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État Islamique : L’apocalypse au nom d’Allah – 2e partie
I. La Dévotion
En novembre, l’État islamique a diffusé un publi-reportage faisant remonter ses origines à Ben Laden. Abu Musa’b al Zarqawi, le cruel chef d’al-Qaeda en Irak de 2003 jusqu’à sa mort en 2006, y est considéré comme un géniteur plus récent. Deux autres chefs de guerre lui ont succédé avant l’arrivée de Baghdadi, le calife. Ayman al Zawahiri, le chirurgien ophtalmologiste égyptien au look d’intellectuel, successeur de Ben Laden à la tête d’al-Qaeda, n’y est pas mentionné.
Zawahiri n’a pas prêté allégeance à Baghdadi et il est de plus en plus détesté par ses camarades djihadistes. Son absence de charisme aggrave son isolement. Dans les vidéos, il apparaît biaiseux et ennuyeux. Mais la scission entre al-Qaeda et l’État islamique a mis du temps à se concrétiser et elle explique en partie la soif de sang hors norme de ce dernier.
Le religieux jordanien Abu Muhammad al Maqdisi, compagnon de Zawahiri, est lui aussi isolé. A 55 ans, il peut se targuer d’être l’architecte d’al-Qaeda et le plus important des djihadistes méconnus du lectorat moyen de journaux américains. Sur la plupart des questions en matière de doctrine, Maqdisi et l’EI sont d’accord.
Tous deux appartiennent à la branche djihadiste du sunnisme appelée Salafisme, dans les pas “d’al Salaf al Salih”, les “pieux ancêtres”. Ces derniers ne sont autres que le Prophète lui-même et ses premiers partisans, que les salafistes honorent et prennent en modèle sur tous les aspects de la vie, que ce soit pour faire la guerre, pour coudre, pour organiser la vie de famille et même pour les soins dentaires.
Maqdisi a formé Zarqawi, ce dernier a fait la guerre en Irak grâce aux conseils du vieil homme. Avec le temps, son fanatisme à dépassé celui de son mentor qui lui en a finalement fait le reproche. En cause, le goût de Zarqawi pour les mises en scènes sanglantes et, sur le plan doctrinal, la haine qu’il nourrissait envers les autres musulmans et qui l’amenait à les excommunier et à les tuer.
Dans l’Islam, la pratique du “takfir”, l’excommunication, est théologiquement périlleuse. “Si un homme dit à son frère – tu es un infidèle -” le Prophète affirme alors “que l’un des deux est dans le vrai.“ Si l’accusateur se trompe, ses fausses accusations font de lui un apostat. La punition pour l’apostasie est la mort. Et Zarqawi a étendu de manière inconsidérée l’éventail des comportements jugés “infidèles” pour les musulmans.
Maqdisi a écrit à son ancien élève qu’il devait faire preuve de prudence et “ne pas lancer d’excommunications généralisées” ou “déclarer les gens comme apostats à cause de leurs pêchés“. La distinction entre un apostat et un pêcheur peut paraître subtile, mais c’est un point de désaccord essentiel entre al-Qaeada et l’EI.
Dénier au Coran et aux récits de Mohammed leur caractère sacré relève clairement de l’apostasie. Mais Zarqawi et l’État qu’il a engendré considèrent qu’il existe beaucoup d’autres actes susceptibles de sortir un musulman du cadre de l’Islam. Ceci inclut la vente d’alcool ou de drogue, le port de vêtements occidentaux, le fait de se raser la barbe, de voter à des élections même si c’est pour un candidat musulman, ou encore d’être trop peu regardant sur l’apostasie des autres.
Être chiite, comme c’est le cas pour beaucoup d’Arabes irakiens, entre bien sûr dans cette catégorie. En effet, l’EI conçoit le chiisme comme une nouveauté, et innover en matière de Coran, cela équivaut à remettre en cause sa perfection originelle. (L’EI déclare que les pratiques courantes du chiisme telles que l’adoration des mausolées d’imams ou les auto-flagellations publiques ne se fondent sur aucune base issue du Coran ou de la vie du Prophète).
Cela signifie qu’environs 200 millions de chiites sont voués à la mort. Sont également concernés tous les chefs d’États musulmans qui ont élevé la loi des hommes au-dessus de la Sharia voulue par Dieu, en imposant le respect de textes profanes.
Suivant la doctrine “takfiri”, l’État islamique est déterminé à purifier le monde en tuant un grand nombre de personnes. Il est difficile de connaître l’étendue exacte des massacres perpétrés dans ces territoires en raison du manque de rapports objectifs qui en émanent, mais les messages postés sur les médias sociaux de la région laissent penser que les exécutions individuelles s’opèrent de manière plus ou moins continue et qu’il y a des exécutions de masse tous les 15 jours.
Les musulmans “apostats” sont les victimes les plus courantes. Les chrétiens, à condition de ne pas s’opposer à ce nouveau gouvernant, ne font pas l’objet d’exécutions systématiques. Baghadadi les laisse vivre à condition qu’ils payent une taxe spéciale connue sous le nom de “jizya” et reconnaissent leur sujétion.
Il s’agit là d’une pratique coranique qui ne fait pas débat.
En Europe cela fait des siècles que les guerres de religion ont cessé et que les hommes ne meurent plus en grand nombre pour cause de différents théologiques. C’est peut-être la raison pour laquelle les Occidentaux ont accueilli avec un tel déni et une telle incrédulité les informations relatives aux croyances et aux pratiques de l’État islamique. Beaucoup refusent de croire que ce groupe soit aussi dévot qu’il le prétend ou aussi rétrograde et apocalyptique que le laissent entendre ses déclarations et ses actes.
Leur scepticisme est compréhensible. Par le passé, les Occidentaux accusaient les musulmans de suivre aveuglément les anciennes écritures, ce qui affligeait certains universitaires. Chez ces universitaires, comme le défunt Edward Saïd, la manière occidentale de présenter les choses ne constitue jamais qu’une autre manière de dénigrer les musulmans.
Ces universitaires exhortent à plutôt se pencher sur les conditions d’émergence de ces idéologies : mauvaises gouvernances, changements des mœurs sociales, humiliation de vivre sur des terres estimées pour leur seule valeur pétrolifère.
Aucune hypothèse expliquant l’avènement de l’État islamique ne saurait être complète sans la prise en considération de ces facteurs. A contrario, se concentrer uniquement sur ces derniers, sans prendre en compte l’idéologie, relève d’une autre forme de partialité occidentale : si l’idéologie religieuse ne compte pas beaucoup à Washington ou à Berlin, alors c’est sans doute la cas à Mossoul ou à Raqqa…
Lorsqu’un bourreau masqué dit ”Allahu akbar” tout en décapitant un apostat, il arrive, parfois, qu’il le fasse pour des motifs religieux.
Beaucoup d’organisations musulmanes “mainstream” agissent en ce sens, affirmant que l’État islamique est, en fait, non-islamique. Il est bien sur, rassurant, de savoir que la grande majorité des musulmans ne voit aucun intérêt à remplacer les films Hollywoodiens par les vidéos d’exécutions publiques en guise de divertissements hebdomadaires.
Mais, comme me le confiait l’universitaire Bernard Haykel, directeur de recherche du département de théologie à l’université de Princeton, les musulmans qui nient le caractère islamique de l’État du même nom, sont généralement “gênés et politiquement corrects, ayant une vision angélique de leur propre religion“.
Une vision qui néglige “tout ce que leur religion a exigé tant sur le plan historique que juridique“. Nombre de négations de la nature religieuse de l’État islamique sont, m’a t-il dit, enracinées dans une “tradition chrétienne inter-religieuse absurde“.
Tous les universitaires que j’ai pu interroger à propos de l’idéologie de l’État islamique m’ont renvoyé vers Haykel. A moitié Libanais, Haykel a grandi au Liban et aux États-Unis et lorsqu’il s’exprime derrière son bouc à la Méphistophélès, il a une pointe d’accent étranger indéfinissable.
Selon Haykel, les rangs de l’État islamique sont profondément imprégnés d’une ferveur religieuse. Les citations coraniques sont omniprésentes. “Même les fantassins en débitent sans arrêt” dit-il. “Ils empoignent leurs caméras et répètent leur doctrine de base de façon mécanique, et ils font ça tout le temps“.
Il considère les déclarations selon lesquelles l’État islamique aurait déformé les textes de l’Islam comme grotesques et n’étant soutenues que par une ignorance délibérée.
“Les gens veulent absoudre l’Islam” dit-il, “à la manière d’un mantra : l’islam est une religion de paix. Comme s’il y avait une telle chose dans l’Islam! C’est ce que font les musulmans et la manière dont ils interprètent leurs textes. Ces textes sont partagés par tous les musulmans sunnites, pas juste par ceux de l’État islamique. Et ces types sont donc aussi légitimes à le faire que n’importe qui d’autre.“
Tous les musulmans reconnaissent que les premières conquêtes de Mahomet ne furent pas un long fleuve tranquille, que le Coran est imprégné des lois de la guerre et que les règles conduisant la vie du Prophète ont été calibrées pour répondre à des temps troublés et violents. Selon l’hypothèse de Haykel, les combattants de l’État islamique sont véritablement figés aux temps de l’islam des origines dont ils reproduisent pieusement les standards guerriers.
Ce comportement inclut un certain nombre de pratiques que les musulmans actuels préfèrent ne pas reconnaître comme faisant intégralement parties de leurs textes sacrés. Mais ”esclavage, crucifixions et décapitations ne sont pas des actes que les djihadistes sont allés chercher dans la seule tradition médiévale.” Les soldats de l’État islamique sont “en plein dans la tradition médiévale et ils la font ressurgir à grande échelle dans le temps présent.“
Le Coran précise ainsi que la crucifixion constitue le seul châtiment autorisé pour les ennemis de l’Islam. La taxe sur les chrétiens trouve son fondement dans le Surah Al-Tawba, le neuvième chapitre du Coran qui enseigne aux musulmans qu’il faut combattre les chrétiens et les juifs “jusqu’à ce qu’ils payent la jizya en acceptant leur soumission et se tiennent tranquilles“. Le Prophète, que tout musulman considère comme un exemple, a imposé ces règles et possédait des esclaves.
Les dirigeants de l’État islamique se sont mis en devoir de s’inspirer strictement de Mahomet et ont fait ressurgir des traditions qui étaient endormies depuis des centaines d’années. “Ce qui est frappant chez eux, ce n’est pas seulement leur interprétation littérale, mais aussi le sérieux avec lequel ils lisent les textes” dit Haykel. “Il y a là une assiduité, une gravité obsessionnelle que les musulmans ne possèdent pas normalement“.
Avant l’émergence de l’État islamique, le seul groupe ayant tenté de suivre durant les 200 dernières années le modèle prophétique avec une fidélité aussi radicale était les Wahabites du XVIIIe siècle arabe. Ils s’emparèrent de ce qui constitue aujourd’hui une grande part de l’Arabie Saoudite où l’héritage de leur stricte pratique s’observe encore dans une version édulcorée de la Sharia.
Haykel note une différence importante entre les deux groupes : “La violence des Wahabites n’était pas débridée. Ils étaient entourés d’autres musulmans et ils ont conquis des terres qui étaient déjà islamiques, ce qui retenait leur bras.
L’EIIL, au contraire, revit pleinement l’Islam des origines“. Les premiers musulmans étaient encerclés par les non-musulmans, et l’État islamique, au regard de sa tendance à l’excommunication, se considère dans la même situation.
Si al-Qaeda voulait réhabiliter l’esclavage, il ne l’a jamais dit. Et d’ailleurs pourquoi l’aurait-il fait? Le silence sur l’esclavage est probablement le reflet d’une pensée stratégique qui vise à s’attirer la sympathie du public. Lorsque l’État islamique a commencé à réduire des gens en esclavage, certains de ses partisans ont tiqué. Néanmoins, le califat a continué à pratiquer l’esclavage et la crucifixion sans hésitation.
“Nous conquerrons votre Rome, briserons vos croix et prendrons vos femmes comme esclaves” a promis leur porte-parole Adnani lors de ses fréquentes déclarations d’amour à l’Occident. “Si nous n’avons pas assez de temps pour y parvenir, alors nos enfants et petits-enfants y parviendront et ils vendront vos fils sur les marchés aux esclaves“.
Au mois d’octobre Dabiq, le magasine de l’État islamique, publiait un article intitulé “Le retour de l’esclavage avant l’Heure‘, le sujet était de savoir si les Yazidis (les membres d’une secte kurde ancestrale qui emprunte des éléments à l’Islam et qui a été attaquée par les forces de l’État islamique dans le Nord-Est de l’Irak) étaient des musulmans dévoyés et donc voués à la mort, ou seulement des païens et, en cela, bons pour l’esclavage.
Un groupe de travail d’érudits de l’État islamique a été mandaté par le gouvernement pour traiter cette question. S’ils sont païens, écrit l’auteur anonyme de l’article :
“Les femmes et les enfants yazidis doivent être partagés, conformément à la Sharia, entre les combattants de l’État islamique ayant participé aux opérations du mont Sinjar (dans le Nord-Est de l’Irak).
…Réduire en esclavage les familles des infidèles (kouffars) et prendre leurs femmes comme concubines constitue un aspect clairement établi de la Sharia et quiconque le contesterait ou le moquerait, de fait, contesterait ou moquerait les versets du Coran et les paroles du Prophète… Et il serait exclu de l’Islam comme apostat”.
http://fortune.fdesouche.com/377287-etat-islamique-lapocalypse-au-nom-dallah-2e-partie
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Il revient dans ma mémoire
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sondage : François Hollande et Manuel Valls continuent de chuter
Le problème avec l’émotion en politique, c’est qu’elle est volatile, instable. Elle ne dure pas. C’est une erreur de trop compter sur elle. Il vaut mieux une idéologie bâtie sur la raison qui séduira par sa lucidité et s’inscrira sur le long terme que la captation émotionnelle qui est faite de bonds éphémères.
Il était évident que les attentats de Paris allaient fédérer une France anxieuse avec ses gouvernants, aussi impopulaires étaient-ils devenus. Seulement l’après-Charlie est là, le choc dépassé et les griefs de la population sont de retour.
François Hollande continue de perdre les points de popularité acquis après attentats de janvier: selon un sondage BVA-Orange-iTELE* publié ce samedi 14 mars 2015.
Le président de la République perd 3 points de popularité par rapport à février et 7 points par rapport à janvier, n’affichant ainsi plus que 27% de bonnes opinions.
La popularité de son Premier ministre Manuel Valls recule aussi de 2 points par rapport à février et de 4 points par rapport à janvier.
*Sondage réalisé du 10 au 11 mars auprès de 1.166 personnes représentatives de la population française interrogées par internet. Méthode des quotas.
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Quelques réflexions sur le PCF
Un lecteur du Salon beige tient un blog consacré à ses lectures et aux analyses qu'il en fait. Il a lu récemment "Liquider les traîtres – La face cachée du PCF 1941-1943" , écrit par le Professeur d’Université d’histoire Jean-Marc Berlière et par le Chargé de recherches au CNRS Franck Liaigre, appartenant tous deux à l’équipe de recherche du CESDIP (ministère de la Justice / CNRS).
Il nous en propose une analyse personnelle, que vous pourrez retrouver sur son blog http://www.rdlvgc01.fr/mes-petites-syntheses-reflexions-ou-notes-de-lectures.html , dans le chapitre « Livres » de la Partie 6 (« Compléments ») de ce document. Voici ci-dessous les quelques réflexions que lui a inspirées le sujet :
"1). Je suis avant tout excédé par le fait que ce soit les Communistes qui ont lancé, —et ont été, et sont toujours, une colossale caisse de résonnance—, les mensonges et diffamations sur Pie XII et les Juifs, et que ce soit eux qui « fassent les beaux » ; alors que sur le sujet des Juifs, comme sur toutes les leçons qu’ils n’arrêtent pas de donner à tout le monde sur la Seconde Guerre Mondiale, s’il y en a bien qui, de fait, devrait « faire profil bas », ce sont bien eux —les Communistes—, (ainsi que, mais pour des raisons différentes, quelques autres petits partis comme celui de Doriot —lui-même ancien communiste—, mais ces derniers au moins, pour le cas où il en resterait encore de résidus, ne font pas croire qu’ils ont été des héros dans le combat contre les Nazis).
2). Et je suis toujours aussi étonné par le comportement des Partis, en particulier par des Partis comme l’UMP et le Centre Droit, vis-à-vis du Front National. Et c’est au final un « post » d’aujourd’hui sur le Salon Beige qui m’a fait décider d’envoyer mes notes de lectures telles quelles, sans prendre le temps d’éliminer les redondances dans certains de mes commentaires en renvois de bas de pages. Ce « post » du SB indique que Monsieur Juppé semblerait préférer s’allier avec le PCF qu’avec le Front National !
Je n’ai pas d’opinion précise sur le Front National, mais ce qui m’a toujours surpris c’est que tous les Partis, ou presque, hurlent contre une alliance avec le Front National, et avec le plus souvent les mêmes arguments. Et ces mêmes Partis trouvent normal que le Parti Socialiste, voire le Centre Gauche, s’allie(nt) avec le Parti Communiste et avec des Partis Trotskistes et autres Marxistes. Or si l’on compare les monstruosités commises par ces Partis Marxistes, ils en ont fait au moins autant qu’Hitler et le Nazisme : en fait encore bien plus de victimes par le Marxisme que par le Nazisme ; quant aux méthodes, tortures et souffrances provoquées, etc., je ne crois pas que l’on puisse faire pire qu’Hitler et les Nazis, mais s’il était possible de faire encore pire, Lénine, Trotski, Staline, Mao, Pol Pot, etc., et les Marxistes l’auraient fait. Ce sont des faits ; c’est l’histoire qui nous l’apprend.
On peut admettre, ce serait leur choix, que des Partis comme l’UMP et le Centre Droit, etc., ne veuillent pas s’allier avec le Front National, mais pas, me semble-t-il, pour les raisons qu’ils en donnent. Il n’y a, depuis longtemps, probablement pas plus de un pour cent de Nazis en France —est c’est déjà trop—, et rien ne dit qu’ils soient au Front National ou qu’ils soient tous au Front National, or le Front National représente bien plus qu’un pour cent de la Population Française ! En revanche le Parti Socialiste s’est allié et a gouverné avec le Parti Communiste Français, et s’est allié avec des Trotskistes, quand notamment les pourcentages de la Population Française qui avaient choisi de voter pour ces Partis Marxistes étaient très significatifs. L’UMP, etc., peut/peuvent s’interdire de s’allier avec le Front National, mais alors le Parti Socialiste, etc., aurait/auraient dû, et devrait/devraient, incomparablement plus s’interdire de s’allier avec le PCF et les autres Partis Marxistes.
Enfin, (voir notamment le livre évoqué ci-dessus), pour reparler du Nazisme et de la Seconde Guerre Mondiale, le PCF (Parti Communiste Français) et les Communistes ont été, de fait, eux, d’authentiques « collabos », et encore pire : ils ont été des complices/alliés d’Hitler et des Nazis en France de 1939 à 1941 —ils ont trahi la France—, et qu’à partir de 1941 ils se sont battus en France pour l’URSS et pour le Communisme mais pas pour la France et les Français ! À partir de 1941, comme avant, le PCF a toujours été motivé par les services à rendre à l’URSS et au Communisme et non pas motivé par le service pour la France et les Français. De plus, quand il a combattu les Nazis, c’est avec une efficacité bien plus faible que ce qu’il prétend, et que l’on continue à nous faire croire."
Marie Bethanie http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Le Premier ministre est en colère ? Nous aussi !
À force de venir au secours de sa ministre de la Justice, il en oublie sa non-assistance à la France en danger.
Quand le Premier ministre n’est-il pas indigné et en colère ? […]
Manuel Valls mêle la rhétorique de l’antifascisme au souci de la solidarité gouvernementale poussée jusqu’à des limites absurdes. À force de venir au secours de sa ministre de la Justice, il en oublie sa non-assistance à la France en danger.
Au moment où j’ai écrit « garde des Sceaux médiocre », j’ai éprouvé un frisson d’inquiétude. Suis-je resté judiciairement correct ? Ai-je proféré les mots auxquels j’ai droit ? Ai-je bien su faire le départ entre la responsable de la Place Vendôme et la femme native de Cayenne et qui ne cesse de nous le rappeler ? N’ai-je pas débordé de la ministre, n’ai-je pas trop élargi l’espace de la femme ? N’ai-je pas, sans le vouloir, laissé se glisser dans mon écrit l’intolérable évidence qu’elle était de Cayenne, noire et, il y a longtemps, sympathisante du courant indépendantiste ? […]
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Grande Marche Pour la Vie Lyon 21 Mars 2015 - Teaser
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C’était un 14 mars : prise de Cholet par les Contre-révolutionnaires
Cette journée de 1793, quelques jours seulement après le début du soulèvement des paysans vendéens, ceux-ci sont parvenus à s’organiser et à se trouver des chefs en les personnes de Jacques Cathelineau (simple colporteur et sacristain de Pin en Mauges) et de Jean-Nicolas Stofflet (garde-chasse).
L’Armée catholique et royale, dont de nombreux membres ne sont armés que de faux, parvient, ce jour du 14 mars 1793, à prendre Cholet, ville importante.Les 3 pôles d’insurrection vendéenne :
* L’armée du Marais autour de Léger
* L’armée d’Anjou autour de Cholet
* L’armée du centre dans le bocageAprès cette première prise de Cholet et avec un chef à son image, l’armée paysanne progresse vers Chalonnes-sur-Loire (au sud d’Angers) puis Thouars.
La Guerre de Vendée, que Napoléon qualifiera de Guerre de géants a commencé…
Six mois après la prise de Cholet, les Bleus emmenés par Kléber et Marceau, parviendront à récupérer la cité, après des combats acharnés.
En mars 1794, Stofflet reprend la ville. Louis Turreau la fera alors entièrement brûler… -
Reportage : Deir Ezzor, le point de chute des djihadistes de France
Reportage de France 2 au cœur des combats entre l’armée arabe syrienne et les « français » de l’Etat Islamique dans la ville de Deir Ezzor.
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Mungo Shematsi, d'origine congolaise, du PS au FN
Mungo Shematsi, enseignant d'origine congolaise, installé en France depuis trente ans, est tête de liste FN dans le canton de Saint-Etienne-2. Il déclare au Figaro :
"Auriez-vous pu vivre en France si le FN avait été au pouvoir?
J'avais fait une demande officielle de réfugié politique et ensuite de naturalisation. Si on me l'avait refusée, j'aurais essayé de rejoindre un autre pays. Mais si le FN vient au pouvoir, les conventions internationales ne seront pas remises en question. Je n'ai pas entendu Marine Le Pen le dire. En revanche, elle s'est engagée à stopper l'immigration.
L'immigration est-elle une chance?
Pas toujours. Une immigration apportant de la valeur ajoutée est une chance mais celle qui devient une charge pour la nation ne l'est pas."