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  • Le système d’attibution de logements sociaux par le scoring

    Dans quelques villes de France dont Paris, l’acquisition d’une location dans un logement social s’obtient par le scoring. Ce terme issu du marketing est une technique de hiérarchisation des données qui dans le cadre d’une campagne de marketing direct permet d’évaluer par une note ou un score la probabilité qu’un individu réponde à une sollicitation ou appartienne à la cible recherchée. Le score est obtenu à partir des données quantitatives et qualitatives disponibles sur l’individu (données socio-demo, comportement d’achat, réponses précédentes, …) auxquelles sont appliquées un modèle de scoring. Il permet d’optimiser les résultats de campagnes en concentrant les envois ou contact sur les individus ayant la plus forte appétence pour le produit ou l’offre. Il est également utilisé dans le domaine du crédit pour déterminer le risque présenté par un emprunteur potentiel. Le score est alors utilisé pour décider de la faisabilité du crédit et pour déterminer un taux.
    Dans le cadre du logement, cette méthode se transpose avec un questionnaire écrit identique pour l’individu célibataire ou en famille. Plus, le postulant obtient de points et plus il devient prioritaire pour l’attribution d’un logement social.
    Le nombre d’enfants, la mobilité géographique du requérant, l’absence de logement ou l’insalubrité du logement actuel font grimper considérablement le score.
    Sous ces critères dont il n’est lié la justice morale se relève toutefois une iniquité flagrante favorisant l’hébergement des populations venues hors de l’Europe au détriment de celles de souche. Les particularismes sociologiques n’étant pas pris en compte, nous nous retrouvons avec des Français victimes d’une politique évidente de dénatalité au bas de la liste (ringardisation de la famille et de l’enfantement, culture de l’individualisme comme de la jouissance égoïste, standardisation de l’avortement depuis la loi Veil, contraception, coût de la vie rébarbatif). Quand arrivent en France, des gens en précarité plus forte, avec une natalité importante, souvent aidés dans leur démarche de logement par de puissantes ONG avec leur batterie de juristes et de travailleurs sociaux ; ils se retrouvent alors largement prioritaires et leur flux est toujours plus important. Le natif reste alors sur le bord du chemin pour de très longues années quand ce n’est pas deux décennies pour un Parisien soit la moitié d’une vie active qui est perdue.
    Sans une volonté politique qui s’inscrive à la fois dans un arrêt complet de l’immigration et dans le même temps dans une préférence nationale, ces familles et célibataires français précaires resteront sans emplois puisque sans logements, et sans logements puisque sans emplois. Leur dossier auprès des organismes d’attribution dormiront au bas de la pile. C’est désespérant.

    http://fr.novopress.info/

  • Les deux chiffres du jour

    • Le gouvernement tchadien révèle qu'environ « 40% des armes saisies par les forces armées du Tchad aux combattants de Boko Haram sont de fabrication française »
    • D'après une étude de la Brookings Institution, le français est la troisième langue la plus utilisée par les sympathisants de l'Etat islamique sur Twitter

    Louise Tudy

  • L'américanité ou l'Europe...

    Ex: http://metapoinfos.hautetfort.com

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Diego Fusaro, cueilli sur le site du Cercle Aristoteet consacré à la domination qu'exerce les États-Unis sur l'Europe. Professeur d'histoire de la philosophie à l'université de Milan et déjà auteur d'une dizaine d'essais, Diego Fusaro est considéré comme le principal disciple de Costanzo Preve, mort en 2013.

    L'américanité ou l'Europe

    Après la disparition des systèmes socialistes sous les décombres du Mur de Berlin (9 novembre 1989), et l’élimination subséquente de toute alternative politique digne de ce nom, l’ancien dilemme de Novalis« L’Europe ou la chrétienté »(de l’ouvrage du même titre) s’est  reconfiguré sous les traits d’une alternative perverse et macabre : celle de «l’américanité ou l’Europe ».

    La puissance sortie victorieuse de la Guerre froide a depuis lors renforcé ce processus délétère d’américanisation intégrale du « Vieux Continent », déjà entamé à partir de 1945. Cela s’est manifesté notamment dans la culture, non seulement celle de masse, avec l’américanisation de la musique populaire, mais aussi la culture scolaire, qui a subi toute une restructuration capitalistique de son logiciel, et qui s’est dès lors vu de plus en plus façonner sur le modèle entrepreneurial, selon la logique « dettes/crédits », faisant ainsi des professeurs desmanagers,et des étudiants des apprentis-consommateurs. Cela s’est également manifesté dans les politiques sociales, au travers de la démolition du système européen d’assistanat.

    De fait, dans l’histoire récente de l’Europe, de la chute du Mur jusqu’à l’implosion de l’Union soviétique (peut-être la plus grande tragicomédie géopolitique du XXe siècle), plusieurs événements successifs sont venus alimenter un plus vaste processus de substitution paradigmatique du modèle américain, fondé sur un capitalisme dépourvu de toute base éthique, au modèle européen, qui s’était lui constitué en haute lutte comme équilibre entre le capitalisme, leWelfarestateet de solides fondations axiologiques. Aujourd’hui, on voit l’Europe devenir de plus en plus un protectorat américain, les États européens étant aux États-Unis ce qu’étaient les satellites du pacte de Varsovie vis-à-vis de l’URSS et de sa ligne de conduite marxiste.

    Dernière manifestation en date de ce scénario scandaleux, la stupeur déclenchée il y a quelques temps lors des révélations sur les pratiques obscènes d’espionnage des États-Unis à l’égard de leurs prétendus « alliés » (dans les faits leurs subordonnés).  Mais en réalité, pourquoi tant de stupeur ? Est-ce une nouveauté que cette absence de relationinter pares  entre les États européens et les États-Unis ? Qu’y a-t-il d’exceptionnel à cela ? Fallait-il s’attendre à ce que l’Empire du Bien traitât l’Italie, l’Allemagne, et l’Espagne comme des États libres et égaux à lui ?

    La « Quatrième Guerre mondiale »[1] (selon le concept de Costanzo Preve, sur la séquence historique qui s’étend de 1991 à nos jours) a vu la puissance américaine systématiquement entrer en lutte contre les forces qui résistaient à sa domination ; et, aussi bien avec l’Irak en 1991 qu’avec la Libye en 2011, l’on a vu à chaque fois ses soi-disant « alliés » se retrouver acculés à servir leur maître en prenant activement part à ses agressions impérialistes. L’on songe ici à ce que Carl Schmitt écrivait déjà en son temps dansLa notion de politique(1927) :« Si, sous forme de sentence ou de quelque autre manière, un peuple se laisse prescrire par un étranger l’hostis (l’ennemi) qui doit être le sien, contre lequel il lui est permis ou interdit de combattre, c’est qu’alors il n’est plus un peuple politiquement libre, mais un peuple satellisé ou subordonné à un autre système politique ».Ces mots sont à l’image de l’Europe actuelle.

    Il apparaît chaque jour plus évident que cet État sorti vainqueur de la Guerre froide, qui œuvre aujourd’hui à la stigmatisation de toute contre-puissance se refusant à subir sa domination et sa vision du monde (elle se voit alors immédiatement condamnée commerogue State, « État voyou »), repose sur une culture impérialiste foncièrement incompatible avec la perspective d’un véritable rapport à l’Autre : qu’elle le présente sous les traits du « terrorisme » ou de la « dictature », ou qu’elle le range avec mépris dans le champ du« Rest of the world »,dans tous les cas, elle se refusea priorià lui accorder la moindre légitimité. Cette règle n’épargne pas les États Européens : dans l’horizon de l’idéologie impériale américaine, ces derniers ont le droit d’exister tout au plus comme protectorat de la Mère-Patrie.

    A cette caractéristique, que l’on retrouve dans presque toutes les formes d’impérialisme de l’Histoire, doit être rajoutée une autre : le facteur explicatif majeur que constitue en soi la prégnance aux États-Unis du protestantisme puritain d’origine vétérotestamentaire. Telle est l’idéologie qui alimente la « monarchie universelle » [2] américaine : sous sa caution, les Américains tendent naturellement à se concevoir comme le « Peuple élu », si ce n’est même comme la seule nation digne de ce nom, entraînant par là des conséquences désastreuses sur la vie internationale.

    « America stands as the world’s indispensable nation », pouvait-on entendre dans le discours de Bill Clinton du 20 janvier 1997. Si l’Amérique est la seule nation indispensable au monde, alors toutes les autres ne sont plus bonnes à exister que comme ses colonies, au mieux ses subordonnées.

    Porte-drapeau d’une « Special mission »qui lui aurait été assignée par Dieu, « l’Empire du Bien » étiquette immédiatement comme « terroristes » toutes les formes de résistance que peuvent lui opposer les peuples opprimés ou les États (de l’Iran à Cuba, en passant par la Corée du Nord jusqu’au Venezuela),  qui, malgré des contradictions internes parfois très lourdes, ne se plient pas au diktat de la mondialisation capitaliste. Par leur positionnement géostratégique courageux, ces derniers rappellent ainsi aux Européens que résister est encore possible (pour prendre à-rebours le titre du peu glorieuxbest-sellerde Walter Sitti :Résister ne sert à rien).

    Dans une opposition revendiquée aux chantres duPolitiquement correctet à nos éternels « repentis », toujours prompts à discréditer comme pure nostalgie la récupération des catégories de pensée à même de déceler les contradictions de notre temps, la revivification de la critique de l’impérialisme est aujourd’hui d’une importance vitale. Face aux stratégies manipulatoires de la propagande officielle, capable de déclarer à son gré telle ou telle perspective critique comme complètement dépassée, l’impérialisme est aujourd’hui plus vivant que jamais – et que, par son pouvoir d’adaptation, il se soit métamorphosé sous un nouveau visage, compatible avec l’idéologie mondialiste, n’y change rien – ; face à lui, la tendance à le disqualifier comme une catégorie politique désuète  révèle une volonté mal cachée d’anesthésier toute critique en faisant passer pour mort l’objet pourtant bien vivant sur lequel elle est censée s’exercer.

    Comme Voltaire en son temps, nous n’aurons de cesse de le répéter : il ne pourra y avoir de démocratie en Europe tant que son territoire sera sous l’emprise de bases militaires états-uniennes. Il ne pourra y avoir d’Europe sans souveraineté géopolitique. Il ne pourra y avoir d’Europe démocratique d’États libres et égaux tant que le « Vieux Continent » continuera d’exister comme simple protectorat d’une monarchie universelle, ou simple pion de l’Eurocratie en place. S’étonner qu’une telle affaire d’espionnage ait pu avoir lieu est un privilège de vierges effarouchées. Il faut, au contraire, s’appliquer à éliminer à la racine les conditions qui rendent possibles des scandales comme celui-ci.

    Diego Fusaro (Cercle Aristote, 26 février 2015)

    Notes :

    Texte original en italien :Diego Fusaro, « Americanità o Europa », Lo Spiffero, Pubblicato Lunedì 08 Luglio 2013.

    [1] Constanzo Preve,La Quatrième Guerre mondiale,éd. Astrée, 2008, trad. 2013. Disponible sur :http://www.editions-astree.fr/BC/Bon_de_commande_Preve.pdf

    [http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2015/03/03/l-americanite-ou-l-europe-5570647.html2] On se réfère ici à l’« Universal monarchie » mentionnée par Kant dans son Projet de paix perpétuelle (1795)

  • 100 médias russes interdits en Ukraine, Moscou dénonce une guerre de l’information

    Les retraits d'accréditation de100 médias russes par Kiev ont été qualifiés de «discrimination ouverte» en Russie. Selon le ministère russe des Affaires étrangères, cela met en doute l'intérêt de l'Ukraine à mettre un terme pacifique à la crise.

    Une recommandation du Service de Sécurité d'Ukraine (SBU) publiée hier vise à priver 100 médias russe de leur accréditation à exercer leur activité dans le pays. Cette liste comprend TASSRossiya Segodnya et toutes les chaînes russes sauf Dozhd (chaîne connue pour son soutien à l'opposition en ) selon la porte-parole du service Elena Gouitlianskaïa. Les médias seront non-accrédités jusqu’à la fin du conflit ukrainien.

    «La décision tout à fait discriminatoire du parlement ukrainien de priver les médias russes d’accréditation gouvernementale s’inscrit dans la continuité d’une politique visant à débarrasser l’espace médiatique ukrainien de tout point de vue alternatif», a signalé le ministère russe des Affaires étrangères dans une déclaration la veille.

    Le ministère a ajouté qu’une telle décision intervient «en porte-à-faux avec les résolutions du sommet au format Normandie» et met en doute «l’intérêt de Kiev à la résolution pacifique du conflit».

    En savoir plus : les participants au sommet de Minsk ont réitéré leur soutien à l’accord du 12 février

    Le porte-parole du président russe Dmitri Peskov a informé samedi que le Kremlin touchera un mot à Kiev à ce sujet, soulignant «l’inadmissibilité de telles mesures». Il a aussi dit à TASS que Moscou ne répondra pas aux actions de Kiev en compromettant l'accès des médias ukrainiens à l'auditoire russe car «la Russie est un pays où l’activité des médias est régulée par la loi et où les journalistes russes et étrangers ont les mêmes droits d'obtenir des informations».

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  • La République contre les travailleurs (article paru dans L’Action Française 2000, 05 mars 2015)

    Le 2 mars 1791, l’Assemblée constituante abolissait les corporations, à travers le décret d’Allarde. Le 14 juin suivant, la loi Le Chapelier interdisait la reformation de toute coalition professionnelle. Ainsi s’ouvrit l’ère “Le Chapelier”, dans laquelle toute représentation professionnelle fut bannie, jusqu’à son abolition en 1884. Il s’agit d’une page méconnue et pourtant centrale de l’histoire de la Révolution, dont les héritiers répètent ad nauseam qu’elle fut faite au nom du peuple, n’a pas hésité à priver le monde du travail de structures séculaires qui organisaient sa défense tout en garantissant un contrôle de la production en termes de qualité.

    Ce triste anniversaire est une excellente occasion pour rappeler que Révolution, République et libéralisme sont un. Depuis le XIIIe siècle, l’artisanat et une partie de l’industrie se déployaient pour une large part dans le cadre corporatif. Une corporation réunissait l’ensemble des artisans d’un même métier de la même ville, selon une organisation hiérarchisée : maîtres, compagnons et apprentis. Ces métiers bénéficiaient d’un statut, accordé par le roi ou une municipalité, leur donnant une personnalité juridique, définissant leurs privilèges et leurs devoirs. Le respect de la règle du métier, la défense de celui-ci – face aux autorités et à la concurrence – et la formation des apprentis étaient la responsabilité des maîtres. La principale fonction de la corporation était de soumette ses membres à une stricte discipline professionnelle collective dans le but de fabriquer un produit de qualité au prix juste. Au XVIIIe siècle, les corporations mènent un combat désespéré contre la montée du capitalisme marchand. En effet, le grand combat des libéraux, tels Vincent de Gournay ou Turgot, a été, tout ce siècle durant, de détruire les corporations, au nom de la sacrosainte “liberté du travail”.

    L’avènement du libéralisme

    La Révolution, avènement du libéralisme, ne pouvait manquer de jeter à bas ces obstacles au libre marché, en privant au passage les travailleurs de structures pour se défendre. À travers le décret d’Allarde et la loi Le Chapelier, se lit une volonté des nouveaux maîtres de la France d’empêcher les travailleurs de défendre leurs intérêts. L’État républicain naissant voit en effet dans les corporations un dangereux contre-pouvoir. Entre la défense de la liberté du travail et celle des salariés, la Révolution bourgeoise avait fait son choix. La République ne reconnaissant que les individus et l’État, sans intermédiaire, la liberté d’association, d’ailleurs absente de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, constituait une atteinte à la liberté individuelle. Ainsi, l’idéal du marché unifié autorégulateur, fondé sur l’offre et la demande et la libre concurrence entre producteurs, ne souffre aucun corps intermédiaire : il implique, au contraire, la liberté du marché, passant par l’universalisation des droits, l’uniformisation et la liquéfaction des sociétés. Il fallut donc supprimer toutes les barrières, d’où une lutte contre les privilèges, y compris ceux qui protégeaient certaines catégories populaires. Dans le même temps, le libre contrat devait devenir la base des rapports sociaux. La relation professionnelle devint un simple face à face sans arbitre, supposément égalitaire, entre le salarié et l’employeur. L’ouvrier devint suspect pour l’ordre public, comme l’illustra la mise en place du livret ouvrier, sous l’Empire (1803).

    Catholicisme social

    En réaction au régime “Le Chapelier”, dès le début du XIXe siècle, les milieux royalistes et catholiques proposèrent une alternative face à la paupérisation croissante des classes laborieuses. Ainsi naquit le catholicisme social, dans l’urgence de l’industrialisation galopante et de ses terribles conséquences sociales. Il déboucha sur une critique globale des structures sociales et économiques, des institutions et des mœurs du monde issu de 1789, dans un sens traditionnel, chrétien et corporatiste. Du fondateur de l’école sociale légitimiste, le vicomte Alban de Villeneuve-Bargemont, auteur d’une Économie politique chrétienne (1834), à Albert de Mun, en passant par René de la Tour du Pin ou encore Armand de Melun, Mgr Freppel, les milieux royalistes témoignèrent d’une sincère et constante volonté de protéger les travailleurs face au Capital libre. Cette lutte politique contre le libéralisme passa par la défense du dimanche chômé, la protection des femmes et l’interdiction du travail des enfants, la prévention contre les accidents du travail ou les aléas de la vie. Ce sont enfin ces catholiques sociaux qui furent les porteurs du principe corporatif à travers, entre autres mesures, la promotion du principe des retraites ouvrières et paysannes payées à partir de caisses corporatives autonomes. Nombre de leurs propositions essuyèrent le refus catégorique des républicains de gauche comme de droite, ou furent repoussées à l’après 1918.

    Proposer une alternative

    Aujourd’hui, la question corporative semble être passée au second plan ; cependant, la violence prédatrice du libéralisme n’a jamais été aussi visible. Alors que la non-civilisation libérale subit une nouvelle crise dont elle est coutumière, c’est à nous, nationalistes intégraux, qu’il convient de proposer une civilisation alternative, dont le socle reconnaîtrait la dimension organique de la société française : « Associons sans exception depuis les plus simples manœuvres, les suprêmes grands chefs, leurs collaborateurs de tous rangs, et, dans la vérité de la vie nationale, assurons-nous les occasions et les moyens de débattre l’ensemble et le détail de nos intérêts ! Cet organisme latéral doit devenir, soit aisément, soit difficilement, mais très sûrement, fraternel. Pourquoi pas ? L’Union du Syndicat est étroite et directe, elle le restera. Il peut y avoir une autre union large et durable aussi, comparable à ces unions territoriales qui rassemblent pauvres et riches, dirigeants et dirigés, dans le corps et le cœur d’une même patrie. Ce sera la Corporation. » (Charles Maurras, Mes Idées politiques, 1937)

    Charles Horace Action Française 2000

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-Republique-contre-les

  • Théâtre de criminels


    Quand Petro Porochenko remercie Bernard-Henri Lévy par laregledujeu

    Le 21 février 2015, le président ukrainien élu à la suite du coup d’État de Maïdan, Petro Porochenko, assistait à une représentation de la pièce de théâtre Hôtel Europe, écrite par Bernard-Henri Lévy (et déprogrammée en France faute de spectateurs). Le chef de l’État a ainsi pu remercier « Bernard » pour ses services, qui ont facilité à la fois le déclenchement d’une guerre civile en Ukraine et la diabolisation de Vladimir Poutine en Europe, accélérant du même coup la marche vers une troisième guerre mondiale. Chapeau, Bernard !

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • Eric Zemmour dénonce l’attitude intenable de la France à l’égard de la Syrie. Bachar ou l’Etat Islamique, il faut choisir…