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Sortie du livre "IVG – 40 ANS DE COMBAT", pour participer à la victoire de la culture de la vie
"L’université pour la vie : se former pour agir" a été créée en 2008 par Patrick Recipon avec l’aide du père Matteo à Lyon. Elle a pour vocation d’organiser des conférences, des cycles de formation et encourager chacun, avec ses talents à s’engager pour promouvoir la vie de la conception à la mort naturelle.
L'association lance l'édition d'un livre pour faire le bilan et mesurer les conséquences de la légalisation de l'avortement en France depuis 40 ans, de connaître et aider ceux qui défendent la vie. Le livre sera édité dans les prochaines semaines.
Pour réaliser ce projet, l'association a demandé l’aide d’un journaliste professionnel, Jacques de Guillebon : journaliste, indépendant et essayiste, chroniqueur à La Nef. Le budget pour éditer 2 000 exemplaires dépasse les 14 000 euros (rédaction, création graphique et impression). L'association a déjà trouvé la moitié.
Il s'agit, grâce aux dons, de diffuser ce livre le plus largement possible avant l'été 2015 en :
- Le vendant dans les librairies grâce à des réseaux spécialisés
- Organiser des conférences pour le présenter
- L’annoncer dans les médias
Vous pouvez le pré-commander et l’offrir autour de vous. Prix fixé à 10 euros + frais de port 4 euros.
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Intervention de François Billot de Lochner aux Veilleurs
A partir de 7mn33 :
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Al Jazeera : 81 % des internautes arabophones soutiennent l’Etat islamique
Reinformation.tv : Dans un récent sondage mené par Aljazeera.net (voir ici), le site internet de la chaîne de télévision Al Jazeera, les votants ont largement soutenu le groupe terroriste de l’Etat islamique, avec 81 % de « oui » en réponse à la question de savoir s’ils approuvaient ou non les conquêtes de l’Etat islamique dans la région.Le sondage, qui demandait (en arabe) : « Soutenez-vous les victoires de l’Etat islamique en Irak et en Syrie ? », a reçu 38.000 réponses. Seules 19 % d’entre elles étaient négatives.
L’audience de la chaîne de télévision arabe Al Jazeera est essentiellement composée de musulmans sunnites qui vivent dans le monde arabe. Le plus gros nombre de téléspectateurs se trouve en Egypte et en Arabie Saoudite, mais également… aux Etats-Unis !
38.000 d’arabophones répondent au sondage d’Al Jazeera, 81 % soutiennent l’Etat islamique !
Al Jazeera revendique plus de 40 millions de téléspectateurs dans le monde arabe.
La nouvelle selon laquelle une large majorité des votants du site d’Al Jazeera soutient l’Etat islamique n’est pas une immense surprise : la chaîne de télévision, financée par le Qatar et basée à Doha, a déjà été plusieurs fois soupçonnée de soutenir la vision du monde de l’organisation terroriste.
Après le 11 septembre 2001 et selon l’enquête du New York Times, le siège de la chaîne Al Jazeera avait fièrement affiché des portraits d’Oussama Ben Laden habillé comme le « Prophète ». A l’époque, 50 % des spectateurs avaient apporté leur soutien à Ben Laden, lors d’une enquête similaire à celle qui est aujourd’hui menée au sujet de l’Etat islamique.
Al Jazeera régulièrement accusée de soutenir et encourager les terroristes
Al Jazeera est par ailleurs accusée d’entretenir de solides liens avec des groupes islamistes sunnites, parmi lesquels les Frères musulmans, considérés comme des terroristes dans de très nombreux pays.
En 2013, des dizaines de membres de l’antenne située en Egypte avaient protesté contre la « couverture biaisée » des événements en faveur des Frères musulmans.
Plus récemment encore, à la mi-mai, un ancien journaliste de la version anglophone d’Al Jazeera a accusé son ancien employeur d’être un espion du Qatar. Il a également accusé la chaîne de servir les intérêts des Frères musulmans.
Une autre enquête a révélé que la NSA avait inscrit le responsable du bureau d’Al Jazeera à Islamabad sur la liste des terroristes en tant que membre des Frères musulmans…
Béatrice Romée
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Perles de culture N°54 - Pierre de la Coste vous emmène voir Poussin au Louvre
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Sur la trace des Celtes
Les Celtes étaient-ils vraiment ces Gaulois chevelus et barbus, chasseurs de sangliers, que nous imaginons volontiers ? Enquête sur un peuple hors du commun, qui pratiquait l’agriculture et méprisait la mort.
Pendant plus de cinq siècles, les Celtes ont dominé toute une partie de l’Europe, du Danube à l’Atlantique, de la mer du Nord à l’Espagne et au nord de l’Italie. Qui étaient vraiment “nos ancêtres les Gaulois” ? Les récentes découvertes archéologiques révèlent une culture beaucoup plus vaste et sophistiquée qu’on ne l’imaginait et démentent les clichés accumulés depuis le XIXe siècle. Interrogeant les plus éminents spécialistes, Marc Jampolsky reconstitue les us et coutumes de ce peuple guerrier formé de plusieurs communautés.
Du chantier du TGV Paris-Strasbourg, où ont été mises au jour des nécropoles celtiques datant du IVe siècle avant J.-C., jusqu’en Hongrie et en Italie, son documentaire révèle un peuple puissant, vivant une existence confortable fondée sur l’agriculture et l’élevage. Les découvertes mettent aussi en évidence des capacités techniques ignorées jusqu’ici. Les Celtes avaient des armes très élaborées. Leurs objets, d’une grande précision mathématique, étaient porteurs de messages.Les codes stylistiques des différentes communautés permettent de dessiner des liens entre elles. Mais, au bout du compte, le mystère celte demeure entier… Un documentaire instructif, qui permet d’enterrer les poncifs et de mettre en lumière un peuple hors du commun.
Réalisé par Marc Jampolsky – France (2010)
http://fortune.fdesouche.com/383567-sur-la-trace-des-celtes#more-383567
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TTIP/TAFTA et ses investisseurs tout-puissants expliqués en moins de 4 minutes
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Il y a 10 ans, les Français disaient NON au TCE
Minute consacre sa Une aux 10 ans du non au référendum sur la Constitution européenne. Extraits :
"[...] Par 54,67 %, les Français avaient répondu non à la question posée, à savoir: « Approuvez-vous le projet de loi qui autorise la ratification du traité établissant une Constitution pour l’Europe? » Le résultat était sans équivoque, la différence entre partisans du non et ceux du oui était supérieure à 2,6 millions de voix! [...]
Après le non de 2005, il ne fallut que deux ans pour qu’un nouveau traité, qui n’avait rien du « mini traité » promis par Nicolas Sarkozy, élu en 2007, et ne tenait aucun compte du « non de droite », axé sur la perte de souveraineté, ni de « non de gauche », axé lui sur l’aspect jugé trop libéral du traité, soit signé puis ratifié, en 2008, par la voie parlementaire. Miracle des institutions républicaines qui permettent aux parlementaires d’imposer ce que le peuple a refusé. Valéry Giscard d’Estaing, le principal rédacteur de la Constitution retoquée par les Français, portera, dans « Le Monde » du 26 octobre 2007, cette appréciation sur le texte du traité de Lisbonne: « Les juristes n’ont pas proposé d’innovations. Ils sont partis du texte du traité constitutionnel, dont ils ont fait éclater les éléments, un par un, en les renvoyant, par voie d’amendements aux deux traités existants de Rome (1 957) et de Maastricht (1992). Le traité de Lisbonne se présente ainsi comme un catalogue d’amendements aux traités antérieurs. Il est illisible pour les citoyens, qui doivent constamment se reporter aux textes des traités de Rome et de Maastricht, auxquels s’appliquent ces amendements. Voilà pour la forme. Si l’on en vient maintenant au contenu, le résultat est que les propositions institutionnelles du traité constitutionnel — les seules qui comptaient pour les conventionnels — se retrouvent intégralement dans le traité de Lisbonne, mais dans un ordre différent, et insérés dans les traités antérieurs. […] » [...]
Et en effet, la modification de la Constitution de la Ve République rendue nécessaire par l’adoption du traité de Lisbonne sera adoptée par 560 voix contre 181 sur 893 votants (il y eu 152 abstentions), après que François Fillon, alors premier ministre, eut posé les termes du débat en ces termes: « A ceux qui, pour des raisons de forme (sic), contestent les modalités d’adoption du traité de Lisbonne par la voie parlementaire et à ceux qui, pour des raisons de fond, s’opposent à ce traité, je pose une question simple: voulez-vous réellement relancer l’Europe ou préférez-vous son enlisement? » La pratique du coup de force parlementaire est, à vrai dire, la pratique coutumière en France. [...]"
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Passé Présent n°54 - Charles XII et la guerre du nord
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Cannes : colorie… couac ! (Présent 8361)
Certes, on ne peut pas dire que Cannes récompense un cinéma français qui fait rêver : un immigré tamoul qui va retrouver une autre forme de guerre civile dans nos banlieues françaises, un chômeur quinquagénaire qui se collette avec le Pôle emploi, un drame domestique autour d’un pervers narcissique… Quelle invitation au voyage !
Mais bon, contrairement à la propagande LGBT de La Vie d’Adèle (et ses scènes de 17 minutes de sexe lesbien) couronnée sur la Croisette il y a deux ans tandis qu’à Paris on marchait contre le mariage pour tous, ce cinéma social n’a pas fait le bonheur de toutes les critiques de gauche (« Un sale millésime ») pour Télérama.
C’est surtout la Palme d’Or au film de Jacques Audiard (réalisateur du très bon Un prophète) qui donne des boutons au Monde : un film « simpliste dressant un tableau très sombre des banlieues françaises ». Et à Libération :
« Un décor de désolation et de violences urbaines, traversé par une idéologie du nettoyage au Kärcher [NDLR : Carrément !] et d’un héroïsme viriliste, dont il est permis de trouver la vision aussi fantasmée et poussiéreuse que le clin d’œil du cinéaste à “Antenne 2” (sic) lors de son discours de remerciement. »
Car on a beau se crever à faire un film sur les immigrés clandestins (presqu’entièrement dialogué en tamoul) encore faut-il qu’il soit vraiment politiquement correct. Notamment à l’égard de nos braves racailles, violeurs, casseurs et dealers bien de chez nous.
Le Monde met en garde à cet égard nos gouvernants (Manuel Valls et Fleur Pellerin) si prompts à se réjouir sur twitter, ces imbéciles, de ce qui ressemble plutôt à une illustration de leur fiasco : « S’ils l’avaient examiné avec plus d’attention, nos gouvernants se seraient rendu compte que le coq cannois n’a pas si fière allure : il y a du goudron sur ses plumes, et des inflexions funèbres dans son chant. Pour ce qui est de sa crête, elle tient davantage du gallinacé punk que de l’animal politique docile. »
Et ce n’est pas Le Prix d’interprétation décerné à Vincent Lindon dans La Loi du marché de Stéphane Brizé, restituant avec une précision quasi-documentaire le désespoir du chômage dans lequel nos dirigeants ont plongé tant de nos concitoyens, qui peut leur permettre de tirer à eux un bout du tapis rouge.Caroline Parmentier