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Jeunesses Nationalistes et l'action sans concession (avec Alexandre Gabriac)
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Carrefour royal
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Républicains, vous avez dit républicains ?
Tribune libre de Claude Picard
La plupart des partis politiques se prétendent républicains et les élites médiatiques leur accordent volontiers ce qualificatif. Mais sont-ils vraiment républicains ?
C’est quoi, être républicain ? Selon la définition des dictionnaires en usage, c’est être « partisan d’un régime politique dans lequel le peuple exerce la souveraineté directement ou par l’intermédiaire de délégués élus. ». Donc, être républicain pour un élu de la Nation, c’est logiquement respecter le mandat que lui a conféré le peuple. Bien !… Mais alors, cette définition n’est plus légitime pour nos partis se déclarant républicains puisque nos politiciens, UMP et PS en tête, suivis de peu par l’UDI et les Verts, n’ont-ils pas passé outre la décision du peuple qui avait voté « NON » au projet de Constitution européenne en 2005, pour ensuite ratifier, sans référendum et sans mandat du peuple, le Traité de Lisbonne en 2007 ? Traité, qui n’est que la copie conforme du projet rejeté par les Français…
Rappelons que le parlement européen exerce trois pouvoirs fondamentaux : le pouvoir législatif, le pouvoir budgétaire et le contrôle politique des institutions européennes. Cette entité supranationale, fédéraliste et centralisatrice, résulte d’une association de nations qui lui a délégué tous les pouvoirs de décisions. Une sorte de république européenne. Enfin, pas encore. Mais nos « républicains » ont déjà légalisé l’effacement de notre Nation et la perte de sa souveraineté. Dans cette situation, il ne reste plus qu’un petit pas à franchir.
Et ces partis, UMP, PS et consorts, continuent bassement à nous prendre pour des benêts en déclarant à tous vents, la main sur le cœur : « Nous sommes républicains, nous ! ». Jusqu’à l’essoufflement, ils déclinent cette formule magique dans tous les styles et les modalités. Selon les circonstances, nous avons droit au : « Pacte républicain », une autre fois aux : « Valeurs républicaines » ou encore à la : « République sociale » … La République Française est sociale ! C’est rédigé dans l’article 1 de notre Constitution : « La France est une république indivisible, laïque, démocratique et sociale ».
Ces « Tartuffes du patriotisme », ces donneurs de leçons, osent s’accaparer la République alors qu’ils la foulent aux pieds sans relâche. Pour eux, les valeurs de la République ne s’inscrivent plus que dans un catalogue d’idées calibrées sans significations réelles. La Laïcité ? Ils la contournent lâchement selon leurs besoins électoraux. La Liberté ? Ils ne savent même plus ce que cela veut dire : elle est détournée au profit de minorités subventionnées ne représentant qu’elles-mêmes et qui revendiquent, toujours et avant tout, la liberté individuelle d’exercer les vices les plus tordus et les plus confus. La Fraternité ? Elle doit être « positive », vague expression en référence à leur fameuse « discrimination positive » envers les « minorités visibles ». Comme si une discrimination pouvait être positive… on nous prend vraiment pour des naïfs. Leur fraternité n’a qu’un seul but : nous imposer une population de remplacement moins aguerrie et plus perméable à leur idéologie. L’Egalité, des droits et des devoirs ? Que nenni ! On néglige les devoirs en les adaptant aux besoins des petits copains coquins et aux besoins des petits caïds de banlieue ou des remarquables « minorités visibles ». Par contre, les précités ont tous les droits (logements, aides sociales multiples, retraites sans avoir travaillé dans le pays d’origine, etc.) qui, normalement, ne devraient être accordés en priorité qu’aux nationaux (la majorité des pays applique le principe de la priorité nationale) et aux citoyens dignes, respectueux des valeurs républicaines – surtout pas aux délinquants ! Mais non, nos « républicains » prônent avec une compassion imbécile défiant tout entendement, la préférence des autres, tous les autres. S’ils pouvaient accueillir tous les misérables et tous les dévoyés du monde …
Ils en oublient la Nation, cette Nation dont les données objectives (le territoire, l’ethnie, la langue, la religion, la culture, l’Etat) supposent l’existence d’une volonté durable de vivre au sein d’un même ensemble, en inventant – ça vient de sortir et c’est du dernier chic – « l’inclusion » ! Autrement dit, le multiculturalisme officialisé. Le contraire de l’assimilation ou de l’intégration. Cette assimilation à la française qui a tellement bien prouvé son efficacité et qui a fait, depuis longtemps déjà, le ciment de notre République.
Ce fameux rapport sur l’intégration – qui préconise « l’inclusion » – commandé par le gouvernement devrait s’appeler « Rapport sur la désintégration ». Ce serait plus juste.
Ils en oublient la Patrie sous prétexte que ce symbole incarne le repli sur soi. Etre patriote, foncièrement et profondément, dans sa chair et dans son cœur, c’est être rabougri ? Etre fier de son identité, de sa culture, de ses valeurs, de son histoire et de ses racines, c’est être étriqué ?
C’est sûr que ce concept, Nation-Patrie, doit paraître un peu étroit à nos idéologues et politiciens européistes, internationalistes et mondialistes. Pourtant ils se rendent bien compte que de plus en plus de Français veulent à nouveau s’approprier leur nation et leur patrie. Ces symboles indissociables qui définissent si parfaitement, un peuple.
Que nos chers « républicains » arrêtent de nous échauffer les oreilles avec leurs cris d’orfraies devant l’inévitable montée du patriotisme en France et en Europe, mais qu’ils nomment pour faire peur, « populisme » ou « fascisme », selon leurs aigreurs du moment.
Nous ne sommes plus dupes. Et qu’ils arrêtent leurs leçons de républicanisme : c’est indécent.
Ça suffit !
Claude PICARD, 7/01/2014
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Appel au trouble de l’ordre public d’Arno Klarsfeld ? Dieudonné Nantes quenelle main d’or ldj
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Levée de boucliers contre la règle du « je » de Valls
La très grande majorité des Français n’attend plus grand-chose, si ce n’est un surcroît d’avanies, de mépris et d’impôts, de ce gouvernement lamentable, structurellement, intellectuellement incapable d’emprunter un autre chemin que celui d’un euromondialisme qui nous conduit à la catastrophe. Ainsi depuis le 1er janvier, Bulgares et Roumains (cela concerne aussi bien évidemment les millions de Roms vivant des ces deux pays) sont autorisées à s’installer en France pour hypothétiquement y travailler, sans restrictions ni quotas. Cela ne trouble pas outre mesure «l’opposition» UMP, dont les parlementaires ont systématiquement voté, comme leurs collègues socialistes, en faveur de l’élargissement de l’Union européenne. Il est vrai aussi que Nicolas Sarkozy avait tenu à poser en compagnie de François Hollande à la Une de Paris-Match pour appeler à voter Oui à la constitution européenne, quel beau symbole…Pourtant ce sont ces irresponsables là qui donnent à tour de bras, sourires méprisants aux lèvres, des leçons d’économie, de bonnes gestions et de sérieux à Marine Le Pen et aux dirigeants du Front National.
Ce sont les mêmes cadors de l’UMPS qui, au nom du refus du « repli sur soi », fustigent ceux qui ne veulent plus de l’Europe folle sans frontières des délocalisations et des flux migratoires. Les mêmes qui balayent d’un revers de la main les piètres résultats de leur politique conjointe : officiellement 11% de chômeurs…ce dont nous sommes priés de nous en réjouir eu égard à la situation de nos voisins espagnols.
Et ce, dans une France déjà submergée par une immigration non européenne qui selon l’étude du Professeur Yves-Marie Laulan, président de l’Institut géopolitique des populations(IGP), coûte déjà aux contribuables français, 70 milliards d’euros par an…
Dans ce contexte, Manuel Valls, qui s’est fait copieusement hué hier par de manifestants lors de son arrivée à la gare de Rennes, agite le danger Dieudonné comme un chiffon rouge pour sidérer l’opinion, la détourner des vrais enjeux. Est-ce que ça fonctionne ? Pas vraiment.
Selon le sondage en ligne réalisé par Canal Plus le 6 janvier auprès de ses auditeurs, près de 80 % de ces derniers étaient contre l’interdiction des spectacles de l’humoriste.
L’enquête CSA pour le site Atlantico, réalisée du 7 au 8 janvier par internet indique que seulement 28% des personnes interrogées se disent « très favorables » à l’interdiction ( 24% « plutôt favorables»). Dans le détail 69% des sympathisants du PS y sont favorables (56% de ceux d’EELV, 54% de ceux de l’UMP), 69% des sympathisants du FN y sont opposés (ainsi que 57% des sympathisants du Front de Gauche).
64% des sondés estiment plus globalement, notamment ceux qui doutent du prétexte avancé par Valls et ses amis, que cette interdiction ne serait « pas du tout (28%) ou «plutôt pas efficace» (36%) pour lutter contre l’antisémitisme.
Manuel Valls peut cependant se consoler avec le soutien inconditionnel d’officines vivant du communautarisme, ou encore de la revue La Régle du jeu de Bernard-Henry Lévy, ce qui certes, est extrêmement rarement un gage de sérieux et de crédibilité.
Outre le pipo(le) BHL, sur le site de la Règle du Je(u), «l’écrivain» (sic) David Gakunzi, affirme que le ministre de l’Intérieur a raison de combattre Dieudonné car « Laisser son rire se répercuter sans entraves à l’infini comme un flot de paroles haineuses, reviendrait à laisser le dernier mot au crime des crimes ».
Très en pointe dans le combat mené pour faire chuter l’actuel régime laïc en Syrie, Bernard Schalscha, sur ce même site, explique qu’ « Internet aidant, des dizaines de milliers de nouveaux SA et SS virtuels parsèment dorénavant le territoire français (…). Assez de tergiversations métaphysiques à deux sous. Il est temps de faire souffler sur ce pays un grand vent d’air frais pour éliminer les vapeurs nauséeuses des nostalgiques de Hitler ».
Un constat qui même au PS, paraît singulièrement déconnecté du réel, éminemment partial, extraordinairement délirant et paranoïaque à beaucoup. Le site du Figaro relaye d’ailleurs les jugements sévères des petits camarades de M. Valls sur sa décision d’interdire les spectacles de l’humoriste via sa fameuse circulaire.
En effet est-il rappelé, «la plupart des précédentes interdictions de spectacles prononcées à l’encontre de Dieudonné, systématiquement contestées par l’humoriste, ont finalement été invalidées par les tribunaux administratifs et le Conseil d’État. Lesquels se réfèrent au principe constitutionnel de liberté d’expression ainsi qu’à la loi de 1881, qui garantit la liberté de réunion.»
L’ancien ministre de l’Intérieur Pierre Joxe, «proche de Christiane Taubira», a affirmé que «l’interdiction du spectacle de l’humoriste (…) n’est pas viable juridiquement. «J’avais de meilleurs conseillers juridiques que lui», a-t-il ironisé, jugeant que le droit actuel semble «offrir toutes les garanties pour intervenir à l’égard des délits reprochés à Dieudonné».
Même avis de Jack Lang : «Je suis convaincu que (la circulaire Valls, NDLR) n’est pas conforme au droit. La liberté [d'expression] est la règle dominante et pour lui porter atteinte il faut de vraies raisons et le Conseil d’État pose des restrictions très rigoureuses.»
«Je crains les fragilités du dispositif qui, si elles étaient confirmées, nous affaibliraient», affirme le député de Seine-Saint-Denis, Razzy Hammadi.
Secrétaire national du PS à la Culture, Frédéric Hocquard se félicite de ce « que l’arsenal juridique actuel, renforcé par la loi Gayssot, est suffisant pour envoyer Dieudonné en prison». « Mais Si Dieudonné monte sur une caisse à ,savon à l’extérieur du Zénith et s’adresse en martyr de la liberté d’expression à des milliers de personnes, on aura gagné quoi? (…) L’interdiction n’est pas une réponse adéquate.»
Enfin, l’activisme d’un Valls visant le fauteuil de l’actuel premier ministre, et qui n’est pas sans rappeler celui de Sarkozy au même poste sous Chirac et Raffarin, n’est pas du goût de tout le monde. « La réaction dans Le Parisien du député de Seine-et-Marne, Olivier Faure, très proche de Jean-Marc Ayrault, en dit long sur l’agacement de Matignon à ce sujet: Ce n’est pas au ministre de l’Intérieur de dire quand on peut ou ne pas rire».
Journaliste d’investigation courageux (affaire clearstream), écrivain, Denis Robert a publié un long texte sur cette affaire ,relayé sur le site de Inrocks, très sévère sur l’attitude de M Valls. Il y voit peut être « un plan de communicants. Une rouerie à la Stéphane Fouks ou à la Alain Bauer (ses deux potes de l’ombre qui lui collent aux escarpins après avoir collé à ceux de Dominique Strauss Kahn ou de Nicolas Sarkozy).»
« Si Valls avait joué la collectivité, l’idéal de justice en faisant confiance au droit et aux institutions, s’il avait laissé faire la justice et attendu que la sentence tombe, je n’aurais rien à dire » écrit-il encore. « Là, il reproduit exactement ce qu’aurait pu faire Sarkozy. Je ne vois aucune différence entre eux. Quand Valls dit qu’il va faire interdire les spectacles de Dieudonné ou que ce salopard n’est pas un humoriste mais un homme politique haineux et raciste, il incarne la loi, décide de ce qui est juste, de ce qui est un spectacle ou un meeting, avant que la cause ne soit entendue ou débattue. Il se moque du monde ».
« Manuel Valls, comme Nicolas Sarkozy – se ressemblent. Même poids plume, mêmes communicants, même manière d’exhiber sa femme dans Paris Match, agit en ce moment en sniper sans s’en remettre à la loi, au droit, à la justice. Il se la joue frère et protecteur de la communauté juive (c’est lui qui le dit et utilise ces mots). C’est une posture minable, une attitude de cours de récré ».
« En montant en épingle à des fins politiques un événement qui ne le méritait pas, Valls –et maintenant le gouvernement- joue avec des allumettes. Dieudonné est devenu une vraie rock star. La rock star des pauvres et des désorientés… » affirme Denis Robert.
Et des pauvres et des désorientés, mais aussi des citoyens éveillés ayant compris la réalité de ce Système et en dissidence avec celui-ci, après des décennies de co-gestion UMPS, de mensonges, d’affaissements à tous les niveaux, ce n’est pas ce qui manque constate Bruno Gollnisch.
http://gollnisch.com/2014/01/09/levee-de-boucliers-contre-la-regle-du-je-de-valls/
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Tentatives de censures sur Wikipedia
Une demande de suppression des pages wikipédia de Ludovine de la Rochère, de Béatrice Bourges et du Salon Beige a été faite. Le motif invoqué serait que Mmes Bourges et de la Rochère ainsi que votre blog préféré auraient une notoriété insuffisante et uniquement passagère pour bénéficier d'une page wikipédia. Rappelons que Le Salon Beige est depuis plusieurs mois numéro 1 des blogs société du site ebuzzing.
Quand on sait que la page du militant LGBT Nicolas Gougain à la notoriété, elle, vraiment passagère, et de certaines personnalités quasi inconnues du sport, de la musique ou de la télévision ou même de la politique (certains députés sont il faut le reconnaitre de quasi inconnus en dehors de leur circonsciption et du Palais Bourbon) sont toutes déclarées conforme au site, il ne fait nul doute que derrière cela se cache encore une tentative de désinformation et de rabaissement de la contestation.
Pour s'opposer à celà il faut vite aller s'inscrire sur Wikipédia, se rendre sur les pages indiquées, cliquer sur "donner son avis" à propos de la demande de suppression et apporter la preuve via des articles ou vidéos de presse de la notoriété suffisante.http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/01/tentatives-de-censures-sur-wikipedia.html
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Dieudonné / Klarsfeld : Le masque tombe
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Les ouvriers de Goodyear face au mépris de la République et des multinationales
La séquestration de deux dirigeants de l’entreprise Goodyear a pris fin dans l’après-midi de ce mardi mais elle est véritablement révélatrice, à plus d’un titre, d’une part de l’hypocrisie du gouvernement socialiste et de l’absence d’un dialogue social digne de ce nom d’autre part.
Hypocrisie d’un gouvernement qui, depuis qu’il est en place, n’a eu de cesse de freiner l’esprit d’entreprise en France et, dans le même temps, de Mittal à Florange à Goodyear à Amiens-nord, de céder aux injonctions de multinationales qui semblent ridiculiser à loisir le politique et l’Etat en s’appuyant sur les préceptes d’une mondialisation et d’un libéralisme qui ne s’avèrent, ni l’un ni l’autre, de bon aloi pour les ouvriers, devenus la simple variable d’ajustement des grandes entreprises et de leurs actionnaires.
Les insultes des ouvriers d’Amiens qui, ce soir, ont fusé contre M. Hollande et la gauche de gouvernement semblent bien vaines contre la violence sociale d’un certain patronat oublieux de ses devoirs et contre la violence légale d’une République qui est de plus en plus forte à l’égard des faibles quand elle est tristement bienveillante à l’égard des puissants de l’Argent : le discours électoral du Bourget dans lequel M. Hollande s’en prenait aux puissances de la finance apparaît comme une sinistre farce dont les dindons sont les travailleurs de ce pays, abandonnés par ceux-là mêmes qui leur doivent leurs situations présidentielle et gouvernementale… [...]
Jean-Philippe Chauvin - La suite sur Nouvelle Chouannerie
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L'apprentissage contre le chômage : la preuve par la Suisse, sur France 2
Eh, oui, on ne cesse de s'en plaindre, car c'est un scandale : le "monde journalistique", en France, est à gauche et à l'extrême-gauche, à 80, 85% voire plus; et, trop souvent, les journalistes font passer, à l'antenne, leur carte de parti avant leur carte de presse. C'est vrai, ce n'est pas normal, c'est même intolérable, et on l'a dit mille fois ici.
Cependant, à lafautearousseau, on n'est pas grognon, on n'a pas mal au foie, et on tâche d'être juste : on prend son bien où et quand on le trouve et, de David Pujadas à Gilles Bouleau, à chaque fois qu'à la télé un journaliste nous offre du réel et du vrai, on s'en réjouit et on le signale...
Ainsi, lundi dernier, 16 décembre, c'est à France 2 qu'est revenue la palme du bon reportage : Le miracle suisse, c'est sous cet intitulé que la chaîne a consacré la 43ème édition de son émission documentaire Un oeil sur la planète. Les Suisses en ont, d'ailleurs, été ravis, et ils n'ont pas tardé à le faire savoir, ce qui est bien naturel :
http://www.bilan.ch/node/1010863
Suisse : l'apprentissage vaut de l'or :
https://www.facebook.com/20H.France2#!/photo.php?v=660384...
C'est l'un des pays les plus riches d'Europe : très haut niveau de vie, chômage inférieur à 4%. Quel est son secret ? les banques ? Pas seulement... les Suisses ont aussi l'apprentissage. Là-bas, deux tiers des élèves deviennent apprentis à l'adolescence. Tout le contraire d'une voie de garage : une voie royale.
La recette anti-chômage
De telles performances expliquent que le taux de chômage soit l’un des plus faibles au monde. Mais c’est aussi la réussite du système de formation. Plus des 2/3 des petits Suisses quittent l’école à 15 ans pour entrer en apprentissage. Cela donne une main d’œuvre bien formée, bien payée et motivée car l’ascenseur social fonctionne toujours. Et la minorité qui fait des études bénéficie de conditions de rêve dans des établissements ultramodernes… (Un reportage de Julien Duperray et Annie Tribouart)Une vraie démocratie
L’une des clés du miracle suisse tient en deux mots : démocratie directe. Le peuple suisse se mêle de tout, tout le temps et ça marche. A l’échelon local, cantonal ou fédéral, les citoyens suisses peuvent faire entendre leurs voix grâce aux votations et référendums. Loin d’être un frein à l’initiative, ces votes à répétition donnent une démocratie moderne et vivante. (Un reportage de Jérôme Tournier et Didier Dahan)Et nous, pendant ce temps-là, q'uest-ce qu'on fait ? Nous, c'est-à-dire ce Système, cette République idéologique qui nous abaisse, qui nous ruine, qui nous déclasse inexorablement ? Eh, bien c'est simple : elle fait exactement le contraire ! Vincent Peillon vient de supprimer la possibilité de l'apprentissage à partir de 14 ans ! Là où les Allemands (deuxième "bon" exemple, après la Suisse) ont un million d'apprentis, la France n'a jamais réussi à dépasser les 200.000. Et on va encore aller plus bas, alors que Suisse et Allemagne ont - grâce à l'apprentissage - un taux de chômage en général, et de chômage des jeunes en particulier très largement inférieur au nôtre. Mais, de cela, Peillon s'en fiche ; ce qu'il veut, c'est garder les enfants à l'école le plus longtemps possible pour les formater, pour les endoctriner, pour configurer leur esprit à sa nouvelle religion républicaine. En terme crus, pour leur "bourrer le crâne"...
Alors, une seule solution : être révolutionnaires de ce Système nuisible, perfide et qui va directement à l'encontre des intérêts des Français.
Soyez royalistes, ou ne vous plaignez pas !...
Depuis 1798 et 1875, avec l'instauration de la République idéologique qui en est l'héritière, l'idéologie destructrice est préférée aux réalités...