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  • La république islamique de France est déjà née

    De Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités :

    "[...] L’islam n’est pas uniquement une communauté religieuse, contrairement à ce que prétendent les perroquets demi-savants de la caste politico-médiatique, mais bel et bien une communauté politique qui, par définition, n’est pas nationale. Il n’y aurait qu’une seule méthode pour créer un « islam de France », ce serait de transformer la France en régime islamique. Il y aurait alors des imams et des oulémas officiels qui diraient ce qui est légal et ce qui ne l’est pas et pourraient faire appliquer leurs fatwas avec la force de la loi. Ça n’empêcherait pas les musulmans turcs, saoudiens ou algériens présents sur notre sol d’être en désaccord avec telle fatwa (et, éventuellement, de fomenter des attentats pour le faire savoir), mais on s’approcherait de ce dont parle M. Valls. J’ose espérer que ce dernier ne souhaite pas ce type d’islam de France. Mais, en attendant de savoir ce qu’il a en tête, nous pouvons constater qu’il n’a pas renoncé à quémander les voix musulmanes en se lançant dans un grand concours pré-électoral de lèche-babouches.

    Lors de cette réunion d’installation de la fameuse instance de dialogue, il a prononcé un certain nombre de dogmes, avec l’autorité magistérielle que chacun lui connaît : « La France et l’islam sont pleinement compatibles » ; « le dijihadisme et l’extrémisme ne sont pas l’islam »… Tout ceci serait simplement grotesque si l’individu n’était pas chargé de la politique de la nation. Mais, dans la bouche du Premier ministre, c’est franchement inquiétant. Car, dans cette bouche, le discours du 15 juin n’était rien d’autre que l’installation d’une religion officielle. Oh, certes, pas encore une religion unique, ne tolérant aucune « concurrence » dans le domaine spirituel ou législatif. Mais bel et bien une religion officielle – ce que M. Sarkozy avait d’ailleurs déjà installé avec le CFCMM. Valls travaille, en effet, à organiser le financement de mosquées sur fonds publics et même à co-organiser avec les musulmans l’abattage rituel – prérogative étatique, comme chacun sait. En d’autres termes, sous l’autorité du Premier ministre, l’État va travailler à détourner ses propres lois (la loi de 1905 sera détournée pour financer les mosquées ; les règles sanitaires seront détournées pour l’abattage rituel). Qu’on ne s’y trompe pas : j’ai l’air de plaisanter et il est vrai que les contorsions pseudo-théologiques de ces clowns qui nous gouvernent me font souvent sourire. Mais la réalité est très grave. La réalité, c’est que la république islamique de France a, d’ores et déjà, commencé. Les pouvoirs publics sont, d’ores et déjà, au service de cette fameuse « deuxième religion de France », universellement reconnue comme « religion d’amour, de tolérance et de paix ». [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Chronique de livre: Sylvain Tesson "Géographie de l'instant"

    9782266241342.jpgRetrouver la magie du monde malgré l'horreur présente, tel est l'objet de ce recueil de Sylvain Tesson regroupant des articles publiés comme bloc-notes pour le magazine « Grand Reportages », mais également pour d'autres revues et quotidiens, de 2006 à 2012.

    En choisissant la formule du bloc-notes, Sylvain Tesson explique dans l'introduction de ce recueil que « le bloc-notes, c'est l'hommage que l'observation rend aux détails. Les détails composent la toile du monde. Ils sont les atomes de la réalité, nom que les myopes donnent à la complexité, à la fragmentation des choses. Le faiseur de vitraux assemble des milliers d'éclats de verre. Soudain, surgit un dessin. Les Parties ont formé un Tout. De même pour le bloc-notes : les notes s'assemblent, elles font bloc. »

    Nous retrouvons au fil des pages le vagabondage propre à cet « étonnant voyageur » qu'est Sylvain Tesson. Il nous mène des zones « grises » que sont devenues nos banlieues et autres zones de non-droit à la beauté des Calanques, en passant par l'Afghanistan ou les Kalash. Sans oublier nos forêts. Il manifeste ainsi que son amour de la géographie. Beauté du monde par sa diversité. Mais aussi horreur du monde actuel que Sylvain Tesson n'hésite pas à montrer et décrire avec un sens de la formule plutôt efficace.

    Car Géographie de l'instant s’inscrit dans la veine des ouvrages de Sylvain Tesson, où partant du réel et de ce qu'il ressent, voit, touche, entend lors de ses voyages (parfois au plus profond de lui-même) il établit des aphorismes tranchants avec le côté un peu neuneu qu'ont certains carnets de voyage. A partir de simples détails, il établit quelques principes généraux ou universels, mais non universalistes. A l'instar d'Ersnt Jünger, que Sylvain Tesson cite régulièrement dans ce recueil. Aphorismes tant pour vanter la beauté d'une fleur, d'un insecte, d'un oiseau et par-delà de la beauté et de la poésie du monde – composant ainsi une sorte d'ode panthéiste –, l'écrivain-voyageur dresse surtout un tableau sombre de nos temps actuels. Principalement pour y montrer l'involution anthropologique due aux dernières réalisations progressistes et technicistes, notamment les réseaux « sociaux ». Comme cette note intitulée « Les Titans » (p. 232 de l'édition Pocket) :« Scène de la vie quotidienne. Je suis à la poste pour retirer un paquet qui m'est destiné. J'ai oublié mon avis de livraison. Moi, naïf : "Si je vous donne mon nom et la date ça ne suffit pas ?" Réponse : "Non ! Il faut un numéro, on a simplifié le système.La réduction de toute chose aux chiffres sonne le glas des dieux et l'avènement de temps bien sombres ». A tel point que pour Sylvain Tesson le silence, l'eau et le froid seront un luxe dans des temps très proches. Surtout le silence, précieux sésame pour la méditation et l'introspection.

    Ensuite, une phrase de Chateaubriand revient chez lui comme une sorte de leitmotiv : « Les forêts précèdent les hommes, les déserts leur succèdent. » Que ce soit pour s'insurger contre l'horreur islamiste, principalement à l'égard des femmes ou des jeunes filles, mais aussi contre l'horreur moderne qui s'incarne par exemple dans le tourisme de masse, le pire ennemi du voyage, des voyageurs et de la beauté du monde et de la découverte.

    Mais c'est surtout par ses aphorismes que Géographie de l'instant apparaît comme un manifeste certes écologiste (et réellement écologiste bien loin des mensonges du développement durable et du green washing) mais surtout comme une somme « décroissante », où la simplicité volontaire, l'émerveillement devant le monde en se passant de la technique, ou – ce qui pourrait choquer – une critique de l'explosion démographique irréversible depuis plus d'un siècle. Et on ne pourrait lui donner tort vu que la démographie est une donnée essentielle en politique... Ainsi, la note « Lévi-Strauss » (p. 38) : «  Les éditions Chandeigne ont publié l'année dernière Loin du Brésil, court entretien de Véronique Mortaigne avec Lévi-Strauss. Le vieil ethnologue se souvient avec nostalgie de la planète de sa jeunesse, lorsque le monde ne comptait que 2,5 milliards d'êtres humains. Et il s'effraie de ce que la Terre soit aujourd'hui (sur)peuplée de six milliards d'individus. Michel Serres, lui, voyait dans la récente urbanisation des nations du monde et dans le gonflement monstrueux des mégalopoles la plus grande révolution humaine depuis le néolithique. Souvent, dans un square ou dans une rue, je croise des vieux messieurs pensifs et tristes. Désormais, je me dirai qu'ils sont en train de méditer sur notre termitière. » Dans la même veine, mais en plus angoissant, nous vous conseillons la note « Des chiffres et des maux » pp. 101 et 102.

    On peut ajouter et surtout indiquer que la lecture de « Géographie de l'instant » agit comme un appel à sortir, à se confronter au réel, à éprouver les aphorisme de Sylvain Tesson, à les ressentir. Et à faire que chaque voyage, y compris dans nos contrées européennes, soit lui-même source de nos propres aphorismes. En somme, Sylvain Tesson affirme avec force que désormais tout est anthropologique, pour rester sereinement et pleinement humain. Et que l'émerveillement devant la beauté et la poésie du monde en est une première étape... Ce que résume parfaitement la note « Marche » p. 122 : « A pied, le chemin des Landes. Y a-t-il activité plus décroissante que la marche ? Le marcheur revient à sa nature profonde (la bipédie), s'emplit de la beauté du monde, ne laisse que l'empreinte de ses pas, apprend que ce qu'il ressent vaut mieux que ce qu'il possède. La clé du bonheur ? Pétrarque nous la livre dans une phrase que Schopenhauer place en exergue du Monde comme volonté et représentation : "Si quelqu'un marche toute la journée et parvient le soir à son but, c'en est assez. »

    Arnaud / C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Ni Lampedusa, ni Bruxelles, être européen !

    Institut Iliade : un premier anniversaire.

    Fort de ses premiers succès, l’Institut Iliade a décidé de célébrer son premier anniversaire par l’action, en produisant et en diffusant une vidéo originale : « Ni Lampedusa, ni Bruxelles : être européen ». Court, didactique, facile de compréhension et d’accès via notre chaîne YouTube, ce film propose une définition de l’identité européenne et illustre la réalité historique, culturelle, charnelle, de notre « récit civilisationnel ».

    L’Europe est trahie par la novlangue. Le mot est souvent utilisé bien à tort pour qualifier l’Union européenne, c’est-à-dire l’organisation mondialiste et immigrationniste de Bruxelles. Dans cette vidéo dont nos lecteurs trouveront le texte ci-après, l’institut ILIADE rappelle que l’Europe c’est d’abord le continent des Européens et une identité : la civilisation européenne et chrétienne.

    Polémia.


    L’Europe, ce n’est pas Lampedusa, c’est notre civilisation.

    L’Europe ce n’est pas l’organisation de Bruxelles, pas davantage une monnaie ou une banque centrale.

    L’Europe, ce n’est pas un espace mondialisé et sans frontières.

    L’Europe, ce n’est pas le monde africain, ce n’est pas non plus une terre d’Islam.

    L’Europe ce n’est ni la laideur ni le non-art.

    L’Europe, c’est le continent des Européens.

    L’Europe, ce sont des millénaires d’histoire, 700 millions d’Européens.

    L’Europe c’est une identité : la civilisation européenne et chrétienne.

    L’Europe, ce sont les temples grecs, les aqueducs et les théâtres romains, les chapelles romanes, les cathédrales gothiques, les palais Renaissance, les grandes places, les béguinages, les églises baroques, les châteaux classiques, les édifices Art nouveau.

    L’Europe ce sont des rivages sauvages, des montagnes majestueuses, des fleuves paisibles. L’Europe, c’est le sentiment de la nature. L’Europe, ce sont des paysages jardinés par l’homme : des bocages aux polders, des prairies aux cultures en terrasses. L’Europe c’est le terroir du pommier et de l’olivier, de la vigne et du houblon.

    L’Europe, ce n’est pas l’univers de la bouffe industrielle, c’est la gastronomie de l’huile et du beurre, du vin et de la bière, du pain et du fromage, du saucisson et du jambon.

    L’Europe, ce n’est pas le monde de l’abstraction, c’est l’art de la représentation, de Praxitèle à Rodin, des fresques de Pompéi à la Sécession de Vienne. L’Europe, c’est l’imaginaire celte et le mystère chrétien. L’Europe, c’est la civilisation qui change la pierre en dentelle.

    L’Europe, c’est le refus de l’ahurissement, c’est la culture qui a inventé le chant polyphonique et l’orchestre symphonique.

    L’Europe, ce n’est pas le monde de Belphégor, c’est la civilisation qui honore la femme : déesse, mère ou guerrière. L’Europe, c’est la culture de la chevalerie et de l’amour courtois.

    L’Europe, ce n’est pas le monde de la surveillance, c’est la patrie de la liberté : la citoyenneté grecque, le forum romain, la Grande Charte anglaise de 1215, les villes et les universités libres du Moyen Age, le réveil des peuples au XIXe siècle.

    L’Europe, c’est un patrimoine littéraire et mythologique : Homère, Virgile, Hésiode, les Eddas, le chant des Nibelungen et le cycle arthurien. C’est aussi Shakespeare, Perrault et Grimm.

    L’Europe, c’est l’esprit d’invention et de conquête : c’est Léonard de Vinci et Gutenberg ; ce sont les caravelles, les montgolfières, les débuts de l’aviation et Ariane, ce sont les ponts jetés sur les mers.

    L’Europe, ce sont les héros qui l’ont défendue au cours des siècles : c’est Léonidas et ses 300 Spartiates sauvant la Grèce de l’Asie ; c’est Scipion l’Africain préservant Rome de Carthage, c’est Charles Martel repoussant l’invasion arabe, c’est Godefroy de Bouillon délivrant les lieux saints et fondant le royaume franc de Jérusalem, c’est Ferdinand d’Aragon et Isabelle la Catholique libérant Grenade, c’est Ivan le Terrible éloignant les Mongols de la sainte Russie, c’est don Juan d’Autriche victorieux des Turcs à Lépante.

    L’Europe, ce sont des hauts lieux : c’est le Parthénon, la Place Saint-Marc, Saint-Pierre de Rome, la Tour de Belém, Saint-Jacques de Compostelle, le Mont Saint-Michel, la Tour de Londres, la Porte de Brandebourg, les tours du Kremlin.

    Tel est notre récit civilisationnel !

    Aujourd’hui, l’Europe est l’homme malade du monde. Elle est culpabilisée, colonisée, affaiblie. Ce n’est ni fatal, ni durable. Arrêtons la repentance ! Retrouvons le fil de la longue mémoire. Ecoutons le message d’espoir de Dominique Venner :

    « Je crois aux qualités spécifiques des Européens qui sont provisoirement en dormition. Je crois à leur individualité agissante, à leur inventivité et au réveil de leur énergie. Le réveil viendra. Quand ? Je l’ignore mais de ce réveil je ne doute pas. »

     ILIADE
    Institut pour la longue mémoire européenne, Juin 2015

    http://www.polemia.com/ni-lampedusa-ni-bruxelles-etre-europeen/

  • Condamnation annulée pour l’ex-candidate FN qui avait comparée Taubira à un singe

    Anne-Sophie Leclère avait été condamné pour injures racistes envers Christiane Taubira. Son jugement a été cassé pour irrecevabilité du plaignant par la Cour d’appel de Guyane.

    L’ex-candidate aux élections municipales de 2014 à Rethel, dans les Ardennes, Anne-Sophie Leclère a vu sa condamnation pour injures racistes et incitation à la haine annulée par la Cour d’appel de Cayenne.
    La jeune femme avait publié sur sa page Facebook personnelle un photomontage assimilant Mme Taubira à un singe.

    Le photomontage qui a valu à Anne-Sophie Leclerc sa condamnation

    Le photomontage qui a valu à Anne-Sophie Leclerc sa condamnation

    Elle avait été condamnée à neuf mois de prison ferme et cinq ans d’inéligibilité. La cour avait assorti cette peine de 50 000 euros de dommages et intérêts, à régler conjointement avec le FN, et condamné le Front national à 30 000 euros d’amende. Une décision qui allait au-delà des réquisitions du parquet, qui n’avait pas demandé la condamnation du parti.

    Sur le même thème, Charlie Hebdo avait publié ce dessin (à gauche) de Charb sans être inquiété.

    Sur le même thème, Charlie Hebdo avait publié ce dessin (à gauche) de Charb sans être inquiété.


    À l’époque, l’histoire avait fait grand bruit, non seulement parce qu’elle avait provoqué l’exclusion de la candidate du parti d’extrême droite, mais aussi parce que la sentence était exceptionnellement lourde, l’usage, pour ce genre d’infraction, étant plutôt de prononcer des peines avec sursis.
    De plus, la condamnation conjointe du parti allait à l’encontre de la loi française, qui prévoit qu’une personne morale, comme un syndicat ou un parti politique, ne peut pas être condamnée pour les infractions à la loi sur la presse, qui encadre également la liberté d’expression sur Internet, commises par ses membres ou ses militants. Le tribunal s’était justifié à l’époque en expliquant dans ses attendus de jugement que le FN « a participé de manière plus directe encore [aux infractions] en véhiculant un discours parfois raciste, plus ouvertement xénophobe… »

    Action en justice intentée par le parti créé par Christiane Taubira, laquelle Taubira est d’ailleurs aussi la patronne de la justice au gouvernement, jugement en Guyane par un juge membre du Syndicat de la Magistrature… cela fait tout de même beaucoup ! Il est évident qu’Anne-Sophie Leclere est victime d’un jugement éminemment politique.

    Avait à l’époque commenté Fabrice Robert, Président du Bloc Identitaire, qui avait apporté son soutien à Anne-Sophie Leclère.

    Ce n’est toutefois par sur ces excès ou le caractère politique que s’est basée la Cour d’appel pour casser le jugement. Elle a simplement estimé que l’association Walwari (fondée par Christiane Taubira en 1993), qui avait porté l’affaire en justice, n’avait pas de légitimité à le faire.

    Malgré cette décision de la cour d’appel de Cayenne, Anne-Sophie Leclère devrait comparaître devant le tribunal correctionnel de Paris, qui avait ouvert une enquête préliminaire sur la même affaire. Le tribunal a renvoyé le dossier à septembre 2015 pour faire le point.

    Crédit photo : Capture d’écran d’un reportage de France 3 sur Anne-Sophie Leclere
    Capture d’écran de la page Facebook d’Anne-Sophie Leclere
    Photomontage d’un dessin de Charb et du portrait de l’auteur, Le Salon Beige

    http://fr.novopress.info/189666/condamnation-annulee-lex-candidate-fn-avait-comparee-taubira-singe/#more-189666

  • Les sénateurs UMP ont cru au Père Noël de 2003 à 2014

    Lu ici :

    "Chaque Noël, de 2003 à 2014, les sénateurs UMP ont touché des « étrennes », une coutume restée jusqu’ici secrète. Montant de ce « treizième mois » : 8 000 euros par personne. Le nouveau président du groupe a jugé opportun de mettre fin à ce système.

    Le même rituel depuis douze ans. Chaque mois de décembre, « l’arrivée du Père Noël » était annoncée dans les couloirs. Un défilé ininterrompu de sénateurs démarrait alors dans le bureau de la comptable du groupe UMP. Le temps que tout le monde passe (plus de 140 élus) et fasse ses politesses, la distribution s’étalait sur deux ou trois jours. À chacun, la comptable tendait une enveloppe contenant un chèque d’environ 8 000 euros, parfois plus, puis faisait signer la liste d’émargement. Nom de code : « étrennes ».

    Chaque veille de Noël de 2003 à 2014, plus d’un million d’euros a ainsi été extrait discrètement des caisses du groupe UMP du Sénat (...)"

    République irréprochable...

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Islam et immigration : réveil des nations européennes

    – EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    Dominique Venner a-t-il été entendu ? Serait-ce enfin l’heure du réveil après tant d’années de dormition ? Dans la lignée des rassemblements Pegida en Allemagne, des milliers de personnes ont manifesté samedi à Bratislava, capitale de la Slovaquie, contre les quotas d’immigrants que l’Union européenne envisage de répartir entre les pays-membres. On pouvait lire entre autres sur les banderoles le slogan « Multiculturalisme = génocide ». Au Danemark, les dernières élections législatives ont placé en 2e la droite anti-immigration avec 21,1 % des voix. Cette percée spectaculaire a obligé le Premier ministre socialiste-démocrate à démissionner.

    La Suisse connaît, elle aussi une forte mobilisation contre l’immigration… 
    En effet. La Suisse, connue pour son référendum anti-minaret, voit les lignes bouger sur la question migratoire. La journaliste genevoise Mireille Vallette, issue de la gauche, dont elle dénonce la bien-pensance, lance une plate-forme nommée l’Association Suisse Vigilance Islam. Il s’agira, je cite : « De défendre nos valeurs et notre civilisation, menacées par une religion totalitaire ». Fin de citation. Des gauchistes comme elle, on en redemanderait plus souvent.
    Par ailleurs, le chef du gouvernement du Tessin souhaite fermer les frontières face à l’afflux des demandeurs d’asile. En première ligne face à l’Italie, Norman Gobbi membre de la Lega s’inspirant de la Ligue du Nord entend ainsi préserver la Suisse.

    Les Européens prennent-ils enfin conscience de la fragilité de leur destin ? 
    Il semblerait. Partout en Europe, les esprits éclairés sont conscients qu’une société multiculturelle est par nature multi-conflictuelle. L’Autriche vient encore de nous en fournir la preuve. Un automobiliste a tué samedi trois personnes et blessé 36 autres en lançant son véhicule à pleine vitesse dans la foule. Présenté par les autorités et la presse complice comme un déséquilibré, Aymeric Chauprade a quant à lui dénoncé un attentat islamiste sur Twitter. Difficile en effet de ne pas faire le lien avec les événements similaires en France de décembre dernier. L’État islamique avait préconisé ce mode opératoire pour frapper l’Occident. Précisons à toutes fins utiles que le forcené ayant sévi en Autriche est d’origine bosniaque et n’était sous l’emprise d’aucune drogue ni alcool.

    http://fr.novopress.info/

  • Parcours militant - Mai 68 à rebours

     

    De 1954 à nos jours, de l’activisme au royalisme, d’Ordre Nouveau à l’Action Française, Jean-Charles, militant depuis 1969 vous livre son expérience personnelle du nationalisme français. Face à la révolution culturelle de Mai 68, Jean-Charles décide d’intégrer l’Union des Lycéens Nationalistes (ULN) en 1969, dans le but de défendre la France contre le Gaullisme, le Communisme et le Gauchisme.

    A partir de ce moment, Jean-Charles évolue dans différentes organisations nationalistes (ON, MSF, GAJ, AF) et partage le quotidien militant de l’époque, qu’il délivre dans cet entretien. Comme des milliers de jeunes Français, Jean-Charles vit dans la rébellion. Il s’oriente radicalement du côté nationaliste et solidariste, pour aboutir au royalisme. Au-delà d’un témoignage personnel, c’est la mémoire du nationalisme français qu’il transmet.