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  • Les électeurs UMPS

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  • Les féministes : "hargneuses, moches, pas féminines pour deux sous"

    Françoise Hardy sort un livre intitulé "Avis non autorisé". Elle y donne son avis sur Cécile Duflot :

    "Ses combats pour l'environnement ont beau être d'une importance incontestable, comment ne pas être choqué par l'arrogance et le sectarisme de cette petite bonne femme, persuadée de détenir la vérité au point de ne pas vouloir entendre ceux qui ne pensent pas tout à fait comme elle ou qui contredisent ses assertions en leur opposant des faits et des chiffres incontournables? Comment ne pas être irrité par sa logorrhée débitée sur un rythme de plus en plus précipité au point qu'on finit par avoir envie sinon de l'étrangler, du moins de la bâillonner pour qu'elle se taise enfin et nous laisse souffler? Elle ne parle pas: elle glapit."

    Les féministes :

    "Je les trouve hargneuses, moches, c'est-à-dire pas féminines pour deux sous. Je n'ai jamais pu m'identifier en quoi que ce soit aux féministes.

    La gauche :

    "la gauche française est quand même la plus archaïque d'Europe, voir même du monde!". "L'obstination des responsables socialistes, souvent issus de la bourgeoisie, à dresser les classes populaires contre les classes plus favorisées est une forme de manipulation dont la facilité finit par irriter".

    François Hollande :

    "Je suis offusquée par ses fautes de français". "Il semblerait que plus une idée est politique, mieux l'électorat le gobe. L'une des belles idées de François Hollande en arrivant au pouvoir aura été la mutualisation de la dette au sein de l'Union européenne. Cela revenait à ce que les pays dits vertueux, ceux dont les citoyens avaient fait de gros efforts pour rester dans les limites imposées par les traités européens, paient pour ceux des pays irresponsables. N'importe quelle personne sensée se rendait compte de l'aberration d'une telle proposition…"

    Elle se déclare aussi clairement en faveur de l'euthanasie. Est-ce pour en finir plus rapidement avec les gauchistes cités ?

    Michel Janva

  • Ne gardons que les clandestins exemplaires : 14 par an ! (Présent 8308)

    Les immigrés clandestins sont des gens formidables. Des sortes de modèles. Et il faut que ça se sache. Ça fera plaisir à tous ceux qui respectent les lois et se crèvent à obtenir honnêtement la nationalité française. Après le héros de l’hypercasher et le super patriote à la tête des jeunes UMP, voici le menuisier aux mains d’argent, la toute dernière fable immigrationniste.

    Armando Curri, un Albanais de 19 ans sans papiers, a reçu mercredi sa médaille de « meilleur apprenti menuisier de France » sous les ors du Sénat, des mains de Carole Delga, secrétaire d’Etat au Commerce et à l’Artisanat.

    Cette cérémonie lui avait dans un premier temps été refusée en raison de sa situation irrégulière qui est un délit. Mais sur pression médiatique et politique, notamment du sénateur communiste Cécile Cukierman, la préfecture de la Loire a indiqué que son OQTF (Obligation de quitter le territoire français) était dorénavant « abrogée » et qu’un titre de séjour de trois mois allait lui être délivré, « compte tenu des capacités d’intégration dont ce jeune homme a fait preuve ».

    « La République doit toujours donner sa chance à l’excellence, au mérite et à l’exemplarité », a doctement prêché Carole Delga.

    D’accord ! On fait comme ça. Vendu. On favorise l’intégration des plus méritants, des exemplaires, des champions et on les garde. Et seulement eux. Et on vire tous les autres. Les traîne-savate, les profiteurs du système, des allocs et de l’aide médicale gratuite, les centaines de milliers de Resat Dibrani (père de Léonarda) à qui tout est dû et qui le prennent de haut.

    Et là les courbes de l’immigration et les pompes aspirantes vont comme qui dirait sensiblement s’inverser (14 cas de régularisations pour « talent exceptionnel » ou « service rendu à la collectivité » en 2014 selon les chiffres de la Direction générale des étrangers en France). Chiche ! 14 par an.

     

    Et on verra si cette épatante régularisation chirurgicale au cas par cas et au mérite satisfait nos grandes consciences de gauche (la seule conscience digne de ce nom). S’ils vont accepter que la France puisse choisir les personnes qu’elle accepte de recevoir sur son territoire, et non pas les subir. C’est tout vu.

    Caroline Parmentier

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  • Eric Zemmour cite la Manif pour Tous pour expliquer que Juppé va échouer

    Dans sa chronique d'hier, Eric Zemmour cite la Manif pour Tous pour expliquer que Juppé va échouer :

    "C'est l'électorat modéré qui a fait le succès des Manifs pour Tous et révélé un retour des valeurs traditionnelles alors que Juppé a fait la une de la presse bien pensante en bénissant le mariage homosexuel."


    Alain Juppé : "La malédiction du 'meilleur d... par rtl-fr

    Michel Janva

  • Comme si nous souhaitions en finir avec la Russie…

    Nous n'aimons pas le peuple russe, ce peuple frère, parce que nous sommes américanisés et que les Américains souhaitent étendre leur empire et rencontrent une résistance du côté russe depuis toujours.

     

    Nous sommes une nation sans mémoire. Une nation qui, depuis le débarquement de Normandie, au mépris de l’Histoire, se range sur la doxa américaine, croyant dur comme fer que les Russes sont des ennemis. Nous n’avons pas compris que ces Américains ont déstabilisé l’Ukraine, dressant en somme des Russes contre d’autres Russes, et qu’ils continuent leur manège entamé il y a cinquante ans, provoquant coups d’État et révolutions de l’Amérique du Sud au Moyen-Orient, de l’Asie à l’Afrique, mettant tout en œuvre pour que leurs âmes damnées gouvernent comme des pantins dans les pays qui jusqu’alors n’étaient pas leurs vassaux serviles.

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  • Départementales : le PS craint une défaite historique

    Le premier tour du scrutin, le 22 mars, pourrait s'avérer particulièrement dévastateur pour les candidats socialistes.

    Les pronostics les plus sombres pourraient bien s'avérer justes. «Sur les 61 départements que la gauche gère, elle en gardera entre 15 et 30. Vu les remontées de terrain, le chiffre de 15 est loin d'être impossible», confie un cadre du PS. Scénario noir, la perte d'une grande partie des départements actuellement détenus par le Parti socialiste pourrait bien se concrétiser à l'issue d'un nouveau scrutin redouté par les socialistes. «On s'attend à une forte vague, ça va secouer, on est en train de tout perdre», craignait déjà en octobre Claudy Lebreton, le président socialiste de l'Association des départements de France (ADF).

    Alors que la France a connu plusieurs attentats, le PS espérait que «l'esprit du 11 janvier» et la gestion jugée réussie de cette période par l'exécutif allaient permettre au PS de limiter le casse. La victoire du candidat PS dans le Doubs lors de la législative partielle avait même apporté une lueur d'espoir. Mais l'embellie a été de très courte durée. Le psychodrame du 49-3 sur la loi Macron a en effet été mal vécu chez certains électeurs du PS.

    «La dernière ligne droite de la campagne confirme qu'il y a un vrai risque d'élimination de la gauche au premier tour», témoigne Jérôme Guedj. Si les experts de Solferino tablent, en public, sur une défaite des candidats socialistes dans environ 500 cantons le soir du premier tour, comme Christophe Borgel, d'autres responsables évoquent, en privé, un chiffre bien plus important. «L'élimination des candidats socialistes dans 1000 cantons est possible», estime un grand élu local de gauche. Pour certains socialistes, le chiffre pourrait même grimper à 1200, selon les scénarios les plus noirs. Lundi, le président du groupe EELV au Sénat, Jean-Vincent Placé, ne cachait pas redouter l'élimination de la gauche et des écologistes «dans près de la moitié des cantons». Autre élément inquiétant: le contexte national. Selon un sondage Ifop, 40 % des Français envisagent de sanctionner le couple exécutif et sa politique, contre 20 % au moment des municipales. Des élections qui avaient déjà été meurtrières pour la gauche.

    Mobiliser

    Le FN, qui a le vent en poupe dans les sondages, devrait en profiter et pourrait au final remporter une centaine de cantons, voire quelques rares départements. «Sur le terrain, on sent très fortement la poussée du FN», témoigne un responsable PS, qui note que le second tour pourrait aussi s'avérer difficile pour les candidats socialistes qui réussiront à passer le premier. «Les cantons particulièrement gagnables pour le FN sont ceux qui présenteront un duel FN-PS en raison de la porosité de l'électorat UMP», estime-t-il. Des cas qui pourraient concerner 300 cantons.

    Sur le terrain, les conseillers généraux sortants ne cachent pas leurs craintes. Certains présidents de département, comme dans l'Eure, craignent même d'être battus. «Il y a de l'inquiétude», confirme Michel Boutant, président socialiste du conseil général de la Charente. «On entend dire que les gens ne sont pas au courant de la date et même de l'existence de ce scrutin. C'est vrai que les gens sont perdus»,note l'élu. «Certains me disent “ah bon, les départements existent toujours?”» Il ajoute: «Le département est dans la ligne de mire de la droite et la gauche depuis des années. Le fait que nous soyons au milieu du gué au Parlement au niveau de l'examen de la loi Notre (nouvelle organisation territoriale de la République, NDLR) joue aussi chez nos électeurs.»

    Des électeurs socialistes tentés par l'abstention ou par la gauche radicale que le PS espère encore mobiliser. «Il faut appeler les électeurs à voter utile pour que la gauche soit présente au second tour. Il ne s'agit pas de faire un vote de témoignage au premier tour», lance Jérôme Guedj, président du conseil général de l'Essonne. «Les électeurs ne sont pas obligés de suivre les logiques des états-majors qui ont choisi la division. J'appelle à un vote efficace. Si l'on ne veut pas que la gauche soit éliminée, il ne faut pas disperser les voix», abonde Christophe Borgel, député PS et secrétaire national aux élections.

    Un paysage sombre

    Selon Le Canard enchaîné,Manuel Valls aurait même conseillé aux candidats socialistes de ne pas parler d'économie afin de tenter de mobiliser l'électorat. «Sur l'économie, on n'a pas de succès véritables. Ce n'est donc pas là-dessus que l'on fera se déplacer les électeurs de gauche», a-t-il expliqué, selon des propos rapportés par l'hebdomadaire satirique. «Alors que sur la République et la laïcité, on peut les mobiliser», a-t-il aussitôt ajouté.

    Malgré un paysage sombre qui se dessine jour après jour pour le PS, certains responsables relativisent l'ampleur de la défaite annoncée… notamment à l'UMP. «Les conseils généraux sont des structures de notables. Les gens se moquent de l'étiquette politique du candidat», estime le député du Cantal, Alain Marleix, fin connaisseur de la carte électorale.

    Pour Jérôme Guedj, les jeux ne sont pas encore faits. «À l'UMP, ils ne savent pas si c'est eux ou le PS qui vont être éliminés», affirme-t-il. L'UMP a en tout cas déjà préparé les éléments de langage. «Si l'on gagne entre 15 et 20 départements, c'est bien. Au-delà de 23 à 24, c'est un raz-de-marée», estime un autre bon connaisseur de la carte électorale du parti.

    Julien Chabrout

    Source : Le Figaro :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EukVVukklVUlfacGRo.shtml

  • Dans notre pays, on ne naît pas de gauche ou de droite, mais français !

    Devant le danger que représente la perte de l’identité française, les notions de droite et de gauche devraient être obsolètes. Pourtant, Nicolas Sarkozy nous expliquait dernièrement avec une mauvaise foi évidente que voter FN aboutissait à faire élire la gauche.

    Les socialistes, bien évidemment, répliquaient avec une mauvaise foi tout aussi évidente que l’UMP n’était qu’un pont vers une extrême droite décomplexée. J’avoue que de telles inepties, que de tels échanges verbaux — niveau « basse-cour politicarde » — sont risibles.

    Chaque jour, nous observons face aux périls qui nous guettent combien les termes gauche et droite sont stériles car plus d’actualité. En plus d’être surannés, ils sont pernicieux car ils divisent les patriotes en deux fractions irréconciliables. Or, dans le monde réel, dans les villes et les villages de France, la distinction est loin d’être manifeste. Mais surtout, quel est le plus important : des sensibilités politiciennes différentes ou la croyance en la pérennité d’une nation ?

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