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  • Face au scandale des crèches interdites

    6a00d8341c715453ef01b7c718cfaf970b-320wi.jpgPour commander "Le Laïcisme contre la Libertés" par Émile Flourens un petit livre de 130 pages comprenant le texte des lois et la protestation des victimes

    En Vendée comme à Béziers, ces deux symboles historiques des crimes symétriques du pouvoir central, on prétend empêcher des Français de manifester publiquement la joie de Noël.

    Quelle folie ! Dans quel délire la gauche caviar à la dérive est-elle en train de sombrer ? Par quel sectarisme est-on en train de prétendre

    Sous les présidences oubliées de Loubet (1899-1906) puis Fallières (1906-1913) la France s'était enfoncée dans l'anticléricalisme. Plus tard, sous la Quatrième et aux débuts de la Cinquième république on pensait en avoir terminé.

    Avec Monsieur Hollande, qui semble avoir reçu de sa mère catholique le prénom de François nous y voilà revenus.

    Certes, chrétienne d'origine, comme la France l'est elle-même, la tradition de la crèche appartient aujourd'hui à toute la société civile.

    Ni le pouvoir politique d'État, si admirablement populaire, ni l'administration judiciaire, qui fonctionne si bien, n'ont ni le droit d'en effacer la trace ni le pouvoir de raser les clochers de nos villages ou les croix de nos cimetières.

    Née de saint François d'Assise, la tradition occidentale de la crèche vient d'Italie, de la nuit de Noël 1223. Par la suite elle fut popularisée, dans le monde entier, par les jésuites au moment de la contre-réforme.

    Il se trouve, au bout du compte elle s'est étendue à toutes les confessions chrétiennes et, plus largement, à presque tous les pays civilisés.

    Va-t-on interdire le Père Noël sous prétexte qu'il serait apparu en Amérique, dérivé du saint Nicolas des immigrants allemands ? Ou le sapin, roi des forêts, pour faire plaisir aux écologistes enfants des villes ?

    Ne sachant plus quoi inventer une certaine gauche va-t-elle impunément fouler aux pieds les principes affichés, en France, par la loi de 1905, – laquelle ne visait en théorie qu'à abolir les lois de Napoléon et ne plus "subventionner aucun culte" .

    Cette loi prétendait copier le Premier amendement de la Constitution américaine.

    Elle se réclamait donc, en principe, de la liberté religieuse.

    En fait, la Troisième république entreprit cette œuvre à sens unique. Elle développa la persécution des mal-pensants. Héritière des jacobins, elle les supposait influencés par le Vatican. C'est pendant toute cette époque que nos chers radicaux-socialistes refusèrent aussi le droit de vote aux femmes supposées sous la coupe de leurs confesseurs.

    Lucidement alors, Émile Flourens et les libéraux perçurent dès le départ le caractère liberticide de l'État laïciste. Ils dénonçaient les germes de cette dérive, qui reprend de plus belle sous Monsieur Hollande. Ils avaient raison.

    Pour commander "Le Laïcisme contre la Libertés" par Émile Flourens un petit livre de 130 pages comprenant le texte des lois et la protestation des victimes

    http://www.insolent.fr/

  • "Une centaine" de parlementaires seraient en délicatesse avec le fisc

    La plupart d'entre eux sous-évaluent leur patrimoine, une vingtaine de cas seraient plus sérieux, affirme Europe 1.

    Une centaine de parlementaires sont dans le collimateur du fisc, ciblés par la Haute autorité pour la transparence de la vie publique, qui continue d’éplucher leurs déclarations de patrimoine, selon les informations d'Europe 1, jeudi 4 décembre. Le "Canard enchaîné" parlait déjà de 60 élus, fin octobre.

    Sur 925 députés et sénateurs, cela fait désormais un peu plus d'un élu sur dix dont la déclaration est jugée litigieuse, selon la radio. La plupart des litiges portent sur une sous-évaluation du patrimoine et non sur des fraudes en tant que telles. Une vingtaine de cas seraient plus sérieux, toujours selon Europe 1. 

    Si les explications des parlementaires ne satisfont pas la Haute autorité, leur dossier sera transmis à la justice. Et leur noms seront rendus publics, comme pour trois cas précédents : les députés UMP Bernard Brochand (Alpes-Maritimes), Lucien Degauchy (Oise) et le sénateur Bruno Sido (Haute-Marne) avaient déjà été épinglés pour des irrégularités, notamment des comptes à l’étranger non déclarés. Le dénouement est annoncé pour le tout début de janvier prochain.

    C'est à la nouvelle législation d'octobre 2013 que l'on doit ces investigations fiscales. Pour la première fois, la haute autorité pour la transparence de la vie publique a collecté les déclarations de patrimoine des élus et les a transmises à l'administration fiscale. Les députés et les sénateurs sont en effet dans l'obligation de communiquer leurs déclarations de patrimoine.

    Source : Le Nouvel Observateur :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EuEZyAEAZurQvCZJTl.shtml

  • Un jour, un texte ! La Patrie selon Jean Ousset

    « La civilisation française, héritière de la civilisation hellénique, a travaillé pendant des siècles pour former des hommes libres, c'est-à-dire pleinement responsables de leurs actes: la France refuse d'entrer dans le Paradis des Robots. »

    Georges Bernanos, La France contre les robots

    Cette nouvelle rubrique a pour objet de proposer des textes pour aider tout un chacun à réfléchir sur des sujets précis et si possible, d'actualité, aujourd'hui : la Patrie. (6)

    la patrie, terre des pères

    Avant tout donc, comme l'indique l'étymologie, la patrie c'est un sol, un territoire, un dessin sur une carte. Comme l'a dit Péguy, elle est cette quantité de terre où l'on peut parler une langue, où peuvent régner des mœurs, un esprit, une âme, un culte. Elle est cette portion de terre où une âme peut respirer et où un peuple peut ne pas mourir.

    Mais parce qu'elle est terre des pères, on comprend qu'elle soit par essence une terre humaine.

    Elle n'est pas, autrement dit, qu'un sol nu, un sol de forêt vierge. Elle est le sol sur lequel les pères ont marqué leur empreinte. Le sol qu'ils ont cultivé. Le sol sur lequel ils ont bâti les monuments, vestiges de leur passé.

    La patrie est le sol des anciennes batailles. Elle est la terre des champs, des vergers. La poussière des villes et des routes. Elle est la terre des ancêtres, la terre des cimetières, celle qui garde ceux qui veillèrent sur l'enfant, l'adolescent, l'adulte, et ceux mêmes qu'il n'a pas connus, mais que des paroles tendres, ardentes ont figurés, décrits, ressuscités pour lui. (1)

    Elle est le cercle intime, la terre sacrée du foyer. Elle est la terre charnelle, la terre dont, à la lettre, nous sommes nés. Elle est la chair de notre chair. Et c'est par là qu'elle pèse et agit si fortement sur le cœur humain. Elle est spontanément objet d'affection et de sentiment. Elle est la mère.

    « La Mère Patrie ».

    Aussi est-elle plus souvent sentie que pensée.

    La patrie n'est pas d'ailleurs le résultat d'un pacte volontaire. « On ne choisit pas plus sa patrie, la terre de ses pères, que l'on ne choisit ses parents ». L'enfant qui vient au monde n'argumente pas pour savoir s'il doit se décider à les aimer ou non. Il leur doit trop. Un élan naturel le pousse à les aimer.

    Ainsi que Taine l'a dit (2) : « La patrie est chose sacrée, par laquelle chacun a tout l'être qu'il a, pourvu de bienfaits infinis, héréditaires, envers qui nous sommes couverts de dettes. »

    « Monstrueux de la hasarder. »

    Tel est le réel.

    Tels sont les faits, dans ce qu'ils ont de plus communément admis.

    * * *

    Mais n'est-il pas insuffisant d'en rester là ?

    Et n'importe-t-il pas d'appeler « patrie » (sinon de grouper en elle) tout ce qui est de l'héritage, du patrimoine reçu de nos pères, et rassemblé par eux ?

    Car si la patrie est la glèbe de nos champs, le sol de nos chemins, l'asphalte de nos rues, on reconnaît qu'elle est aussi le ciel qui sert de voûte à cette terre, l'air qu'on y respire, le climat dont elle jouit. Et le miroir de ses lacs, le chant de ses sources, les reflets changeants de ses mers...

    On comprend donc que par extension la patrie puisse être en réalité le patrimoine entier. L'ensemble du capital que nous ont laissé nos aïeux. Non plus seulement la terre, mais les églises, les cathédrales, les palais et les tours dont elle s'est vue couverte au cours des âges. Et toutes merveilles de l'industrie ou des arts. Monuments de la pensée et du génie.

    Tout l'héritage !

    La terre, aussi bien que les legs matériels, intellectuels, spirituels et moraux.

    « L'amour du sol tout court n'est pas le patriotisme », écrit Fustel. « Il faut y joindre l'amour de son histoire. La patrie géographique serait peu de chose si on ne relève l'affection qu'on lui porte (et, qu'un ennemi, aussi bien, peut lui porter) du respect, de l'amour de son histoire. Cette histoire est nôtre bien autant que le sol. Nous n'avons pas le droit de la négliger. »

    Cet amour nous paraît d'autant plus important qu'il peut subsister après la destruction, la perte, voire l'inexistence de la patrie géographique.

    Cas des peuples déportés.

    Cas des peuples nomades.

    Cas du peuple juif depuis sa dispersion.

    La fidélité à la patrie devient, en ces cas, la fidélité à un patrimoine historique, à un ensemble de valeurs ou caractères traditionnels. Et la fidélité à tel poème, tel chant, tel livre sacré devient alors l'objet d'une défense aussi rude, aussi opiniâtre, aussi héroïque que le combat des armes pour la possession d'une province.

    Jean Ousset

    Extrait de : « Patrie, Nation, Etat ».

    Ed. Montalza - 1965.

    (1) « La patrie est faite de plus de morts que de vivants. » (Renan).

    (2) Notes inédites pour les Origines de la France contemporaine.

    Lois Spalwer http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Béziers : Ménard donne à une rue le nom d’un des participants au putsch des généraux

    En ce 5 décembre, journée nationale d’hommage aux "Morts pour la France" pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie, une heureuse nouvelle qui nous vient de la ville de Béziers, qui retrouve son âme depuis l’élection de Robert Ménard , qui préfère honorer Hélie Denoix de Saint-Marc que le 19 mars 1962 !

    Robert Ménard, maire de Béziers soutenu par le FN, va rebaptiser la rue du "19 mars 1962", date des accords d’Evian, en rue du "Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc", un militaire ayant participé au putsch des généraux, a indiqué la mairie.

    Le changement de nom de cette rue proche du quartier de la Devèze, celui où Robert Ménard, né à Oran, s’était installé avec ses parents à son arrivée à Béziers, sera présenté lors du prochain conseil municipal, le 11 décembre, a-t-on indiqué de même source.

    Né à Bordeaux en 1922 et mort à La Garde Adhémar (Drôme) en 2013, le commandant Hélie Denoix de Saint-Marc avait été résistant et déporté à Buchenwald.

    L’Algérie française

    En avril 1961, il avait fait le choix de l’Algérie française et avait participé au putsch des généraux à la tête du 1er REP (Régiment étranger de parachutiste). L’opération échouera et lui se constituera prisonnier. Il sera condamné à dix ans de réclusion et effectuera cinq ans de prison avant d’être gracié par le général De Gaulle.

    Réhabilité en 1978, il publie en 1995 une autobiographie Les champs de braises, mémoires et devient un personnage public à travers des conférences. Il avait été élevé en novembre 2011 au rang de Grand Croix de la Légion d’honneur par Nicolas Sarkozy.

    Ouest France

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Beziers-Menard-donne-a-une-rue-le

  • A quand l'abrogation du mariage civil obligatoire ?

    Lu dans L'Action Française 2000 :

    A"[...] En effet, au-delà de la loi Taubira, il convient de souligner quel’ensemble des légiférations républicaines sur la famille ont bouleversé l’ordre social et moral dans notre pays, vidé notre nation de son âme chrétienne et catholique, éloigné l’être de son besoin de spiritualité, en le robotisant et en créant chez lui un vide. Or, la nature a horreur du vide.

    [...] Les lois républicaines cherchent, depuis la Révolution, non seulement la destruction de l’ordre social mais aussi moral et familial, car la famille constitue le socle de la nation. La franc-maçonnerie, qui se vante d’être à l’origine de la Révolution de 1789,adopta une loi, en 1792, instaurant le divorce et rendant le mariage civil obligatoire. Cette loi accorda alors à la République le monopole de l’état civil des personnes.Or, contrairement aux idées reçues, le mariage civil était facultatif et possible sous l’Ancien Régime. Cela résultait aussi bien de l’édit de Nantes que de l’édit de Versailles. La loi de 1792 fut donc adoptée au cours d’un mouvement de laïcisation brutale de la France en vue de la déchristianiser et de l’arracher à ses racines. Ce mouvement progressa jusqu’au Concordat signé en 1801. Il s’atténua jusqu’à la proclamation de la IIIe République, marquée par la résurgence de la franc-maçonnerie.

    C’est ainsi qu’en 1884, le divorce fut rétabli par la loi Naquet.Les efforts maçonniques de laïcisation de la France furent couronnés par l’adoption de la loi de 1905, sous l’impulsion notamment de Ferdinand Buisson, proche de Jules Ferry et dont l’appartenance à la franc-maçonnerie ne laissait pas de doute. Cette loi a sonné le glas à l’identité catholique de notre pays. Ainsi, donc, l’institution du mariage civil obligatoire est un diktat jacobin qui a été imposé par la loi de 1792. L’article 433-21 du Code pénal punit tout ministre du culte à six mois d’emprisonnement et à 7 300 euros d’amende s’il consent à célébrer un mariage religieux préalablement au mariage civil. Progressivement, les lois républicaines sont allées de plus en plus loin en facilitant le divorce, la désunion et la destruction de la famille.En 2005, puis en 2007, les gouvernements de droite ont réformé la procédure de divorce, en l’allégeant, ce qui permet de qualifier ces textes de “lois de divorce pour tous”. Parallèlement et paradoxalement, les gouvernements de gauche ont encouragé le “mariage pour tous”, en adoptant d’abord le Pacs en 1999 et la récente loi Taubira cette année.

    La mise en cause de ces dernières lois n’est pas alimentée par une homophobie mais par une antropophilie et par un devoir de protection du maillon familonational. Au nom de la liberté à laquelle se réfèrent les esprits droits de l’hommistes, ne convient-il pas d’émanciper l’état civil des personnes du diktat qui leur a été imposé par la loi révolutionnaire de 1792, rendant obligatoire le mariage civil par devant un officier ministériel du culte républicain, et permettre aux Français de régir leur statut civil par leur Église, selon les rites respectifs de leurs communautés, ou devant un notaire (pour les non-croyants), à l’instar de ce qui se pratique dans d’autres pays de la planète, notamment dans la majorité des pays européens ?"

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Samuel Laurent : “L’Etat islamique doit le fleuron de son arsenal à la France”

    Interview de Samuel Laurent, auteur de “L’Etat islamique : organigramme, financements, filières..” par Joachim Véliocas au Press Club de Paris le jeudi 4 décembre 2014.

    Extrait de “L’Etat islamique” page 51 :

    Les artilleurs de l’Etat Islamique possèdent des armes très sophistiquées, rachetées auprès des brigades de l’Armée syrienne libre (ASL), notoirement corrompues et toujours enclines aux transactions les plus douteuses. En septembre 2014, le député allemand Jan Van Aken rencontrera les résistants kurdes de la ville de Kobané, assiégée par les hommes de l’Etat islamique. Les Kurdes, furieux, exhiberont alors un missile Milan saisi lors d’un raid contre les positions jihadistes, en demandant au député comment des armes européennes pouvaient bien se trouver entre les mains de nos ennemis.

    La décision d’armer les rebelles “modérés” depuis l’année dernière, admise du bout des lèvres cet été par notre chef de l’Etat (1), témoigne d’une myopie politique et d’une indigence intellectuelle rare. L’Etat islamique doit en effet à la France le fleuron de son arsenal.(…) On trouve maintenant des missiles Milan à travers toute la Syrie! En juillet 2014, les salafistes tchétchènes de Lioua Mouhajireen Wal Ansar filment leurs exploits, tandis qu’ils utilisent cet engin, sur un front de l’ouest. Cette brigade ultra-radicale, qui bénéficie donc des largesses de la France, fut fondée l’année dernière par Abou Omar Al-Chechani, aujourd’hui chef militaire de l’Etat islamique…

    (1) La France a bien livré des armes aux rebelles en Syrie, Le Monde, 20 août 2014.

    http://fr.novopress.info/

  • Rassemblement contre l'euthanasie le 10 décembre au Trocadéro

    Le mouvement « Soulager mais pas tuer » appelle les Français à se rassembler sur le Parvis des Droits de l'Homme du Trocadéro, le mercredi 10 décembre 2014 à 19h.

    SCe rassemblement fait écho aux déclarations contradictoires des autorités publiques sur le sujet de la fin de vie : François Hollande et Manuel Valls se sont engagés à promouvoir une réforme consensuelle de la loi de 2005. Or, quatre faits très récents démontrent que ce consensus est soit menacé, soit menaçant :

    1/ En octobre dernier, le Premier ministre a assuré auParti Radical de Gauche, qui revendique la légalisation de toutes les formes d'euthanasie, qu'il serait directement associé au futur projet de loi sur la fin de vie.

    2/ Le Président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, vient d'apporter le 27 novembre dernier son soutien à l'euthanasie et au suicide assisté, aux côtés de Véronique Massonneau. De nombreux autres députés de la majorité ont fait part de leur intention d’introduire l’euthanasie et le suicide assisté par amendements.

    3/ Favorable à l’euthanasie, jusqu’à celle des enfants quand les mentalités seront prêtes, la députée écologiste Véronique Massonneau (EELV) a déposé sa propre proposition de loi pour l’euthanasie et le suicide assisté. Elle sera en principe débattue à l’Assemblée nationale le 29 janvier 2015, dans le cadre d’une niche parlementaire réservée à son groupe.

    4/ Le député Alain Claeys (PS), associé à Jean Leonetti (UMP) pour remettre un rapport sur la fin de vie, a annoncé au quotidien Libération le 26 novembre – sans l’aval de son collègue – que serait légalisée une « aide à mourir », sous la forme ambiguë d’« un droit à la sédation profonde jusqu’à la mort » qui s'apparente clairement à une euthanasie masquée.

    C'est dans ce contexte de menaces et de confusion que le mouvement unitaire « Soulager mais pas tuer » tient à réaffirmer, au cours de la Journée Internationale des Droits de l’Homme, que l'interdit de tuer doit rester le fondement très clair de la confiance entre soignants et soignés. De très nombreux Français sont prêts à descendre dans la rue pour défendre ce principe fondamental de notre pacte social. Cette mobilisation doit commencer sans tarder.

    Lors de ce rassemblement de 19h à 20h, des soignants, des personnes concernées par le handicap ou la maladie, et de simples usagers de la santé viendront prendre la parole et témoigner. Notre société peut et doit se donner les moyens de toujours soulager les personnes fragilisées par le grand âge, la dépendance ou la maladie sans décider de leur administrer la mort.

    « Soulager mais pas tuer » réunit, sous le parrainage de Philippe Pozzo di Borgo, à l’origine du film Intouchables, les Français contestant l'euthanasie sous toutes ses formes et le suicide assisté, et favorables à la généralisation d'une véritable culture palliative. Son logo - un cœur dans une main - symbolise ses convictions : la main, signe de protection et de soin ; le cœur, signe de vie et de solidarité.

    Pour son lancement le vendredi 28 novembre 2014 à midi, « Soulager mais pas tuer » a organisé 66 conférences de presse dans toute la France, avec interventions de soignants et de personnes concernées par le handicap et la maladie.

    « Soulager mais pas tuer » est soutenu dès son lancement par :

    • Soigner dans la dignité
    • Convergence Soignants Soignés
    • L’Association pour la protection des soins palliatifs de l’euthanasie
    • 100% vivants
    • Alliance VITA
    • L’Institut Européen de Bioéthique
    • Le Comité protestant pour la dignité humaine (CPDH)

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Zemmour à Rennes

    zemmour_rennes-b3020.jpg

  • USA : mensonges et manipulations autour de l’histoire de Ferguson

    Depuis quelques jours, des faits divers américains servent la propagande raciale de tous les pourfendeurs de l’amalgame.

    Deux délinquants noirs ont été tués par un policier, les blancs sont racistes. On connaît la musique, mais l’instrumentalisation de ces faits est devenue internationale jusqu’à notre indépendantiste guyanaise nationale Christiane Taubira qui n’a pu s’empêcher de venir pleurer sur une décision de justice américaine (celle de ne pas poursuivre le policier Darren Wilson après la mort du jeune Michael Brown à Ferguson), elle qui n’a jamais un mot pour les multiples victimes Française de la racaille immigrée.

    Qu’en est-il vraiment ?

     Premier cas, Michael Brown

    Ce jeune noir et délinquant notoire a été tué à Ferguson par un policier blanc, Darren Wilson. La presse affirmait qu’il était désarmé et qu’il allait se rendre, le policier affirmait qu’il avait tenté de lui voler son arme et recommençait à attaquer quand il a tiré. Le rapport d’autopsie a donné raison au policier, quelques témoignages de personnes noires (sous anonymat tant elles avaient peur des représailles) devant le Grand Jury le confirment également.

    Ce dernier a donc décidé de ne pas poursuivre le policier. Aucune problématique raciale, si ce n’est dans l’instrumentalisation politique et dans les slogans anti-blancs hurlés dans les rues de Ferguson depuis.

    Deuxième cas, Eric Garner

    Cet homme noir de 43 ans a été tué à New-York par un policier blanc, Pantaleo. Une vidéo d’un ami de Garner a montré la scène : Garner, qui pesaient quelques 180 kilos, était confronté à la police pour avoir vendu illégalement des cigarettes. La vidéo montre Garner résister à la police avant que Pantaleo ne l’attrape par derrière et lui passe son bras autour du cou. Trois officiers l’ont tenu, lui ordonnant de mettre ses mains derrière la tête.

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  • Entretien avec Robert Ménard : " Demain, vais-je devoir enlever les « Joyeux Noël » qui éclairent la vieille ville ?"

    Robert Ménard, on lit, un peu partout dans la presse, que vous auriez été sommé par le préfet de l’Hérault de retirer la crèche installée par vos soins à la mairie de Béziers. Est-ce vrai ?

    Pas du tout ! Le préfet, Pierre de Bousquet, nous a simplement, dans un courrier, « invités à reconsidérer notre projet dans son principe, ou au moins dans ses modalités ». Ce que nous avons fait : nous avons intégré la crèche dans le programme des activités culturelles et festives de fin d’année. Il l’avait du reste suggéré lors d’une conversation téléphonique que nous avions eue. Ce n’était donc pas une mise en demeure, ni même une mise en garde.

    On vient d’apprendre par ailleurs que le tribunal administratif de Nantes a exigé du conseil général de Vendée qu’il démonte la crèche traditionnellement exposée durant la période de Noël à l’accueil. Cette décision vous inquiète-t-elle ? [...]

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