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Spirale des sanctions entre Russie et UE : Israël grand bénéficiaire
La réaction de Moscou à l’absurde politique de sanctions dans laquelle patauge l’Union européenne cause dès à présent à certains pays-membres un manque à gagner significatif. Par exemple, l’économie grecque qui était bien partie pour enfin engranger une petite croissance en 2014 restera vraisemblablement engluée une année de plus dans la récession du fait du préjudice infligé à son agriculture par les mesures de rétorsion russes. De son côté, l’Allemagne est également vouée à payer le prix fort pour l’aveuglement et/ou l’asservissement de ses dirigeants à la puissance américaine.
En effet, le Comité oriental de l’économie allemande (organisation représentant les intérêts des sociétés allemandes opérant dans les pays de l’ex-URSS et en Europe de l’est) prédit pour cette année une chute de 20 à 25 % des exportations de la première économie européenne vers la Russie, ce qui affecterait 50 000 emplois en Allemagne. Se montant à plus de 36 milliards d’euros en 2013, les exportations allemandes s’étaient alors déjà réduites de 5,2 % par rapport à l’année précédente.
En face, il est bien évident que les produits agro-alimentaires que la Russie n’importera plus d’Occident, elle les produira elle-même – ce qui constitue une aubaine pour doper la modernisation et l’amélioration de son agriculture – ou elle se les fera livrer par d’autres pays qui ne manqueront pas cette occasion en or. Et parmi les heureux bénéficiaires de la situation figure incontestablement l’Etat d’Israël qui a déjà commencé à s’engouffrer dans la brèche ouverte par les stupides sanctions européennes. Le ministre israélien de l’agriculture Yair Shamir expliquait récemment : « C’est une occasion unique pour nous et pour le marché russe. En effet, nous pouvons lui offrir une gamme de produits beaucoup plus large que celle sur laquelle il pouvait compter. Plus de fruits tropicaux et d’autres produits. En outre, nous disposons déjà d’une bonne expérience. Au cours des dernières années, nos exportations vers la Russie de pommes de terre et d’autres productions agricoles ont été multipliées par trois. Cela montre que les clients russes apprécient nos produits. Donc, c’est pour nous une chance inespérée. » Concrètement, les Israéliens sont d’ores et déjà impliqués dans le nouveau complexe de transformation de produits laitiers Petrovski, dans la région de Saint-Pétersbourg ; les pommes de terre polonaises seront partiellement remplacées sur le marché russe par des israéliennes ; un projet russo-israélien de construction d’une ligne de transformation de lait de chèvre est à l’ordre du jour dans la région de Vologda. Enfin, le ministre de l’agriculture de la république de Crimée a communiqué que la production de volailles allait être relancée dans la péninsule grâce à des investissements israéliens.
L’Union européenne osera-t-elle faire pression sur Israël comme elle essaie de le faire sur les pays d’Amérique latine afin qu’ils ne lui prennent pas ses parts de marché qu’elle a très intelligemment renoncé par soumission aux Etats-Unis ?
Baudouin Lefranc dans Medias-presse.info
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Bachar al-Assad de nouveau fréquentable ?
La décapitation du journaliste James Foley et le martyre des populations chrétienne et yézidie en Irak a rebattu les cartes. Après avoir armé les jihadistes contre le régime syrien, les puissances occidentales s'inquiètent de leur progression en Irak. Non seulement Bachar al-Assad n'est plus l'ennemi numéro un (qui parle encore de le renverser ?), mais il devient incontournable pour lutter contre le pseudo Etat islamique.
- Les Etats-Unis, pragmatiques
Officiellement, les Etats-Unis n'ont pas accepté la main tendue par le ministre syrien des affaires étrangères, qui a proposé lundi une forme de coopération. Mais officieusement,
"le chef d'Etat-major américain, Martin Dempsey, estime qu'il faut attaquer l'EI des deux côtés de la frontière et utiliser "tous les outils - diplomatique, économique, militaire" contre les jihadistes. Des responsables américains annoncent, sous couvert de l'anonymat, l'envoi d'avions espions et de drones au-dessus [de la Syrie]. Ces déclarations laissent imaginer une coopération avec le régime syrien, principal obstacle à la progression de l'EI en Syrie."
- Débat en Grande Bretagne
Changer son fusil d'épaule n'est pas simple. En Grande Bretagne, le Foreign office a exclu toute coopération avec Bachar al-Assad, tout en admettantcombattre un ennemi commun.
"C'est pourtant l'ancien chef de l'armée britannique lui-même qui avait suggéré de recréer des liens avec le dirigeant syrien, selon le principe très simple "l'ennemi de mon ennemi est mon ami"."
- Et la France ?
A la conférence des ambassadeurs aujourd'hui, François Hollande a campé sur ses positions :
"Bachar al-Assad est l'allié objectif des jihadistes." "On ne peut pas choisir entre deux barbaries, parce qu'elles s'entretiennent mutuellement."
Ne pas choisir, voilà le cap fixé par la France, qui prétend organiser une conférence internationale pour coordonner l'action, y compris militaire, contre les jihadistes. A laquelle elle invite... l'Iran.
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Valls 2 : la clarté aura duré moins de 24 heures
La photo traditionnelle des Pieds Nickelés sur le perron de l'Élysée fait figure de chorale paroissiale. Il manque juste un chef de choeur. Dissonances annoncées.
Il n’aura pas fallu attendre 24 heures pour qu’une déclaration d’Emmanuel Macron sur les 35 heures (déclaration faite même AVANT son installation à Bercy !) ne relance au sein du gouvernement Valls 2 la cacophonie de Valls 1.
24 heures avant sa prise de fonction, Emmanuel Macron se confiait au Point :
« Nous pourrions autoriser les entreprises et les branches, dans le cadre d’accords majoritaires, à déroger aux règles de temps de travail et de rémunération. C’est déjà possible pour les entreprises en difficulté. Pourquoi ne pas étendre à toutes les entreprises, à condition qu’il y ait un accord majoritaire avec les salariés ? »
Pas mal, non ? Sauf qu’immédiatement, le gouvernement s’est fendu d’un communiqué pour évidemment désamorcer cette bonne idée. On ne sait jamais, des fois qu’on rende la France moins soviétique…
Et c’est le toujours charmant Jean-Christophe Cambadélis qui fut chargé dès jeudi matin dans un entretien au Monde de mettre le clou final dans le cercueil des propositions intéressantes du nouveau ministre :
« Le social-libéralisme ne fait partie ni de notre vocabulaire ni de notre tradition. »
Voila pour le modernisme.
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Scandale pédophile au Royaume-Uni
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En route vers le 5 octobre
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6 septembre : conférence de Jérôme Triomphe à Paris
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Grande-Bretagne : 1 400 mineures blanches violées par des criminels pakistanais protégés par les autorités
« Personne ne connaît l’ampleur de l’exploitation sexuelle qu’ont subi des enfants à Rothertham à travers les années » a précisé Alexis Jay, auteur d’un rapport sur la mise en esclavage de plusieurs centaines d’enfants blancs par des gangs criminels pakistanais durant plus de quinze ans à Rotherham. Les menaces des familles des criminels, comme la peur et la honte des Blancs agressés et les mensonges des autorités ont empêché de dresser un bilan exhaustif des crimes racistes commis contre les Blancs par les occupants de la Grande-Bretagne. L’enquêtrice a reconnu que, les plaintes de nombreuses victimes ayant été ignorées par la police, il a été impossible de retrouver la trace de nombreuses blanches violées.
Selon les chiffres obtenus, 1.400 enfants mineurs ont été victimes de viols entre 1997 et 2013 à Rotherham, dans le nord de l’Angleterre. Les Pakistanais ont commis contre ces Européens d’innombrables crimes parmi les plus odieux ; certaines ont été contraintes à se prostituer, ont été « prêtées » à des réseaux de criminels étrangers opérants dans d’autres villes.
« Des enfants ont été aspergés d’essence puis menacés d’être enflammés, ont été menacés avec des armes, ou encore ont été forcés d’être témoins de viols très violents ».
D’autres ont été « victimes de viols collectifs, d’échanges avec d’autres villes du nord de l’Angleterre, enlevés, battus et intimidés ». Les plus jeunes filles identifiées avaient onze ans.
Ces crimes ont été commis avec la complicité des autorités. La police a reçu de nombreuses plaintes sans jamais enquêter ; les faits ont fait l’objet de trois rapports officiels, que les services de Rotherham ont ignoré ou censuré.
Les victimes blanches ont subi le véritable racisme antiblanc du système. Le professeur Alexis Jay note que la police a « considéré un grand nombre de ces victimes avec mépris ». Certains fonctionnaires complices des racistes antiblancs ont « fait part de leur nervosité à identifier les origines ethniques asiatiques des auteurs présumés, de peur de passer pour raciste ».
À ce jour, seuls cinq criminels pakistanais ont été condamnés à de légères peines de prison ; aucun des fonctionnaires ni des élus de Rotherham – ces derniers s’étant contentés de présenter leurs « excuses à ceux qui ont été abandonnés alors qu’ils avaient besoin d’aide » n’ont été poursuivis. Aucun n’a fait l’objet de salutaires mesures de justice populaire.
La mairie de Rotherham était dirigée par des travaillistes, la version britannique de la gauche marxiste ; le maire Roger Stone a annoncé sa démission après la parution de ce quatrième rapport. Outre les criminels marxistes, les esclavagistes bénéficiaient de l’appui de certains des leurs au sein de la municipalité, comme celui de Jahangir Akhtar, qui a sciemment caché les faits, sachant que ses coreligionnaires ciblaient des enfants blancs.
Il est à noter que la totalité des médiats francophones qui ont évoqué l’affaire ont masqué le caractère raciste antiblanc des criminels Pakistanais, présenté en France comme des « Asiatiques », alors que ces faits sont très clairement présentés ainsi par les médiats du système britannique comme The Guardian.
Source : JN
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Entretien avec Konstantinos d'Aube Dorée par Zenit Belgique
Entrevue réalisée par nos camarades de Zenit Belgique avec Konstantinos, assistant Euro-député au parlement européen pour le parti Aube Dorée (juillet 2014)
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La faillite libérale-libertaire
C’est un « fait divers » d’une horreur absolue qui a bouleversé nos voisins britanniques, une abjection qui prend aussi sa source dans la dictature du politiquement correct assurant la promotion du multiculturalismeobligatoire et du dogme de l’ antiracisme. Un drame révélé mardi dans toute son ampleur dans un rapport rendu public. Entre 1997 et 2013, dans la ville de Rotherham (nord de l’Angleterre), 1400 mineurs ont été victimes d’exploitation sexuelle et d’autres sévices. Ledit rapport évoque le cas d’enfants « aspergés d’essence puis menacés d’être enflammés, menacés avec des armes, forcés d’être témoins de viols très violents, battus et enlevés » voire « échangés » dans d’autres villes, ou encore victimes de « viols collectifs« , perpétrés notamment à de multiples reprises sur des fillettes de 11 ans… « Personne ne connaît l’ampleur de l’exploitation sexuelle qu’ont subie des enfants ici à travers les années ». Les services sociaux de cette municipalité avaient été prévenus mais il semblerait que certains auraient sous-estimé l’ampleur de cette affaire et/ou voulu l’étouffer. Pourquoi? Un des éléments réside dans le fait, est-il expliqué, que de nombreux agents des services sociaux ont « fait part de leur nervosité à identifier les origines ethniques des auteurs présumés » (principalement des Indo-Pakistanais), « de peur de passer pour raciste« . Tout est dit…
Nous savons à quelles extrémités malheureuses, à quels errements et démissions tragiques peut conduire, dans tous les domaines, la catastrophique doxa libérale-libertaire qui est l’idéologie dominante de la plupart de nos « élites » politico-médiatiques.
Le gouvernement Valls II l’incarne parfois jusqu’à la caricature avec les nominations (provocations) de Najat Vallaud-Belkacem à la tête du ministère de l’Education et d’Emmanuel Macron, ancien conseiller économique de François Hollande, ancien banquier d’affaires au sein du groupe Rothschild, nouveau ministre de l’Economie, de l’Industrie et du numérique.
La promotion accordée à Mme Vallaud-Belkacem, ex secrétaire nationale du PS chargée des questions de société et des droits des personnes LGBT, parle d’elle même dans sa volonté clairement affichée de flatter la frange la plus agressive et extrémiste du lobbyprogressiste et des adversaires des valeurs traditionnelles.
Nous le savons, elle est favorable à la gestation pour autrui contenue dans le projet d’évolution sur la loi de bioéthique dont elle fut la rapporteuse, elle assura la défense dans les médias du mariage et à l’adoption pour les couples homosexuels; elle fut également à la manœuvre pour la mise en place des «ABCD de l’égalité» assurant l’entrée dans nos écoles de la théorie du genre (gender). Le CV idéal pour diriger l’Education « nationale » selon MM. Hollande et Valls…
Quant à la nomination d’Emmanuel Macron, elle est largement appréhendée comme la mise en pratique d’un euro-libéralisme qui a les faveurs du duo Hollande-Fabius, comme un énième effort désespéré aussi, d’échapper à la spirale de la dette qui atteindra le seuil de 100% du PIB fin 2015 si elle poursuit sur la même trajectoire.
Elle intervient sur fond de croissance zéro, d’ un chômage qui frôle officiellement les 11%, après 27 mois de hausses continues des impôts et des taxes matraquant nos entrepreneurs, commerçants, artisans, les catégories populaires et les classes moyennes, à l’heure ou notre déficit atteint 2000 milliards d’euros.
Sera-t-elle à même de stopper cette course vers l’abîme? L’arrivée de l’UMP compatibleEmmanuel Macron à ce poste n’est en effet que la confirmation des orientations euromondialistes d’une gauche française soumise à Bruxelles, dont Bruno Gollnisch estime qu’elles sont directement responsables (mais pas seulement) du déclin français.
A l’instar de nombreuses personnalités occupant des postes de premier plan au sein de la nébuleuse mondialo-bruxelloise bien décidée à en finir avec la souveraineté des Etats nations, M. Macron est dans les petits papiers d’une officine comme le groupe Bildelberg.
Il fut un des rares invités français en juin dernier à Copenhague de cette structure » un peu occulte et mondialiste » comme l’a noté Bruno Gollnisch, en compagnie de sa collègue Fleur Pellerin, de Pierre-André de Chalendar (Saint-Gobain) ou encore de Natalie Nougayrède, directrice du quotidien Le Monde de mars 2013 à sa démission le 14 mai de cette année.
Evoquant la présidence Hollande dans le livre à paraître intitulé « Moi président », Arnaud Montebourg, n’aurait eu de cesse d’alerter des conséquences politiques des errements du gouvernement:. » On laisse la porte ouverte au FN. On n’en peut plus, on est au bout. Cet amateurisme, ce n’est pas croyable.»
Une chose est certaine c’est que l’énorme déficit de confiance des Français vis-à-vis de la gauche au pouvoir est aussi un frein puissant à une hypothétique reprise économique.
La gauche a trop échoué, trop menti, trop trahi. En 2006, François Hollande dans son livre « Devoirs de Vérité« , avait promis de procéder à une « vérification démocratique » à mi-mandat. Il a préféré finalement la fuite avant, se soumettre encore plus au Parti de l’étranger.
Le journal allemand Der Spiegel prédisait cette semaine au bout du bout de la faillite d’une gauche française qui a succédé aux échecs des années Sarkozy un tremblement de terre politique: la révolution patriotique. « Le prochain président pourrait être Marine Le Pen » avance-t-il. Il n’est pas le seul à le penser.