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  • Pegida : début d’un réveil populaire en Allemagne contre l’immigration ?

    économiques du modèle allemand et la popularité d’Angela Merkel, outre-Rhin un réveil populaire semble émerger contre l’islamisation et l’immigration en Allemagne. En effet, le modèle multikulti et autres fadaises du vivre-ensemble exploqe face aux manifestaions salfaistes et aux affrontements violents entre salafistes et Kurdes à cause de l’Etat islamique. Sans oublier que l’Allemagne, elle-aussi, connait une sorte de Camp des saints avec la poussée exponentielel d’uen immigration extra-européenne.

    C’est ce réveil populaire dont s’alarment nos confrères bien pensants de Libération. Notamment à travers les manifestations qu’organise désormais le mouvementPegida, manifestations qui connaissent une large succès et qui dépassent la simple “extrême droite” :

    Personne n’avait vu venir la manifestation. Lundi soir (8 décembre, note de Novopress), 10 000 personnes ont protesté pacifiquement dans les rues de Dresde malgré le froid mordant «contre l’islamisation de l’Occident» à l’appel de Pegida, un mouvement inconnu voici deux mois. En face, 9 000 habitants protestaient contre le développement de l’intolérance. Pegida est l’abréviation d’un slogan aux relents douteux qu’on pourrait traduire par « Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident ». Ce mouvement parti de rien et échappant à tout contrôle des partis inquiète la classe politique allemande alors que le pays est confronté à un mouvement d’immigration sans précédent (souligné par nous, Novopress).

    (…)

    Chaque lundi à la nuit tombée, le mouvement enfle. De 500 participants, on est passé à 10 000 en quelques semaines. Jeunes, vieux, hommes, femmes et même des familles ; la société civile semble se mobiliser. Et si quelques centaines de néonazis et une poignée de fonctionnaires du parti d’extrême droite NPD se mêlent aux drapeaux noir, rouge et or ou aux croix hissées au-dessus de la foule, ils semblent noyés dans le mouvement.« C’est très surprenant, explique Werner Patzelt, politologue à l’université de Dresde.C’est comme si quelque chose qui n’attendait que ça venait de se cristalliser… Pegida est né du fait qu’une partie importante de la population se rebelle contre un développement sur lequel on ne l’a pas consultée et qui n’a jamais été débattu : le fait que l’Allemagne devienne une terre d’immigration. »

    (…)

    Pegida menace de déborder les frontières de la Saxe. Wurtzbourg, Bochum, Munich, Cassel ou Bonn voient fleurir des mouvements similaires. A Leipzig, Pegida s’appelle Legida, et Dügida à Düsseldorf. Ces boutures ne mobilisent pour l’instant que quelques centaines à quelques milliers de personnes. Mais le mouvement pourrait s’étendre. « Pegida répond à une peur économique et sociale, souligne Johannes Kiess, sociologue à l’université de Siegen. L’Allemagne est un pays riche, mais tout le monde ne profite pas de cette richesse. Sa situation d’île de bien-être au milieu de l’Europe peut prendre fin très rapidement. La crainte d’un déclassement social est forte jusque dans les classes moyennes. Et se retourne facilement contre les plus faibles, les étrangers, les minorités. »

    >> Pour lire l’article dans son intégralité

    http://fr.novopress.info/

  • Les Vikings n’étaient pas les explorateurs solitaires qu’on pensait

    Selon une nouvelle étude génétique, les femmes scandinaves ont fait partie intégrante de la colonisation viking. Une étude plus ancienne avait montré l’inverse dans le cas particulier de l’Islande.

    Les Vikings faisaient de nombreuses choses en famille, y compris l’exploration et la colonisation. Contrairement aux clichés selon lesquels ils ne partaient en raids qu’en groupes d’hommes, les anciens Scandinaves emmenaient leurs femmes avec eux.

     

     
    C’est ce que révèle une étude génétique de l’université d’Oslo, publiée le 7 décembre dans la revue Philosophical Transactions of the Royal Society B.
    La question de la présence des femmes dans la grande aventure viking n’est pas anodine, une première étude publiée en 2001 avait révélé que les Scandinaves avaient ramené avec eux des femmes gaéliques lors de la colonisation de l’Islande.
     
    Cela soutenait l’idée qu’ils partaient en raids et en exploration entre hommes et ne faisaient venir des femmes que plus tard, et pas forcément celles de leur pays.
     
    Mais l’équipe d’Erika Hagelberg, de l’université d’Oslo, a montré des résultats différents en menant une nouvelle étude.
     
    Plongée dans l’ADN mitochondrial.
     
    Les chercheurs ont commencé par étudier les ossements de 45 vikings retrouvés en Norvège. Ils datent tous d’entre 796 et 1066, c’est-à-dire, à trois ans près, de l’ensemble de la période Viking. Celle-ci s’étend du pillage de Lindisfarne en 793 à la défaite de Stamford Bridge en 1066.
     
    L’équipe s’est plus précisément intéressée à l’ADN mitochondrial des squelettes, puisque celui-ci n’est transmis que par la mère.
    Il révèle donc des informations sur la lignée maternelle.
     
    Ces résultats ont été comparés à l’analyse génétique de 68 habitants de l’Islande médiévale, puis de 5191 Européens d’aujourd’hui.
     
    Le matériel génétique des anciennes populations nordiques et islandaises s’est révélé très proche de celui des populations actuelles de l’Atlantique Nord.
     
    Une proximité renforcée entre les anciens scandinaves et les habitants des archipels des Orcades et des Shetland, dont l’histoire est très liée à celle des Vikings.
     
    Des résultats qui suggèrent que les femmes vikings auraient aussi voyagé.
     
    Un rôle plus important que prévu
    “Il semble que les femmes ont joué un rôle plus important que prévu dans la colonisation”,
     
    explique à LiveScience Jan Bill, archéologue à l’université d’Oslo mais qui n’a pas participé à l’étude.
     
    Dans l’image que nous avons des raids vikings il n’y a bien sûr pas de place pour des familles, mais quand ces activités ont commencé à devenir plus pérennes, les familles ont fini par voyager également et à rester dans les campements“, conclut-il.
  • À la recherche du Hobbit : Broceliande, la forêt magique (2/5)

    Dans ce deuxième épisode, John Howe, illustrateur et directeur artistique des deux trilogies du cinéaste Peter Jackson, nous fait découvrir, carnet à la main, la forêt de Brocéliande.

    On situe désormais ce lieu mythique, qui inspira bien des légendes celtiques, dans la forêt bretonne de Paimpont.

    L’historien Leo Carruthers, directeur du Centre d’Études médiévales anglaises de la Sorbonne, et le conteur Nicolas Mezzalira nous emmènent dans un voyage à la découverte des légendes de Merlin, Morgane et Viviane.

    Réalisé par Olivier Simmonet (2014)

    http://fortune.fdesouche.com/368079-a-la-recherche-du-hobbit-broceliande-la-foret-magique-25

  • Il ne faut pas renoncer à ce que nous sommes vraiment

    Il est temps de revenir à la famille, fût-ce au prix de moins d’individualisme, temps de revenir au peuple souverain dans les dimensions de la nation.

    J’ai toujours cru que la communauté nationale était une famille à l’échelle du peuple. Comme dans toute famille, tout n’y va pas, toujours, pour le mieux, mais cela fonctionne.

    Hier, cela fonctionnait parce qu’il y allait de l’intérêt principal de chacun comme de celui du collectif, agrégat de nécessités individuelles compatibles. Mais cela fonctionnait aussi parce que le lien de l’identité nationale partagée, l’appartenance à une histoire commune assumée et le creuset des valeurs revendiquées tracé par l’action des anciens aux modernes donnaient à la nation une existence cohérente qui dépassait les clivages existentiels primaires et les accidents conjoncturels.

    Lire la suite

  • Un jour, un texte ! La Patrie selon le Chevalier de Charette

    « La civilisation française, héritière de la civilisation hellénique, a travaillé pendant des siècles pour former des hommes libres, c'est-à-dire pleinement responsables de leurs actes: la France refuse d'entrer dans le Paradis des Robots. » Georges Bernanos, La France contre les robots

    Cette nouvelle rubrique a pour objet de proposer des textes pour aider tout un chacun à réfléchir sur des sujets précis et si possible, d'actualité, aujourd'hui : la Patrie. (14)

    Notre patrie

    François-Athanase de Charrette de la Contrie, ancien officier de marine, fut arraché à sa retraite par ses paysans et REMPORTA, à leur tête, de nombreux succès contre les "Bleus". Nommé général en chef de l'Armée catholique et royale du Bas-Poitou, il fut fait prisonnier et fusillé peu après à Nantes, le 29 mars 1796, par les troupes républicaines du général Duthil.

    « Notre Patrie à nous, c'est nos villages, nos autels, nos tombeaux, tout ce que nos pères ont aimé avant nous.

    Notre Patrie, c'est notre Foi, notre Terre, notre Roi. Mais leur Patrie à eux, qu'est-ce que c'est ? Vous le comprenez, vous ? Ils veulent détruire les coutumes, l'ordre, la tradition. Alors, qu'est-ce que cette Patrie narguante du passé, sans fidélité, sans amour ? Cette Patrie de billebaude et d'irréligion ? Pour eux, la Patrie semble n'être qu'une idée, pour nous, elle est une terre. Ils l'ont dans le cerveau ; nous, nous l'avons sous les pieds, c'est plus solide ! Et il est vieux comme le diab' leur monde qu'ils disent nouveau et qu'ils veulent fonder dans l'absence de Dieu... On nous dit que nous sommes les suppôts des vieilles superstitions... Faut rire ! Mais en face de ces démons qui renaissent de siècle en siècle, sommes une jeunesse, Messieurs ! Sommes la jeunesse de Dieu. La jeunesse de fidélité ! »

    Chevalier de Charette

    "Discours à ses officiers", extrait de la préface de "Charrette, chevalier du Roi".

    Michel de Saint-Pierre. - Éd. Folio Poche.

    Lois Spalwer

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La gauche, l'affaire Lepaon et la faillite des élites

    A son arrivée au pouvoir, François Hollande avait fait de "la République exemplaire" le leitmotiv de son quinquennat. Deux ans et demi plus tard, la gauche alimente la chronique des affaires, accréditant auprès de l'opinion l'idée d'une faillite générale des élites.

    Dernier épisode en date, la mise en cause du numéro un de la CGT, Thierry Lepaon, pour son train de vie, est venue s'ajouter à la récente démission de Kader Arif de son poste de secrétaire d'Etat aux Anciens combattants et à celle de Faouzi Lamdaoui, conseiller de François Hollande à l'Elysée. "C'est gênant, cela donne le sentiment d'une litanie, d'un feuilleton", estime le politologue Frédéric Dabi (Ifop).

    "Lepaon avait, à raison, admonesté tel ou tel patron voyou. Mais, maintenant avec cette mise en cause, il alimente le refrain "faites ce que je dis, pas ce que je fais" et accrédite l'idée d'une faillite des élites. C'est la loi d'airain", ajoute-t-il.

    Jean-Daniel Levy (Harris-Interactiv) partage cette analyse sur une coupure entre la minorité dirigeante et la majorité dirigée. "Un responsable politique ou syndical a vocation à faire don de soi à la collectivité. Personne ne pense qu'ils doivent vivre comme tout un chacun, mais tous attendent d'eux une probité importante", explique-t-il.

    Pour inédits qu'ils soient, les démêlés du numéro un de la CGT n'auront pas "un grand impact" en eux-mêmes sur l'opinion publique, selon les analystes interrogés par l'AFP.

    En revanche, tous notent leur effet cumulatif néfaste sur la gauche, après les épisodes de Jérôme Cahuzac, Thomas Thévenoud, Aquilino Morelle (conseiller politique du chef de l'Etat contraint à la démission, ndlr), Kader Arif et Faouzi Lamdaoui. Et cela même si ces affaires sont de nature différente et ne préjugent pas la culpabilité des uns ou des autres.

    "La gauche ne peut plus se parer de vertu. Tout cela PARTICIPE d'un climat général. Et dans ces temps de crise, cela devient insupportable pour l'opinion", fait valoir Stéphane Rozès, président de Cap (Conseils, analyses et perspectives). Pour lui, le résultat sera, en termes électoraux, une abstention plus grande ou un vote en faveur du Front national.

    Néanmoins, sur ce dernier point, il estime que les affaires touchant l'UMP et le PS ne sont "pas la dynamique essentielle" du vote en faveur de Marine Le Pen. "La dynamique en faveur du FN, dit-il, est de nature politique reposant sur l'idée de s'opposer à une mise du pays sous contrainte extérieure".

    - 'Un voile noir' -

    Frédéric Dabi juge, pour sa part, que cette litanie mortifère d'affaires touchant la gauche, au moment où l'UMP en a elle aussi son lot, "favorise le vote en faveur du FN, des partis anti-système".

    "75% des Français considèrent les responsables politiques comme corrompus, mais finalement ils s'en accommodent", relève Jean-Daniel Levy, qui y voit pour preuve, par exemple, la réélection de Patrick Balkany (UMP) à Levallois-Perret. Il note qu'entre 2012 et 2014, "les traits d'image de Nicolas Sarkozy n'ont pratiquement pas bougé auprès des sympathisants UMP, hormis sur un point, l'honnêteté". L'ex chef de l'Etat, qui "est pourtant cité dans 11 procédures judiciaires, a été élu président de l'UMP", ajoute-t-il.

    Dans les années 90, moult affaires avaient émaillé la fin du deuxième septennat de François Mitterrand: financement occulte du PS, suicide de l'ex Premier ministre Pierre Bérégovoy, suicide d'un conseiller à l'intérieur même de l'Elysée, délits d'initiés, écoutes, etc. Mais, pour Stéphane Rozès, la défaite cinglante du PS aux législatives de 1993 s'explique davantage par "l'incapacité du pouvoir face à la montée du chômage" que par les affaires qui "ne faisaient alors qu'émerger".

    Quel sera l'impact sur François Hollande? Pour Jean-Daniel Levy, le chef de l'Etat "est encore un peu protégé". "Son rapport à l'argent n'est pas une critique qui émerge. Il est perçu comme un homme honnête, indépendant par rapport à l'argent".

    Pour l'avenir, et notamment son souhait de se représenter à la présidentielle de 2017, Frédéric Dabi est prudent. Il considère que le "feuilleton des affaires renvoie François Hollande à son anaphore "Moi, président..." qui sera alors utilisée comme un boomerang par ses adversaires". "C'est un voile noir sur un des leviers de sa victoire à la présidentielle de 2012", et cela met à bas "la République exemplaire" qu'il avait promise.

    Sylvie Maligorne

    Afp via yahoo :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuElupypuFuQwkuFiu.shtml

  • À la recherche du hobbit : Les univers de Tolkien (1/5)

    L’univers créé par Tolkien est peuplé d’êtres fantastiques et de créatures terribles. En cinq étapes, la série documentaire À la recherche du Hobbit nous révèle les sources d’inspiration de l’écrivain, qui fut également professeur de linguistique.

    Dans ce premier volet, nous partons à la RENCONTRE de John Howe, illustrateur et directeur artistique des deux trilogies de Peter Jackson, alors que sort le 10 décembre sur les écrans Le hobbit : La bataille des cinq armées, dernier film de la saga.

    L’homme se prépare à un périple en Europe sur les traces des légendes qui ont nourri Tolkien.

    Réalisé par Olivier Simmonet (2014)

    http://fortune.fdesouche.com/367439-a-la-recherche-du-hobbit-les-univers-de-tolkien-15

  • « L’uniformisation des médias »

    Armel Joubert des Ouches est allé à la rencontre du journaliste Eric Zemmour à l’occasion d’une conférence que ce dernier a donnée à Rennes mardi 9 décembre. Le journaliste et chroniqueur a été interrogé sur son dernier livre a succès « Le suicide français » paru chez Albin Michel. Le chroniqueur de RTL a évoqué notamment ce qu’il appelle « l’uniformisation des médias ». Son livre, véritable phénomène de librairie – il s’en vendrait plus de 5000 exemplaires chaque jour – démontre s’il en était besoin, de quelle manière la France a perdu, depuis la signature du traité de Maastricht en 1992, toute identité culturelle, toute souveraineté au profit d’une Europe devenue tentaculaire. Cette Europe s’est appuyée sur le vieux rêve de nombre de personnalités politiques françaises : « le modèle américain ». Eric Zemmour répond sans détour aux questions de Réinformation Tv.