariage gay seraient donc devenus des extrémistes, optant " pour une stratégie de la tension". Les années de plomb à l'italienne ne sont probablement pas loin, et, si les forces de l'ordre n'y mettent pas un terme, nous assisterons bientôt à un déferlement de sang et de larme.
    Outre l'atteinte implicite à la liberté d'expression, celle, en l'occurrence, jamais désavouée quand les agités étaient de gauche, qui débordait un peu les limites fixées par la loi – et il ne faut pas oublier que ce « parti du mouvement » s'est toujours appuyé sur la transgression, notamment en ce qui concerne ce fameux mariage homo (souvenons-nous d'act-up et de sa violence, des coups de la LGBT, de Mamère et de sa perfide et tenace trahison des lois qu'il devait défendre en tant que maire...) - on prend la mesure de la menace. Les chiens aboient avant que la caravane n'écrase toute les résistances qui tentent d'arrêter son irrésistible marche vers le désert...
    « Tension » ! « Extrémisme » ! De la part d'un parti qui a toujours défendu le brigadiste assassin Battisti, singulièrement grâce à l'intervention de son plus éminent représentant, François Mitterrand lui-même, et qui l'a probablement aidé à fuir la France, voilà qui ne manque pas de sel. Et quand on sait que l’état-major du parti est peuplé de créatures directement issues des rangs de l'extrême gauche trotskiste, on saisit toute la tartuferie d'une telle déclaration, qui équivaut à mettre en scène un tueur en série aux mains sanglante beuglant « à l'assassin ! ».
    Quant à l'extrémisme qu'on fait mine de combattre, cela vaut le coup d'y regarder de plus près. Nous ne nous attarderons pas sur le soutien armé – approuvé quand il s'agissait de Sarkozy aidant les salafistes libyens à prendre le pouvoir, ou diligenté actuellement en faveur des groupes qui sèment la terreur en Syrie, sans oublier toutes les entreprises de déstabilisation qui visent à semer le chaos au Proche et au Moyen Orient, en reprenant explicitement ou implicitement les récriminations de cet Etat voyou qu'est Israël, et en sous traitant l'entreprise criminelle de l'Etat maquereau américain – tout cela, c'est de la politique étrangère !, mais nous prendrons au sérieux le projet utopiste d'éradiquer toute légitimation biologique à l'identité de la personne (bizarrement, personne au parti socialiste ne remet en cause la filiation juive par la mère – ce qui est manifestement une contradiction par rapport à des principes constructivistes hautement proclamés, et une incohérence non moins éclatante par rapport à la dénégation du concept de race).
    Comment qualifier en effet la main mise d'un Etat censément « républicain » - donc « neutre » - empreint pourtant d'une idéologie manifestement partisane, qui manœuvre pour laver les cerveaux de toute cette poussière ancestrale, vieille de plusieurs centaines de milliers d'années, coupable de laisser croire, contre toute évidence, que l'on puisse – horreur ! - naître homme ou femme, comme cela, naturellement. Il fallait rectifier la nature – et c'est en voie. Dès l'Ecole maternelle, on pourvoira à la déficience éducative des familles, et on inculquera les saines écritures. Et on ouvrira les écluses pour que le marché – pourtant prétendument « naturel », lui ! s'engouffre dans le commerce de la procréation artificielle.
    L'artifice : voilà qui sonne bien ! Laissons entrer la cybernétique dans les classes d'école, les cerveaux, les chairs, les cellules, les instincts ! C'est cela, la libre disposition des cœurs et des esprits ! Foin des vieilles balivernes morales, si artisanales du bricolage pour curé archaïque ! Le monde est un pousse au jouir massif, que seuls les coincés peuvent encore refuser. Des vioques qui, de toute façon, disparaîtront... Bougeons ! Néologeons !
    Qu'on se le dise : la liberté est au centre de l'individu qui naît.
    C'est-à-dire, rien.
    Nous naissons rien, il faudra donc devenir tout. Par choix, caprice, volonté.
    Rien d'aussi stupide et criminel n'a été soumis à l'intelligence de l'homme. Outre l'invitation à tous les crimes – puisque par définition, cette liberté ne saurait souffrir de limites, elle est unilimited – comme on dit dans le marketing – et l'on sait que la « loi », pure convention, est malléable, et, désormais, qu'elle peut être promulguée par des dirigeants irresponsables, nihilistes et complètement détachés de toute certitude morale – on place l'être humain devant une impossibilité quasi ontologique de se réaliser. Si tout est le fruit de mon choix, sur quoi donc le faire reposer ? Sur le caprice, ce vent ? N'est-ce pas la plus singulière violence faite à une personne en devenir, que de lui demander d'oublier ses filiations, ses héritages, ses appartenances naturelles, ses appuis, ses protections, le sol où il pouvait croître, pour lui ordonner, sous peine un jour de sanction – sans doute quelque chose d'équivalent à la loi Gayssot – de devenir ce qu'il est censé être, c'est-à-dire, somme toute, une sécrétion onirique de son cerveau ? Quel poids pour un enfant ! Quel terrorisme !
    Mais toute cette bouillie pour apprenti sorcier n'est rien à côté du méga terrorisme que nous concocte, dans sa marmite diabolique, le libéralisme mondialiste, qui reprend, en gros, ce que le mariage homo nous propose en détail. Il faut d'abord bien préciser que les distinctions sophistiquées entre libéralisme et ultra-libéralisme ne sont que des billevesées à l'usage des nigauds et des escrocs. Le libéralisme est une doctrine anglo-saxonne d'économie politique, qui a réussi à conquérir les esprits depuis deux siècles, et qui ambitionne de transformer la civilisation en marché.
    Comme l'on sait, le marché, c'est en principe la libre disposition du consommateur face au vendeur. Il n'existe plus alors ni femme, ni homme, ni français, ni quoi que ce soit, hormis les signes fluctuants que le désir marchant provoque et instrumentalise dans le champ de perception de l'acheteur, et dans ses rêves. Comme Karl Marx l'affirmait dans le Manifeste du parti communiste, le capitalisme ne connaît aucune frontière, au propre comme au figuré, et l'argent n'a ni odeur, ni couleur, ni origine : il court, il circule, il est comme un fluide qui dilue tout dans un immense océan de non sens et de « liberté » absolue.
    La devise du capitalisme conquérant est : « Rien ne s'oppose à ma liberté ! »
    Autrement dit : « Il est interdit de s'interdire quoi que ce soit ».
    Sauf quand il s'agit des règles drastiques imposées par la loi du travail. Puritanisme, efficacité, productivité obligent. On ne fumera pas, on ne boira pas, on nous imposera tous les préservatifs possibles, car faire le contraire coûte trop cher.
    L'idéal du capitalisme est le noceur qui n'oublie pas sa capote. On peut être dépravé, on n'en reste pas moins boureois, c'est-à-dire, in fine, épicier (et l'on sait combien le petit commerçant calcule et se méfie des petits matins blêmes...). Le stupre et la fornication, oui, mais dans l'Ordre.
    Pour le reste : Fay ce que voudras ! Et surtout consomme.
    C'est pourquoi le gouvernement actuel, cette bande de roublards au fond de culotte tapissé de dollars, raminagrobis de jeux vidéos, chattemites douceâtres quand le rôle l'impose, greffiers sournois quand il le requière, est, comme son prédécesseur, une cellule terroriste manigançant ses coups et les assénant par traîtrise (« Hollande, où sont tes promesses ? »).
    Ce gouvernement promulgue toutes les lois, tous les décrets visant à déréglementer, à soumettre l'économie nationale, – la gestion de notre maison commune, en grec- aux intérêts financiers internationaux, à la bureaucratie libérale et américaine de Bruxelles, à livrer la personne humaine au chaos économique, à l'exploitation la plus crue, au désespoir le plus profond en lui interdisant d'avoir une vie de famille normale, stable et solidement établie sur des protections viables. Le démantèlement du droit du travail, qui a son équivalent dans la suppression des règlement empêchant les promoteurs de faire n'importe quoi (dès qu'on s'attaque à la « bureaucratie » « lourde » et « tatillonne », dites-vous qu''il y a toujours un libéral qui pointe son sale pif), la tentative d'imposer l'anglais – langue de l'ennemi anglo-saxon, de l'économisme, du déracinement, langue du tarmac et des bourses – à l'enseignement supérieur (avec pour finalité, un jour, de substituer notre langue à celle du marché) – ce qui vaudra à aux responsables d'un tel terrorisme, d'une telle atteinte à l'intégrité du patrimoine culturel français, à sa force scientifique et intellectuelle, à son indépendance, un procès pour haute trahison, de même d'ailleurs qu'à ceux qui ont livré l'armée à l'Otan américaine et qui s'apprêtent à noyer le pays, à l'occasion du Traité de libre-échange transatlantique, dans l'empire yankee – ce qui est aux trois-quarts fait – la mise sous tutelle du budget national – tout cela (et nous en oublions) est purement et simplement l'expression la plus paroxystique du terrorisme.
    Comment appeler autrement ce qui s'avère être l'entreprise la plus totalitaire de destruction de ce qui fonde l'humain ?
    C'est pourquoi il est impossible de ne pas combattre cette conspiration criminelle. Le devoir est de se battre. Il y va non seulement de notre vie biologique, mais aussi de tout ce qui légitime l'existence. Nous n'avons plus le choix. Ce n'est pas une option politique, comme jadis entre droite et gauche (c'est fini, cela!), mais le choix entre le zéro et l'infini.
    Claude Bourrinet http://www.voxnr.com/

  • [Tribune libre ] Peut-on ne pas être féministe aujourd’hui ? Par Jeanne Martin

    PARIS (via Belle et Rebelle) – En dehors de la noblesse la femme faisait le plus souvent le même métier que son mari ou travaillait aux champs. Le travail épuisait donc tout le monde, homme et femme, et si on avait dit à ces gens-là qu’un jour le travail libérerait qui que soit, croyez-moi, ils n’auraient même pas trouvé ça drôle ! Pour employer les termes justes il faudrait dire que ce n’est pas le travail, mais le salariat qui « libéra » la femme, et seulement la femme bourgeoise, sorte de catégorie paresseuse qui, seule, pouvait se passer de travailler.

     

    Que réclame donc le féminisme ? Le droit à l’éducation ? D’où vient donc cette légende prétendant que les filles n’apprenaient pas à lire et écrire ? Le stupide XIXème siècle a certes enfermé la bourgeoise dans une oisiveté inutile où l’argent permettait non seulement de ne pas travailler mais aussi de faire éduquer par d’autres ses enfants. N’ayant plus aucune fonction dans la société, même pas celle de contenter son époux qui allait voir ailleurs dès que sa descendance était assurée, la femme se mit dans la  tête que le vote lui redonnerait de nouveau l’impression d’exister !

    Alors qui, au final, va gagner ce concours de décadence entre l’homme et la femme ? Le bourgeois pacifiste et bedonnant a pris, à cette époque, le pouvoir à travers la domination de l’argent ; être un homme :c’est réussir financièrement, c’est écrire, faire des discours, briller en société et ce n’est plus que ça ! Ce n’est plus défendre sa maison et son pays les armes à la main, bâtir des cathédrales, labourer la terre. Le bourgeois a mis la femme en quarantaine, parce que la différence des sexes commençait déjà à s’estomper de par sa perte de virilité. De ce fait, il fallut construire artificiellement une nette séparation des genres. Qu’a fait le siècle suivant et qu’a fait notre siècle ? Les femmes ont voulu être comme les hommes, puis elles ont voulu que les hommes soient comme les femmes ! Elles ont voulu, comme les hommes, profiter de ce que la modernité offrait pour jouir sans entraves, multiplier les conquêtes ; mais finalement le besoin de sécurité, de stabilité, la nécessité d’aimer et d’être aimé dans une relation les poussèrent à se réviser. Elles cherchèrent alors à transformer un peu plus les hommes en femmes : égalité dans les taches ménagères et papa-poussettes cher à Zemmour ! Pas étonnant qu’on en arrive à la théorie du gender !

    La faute aux féministes ou la faute aux hommes mous qui ont laissé faire, voire encouragées ? En soi, le féminisme n’a rien de révolutionnaire. Il n’est jamais allé à contre-courant de quoi que ce soit. Il s’est contenté de donner quelques coups de rames spectaculaires dans le fleuve tranquille de l’idéologie progressiste, individualiste, républicaine.

    Alors non, décidément je ne suis pas féministe ! Et je ne vois pas ce que pourrait être un féminisme de droite, un féminisme chrétien !

    Je ne suis pas féministe parce que je me fous de savoir si mon cerveau a la capacité de créer la fusée Ariane, d’inventer une technique chirurgicale, d’inventer le prochain machin technologique mieux que le smartphone et la tablette Androïd. Je ne suis pas féministe, parce que si la guerre éclate je ne me vois  pas confier mes gosses à un homme-nounou pour me faire sauter (sans mauvais jeu de mots) sur la mine d’un quelconque champ de bataille !Je ne suis pas féministe, parce que me poser cette question c’est admettre que je dois me définir à travers un concept, un modèle de femme. Je me définis d’abord selon ma nature, et je tente ensuite d’en  parfaire les vertus.

    On ne peut être féministe et femme, parce qu’être femme c’est être soumise, et tout d’abord à la nature qui a fait que comme les saisons, elle est soumise aux changement d’un cycle ordonné à la fécondité; c’est être soumise à la nature qui la rend mère…

    On ne peut être féministe et identitaire, parce qu’être identitaire c’est renoncer aux idéologies, aux concepts mous,  pour revenir aux racines, faire confiance à la nature ; nature des peuples, nature des hommes, nature des genres…

    Je ne suis pas nationaliste, je suis Française et j’aime mon pays ;
    Je ne suis pas raciste, je suis européenne et fière de mes racines ;
    Je ne suis pas féministe, je suis femme et j’en assume le destin.

    En fait, et c’est là que je risque de paraître rétrograde aux yeux de beaucoup, je ne pense pas la femme autrement qu’épouse et mère. Parce que comme le dit la Genèse, la femme est créée pour le don d’elle-même, et c’est en donnant qu’elle se réalise : « Il n’est pas bon que l’homme soit seul, faisons lui une aide qui lui corresponde » ; par le mariage elle se donne à l’époux, et par ce don d’elle-même elle donne la vie. C’est cette femme-là – généreuse, patiente, forte, courageuse – qui force l’admiration. La femme qui réclame son petit plaisir égocentrique et égalitaire, qui veut « exister » en dehors du foyer sous prétexte qu’il est injuste qu’elle n’y aurait pas les même droits que les hommes n’a rien compris.

    Elle pense avoir progressé la femme du XXIème siècle ? Elle est plus seule que jamais, elle a perdu toute la profondeur qui était sienne, tout mystère. Elle a perdu le regard tendre et fasciné de l’homme sur elle, qui n’y voit plus qu’une partenaire, tellement castratrice qu’il se sent obligé de la rabaisser pour se sentir plus homme. La guerre des sexes est une guerre à mort dans laquelle tout le monde perd.

    Dans un monde d’homme les femmes parlaient peu, du coup leurs paroles étaient sages et dignes d’intérêt; les femmes d’aujourd’hui parlent sans arrêt, en répétant de manière déformée et sans aucun recul tout ce qu’elles entendent, parce qu’elles ne savent plus écouter, faire silence pour méditer ! Combien de fois me suis-je retrouvée dans des conversations avec des filles qui au bout d’une heure de débat pour défendre une opinion, avouaient au final : « Ah bah non, j’ai rien lu sur la question, mais ça m’empêche pas d’avoir un avis, hein ! »… Tais- toi donc idiote, tu fais honte à mon sexe.

    Jeanne Martin http://fr.novopress.info