- Page 73
-
-
La guerre d'Algérie en 35 questions
-
Des milliers de Portugais manifestent contre l’austérité
Des milliers de manifestants sont descendus samedi dans les rues des principales villes du Portugal, à l’appel des syndicats, pour protester contre la politique d’austérité du gouvernement de centre droit et exiger sa démission.
À l’occasion d’une "journée de lutte contre l’exploitation et l’appauvrissement" organisée par la CGTP, la principale confédération syndicale du pays, des cortèges et des rassemblements ont eu lieu dans toutes les capitales de district. Environ 5 000 protestataires ont défilé à Lisbonne en milieu d’après-midi, selon les estimations des médias.
"Gouvernement dehors", "démission tout de suite", clamaient leurs banderoles. "Je suis révolté contre tous ces politiciens et ces escrocs ! J’ai 63 ans, j’ai commencé à travailler à 15 ans et aujourd’hui je ne sais pas quand je vais pouvoir prendre ma retraite et si j’aurai droit à une pension digne", a déclaré à l’AFP Vitor Nunes, qui manifestait à Lisbonne.
Ema Camara aussi, s’est dite "en colère contre cette politique de coupes budgétaires". Cadre de la mairie de Lisbonne, son salaire s’est réduit de 136 euros supplémentaires au mois de janvier. "Avant la crise je recevais environ 1 300 euros mensuels et maintenant je gagne 1 000 euros nets malgré une trentaine d’années d’ancienneté", a témoigné cette femme de 51 ans. "Je suis dans la rue pour m’opposer aux hausses d’impôts et à cette politique qui a poussé la plupart de mes amis vers l’émigration", a renchéri Joao Figueiredo, un ingénieur de 27 ans.
En échange d’un prêt de 78 milliards d’euros accordé en 2011 par l’Union européenne et le Fonds monétaire international, le Portugal s’est engagé à mettre en oeuvre un programme de stricte rigueur budgétaire afin assainir les finances publiques du pays. Le gouvernement de centre droit cherche à rétablir la crédibilité du pays sur les marchés financiers afin de financer sa lourde dette de façon autonome s’affranchir de son plan de sauvetage international en mai prochain, comme prévu.
-
La Manif Pour Tous également au Texas
Photo du rassemblement de La Manif Pour Tous Texas, prise le 1er février, devant l'Independance Hall à Washington on The Brazos (lieu historique où a été signée l'independance du Texas à l'égard du Mexique en 1836).
-
Valls souligne l'émergence d'un « Tea Party à la française »
Le ministre de l'intérieur, Manuel Valls, dénonce dans Le Journal du dimanche l'apparition d'un « Tea Party à la française » et appelle la « droite républicaine » à s'en « démarquer clairement ».
Une semaine après la mobilisation anti-gouvernementale baptisée « Jour de colère » et les débordements qui l'ont suivie, et alors que les partisans de la Manif pour tous sont appelés à manifester dimanche, M. Valls s'inquiète de voir la société « tourmentée par les forces sombres de la division ».
-
Théorie du Genre – l’Assemblée Nationale en parle depuis 2011 selon Bartolone! (vidéo)
« La théorie du Genre n’existe pas » tel est le refrain ressassé en continu par les ministres d’un Gouvernement socialiste beaucoup plus soudé pour l’occasion que quand il s’agit d’évoquer l’avenir du nucléaire.
Folles « Rumeurs » selon d’autres membres du gouvernement repris en chœur par la quasi totalité des médias.
Circulez braves gens, il n’y a rien à voir!
Pourtant, Tout en qualifiant paradoxalement lui aussi ce fait de « rumeur ». Claude Bartolone, président de l’Assemblée Nationale, a néanmoins rappelé ce 2 février sur France 5 , que déjà en 2011 il avait été question de l’introduction de la théorie du genre à l’école.
En effet, le locataire de l’hôtel de Lassay dit se souvenir d’une polémique qui avait opposé à l’époque, Luc Chatel, ministre de l’Education Nationale, avec des responsables catholiques outrés par la présence d’un chapitre concernant la théorie du genre dans des manuels scolaires.
Alors, si le quatrième personnage de l’Etat, lui-même, vous le dit !
-
Quand la réserve parlementaire profite aux projets dits « d’intérêt national »
PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation) – Les 577 députés disposent d’une réserve parlementaire qui leur permet de financer des investissements ou des associations dans leur circonscription. Cette semaine, l’emploi de cette réserve s’élevant à plus de 80 millions d’euros a été publié par l’Assemblée nationale.
Chaque député reçoit environ 130.000 € en moyenne. Au‑delà de cette réserve qui permet aux députés d’acheter leurs électeurs, il existe une réserve dite « institutionnelle » réservée « aux associations ou fondations menant des projets d’intérêt national et, traditionnellement de participer au financement de grande institutions ou juridictions françaises ».
Ainsi, Fondapol, think tank piloté par Dominique Reynié qui promeut pêle-mêle le fédéralisme européen, la “diversité”, le mariage gay ou l’économie libérale s’est vu attribuer un pactole de 160.000 €. Un cran au-dessus, la Fondation Jean Jaurès, qui prétend “rénover la pensée socialiste”, a touché 170.000 €. Un peu plus loin, c’est “Les petits citoyens“, un site de propagande socialiste à destination des enfants qui a touché 150.000 €. D’autres bénéficiaires comme le Défenseur des droits (l’ex-Halde), la Fondation Danielle Mitterrand, SOS Racisme, le laboratoire d’idées Terra Nova qui pilote la politique immigrationniste du PS, l’UNEF mais aussi l’UNI (antennes du PS et de l’UMP dans le milieu universitaire), L’Institut François Mitterrand, etc… sont évidemment au rendez-vous. Bref, le beau linge habituel.
http://fr.novopress.info/154885/reserve-parlementaire-profite-aux-projets-dits-dinteret-national/
-
La Manif Pour Tous condamne le double langage de Valérie Pécresse
Communiqué de LMPT 78 :
"Au cours de La Manifestation Pour Tous à Versailles le dimanche 15 décembre, Madame Pécresse, ancienne ministre et députée des Yvelines nous a rejoint et a souhaité s’exprimer à la tribune. La coordination de LMPT des Yvelines lui a donné la parole. Nous nous réjouissons toujours de voir des politiques de premier plan se mobiliser pour soutenir notre combat.
L’objectif de la manifestation était de continuer à alerter l’opinion sur les graves menaces des projets gouvernementaux pesant sur les familles avec :
- la destruction de la filiation biologique comme norme de parenté au profit d'une filiation sociale (Extension de la PMA et risques de GPA, Statut du beau-parent)
- la propagande du genre à l’école avec l’endoctrinement de nos enfants
- la profonde remise en cause des mécanismes fiscaux de soutien aux familles (notamment sur le congé parental...).
Au cours du discours introductif, le coordinateur de LMPT des Yvelines, a clairement indiqué que « les parents doivent avoir la liberté de faire leurs choix en matière éducative et de vie personnelle. Choisir qui prendra le congé parental dans un couple n’est certainement pas l’affaire de l’Etat. Il n’est pas juste d’attaquer encore fiscalement les familles et notamment celles qui feraient le choix d’avoir un parent à la maison pour se consacrer à l’éducation de ses enfants. »
Pour changer tout cela, nous avons également « invité les candidats aux municipales, à signer la charte des maires et des candidats pour qu’ils puissent prendre des engagements afin de promouvoir une politique familiale et éducative qui respecte le rôle des parents, préserve l’enfant de toute expérimentation basée sur le concept du genre. Nous voulons des élus qui prennent des engagements cohérents avec nos valeurs pour les élections sénatoriales et présidentielle! C’est à chacun de nous de faire en sorte que cela se réalise! »
Le vote positif accordé à l’Assemblée Nationale par Madame Pécresse au texte de loi « Egalité Homme-Femme » avec notamment la réduction du congé parental à 2,5 ans si l’un des deux parents fait le choix de ne pas interrompre son activité professionnelle, est en contradiction manifeste avec les objectifs de liberté individuelle des choix dans la famille, tels que nous les souhaitons.
Nous déplorons ce revirement que nous condamnons fermement."
Ecrire à Valérie Pécresse : vpecresse@assemblee-nationale.fr
-
La gauche totalitaire ne supporte pas la contradiction
Dans Le Figaro, Paul-Henri du Limbert remet Manuel Valls à sa place :
Le débat sur les genres pose une question profonde,celle de la place des familles par rapport à l'école. En débattre sans s'invectiver.
-
L’UMP : de moins en moins idéologue, de plus en plus carriériste…
Nicolas Sarkozy, qui affirme que s’il fait son retour en politique, ne passera pas par l’UMP pour se faire élire mais par un nouveau parti.
Ce 25 février 2014, lors du Conseil national de l’UMP, Jean-François Copé a déclaré : « Notre parti issu des sensibilités gaulliste, libérale et centriste est profondément européen. » Comment traduire cette phrase, si ce n’est que l’UMP est devenue un vague ramassis idéologique.
Qui pourrait dire à Jean-François Copé que ces termes associés en une même phrase relèvent d’antinomies flagrantes ! Associer le terme gaullisme au libéralisme est déjà économiquement improbable, tant de Gaulle voulait un État fort, social et juste. Associer les termes gaullisme et centrisme, cette frange politique qui ne sait pas se situer et qui fait l’apologie du fédéralisme européen. Et enfin, que traduire par le final de « profondément européen » si ce n’est qu’il cautionne l’Union européenne actuelle qui va vers le fédéralisme libéral.