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  • La banlieue se lève contre la loi Taubira !

    Manifestation à Argenteuil vendredi 10 Mai à 17h30 ; départ gare du Val d’Argenteuil, Boulevard de la Résistance !

    La banlieue bâillonnée, manipulée par le gouvernement va exprimer demain son refus de la loi Taubira.

    La banlieue a voté majoritairement pour M. Hollande (à 65% à Argenteuil et Bezons) mais est violemment opposée à l’ouverture du mariage et de l’adoption pour les couples de même sexe !

    Difficile d’y trouver des défenseurs de la loi Taubira…

    Michel Janva http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Méridien Zéro #143: "Les enfants terribles de la grande Europe"

    Ce vendredi, Méridien Zéro vous propose, avec notre invité Georges Feltin-Tracol, de découvrir plus avant et sans tabous les figures des deux enfants terribles de la grande Europe : Viktor Orban, premier ministre hongrois et Alexandre Loukachenko, président de la Biélorussie.

    A la barre PGL.

    A la technique lord Tesla.

    victor orban, alexandre loukachenko, bielorussie, hongrie, résistance, europe, union européenne,

    DIFFUSION DE L'EMISSION LE VENDREDI 10 MAI
    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • de Villeneuve d’Ascq à Savar, un monde sans frontières…

    A Villeneuve-d’Ascq (nord), les cambriolages , qui sont un véritable viol de l’intimité, se sont multipliés depuis l’arrivée ces derniers mois d’un campement de 400 roms sur le territoire de la commune. C’est à cette installation que les habitants attribuent la brusque montée en flèche de la délinquance. Face à l’inertie des pouvoirs publics, ils ont placardé dans leur quartier des photos de deux jeunes aperçus plusieurs fois rôdant dans le quartier et apparaissant sur une vidéosurveillance après un cambriolage. Le tollé engendré par cette initiative a été immédiat.

    Certes, fort heureusement la présomption d’innocence existe, nul n’est censé se substituer au rôle de la police et encore moins se faire justice lui même. Mais Bruno Gollnisch entend le cri de détresse envoyé ici, et dénonce lui aussi l’incapacité de l’Etat à assurer une sécurité qui, faut-il le rappeler, est la première des libertés.

    Alors, les bonnes consciences de gauche, voire de « droite » ont crié au retour de »heures les plus sombres de notre histoire » , celle où la « délation » servait à traquer et à arrêter les « étrangers ». L’antienne est connue, convoquer le passé pour noyer sous l’opprobre tentative de sursaut et appel au secours des Français qui n’en peuvent.

    Les bonnes consciences de « droite », ont dénoncé le vœu de Christiane Taubira de supprimer le passage par la case prison pour les délinquants condamnés à moins de deux ans d’incarcération, ce qui est le cas de la plupart des cambrioleurs, a fortiori quand ils sont mineurs, y voyant une incitation à agir en toute impunité.

    Ce n’est pas totalement faux mais c’est avoir la mémoire courte affirme Bruno Gollnisch. Cela fait vingt ans, et c’était donc déjà cas sous la décennie Chirac-Sarkozy, que faute de réelle volonté politique, faute de place dans les prisons , par laxisme gauchisant d’une certaine justice et du fait de la pusillanimité de la majorité des députés qui votent les lois, les « petits délinquants » sont assurés de ne pas séjourner en prison ou à tout le moins, de ne pas y rester très longtemps.

    A des milliers de kilomètres de là, il y a dix-huit jours à Savar, dans la banlieue de Dacca, capitale du Bangladesh,et selon un nouveau bilan, plus de 1000 personnes sont décédées suite à l’effondrement d’un immeuble ne respectant aucune norme et abritant des ateliers de confection . Hier Au moins huit personnes ont péri dans l’incendie d’une usine textile au Bangladesh. La veille le gouvernement annonçait la fermeture de dix-huit usines textiles…sur les 4 500 que compte le pays, pour des raisons de sécurité.

    Les ouvriers Bangladeshis sont parmi les moins payés au monde et ce pays attire donc de nombreuse sociétés et multinationales qui font fabriquer à moindre coût des vêtements que nous retrouvons dans de grandes surfaces et de grandes enseignes en France et en Europe.

    Il existe un dénominateur commun entre l’appel au secours des habitants de Villeneuve d’Ascq et les conditions de vie, la mort atroce des ouvriers du Bangladesh. Celui tout simplement d’une Europe bruxelloise où les frontières ont été abolies et qui refusent le protectionnisme au nom de l’idéologie mondialiste et de la doctrine ultra libre-échangiste.

    Absence de frontières qui, du fait de l’élargissement de l’UE, permet aux Roms de venir s’installer dans les pays dits « riches » (pour combien de temps encore ?) de l’Union. Absence de protectionnisme économique qui permet aux négriers des temps moderne de se trouver un main d’oeuvre taillable et corvéable à merci pour inonder le marché français et européen avec leur marchandise.

    Bruno Gollnisch l’a déjà dit, il ne suffit pas de clamer que « nos achats sont nos emplois ». Il faut agir en rétablissant des filtres, des droits de douane en l’absence desquels nos ouvriers français, notamment dans l’industrie textile, ont été condamnés au chômage.

    Il faut même accepter peut être de payer plus cher son tshirt si l’on veut que celui ci soit fabriqué en France, quitte à en avoir moins dans ses placards. Il faut aussi que la grande distribution les grandes enseignes acceptent de réduire leur marge considérable pour permettre la survie du « made in France« .

    En un mot , il faut que les Français , à Villeneuve d’Ascq comme ailleurs, se dotent de représentants conscients que le patriotisme économique, la prospérité et la sécurité des Français, passent par le retour d’un Etat qui refuse d’abdiquer sa souveraineté au nom de l’utopie désastreuse d’un monde dans frontières.

    http://www.gollnisch.com

  • Présence de Pierre Boutang

    Tous ceux qui ont eu la chance de connaître Pierre Boutang, même vieillissant, se souviennent de la puissance qui le caractérisait. Puissance physique, certes (l’homme des coups de poings distribués au Quartier latin ne dormait que d’un oeil), mais aussi et surtout puissance intellectuelle, celle dont le rayonnement réchauffe et élève.

    C’est essentiellement elle qu’Axel Tisserand analyse dans un essai synthétique qui en décrit toute l’étendue, depuis le journalisme, le roman, le pamphlet, la poésie, la traduction ou la critique littéraire jusqu’à la métaphysique, voire, la théologie.

    En son centre, la figure rayonnante du père charnel, de Maurras, du roi et du Père des cieux (aucun disciple de Boutang ne pourra nier qu’à un moment ou à un autre, lui-même ne se soit senti fils du maître). « « Nul n’est homme s’il n’est père » : combien de fois n’a-t-il pas répété à ses étudiants, note Tisserand, cette sentence de Proudhon, lui pour qui l’idée de père est fondatrice de la loi morale ? » Dans ses volumineux Cahiers inédits auxquels l’auteur a eu accès et dont il cite heureusement plusieurs extraits, Boutang écrit en 1992, le jour du vote sur le traité de Maastricht : « La honte a passé par la saloperie de l’élection démocratique... Bon anniversaire ? Mais de quoi t’étonnes-tu, imbécile ? Tu n’avais pas sept ans que ton père t’apprenait à ne rien attendre de la saloperie démocratique. » C’est qu’il n’y a encore que d’être peuple, avait déjà écrit Péguy, qui permette de n’être pas démocrate. L’actualité la plus récente ne conforte-t-elle pas, s’il en était besoin, la sentence ?

    Boutang déploie donc son génie dans L’Action française, Paroles françaises, La Dernière lanterne, Aspects de la France et La Nation française où ils réunit, excusez du peu, Philippe Ariès, Raoul Girardet, Marcel Aymé, Gustave Thibon, Roger Nimier, Antoine Blondin, Jean Madiran, Jean de La Varende, Henri Massis, Jacques Perret, Henri Pourrat , bien d’autres encore. Il pense la monarchie à la lumière de la transcendance telle que le christianisme la conçoit ; il s’interroge sur le pouvoir et la légitimité, médite sur le langage, le désir, le « secret de l’être », embrasse l’histoire littéraire de l’Europe et des Etats-Unis, se lie d’amitié avec Jean Paulhan, Jean Wahl, Maurice Clavel, George Steiner...

    L’ogre dévore la bibliothèque de Babel et il apparaît à la « télévoyure », en larmes, lorsqu’il évoque la résurrection de la chair. Philosophe platonicien fut-il jamais si magnifiquement incarné ? Rien d’étonnant, toutefois, pour celui qui voulut fonder « l’idéal monarchiste » sur « le sentiment royaliste » : « Royaliste, c’est le plus pur, c’est l’ancien, c’est le sentiment profond. Monarchie, c’est l’appel aux raisons abstraites les plus schématiques et quasi-mathématiques. » Le principe, c’est le Prince : cette leçon de choses délivrée par Boutang ne meurt pas plus que la personne du roi.

    « Pierre Boutang, écrit Axel Tisserand, ne manquera pas d’apparaître aux générations futures, du moins si celles-ci recouvrent le goût de penser en dehors des chemins imposés, balisés aux concepts policés du nihilisme contemporain, comme un de ces auteurs aux côtés duquel vous pouvez cheminer tout au long de la vie. » Pédagogique, remarquablement informé et joliment illustré, cet essai, à n’en pas douter, contribuera à ce qu’il en soit ainsi.

    Rémi Soulié http://www.actionfrancaise.net

    Axel Tisserand, Boutang, Pardès, 128 p., 12 €.

  • [Cinéma] Un superbe hymne à la pensée : “Hannah Arendt”, de Margarethe von Trotta


    [Cinéma] Un superbe hymne à la pensée : “Hannah Arendt”, de Margarethe von Trotta

    09/05/2013 – 17h15
    PARIS (NOVOpress Breizh) - En 1961, la philosophe Hannah Arendt est envoyée à Jérusalem par l’hebdomadaire The New Yorker pour couvrir le procès d’Adolf Eichmann, poursuivi pour son rôle dans la déportation des Juifs durant la Seconde Guerre mondiale. Les articles qu’elle publie et sa théorie de « la banalité du mal » vont déclencher une controverse sans précédent. Au-delà de toute polémique sur la question de la Shoah, la réalisatrice Margarethe von Trotta nous offre avec « Hannah Arendt », son dernier opus, un superbe hymne à la pensée.

    C’est en effet le seul but qui anime la philosophe, fidèle en cela aux préceptes de celui qui fut son amant et son maître à penser, Martin Heidegger : penser, quel qu’en soit le prix, sans tabou, ni parti-pris, débarrassé de l’esprit de clan, des préjugés, des conventions, du pathos. Une pensée authentique, née de l’observation, de l’écoute attentive, de la mise en perspective des événements, sans déni du réel quoique celui-ci nous révèle. Penser par soi-même, un exercice qui passe par la solitude, l’étude, la réflexion, la concentration, dans le silence de son bureau, ou au plus près de la nature, au cours de grandes promenades méditatives.

    On aurait pu craindre que cette exigence de pensée soit le fruit d’un personnage austère voire antipathique… Il n’en est rien, bien au contraire. Margarethe von Trotta nous montre une femme accomplie, forte de sa notoriété, et qui ne cherche plus la gloire, aimée et aimante, chaleureuse, entourée d’amis fidèles, d’étudiants fervents, et qui apprécie la vie et ses plaisirs charnels. Hannah Arendt reçoit ses amis, fume, arrose ses succès, polémique joyeusement en trois langues ; et quand elle souffre, c’est avec retenue. C’est ainsi que sa pensée nous touche et nous atteint car elle n’est pas désincarnée, contrairement à ce que prétendent ses détracteurs. Autre leçon de ce film, la résistance civile : pour ne pas sombrer dans la banalité du mal ou l’indifférence consentante. A voir, absolument.

    Herminaoned http://fr.novopress.info

  • Intercommunalité


    Intercommunalité
    La libre administration des communes est l’une des formes, complétée par la représentation nationale, de l’exercice de la souveraineté populaire, depuis que la République l’a établie en France.

    Depuis plusieurs décennies, les forces politiques placées à la tête de l’État considèrent que les communes sont trop nombreuses. Elles ont entrepris, dans le cadre de la décentralisation commencée dans les années 1980, d’en réduire progressivement le nombre en transférant leurs compétences à des communautés de communes. Peu à peu, l’adhésion des communes à ces communautés a été rendue obligatoire dans le cadre de « schémas départementaux de coopération intercommunale », ce qui met en cause la pratique de la démocratie communale.

    Voici l’état des lieux de la législation actuelle.

    Les communes se regroupent comme « personnes morales » sous la forme d’établissements publics de coopération intercommunale (EPCI).

    Ces EPCI ont pour objet l’élaboration de « projets communs de développement au sein de périmètres de solidarité ».

    Les EPCI sont soumis à des règles communes, comparables à celles de collectivités locales.

    Les EPCI peuvent être à fiscalité propre :

    La Communauté urbaine est un EPCI qui doit constituer un ensemble d’un seul tenant et sans enclave de plus de 450 000 habitants. Elle exerce de nombreuses compétences, parmi lesquelles : urbanisme, voirie, parcs de stationnement, valorisation des déchets, de l’eau, de l’assainissement, cimetières, abattoirs, marchés d’intérêt national.

    La Communauté d’agglomération est un EPCI regroupant plusieurs communes qui doit, à la date de sa création, former un ensemble de plus de 50 000 habitants d’un seul tenant et sans enclave, autour d’une ou plusieurs communes centre de plus de 15 000 habitants. Outre le développement économique et l’aménagement de l’espace, ses compétences obligatoires sont étendues aux transports collectifs urbains, à l’équilibre social de l’habitat et à la politique de la ville.

    La Communauté de communes est un EPCI qui a pour objet d’associer des communes au sein d’un espace de solidarité en vue de l’élaboration d’un projet commun de développement et d’aménagement de l’espace deux compétences obligatoires : l’aménagement de l’espace et le développement économique.

    La Métropole : Outre Paris Lyon et Marseille, dans les aires urbaines de 500 000 habitants, les groupements intercommunaux d’au moins 400 000 habitants prennent le statut de métropole. Rouen, Grenoble ou encore Montpellier, par exemple, seront concernées.

    Les EPCI peuvent également exister sans fiscalité propre :

    Ce sont les Syndicats intercommunaux à vocation unique (SIVU), les Syndicats intercommunaux à vocation multiple (SIV OM), les Syndicats mixtes fermés (SM fermés) et les Syndicats mixtes ouverts (SM ouverts) regroupements libres que de nombreuses communes avaient jusqu’ici choisi.

    La loi prévoit d’achever et de rationaliser la carte intercommunale, afin que toutes les communes soient intégrées dans une intercommunalité à fiscalité propre dès le 1er janvier 2014. Une procédure est prévue pour intégrer, dans les intercommunalités, les communes en situation d’isolement après le 1er juin 2013.

    L’intercommunalité est chargée de la planification de l’urbanisme (PLU).

    Le projet de loi de décentralisation prévoit que la compétence PLU est rendue obligatoire pour l’ensemble des communautés de communes et ne peut plus être du ressort du seul maire. Les communautés de communes et les communautés d’agglomération existantes à la date d’entrée en vigueur de la loi, deviendront compétentes en matière de plan local d’urbanisme, de plein droit, le premier jour du sixième mois suivant la publication de la loi.

    La loi crée les « espaces mutualisés », des services au public.

    Les EPCI à fiscalité propre, l’Etat ou des organismes de droit privé chargés d’une mission de service public pourront, définir des obligations de service public leur permettant, après un appel d’offres, de sélectionner un opérateur de service auquel ils pourront verser une compensation.
    http://www.voxnr.com

  • Présentation du blogue indépendante de ma volonté

    Depuis quelques temps, je ne peux poster que sous cette apparence, je suis désolé du désagrément (plus de photos, plus de vidéos....
    En attendant que les choses reviennent en ordre, vous pouvez aller sur son cousin le blogue de secours http://aucoeurdunationalisme.blogspot.fr/
    Merci de votre patience. Pat

  • Sarkozy « obligé de revenir » ? Ah non, pas lui !

    Les Français auraient-ils la mémoire si courte ? À l’occasion du premier anniversaire de l’élection de François Hollande, chacun y va de ses interrogations. Et voici que d’aucuns, dans la perspective d’un départ anticipé de l’actuel chef de l’État, voient déjà en Sarkozy le sauveur de la patrie en danger !

    L’intéressé lui-même qui, au soir du 6 mai 2012, avait pourtant officiellement déclaré abandonner la vie politique, se faisant une douce violence, va jusqu’à se demander publiquement s’il ne va pas être « obligé de revenir ». Il se dit même « extrêmement inquiet » car « le pouvoir socialiste est en train de s’effondrer sur lui-même ». C’était seulement quelques heures avant de s’envoler pour… Las Vegas. On ne se refait pas !

    Soyons sérieux ! Qui ne se rappelle que, en raison du rejet que son attitude de parvenu avait provoqué chez les Français, on se demandait aussi, au premier anniversaire de l’élection de Nicolas Sarkozy, si ce « néo-conservateur américain au passeport français » (dixit l’ex-socialiste Éric Besson) pourrait terminer son mandat ? Qu’on ne se méprenne pas ! Nul plus que nous ne souhaite le départ anticipé de François Hollande ! Nul plus que nous n’attend avec impatience qu’un printemps français fasse éclore l’espérance nationale ! Mais pas lui, non, pas Sarkozy ! [...]

    François Marcilhac - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net

  • Un 8 mai normal, par Alain de Montere


    Au fait, il serait bon de faire un sondage, auprès d’un certain nombre de « résidents en France », (c’est à dessein, vous le comprenez bien, vous les vrais Français, que j’use de cette formule), soit environ 100[3,14159265359] sujets représentatifs, afin de savoir combien, parmi ceux-ci, savent à quelle célébration correspond cette fameuse date...
    Pas si fameuse que ça, tout compte fait, pour les millions d’allogènes qui n’en ont que foutre ! Hein, Mohamed Machin ?
    Le 8 mai en Hollandie, donc… D’abord, pas un chat dans les rues, pas un chat sur les Champs, pas un chat à l’Étoile… Ça serait-y-pareil si « on » savait avec certitude que, sous la dalle, c’est un Chose-ben-Truc-mon-C… ? « On » se gardera bien de répondre.¢
    Néanmoins, « Moi, Hollande 1er me suis privé de ce bain de foule régénérateur qu’affectionnait mon prédécesseur Niko-Caesar… Mais, faut pas déconner ! Y veulent tous ma peau ! C’est qu’un Français – si-si, il en reste de ces salauds -, au hasard un citoyen qui bosse, paie ses impôts et à l’occasion les PV que lui collent les sbires racketteurs de Valls, qui élève ses enfants en tâchant de ne pas montrer qu’il les aime de tout son cœur pour éviter de se faire accuser par un voisin socialo de pédophilie (la chose n’étant permise qu’à Cohn-Bendit et consorts), qui n’a pas droit lui à la CMU, mais se fait racketter un « max » sur sa feuille de paie afin qu’après la Sarkosie, ma Hollandie puisse assurer l’hébergement, l’alimentation, l’instruction, la coranisation, les loisirs, la santé…, de millions de vraies sangsues qui ne foutent rien, sauf dealer, voler, maquereauter, agresser tout ce qui passe à portée… de peur qu’un Français, donc, me crache à la gueule ! Alors, comme je l’ai dit jadis, y’a pas d’lézard, mais moi, j’suis pas un guerrier… j’ai pas fait l’Armée, because ma myopie… » Ça, pour avoir l’air con et la vue basse… (Par expérience personnelle, je peux certifier qu’une quantité de myopes ont été appelés sous les drapeaux année après année, sans espoir d’y échapper, eux, parce qu’étant de pauv’types qu’avaient pas d’papa friqué (d’extrême droite, en passant) et qu’ont pas pu faire les grandes écoles…)
    N’empêche qu’aujourd’hui, président-le-petit d’une république en perdition, et non pas de France, le bigleux est grand maître de l’Ordre de la Légion d’Honneur !!!
    Napoléon doit, post-mortem, sous son illustre Dôme-Tombeau, sentir ses maux d’estomac s’en réveiller.
    Le 8 mai en Hollandie, au soir…
    Une ministre, une certaine Philippetti, transfuge des verts (parce que ces pignoufs n’ont pas été foutus de reconnaître ma valeur, moi fille d’émigré rital coco, agrégée de lettres « classiques » et écrivailleuse de seconde zone, s’il vous plait !) appelle Moi Hollande 1er : François courage… Ça ne s’invente pas !
    Nous avons eu Jacques le fataliste, et nous avons aujourd’hui François courage… Décidément, les pseudos intellectuels de gauche ne manquent pas d’aplomb… et les meufs plus que les keums, peut-être !
    Le 8 mai en Hollandie…
    Pendant que sa poltronne majesté Courage-Fuyons, se carapatait en lousdé, deux des guignols du Ayrault-band préparaient l’avenir électoral en faisant les troquets…
    Encore que Moi Hollande 1er n’est rien de commun avec Sa Majesté Louis XIII, pas même le soupçon d’un reflet de son image, lequel des deux conspirateurs se prend pour Richelieu et l’autre pour Cinq-Mars…
    Tudieu ! C’est que Monsieur le Grand y a laissé sa tête !
    Allons, amis(es), espérons…
    Voyez les soviets qui se croyaient indestructibles et, comme Ramsès, se construisaient des temples de millions d’années…
    Voyez les cocos français d’hier, il n’en reste que l’ersatz Mélangeons…
    Voyez la droite bourgeoise survivante des accapareurs du XIXème siècle… elle agonise avec la crise qu’elle a propagée dans le monde entier…
    Le futur pouvoir en France est ailleurs… Il n’est pas, ne peut pas être, ne sera pas, le fait d’un unique parti, mais la volonté commune d’entités politiques rassemblées par les mêmes valeurs, les mêmes aspirations, les mêmes idéaux qui font œuvrer pour la pérennité d’une grande nation.
    La Patrie n’est-elle pas la quintessence du peuple ?
    Je sais, c’est du pathos, mais à défaut…
    http://www.francepresseinfos.com/

  • Accueil de Najat Vallaud-Belkacem à Lyon le 13 mai

    Lundi 13 mai 2013 à 17H30 à l’Université Jean-Moulin Lyon 3 - Manufacture des Tabacs Etablissements

    Accueil par Monsieur Jacques Comby, Président de l’Université Jean-Moulin Lyon 3
    Allocution de Madame Najat Vallaud-Belkacem, Ministre des Droit des Femmes
    Présentation de la table ronde par Jean-Pierre Boissin (coordination plan d’action Entrepreneuriat Etudiants – MESR-MRP, IAE de Grenoble) etc.

    Michel Janva http://www.lesalonbeige.blogs.com/