Le député européen explique :
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Les oubliés du XXIe siècle ou la fin du travail
Long métrage documentaire sur les conséquences de l’entrée dans l’ère technologique sur le monde du travail. Pour les financiers devenus maîtres de l’économie mondiale, la rationalisation de la production semble passer par la substitution des ressources technologiques aux ressources humaines.
Voici un film qui soulève des questions cruciales et propose des pistes pour repenser l’avenir. Avec l’économiste Jeremy Rifkin, le sociologue Ricardo Petrella, le directeur du Monde diplomatique, Ignacio Ramonet, et Vivianne Forrester l’auteur de “L’horreur économique”.
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Le Front national au risque de l’histoire, entre diabolisation et neutralisation
Conférence de Jean-Yves Le Gallou prononcée au Club de l’Horloge, le 11 juin 2015.
♦ Exclusion de Jean-Marie Le Pen, création d’un groupe politique à Strasbourg, controverses autour de la « ligne Philippot », émergence de Marion Maréchal Le Pen, le Font national est au cœur de l’actualité. Jean-Yves Le Gallou s’est penché sur le sujet lors d’une conférence prononcée au Club de l’Horloge, le 11 juin 2015, avec pour titre : Le Front national au risque de l’histoire, entre diabolisation et neutralisation. Michel Leblay en a fait ce compte rendu que Polémia reprend. Un point de vue bienveillant mais libre.
« Dissidence et radicalité sont les maîtres mots dans la nouvelle perspective qui affleure. »
Polémia.
Jean-Yves Le Gallou a examiné la question posée selon trois axes :
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La France face à son destin
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La dédiabolisation
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Le revers de la dédiabolisation: le risque de la neutralisation
La France face à son destin
Au risque de l’histoire est une expression forte, choisie à dessein d’après le contexte présent.
Trois raisons expliquent ce choix :
1/ Jamais l’urgence politique n’a été aussi grande
Nous assistons à une accélération :
– de l’entreprise systématique de démolition politique et sociale touchant notre liberté, notre identité et notre souveraineté (la dénaturation du mariage, la réforme de l’école et, dernièrement, celle projetée de l’Ecole polytechnique) ;
– du grand remplacement
Il s’agit là du phénomène majeur. Il y a deux ans, environ, le site Fdesouche, au travers de statistiques portant sur une maladie rare, la drepanocytose qui ne touche que les populations d’origine africaine, caraïbe, maghrébine, moyen-orientale ou indienne, indiquait que ces populations représentaient globalement 30% des naissances sur le territoire national.
En approfondissant l’analyse, notamment par une contre-enquête effectuée par un expert des questions relatives à l’immigration, il s’est révélé que cette statistique était le véritable reflet de la situation. Aujourd’hui, un enfant sur trois, né en France, a des parents d’origine non européenne. Une projection statistique conduit à fixer cette proportion à la moitié des naissances à l’horizon 2025-2030. A terme, relativement proche, les Français dont l’ascendance a formé la population du territoire national seront devenus minoritaires.
Il y a une vingtaine d’années, lors des campagnes électorales menées par Jean-Marie Le Pen, l’un des slogans du Front national était « Le Pen, vite ! ». Son président prédisait que les Français allaient choisir pour la dernière fois leur destin. L’évolution constatée depuis lors a montré l’acuité de tels propos.
2/ Jamais le Front national n’a été électoralement aussi haut
En témoignent, les résultats obtenus aux élections municipales et européennes de 2014 et aux élections départementales de 2015. Tous les sondages, avec les marges d’erreur possibles, placent Marine Le Pen comme l’un des deux candidats qui aura accès au second tour de l’élection présidentielle de 2017. Certes, le paysage politique peut toujours être bouleversé par des événements imprévus.
3/ Jamais l’ampleur du changement nécessaire n’a été aussi grand
Le pays a un besoin de changer fondamentalement ses perspectives dans les domaines de la politique étrangère, de la politique européenne, de la politique migratoire et de la politique sociétale.
Il résulte de ces trois constats que la France est menacée dans son existence même comme nation millénaire porteuse d’une culture propre et d’une civilisation venue du fond des âges. Face à cet état des choses, le Front national a une responsabilité historique. Dans les conditions présentes, la marge de manœuvre est faible et aucune autre formation politique n’est susceptible de le remplacer. Toutes celles qui ont voulu être concurrentes ont été écrasées.
Le pays est maintenant divisé en trois blocs politiques : le Parti socialiste, les Républicains et ceux qui s’y associent électoralement, le Front national.
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Jacques Julliard découvre la gauche d’ordre moral
Esprit, es-tu toujours là ? A défaut de faire tourner les tables, Manuel Valls fait tourner les sangs. Et dans « Marianne », celui de Jacques Julliard n’a justement fait qu’un tour : « La République marche sur la tête et le gouvernement aussi », écrit l’éditorialiste. « C’est se moquer de “l’esprit du 11 janvier “que de réduire, au nom de l’antiracisme, la liberté de la presse. C’est se moquer de “Charlie Hebdo“ que de préparer une loi qui enverra plus souvent que naguère “Charlie Hebdo“ devant les tribunaux. C’est un peu fort de café : je n’ai pas défilé le 11 janvier dernier pour remettre en cause la grande loi républicaine de 1 881 sur la presse et la liberté d’expression ! Cela s’appelle l’ordre moral. Et c’est la gauche qui prétend nous ramener à l’ordre moral ! »
Ça alors ! Qui l’eût cru ? Serge Lama chantait naguère « Je suis cocu, mais content ! » Jacques Julliard donne plutôt dans le cocu mécontent, personnage éternel de la comédie, du boulevard et de la politique.
Vieux routier du journalisme, Julliard a pourtant gardé une naïveté touchante. La gauche, liberticide ? Il en tombe des nues. Et c’est avec une vraie sincérité qu’il s’émeut de l’inscription dans le Code pénal des délits de provocation à la haine ou à la violence, d’injure ou de diffamation « à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, à une nation, une race ou une religion ». Sans compter, observe-t-il, qu’il « serait même question d’élargir la mesure aux propos sexistes et homophobes ». Julliard n’est ni raciste, ni sexiste, ni « homophobe ». Il admet même que le racisme et l’antisémitisme ne sont pas des opinions, mais des délits. Mais alors, pourquoi ne pas les inscrire dans le Code pénal, comme le veut le gouvernement ? C’est que l’islamisme, qui cherche à créer un délit de blasphème et de sacrilège pour sanctionner les attaques contre les religions, pourrait utiliser la nouvelle loi pour faire taire les critiques envers l’islam, s’inquiète l’éditorialiste, qui observe « que le président de la République lui-même s’est mis à employer le terme incongru et liberticide d’“islamophobie“, concession majeure au cléricalisme islamiste. » -
Paul Craig Roberts: « Washington est incapable d’empêcher l’Armageddon »
Paul Craig Roberts: « Washington Is Impotent To Prevent Armageddon
Paul Craig Roberts: « Washington est incapable d’empêcher l’Armageddon »
Discours de Paul Craig Roberts à la conférence sur la crise Europe / Russie à Delphes, Grèce, 20-21 juin 2015
Paul Craig Roberts, ancien Secrétaire Adjoint au Trésor des États-Unis à la politique économique, Rédacteur en chef adjoint au Wall Street Journal, Maitre de conférence à l’Université de Stanford, Président au William E. Simon en économie politique, Centre d’études stratégiques et internationales, Université de Georgetown à Washington, D.C.
Les États-Unis ont poursuivi leur quête d’impérialisme depuis le début de leur histoire, mais c’est l’effondrement soviétique de 1991 qui a permis à Washington de comprendre que le monde lui appartient.
L’effondrement de l’Union Soviétique a entraîné la montée des néoconservateurs au pouvoir et de leur influence au sein du gouvernement américain. Les néoconservateurs ont interprété l’effondrement soviétique comme le choix de l’Histoire d’un « capitalisme démocratique américain » comme Nouvel Ordre Mondial.
Choisi par l’Histoire comme le pays exceptionnel et indispensable, Washington revendique le droit et la responsabilité d’imposer son hégémonie sur le monde. Les néoconservateurs considèrent leur plan comme trop important pour être contraint par des lois nationales et internationales ou par les intérêts des autres pays. En effet, en tant que Puissance Unique, Washington est requis par la doctrine néoconservatrice d’empêcher la montée d’autres pays qui pourraient restreindre la puissance américaine.
Paul Wolfowitz, un néoconservateur de premier plan, a écrit la doctrine Wolfowitz peu de temps après l’effondrement soviétique. Cette doctrine est la base de la politique étrangère et militaire des États-Unis.
La doctrine stipule :« Notre premier objectif est d’empêcher la réémergence d’un nouveau rival, que ce soit sur le territoire de l’ancienne Union Soviétique ou ailleurs, qui constituerait une menace de l’ordre de celle posée auparavant par l’Union Soviétique. Ceci est une considération dominante qui sous-tend la nouvelle stratégie de défense régionale et exige que nous nous efforcions d’empêcher toute puissance hostile de dominer une région dont les ressources, sous contrôle consolidé, seraient suffisantes pour créer une puissance mondiale « .
Notez que le « premier objectif » de Washington n’est pas la paix, ni la prospérité, ni les droits de l’homme, ni la démocratie, ni la justice. Le « premier objectif » de Washington est l’hégémonie mondiale. Seul le très confiant révèle de manière aussi flagrante son objectif.
En tant qu’ancien membre du Comité de la Guerre Froide sur le Danger Présent, je peux expliquer ce que les mots de Wolfowitz signifient. La « menace posée précédemment par l’Union Soviétique » était la capacité de l’Union Soviétique à bloquer l’action américaine unilatérale dans certaines régions du monde. L’Union Soviétique était une contrainte sur l’action unilatérale des États-Unis, pas partout mais dans certains endroits. Toute contrainte sur Washington est considérée comme une menace.
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L’Islande a laissé ses banques faire faillite, et jeté des banquiers en prison. Et voici ce qui s’est produit
L’Islande, l’une des nations les plus touchées par la crise bancaire, semble avoir complètement surmonté ses problèmes, et cette année, elle devrait être le premier pays du monde frappé par la crise de 2008 à dépasser le PIB le plus élevé qu’il avait atteint avant cette crise, rapporte ZeroHedge. Le pays est parvenu à ce résultat sans sacrifier son système social et les dépenses du gouvernement. Il y a encore quelques années, l’Islande est arrivée au bord de la faillite lorsque ses banques, qui au fil des ans s’étaient montrées bien trop audacieuses, se sont trouvées en situation de quasi-effondrement.
A la différence des autres pays heurtés par la crise, l’Islande a laissé ses banques faire faillite, ne préservant que les comptes des ménages résidents. Les étrangers qui avaient placé leur argent dans les banques du pays ont tout perdu lorsque ces banques ont fait faillite. Ailleurs, dans le reste de l’Europe, de nombreuses banques ont été nationalisées car il n’était pas concevable qu’elles puissent faire faillite.
Le pays a également imposé des contrôles de capitaux. Par conséquent, les Islandais ne pouvaient plus investir ou placer librement leur argent à l’étranger, ce qui était, selon de nombreux économistes, contraire aux règles du marché libre. De plus, le pays n’est pas intervenu pour empêcher la dévaluation de la couronne islandaise, et il a toléré l’inflation. Celle-ci a provoqué une hausse des prix domestiques, mais elle a aussi eu pour effet de stimuler les exportations. Les pays de la zone euro ne pourraient tolérer une telle dévaluation ; celle-ci renchérirait les dettes nationales des différents Etats-membres.
Mais le plan semble avoir fonctionné. La dette nationale de l’année dernière ne représentait que 82% du PIB du pays, comparativement à 95% il y a quatre ans. À la fin de cette décennie, la dette devrait même continuer à baisser pour atteindre 54% du PIB. Le chômage a également baissé de façon spectaculaire, et actuellement, le taux de chômage s’établit à 4%, contre près de 8% en 2009.
De tels résultats soulèvent la question de la pertinence des politiques économiques qui ont été menées dans le reste de l’Europe ou aux États-Unis en réponse à la crise. Les banques n’auraient-elles pas dû supporter elles-mêmes les conséquences de la crise qu’elles avaient causée? D’après Zéro Hedge cette réussite contredit de nombreux économistes, notamment keynésiens, qui affirmaient que le soutien de l’économie était nécessaire pour sortir de la crise.
En outre, l’Islande a fait condamner les administrateurs de Kaupthing, l’une des principales banques de la nation, non seulement à des amendes, mais à des peines de prison allant de quatre à cinq ans. Lors de leur procès, le procureur spécial islandais Olafur Hauksson s’était posé la question de la responsabilité :
Pourquoi devrions-nous tolérer qu’une partie de notre société ne soit pas soumise à la règle de droit ou qu’elle puisse échapper à ses responsabilités? Il serait dangereux de laisser quelqu’un devenir trop gros pour devenir l’objet d’une enquête. Cela laisserait l’impression qu’il existe un refuge sûr ».Source : businessbourse :: lien -
Poutine contre attaque : « La Russie ne peut plus accorder de ristourne sur le gaz à l’Ukraine » !
connexions de gaz UE-Russie existants
Nous nous étions posé des questions sur la relative absence de réponse de la Russie à des sanctions étendues et au gel des avoirs en Europe et maintenant nous voyons le premier mouvement important.
Avec de nouvelles contre-sanctions confirmées ce matin, le président russe Vladimir Poutine vient de jeter le FMI (les contribuables américains), et le ministre des finances «américain» de l’Ukraine sous le bus :
« Moscou ne peut plus accorder des remises de gaz à l’Ukraine en raison de la baisse actuelle les prix du pétrole. « Le prix doit être au niveau des autres pays comme la Pologne, a t-il ajouté.
Comme le rapporte Reuters :
La Russie ne peut plus accorder de ristourne sur le prix du gaz à l’Ukraine comme elle le faisait cas auparavant, a déclaré mercredi le président russe Vladimir Poutine, quelques jours avant l’ouverture de nouvelles négociations avec Kiev et Bruxelles sur les tarifs gaziers.
En conseil des ministres, Vladimir Poutine a expliqué que le prix demandé à l’Ukraine devrait être aligné sur celui payé par des pays comme la Pologne.
Selon Gazprom, l’Ukraine devra payer 287 dollars (257 euros) par millier de mètre cube de gaz à partir du troisième trimestre, contre 247 dollars (221 euros) au deuxième trimestre. (Darya Korsunskaya,; Nicolas Delame pour le service français)
ZH pense que la Russie va écraser financièrement l’Ukraine:
Alors que Christine Lagarde a clairement fait savoir qu’elle allait dépenser l’argent des autres en Ukraine (mais pas en Grèce), peu importe si l’Ukraine fera défaut ou pas, on soupçonne que la fin de la remise sur le gaz écrasera les attentes du FMI sur la croissance Ukraine et il deviendra de plus en plus impossible pour le FMI de justifier le fait de jeter l’argent par les fenêtres…
Est-ce que l’Ukraine a de l’or de coté avec lequel elle pourrait graisser les rouages ?
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Comme nous nous l’étions demandé précédemment, est-ce le début de la démarche de la Russie de tout couper à l’Ukraine ?
Ceci est une période riche en événements pour les relations UE-Russie sur le gaz .
Alors, comment devraient être interprétés les évolutions les plus récentes de la valse des pipelines Russes ?
Il y a trois scénarios possibles :
i) turkish Stream pour la Turquie uniquement et Nord Stream pour l’UE.
ii) l’expansion de Nord Stream comme une monnaie d’échange pour faire avancer le flux turc : Dans ce scénario la Russie proposerait l’expansion de Nord Stream, afin d’avoir une autre monnaie d’échange dans les négociations avec la Turquie (et la Grèce) , et de faire avancer rapidement le projet turkish Stream pour assurer de meilleures conditions commerciales.
iii) Pas de pipelines, juste de la politique. Dans ce scénario la Russie n’a pas l’intention de développer ni le Turkish Stream ni l’expansion de Nord Stream. Les propositions visent donc à créer des clivages politiques au sein de l’UE, à un moment où l’UE durcit sa position contre la Russie en raison de la crise en Ukraine
Avec le pivot potentiel grec qui reste sur la table (alors que Le FMI fuit l’offre de la Grèce) etde nouveaux alliés bizarres dans le Moyen-Orient , il semble que ce sabre-hochet économique sera un nouveau boomerang qui sera de retour à Washington …
http://www.zerohedge.com/news/2015-06-24/putin-strikes-back-cuts-ukraine-gas-discount – resistanceauthentique
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Le tour de France de La Manif pour Tous se poursuit
Des nouvelles du Tour de France de LMPT : à chaque ville son article dans la presse régionale. Cette fois dans La Montagne :
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Un SDF n’obtient aucune aide car il est Français !
Trouvé sur le FB de contribuable.org : Ce jeune SDF français est à la rue depuis plusieurs mois avec sa femme et son bébé. Et il n’obtient aucune aide… parce qu’il est français et non clandestin !
Ce témoignage bouleversant a été enregistré à La Rochelle, durant le Tour de France des contribuables organisé par Contribuables Associés du 26 avril au 14 juillet.
Les témoignages de Français excédés s’accumulent. La situation est aujourd’hui explosive, le ras-le-bol se généralise à toute vitesse !
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JT du Mercredi 24 Juin 2015