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  • La Nouvelle Revue d'Histoire est en kiosque (n° 81, novembre - décembre 2015)

    2516905259.jpgLe dossier central est consacré aux scandales financiers et à la corruption politique. On peut y lire, notamment,  des articles de Philippe Conrad ("La corruption des « grands ancêtres »" ; "Panama et les « chéquards »"), de Martin Benoist ("1847 : l'affaire Teste-Cubières"), de Christian Lépagnot ("Le duc de Morny et les bons Jecker"), de Jean Kappel ("Le krach de l'Union générale" ; "La Légion d'honneur à l'encan" ; "La cinquième république des « affaires»"), de Clément Mesdon ("L'affaire Stavisky") et d'Olivier Dard ("Politique et finance, les raisons du scandale").

    Hors dossier, on pourra lire, en particulier, deux entretiens avec Jean-Paul Bois ("Une nouvelle histoire militaire") et un autre intitulé "Dominique Venner et le Blanc Soleil des vaincus"), ainsi que des articles d'Emma Demeester ("Godefroy de Bouillon. Un preux à Jérusalem", de Philippe Parroy ("Les deux siècles de la croisade d'Orient"), d'Agnieszka Moniak-Azzopardi ("La Grande Guerre, une guerre polonaise ?"), de Laurent Wetzel ("Jean-Paul Hutter, un normalien dans la Wehrmacht") d'Isabelle de La Mettrie ("Décembre 1965. De Gaulle en ballotage") et de Martin Benoist ("Le monde disparu de la Prusse rouge"), ou encore les chroniques de Péroncel-Hugoz et de Philippe d'Hugues....

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • L’ordonnance est passée en France: désormais, une banque pour se renflouer pourra ponctionner les comptes de ses clients

    Pas de débat, pas de loi, une simple ordonnance. La directive est passée inaperçue dans le creux de l’été. Si votre banque fait faillite, elle pourra se renflouer en aspirant vos comptes, sans plus de façons. Photo: Wolfgang Schaüble, ministre des Finances allemand.

    Il s’agit de la « Directive européenne sur le redressement des banques et la résolution de leurs défaillances » (Bank Recovery and Resolution Directive). D’abord expérimentée à Chypre où les comptes ont été largement siphonnés, la mesure est désormais applicable en France depuis le 20 août. Elle est passée en douce par ordonnance. Imaginez le tapage si une loi était venue devant le Parlement! Depuis que les Français ont mal voté en rejetant la Constitution européenne par référendum, il n’y a plus de référendum. C’est la même chose pour les lois gênantes! En l’occurrence on imagine bien que le lobby bancaire tenait à la plus grande discrétion de même que le pouvoir socialiste. Pourquoi s’embêter quand une simple et discrète petite ordonnance prise en catimini au cœur des vacances d’été fait parfaitement l’affaire ? 

    http://www.medias-presse.info/lordonnance-est-passee-en-france-desormais-une-banque-pour-se-renflouer-pourra-ponctionner-les-comptes-de-ses-clients/42401

  • Général SOUBELET mis au placard après avoir critiqué la politique de Taubira !

    Consternant ! Il semblerait que la ministre de la Justice Christiane TAUBIRA et le Premier ministre Manuel VALLS n’aient pas apprécié les critiques du Général SOUBELET, numéro trois de la gendarmerie, à l’encontre de la politique pénale, lors de son audition à l’Assemblée nationale. L’homme a été remplacé hier, et mis au placard. Le tort du Général SOUBELET ? Avoir critiqué la politique pénale de Christiane TAUBIRA. On a du mal à en croire ses oreilles ! Soutenez-le, c'est nous qu'il défendait !!! ... Il semble que cela doit circuler car n'est-ce pas ce que nous subissons tous les jours ? Voilà ce qui explique parfaitement les résultats tronqués des chiffres de la délinquance en France. Voici la vidéo très courte mais tellement édifiante du général 4 étoiles de la Gendarmerie Nationale qui n'a fait que dire une vérité flagrante sur la politique en matière judiciaire. Parce qu'il a eu le courage de dire la vérité, le Général SOUBELET vient d'être limogé de son poste par le pouvoir actuel. Si vous soutenez le Général SOUBELET, transmettez ces vidéos à vos amis afin qu'ils entendent eux aussi ces vérités.

     


      
  • Richard Millet: «Je ne suis plus qu’une sorte de fantôme français»

    Auteur : Fares Gillon

    Ex: http://www.philitt.fr

    Richard Millet est un auteur prolifique et profond dont on a beaucoup loué la langue et le phrasé. Essentiellement littéraire, son œuvre, « hantée par la question de l’identité », comme il le dit, s’est peu à peu augmentée d’un versant polémique, jusqu’à la fameuse « affaire Millet ». Il nous répond sur le thème de l’enracinement, qui fera l’objet du prochain numéro papier de PHILITT.

    PHILITT : Alors que vous avez vécu une partie de votre enfance au Liban, et que ce pays est pour vous une seconde terre, la notion d’enracinement est essentielle dans votre œuvre, tant littéraire que polémique. Comment expliquez-vous cet apparent paradoxe ? Peut-on être doublement enraciné ?

    Richard Millet : J’ai surtout le sentiment d’avoir été perpétuellement déraciné, ayant dû quitter la Corrèze très jeune, puis Toulouse, puis le Liban ; d’où le sentiment d’être non pas un nomade, je ne sacrifierai pas à cette doxa contemporaine, mais d’être sans autre lieu que celui que la nostalgie me fait élire. Les langues me donnent, elles, un sentiment d’appartenance multiple qui me fait considérer aussi l’enracinement comme un élément de doxa. J’erre entre les deux postulations critiques : d’où ma condition d’écrivain : homme des lisières, des crépuscules, dans l’inappartenance sociale. Je ne crois guère à un double enracinement du point de vue national. Cette appartenance-là implique un choix, une langue, une élection qui mêle le politique et l’affectif. Le choix, lui, n’est pas forcément réducteur, même s’il exige, selon Renan, l’oubli, le sacrifice de la culture d’origine, pour l’immigré ; à l’inverse, le flottement, le refus du choix, l’incertitude sont des éléments délétères d’identité nationale, le choix étant, comme le goût ou l’échelle critique, perçu comme réactionnaire.

    PHILITT : Le Liban entretient un rapport très particulier à la question des racines : c’est un pays multiconfessionnel et multiculturel, que se disputent Orient et Occident depuis des siècles. Sa diaspora représente plusieurs fois la population du pays, de sorte que l’exil est partie intégrante de l’identité libanaise. Ces éléments vous paraissent-ils une force ou une faiblesse ?

    Richard Millet : Le Libanais vit entre Beyrouth et son village d’origine ou, plus largement, entre un pays de la diaspora et le Liban, avec une forte appartenance religieuse. Le multiculturalisme libanais est donc moins un choix qu’une fatalité ; aussi vaut-il mieux parler de multiplicité culturelle : les langues, la culture, le jeu de l’exil et du retour sont la seule richesse de ce pays dont Léon Blum a refusé qu’il occupe un territoire qui eût exclu les chiites et les sunnites, à qui Émile Eddé eût volontiers abandonné la région de Tripoli et le sud. L’histoire lui a, hélas ! donné raison, contre la courte vue du socialiste Blum. Je dirai donc que la conscience nationale libanaise existe forte à proportion de ce qui la menace sans cesse et de la dimension de l’exil, autrement dit d’une déchirure.

    PHILITT : Dans le Règne de la Quantité, René Guénon écrit que « le nomadisme, sous son aspect « maléfique » et dévié, exerce facilement une action « dissolvante » sur tout ce avec quoi il entre en contact ; de son côté, le sédentarisme, sous le même aspect, ne peut mener en définitive qu’aux formes les plus grossières d’un matérialisme sans issue ». Les débats actuels sur l’identité ne font-ils qu’opposer les descendants dégénérés d’Abel à ceux de Caïn ?

    Richard Millet : Le maléfique, le démoniaque, même, voilà en effet le grand mensonge du capitalisme mondialisé qui impose le « migrant » (nouveau label du nomade) comme figure indépassable de la compassion esthético-politique, alors qu’il n’est (souvent à son insu) que de la main-d’œuvre bon marché, un élément du grand remplacement, une arme de destruction massive des cultures et des équilibres indigènes, immigrés et indigènes n’ayant plus en commun que le matérialisme athée pour unique horizon, même (paradoxe apparent) sous le nom d’islamisme, c’est-à-dire une déchéance. Il faut dénoncer ce mensonge orchestré par le pouvoir Culturel, et qui rend impossible tout questionnement de l’identité (le « débat », lui, étant d’emblée pipé).

    PHILITT : Dans sa « Note sur la question des immigrés », Guy Debord estime que « les immigrés ont le plus beau droit pour vivre en France. Ils sont les représentants de la dépossession ; et la dépossession est chez elle en France, tant elle y est majoritaire, et presque universelle ». Pensez-vous comme Debord que les effets de l’immigration ne sont qu’un aspect secondaire de la dépossession? Une France « noire » qui connaîtrait Racine par cœur vous conviendrait-elle?

    Richard Millet : Pour moi, la France est blanche, chrétienne (ou post-judéo-chrétienne), avec des minorités diverses. Il importe qu’elle reste ainsi, dans cet équilibre ethnique, par rapport à ce qui l’a constituée. Relisons ce que dit Lévi-Strauss du « seuil de tolérance »… Quant aux immigrés, il faut considérer plus en détail ce que recouvre ce mot : sont-ils vraiment des figures de la dépossession ? Un Arabe, un Africain sont-ils plus dépossédés qu’un Polonais, un Grec, un immigré européen et chrétien ? Et les Roms ? Et le Quart-Monde ? On parlait naguère de « travailleurs immigrés » ; on ne les avait pas encore fait entrer dans la sacralisation idéologique. Votre question est bien sûr excessive, rhétorique… car une France « noire » ne lirait pas Racine mais les théories expiatoires post-coloniales pour lesquelles Racine n’existe pas, le consensus se faisant sur la sous-culture américaine.

    PHILITT : L’enracinement est une notion spatiale. Mais on s’enracine aussi dans une histoire, et dans une mémoire, collective ou personnelle. Au-delà, il est un enracinement métaphysique, qui est une tentative de retrouver notre origine céleste. Diriez-vous que l’enracinement spatio-temporel trouve ce prolongement existentiel dans votre œuvre ? Est-ce là ce qui distinguerait l’approche militante ou politique de l’approche littéraire ?

    Richard Millet : L’approche politique et l’approche littéraire ont partie liée. Voyez Montaigne, Saint-Simon, Chateaubriand, Balzac, Proust ; toutes ces interrogations sur les relations entre la notion d’espace géographique, historique et spirituel. L’enracinement comme vertige fécond donné par le tournoiement de ces trois valeurs : voilà qui me semble une bonne définition « identitaire ».

    PHILITT : Dans quelle mesure le rapport charnel à la terre peut-il mener un écrivain à des considérations politiques, comme ce fut le cas, par exemple, avec Barrès, passé d’une sorte de sensualisme esthétique au nationalisme ?

    Richard Millet : Nerval, Chateaubriand, Proust, Giono, par exemple, ont beaucoup rêvé le paysage comme définition sensualiste de la France. L’orientalisme en est un autre exemple. Le nationalisme barrésien, si on en retranche le dialogue avec l’Allemagne, que nous ne comprenons plus guère, est moins intéressant que les interrogations de ses Cahiers où le spirituel, notamment l’Orient, le chrétien et le soufiste, occupe une place considérable. Nos racines les plus profondes sont là-bas, où l’État islamique, et ses complices turcs et qatariens, voire le capitalisme mondialisé, tentent de les abolir en tuant les chrétiens et d’autres minorités.

    PHILITT : Si l’on considère que la question de l’identité ne se pose jamais qu’à ceux qui n’en ont plus, ne craignez-vous pas que les actuelles réactions « identitaires » ne consistent qu’à agiter le cadavre de l’identité française ?

    Richard Millet : Nul n’est jamais, sinon dans les camps d’extermination, dépossédé de son identité : laissons cette fable aux bâtisseurs d’idéologies mondialistes. Il y a un destin idéologique de cette question qui se déplace du côté des théories du genre, lesquelles sont proprement diaboliques. Que l’identité française ne soit plus qu’un cadavre, je vous l’accorde. Certains dansent avec des momies, d’autres ont des goûts nécrophiles. Pour ma part, je vis une sorte d’apartheid volontaire dans lequel je ne suis plus qu’une sorte de fantôme français qui vit dans la langue littéraire qu’il s’est forgée.

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  • J’ai fait un rêve : un nouveau président règle le problème de l’immigration par Henry DE LESQUEN

    Je ne me prends pas pour Martin Luther King. Mais j’ai fait un rêve : les Français avaient élu à la tête de l’État un homme qui partageait nos convictions. Et je voudrais vous raconter ce qui s’est passé dans mon rêve.

    Premier acte : réforme de la constitution

    Dès qu’il prend ses fonctions, le nouveau président désigné par le destin pour sauver la France entreprend de grandes réformes pour régler le problème de l’immigration dans des conditions moralement et humainement irréprochables, comme le dit la devise de l’association Voix des Français (www.vdfr95.com). Son premier acte est de modifier la constitution par référendum pour que le peuple français recouvre l’exercice de la souveraineté. 

    D’abord, il est stipulé que la loi française l’emporte sur les dispositions des traités et les normes du droit international, fût-il européen. Il n’est donc plus question que nos lois subissent la censure de la Cour de justice de l’Union européenne ou de la Cour européenne des droits de l’homme. Tout juge qui prétendrait le contraire se rendrait coupable de forfaiture, crime qui est réintroduit dans le code pénal.

    Ensuite, l’usage du référendum est consacré et généralisé. Toute loi votée par le Parlement peut être soumise à référendum par le président de la République. Un référendum d’initiative populaire a lieu pour toute proposition de loi présentée par 1 % du corps électoral.

    Il est expressément stipulé que la loi adoptée par référendum ne peut être censurée par le conseil constitutionnel ni par aucun autre juge, puisqu’elle émane directement du peuple.

    Enfin, toute décision du Conseil constitutionnel peut être cassée ou réformée par décision du président de la République, lequel soumet sa décision à l’approbation du peuple par référendum ou à celle du Parlement réuni en congrès et votant à la majorité qualifiée. 

    Second acte : grande loi sur l’immigration

    Le second acte du président de la République est de soumettre au peuple, par un nouveau référendum, une grande loi sur l’immigration, qui comporte huit volets.

    Primo, la législation antiraciste est abrogée en vue de rétablir non seulement la liberté d’expression, mais aussi l’indispensable liberté de discrimination.

    Secundo, la préférence nationale est instituée dans tous les domaines : emploi, prestations sociales, logement…

    Tertio, les contrôles aux frontières sont rétablis, le traité de Schengen dénoncé. 

    Quarto, le droit de la nationalité est réformé, pour que ne subsistent plus que deux voies d’accès à la nationalité française : le jus sanguinis, droit du sang, pour les enfants de parents français; et la naturalisation par décret après vérification de l’assimilation du candidat. Les autres modes d’attribution ou d’acquisition de la nationalité française sont abrogés. En outre, le gouvernement est chargé de réexaminer le statut des millions de Français de papier et invité à les déchoir de la nationalité française en cas d’indignité, de binationalité ou de défaut d’assimilation.

    Quinto, le droit de séjour des étrangers est réformé. Ceux-ci sont tous tenus de demander une autorisation de séjour, qui leur est accordée discrétionnairement par l’administration et pour un temps déterminé, lequel ne peut dépasser cinq ans, et qui est révocable ad nutum. Toutes les dispositions qui faisaient obligation à la France de recevoir un étranger sont déclarées nulles et non avenues, sans exception, notamment le droit d’asile et le regroupement familial, mais aussi les règles de l’Union européenne dont bénéficient les ressortissants de pays membres, comme les Romanichels venus de Roumanie ou d’ailleurs.

    Sexto, tout étranger à qui une autorisation de séjour a été accordée peut être expulsé à tout moment de France par simple arrêté préfectoral, lequel met fin de plano à l’autorisation. Cet arrêté est un acte de gouvernement qui ne peut être contesté devant les tribunaux. Celui qui n’est pas parti de lui-même dans le délai fixé par l’arrêté devient un immigré illégal et il est traité en tant que tel.

    Septimo, les immigrés illégaux, autrement dit les étrangers qui séjournent en France sans autorisation, sont réprimés sans faiblesse. Ces prétendus « sans-papiers » sont déjà des délinquants passibles d’un an de prison en vertu de la loi qui était en vigueur avant l’élection du nouveau président (article L. 621-2 du Code des étrangers), mais celle-ci est renforcée : la peine de prison s’applique désormais à tous les cas, elle est portée à deux ans en cas de récidive et peut être assortie de la confiscation des biens. Les immigrés illégaux ne sont pas poursuivis, sauf exception, à la première interpellation, mais mis en détention administrative avant d’être expulsés manu militari ou relégués en Guyane si aucun pays n’accepte de les accueillir. Condamnés par le tribunal correctionnel, ils sont effectivement emprisonnés s’ils récidivent en revenant en France et sont ensuite expulsés après avoir exécuté leur peine de prison.

    Octies, les immigrés illégaux ne bénéficient plus d’aucune aide. Ces hors-la-loi ne peuvent plus recevoir la moindre aide publique, sous quelque forme que ce soit (allocations, logement, école, soins…). L’aide médicale d’État est supprimée. En outre, les dirigeants d’association, les chefs d’entreprise et tous ceux qui fournissent un emploi, un logement ou une assistance quelconque à un immigré illégal, ne serait-ce qu’en s’abstenant de le dénoncer à la justice, sont systématiquement poursuivis par le procureur de la République au titre de l’article L. 622-1 du Code des étrangers, qui prévoit une peine de cinq ans de prison, étant précisé que les exceptions instituées à  l’article L. 622-4 sont abrogées, ou au titre de l’article 434-4 du Code pénal qui punit de trois ans de prison le recel de preuves.

    Départ de deux millions d’immigrés en cinq ans

    Les progrès sont alors très rapides sur le front de l’immigration. Les immigrés illégaux sont nombreux à quitter la France d’eux-mêmes, n’y trouvant plus ni assistance ni emploi ni logement. Les autres sont expulsés.

    Les immigrés en règle sont obligés de s’en aller quand leur autorisation de séjour est expirée ou si elle est rapportée. Sinon, ils rejoignent les rangs des immigrés illégaux, avec toutes les conséquences que cela implique. 

    Grâce à cette politique de salut public, le nouveau président réussit à faire partir de France deux millions d’immigrés en cinq ans. Le rêve !

    Henry de Lesquen, président du Carrefour de l’Horloge

    (ancien Club de l’Horloge)

    • Une première version de cet article a été publiée dans La Voix des Français, n° 128, novembre 2010, et depuis mis en ligne sur Carrefour de l’Horloge.

    http://www.europemaxima.com/?p=4555

  • « En avoir ou pas »

    En Russie, on est viril, tout simplement. Et un peuple viril a des chefs qui le sont aussi.

    Sachant que Sarkozy est un grand nerveux, il a voulu lui faire le coup que Franco a fait à Hitler en octobre 1940 à Hendaye : il l’a fait attendre un bon moment. Sacré Poutine ! Il est pâlot comme une bouteille de lait, il est petit, presque laid. Parfois, quand il s’exprime à la télé, on dirait presque un adolescent timide. Il est vrai que d’autres fois, on n’a vraiment pas envie de le chatouiller. Eh bien, malgré tout cela, ils sont tous tombés sous son charme : les Schröder, les Berlusconi, les Fillon et, donc, notre Sarko national. De vrais vassaux ! Avec des yeux pleins d’humilité et un sourire d’écolier de classe primaire, enfin … un écolier appliqué d’hier pas dévergondé comme celui d’aujourd’hui. Mais pourquoi ? Parce que l’obsession fondamentale – quoique inconsciente – de tout homme normalement constitué … est d’en avoir. C’est existentiel, eschatologique même.

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  • Fin de la campagne d’automne des 40 Days for Life

    519 bébés ont été sauvés par la prière des militants.

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    Michel Janva

  • Interview exclusive de Tony O’Neill, leader du Parti du Peuple Celte 5/5 : l’immigration

    Alors que les provinces françaises se battent pour sauver leurs langues et traditions régionales, NOVOpress vous propose une interview exclusive du fondateur irlandais du Parti du Peuple Celte – PPC —. Nous publions cet entretien-fleuve en cinq parties afin de vous en offrir une lecture plus agréable. La première est consacrée à la naissance du mouvement et aux questions politiques. La seconde est axée sur la défense de la culture celte, le monde celtique et les liens que noue le PPC avec la diaspora celte dans le monde. La troisième traite des questions liées à l’Union Européenne. Les deux dernières sont consacrées à l’immigration. >

    NOVOPRESS : Il y a des millions d’Irlandais dans le monde entier, bien éduqué et profondément attaché à leurs racines : comment se fait-il que votre gouvernement ne cherche pas à les faire revenir au lieu d’accueillir des personnes n’ayant aucun intérêt dans vos valeurs à l’exception des allocations sociales, sans compétences spécifiques et ne parlant pas anglais ?

    Tony O’Neill : Officiellement, il y a 78 000 de nos jeunes qui sont ENCOURAGÉS à quitter nos terres pour chercher du travail à l’étranger, et comme vous le dites, des milliers d’immigrants sont autorisés à venir sur notre sol. La plupart des gens sont en désaccord avec cette politique. Il n’y a pas de zone soumise à la charia – pas encore —, mais cela arrivera forcément à moins qu’une voix politique ne s’élève pour dire STOP à cette invasion planifiée. Ce sera l’action du PPC et nous travaillons à cette tâche quotidiennement. Quand nous monterons en puissance avec notre réseau d’ambassades locales, nous mettrons en place une politique dans le monde entier pour encourager le peuple celtique à revenir en Irlande pour aider à construire notre pays dans les années à venir.

    NOVOPRESS : De nouvelles mosquées – désolé, de « centres culturels » — sont censés être construit dans toutes les grandes villes : l’Islam se propage à toute vitesse en Irlande. Avez-vous déjà des zones conformes à la charia comme Blanchardstown peut-être ? Et en France, il y a eu une invasion de Kebabs, des sandwicheries petit prix, tout halal, venant de l’argent de la drogue pour être blanchi facilement : avez-vous vu la même chose en Irlande ?
    Tony O’Neill : Cela ne va pas si loin, mais l’invasion de l’Irlande est très récente. Et à moins d’arrêter cette invasion, nous serons sans aucun doute aussi « enrichis » à l’instar de la France.
    NOVOPRESS : Avant chaque élection, nous voyons en France diverses associations musulmanes monnayer leur soutien aux politiciens locaux en échange de logement à loyer modéré ou de menus halal dans les écoles, offrant du soutien éducatif aux enfants, organisation des fêtes, etc. Et la plupart de nos politiciens accèdent à toutes ces exigences, espérant se gagner le vote de cette communauté mal intégrée, qui préféré l’islam à la démocratie. Les politiques irlandais font la même chose ?

    Tony O’Neill : Encore une fois cela ne va pas si loin, mais c’est seulement parce que les immigrants n’ont pas la concentration suffisante et ne sont pas politiquement organisés – pour le moment. Nous avons donc encore un peu de temps pour sauver notre pays.

    NOVOPRESS : Le dogme officiel lorsque des pays sont confrontés au terrorisme musulman et à ses atrocités comme en France, Grande-Bretagne, Belgique, États-Unis, Tunisie, Irak, Syrie, Nigeria, Égypte, Chine, Turquie, Australie, Yémen, Indonésie, etc., etc., etc. est de dire que cela n’a rien à voir avec l’islam : subissez-vous le même discours en Irlande ?
    Tony O’Neill : Oui, mais le PPC dit la vérité aux gens. Nous allons continuer à dire cette vérité et ce que l’invasion en cours signifiera pour l’Irlande et pour l’Europe sauf nous pouvons tout arrêter MAINTENANT !
    NOVOPRESS : En ce qui concerne votre action en Irlande et vos nombreux liens avec les communautés celtiques dans le monde entier… Quels conseils donneriez-vous aux militants désireux de défendre leur identité ? Se battre par des actions métapolitiques ? Attirer l’attention des médias et du public ? Coordonner une vision européenne celte avec leur identité locale ?

     

    Tony O’Neill : Soyons clairs, si des militants voulaient enfreindre la loi, je leur conseillerai de se montrer plus malins que cela et de travailler pour obtenir le pouvoir par les urnes. Cela ne sert à rien de manifester dans les rues. Nous avons vu des manifestations monstres de PEGIDA en Allemagne et d’autres groupes en Europe et pourtant l’invasion de l’Europe continue. Il y a qu’un seul moyen pour sauver l’Europe, et c’est en remportant le pouvoir politique. La plupart des peuples européens ne veulent pas d’une Europe envahie, mais ils n’ont pas voix politique pour exprimer ce point de vue. Il appartient à chaque homme et femme européens de devenir politiquement actif dans leurs pays et faire ce que nous faisons en Irlande : devenez actifs, organisez-vous, faites de la politique. Obtenez le pouvoir !
    NOVOPRESS : Et enfin M. O’Neill, quelle est votre vision d’une Irlande idéale dans un monde parfait ?
    Tony O’Neill : Une Irlande idéale serait un pays celtique où notre peuple serait dirigé par des personnes ayant une grande force morale dans leurs cœurs et un vrai sens de l’honneur dans leurs âmes. Je voudrais voir tous les peuples de tous les pays — non seulement européens, tous les pays — conduits d’une manière similaire.

    http://fr.novopress.info/194310/interview-exclusive-tony-oneill-leader-du-parti-du-peuple-celte-55-limmigration/