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  • "Pardon les enfants" : un livre sur le traumatisme de l'avortement et la joie de la conversion

    Ce livre-témoignage peut être commandé aux éditions Salvator :

    6a00d83451619c69e201bb08e24784970d-320wi.jpg"Ce livre se lit comme un roman mais ce n’est pas un roman. C’est l’histoire vraie d’une femme d’aujourd’hui, Rose. D’une femme blessée dès sa jeunesse et qui va porter longtemps les conséquences de son premier traumatisme : le viol. Comme tout le monde, Rose recherche le bonheur. Elle a été créée pour cela. Hélas, ses choix pour y parvenir sont sans issue et passent en particulier par l’horreur de l’avortement. Avec son bébé, Rose en sera la victime car cet acte n’est jamais anodin et marque durablement la psychologie de la femme qui l’a vécu. Que l’avortement ait été médicamenteux ou chirurgical, ses effets sont dévastateurs : dépression, mésestime de soi, culpabilité, perte de l’envie de vivre... Mais comme tant d’autres femmes, Rose a voulu choisir la vie.

    Dans son parcours cahotique, elle a fait la rencontre bouleversante du Christ Jésus. La miséricorde de Dieu l’a relevée comme Jésus releva la femme adultère de jadis. C’est ce retour à la vie que raconte ce livre."

    Précisions de l'auteur pour le Salon beige :

    "Il relate le récit de Rose qui témoigne de son avortement, puis de sa rencontre avec le Christ. L'auteur raconte ensuite comment elle a dû échapper ensuite aux pressions de mort dans son entourage et dans le monde médical pour  sauver ses propres bébés (issus de pères différents)de l'avortement. Elle relate aussi comment elle a su se libérer de la chair pour découvrir la joie de la chasteté et se lancer à "corps sauvé" dans la proposition de l'Eglise pour retrouver des repères de vie et se lancer dans le sauvetage humain."

    Philippe Carhon

  • Juppé défend Goldman Sachs d’avoir trafiqué les comptes de la Grèce

    Pourtant, en vrac :

    Quand Goldman Sachs aidait la Grèce à tricher pour 600 millions d’euros

    Goldman Sachs avait échangé de la dette grecque à un taux fictif en 2001, permettant à Athènes de maquiller ses comptes publics. Aujourd’hui le pays fortement endetté doit 600 millions d’euros à la banque américaine.

    Le gouvernement grec pourrait poursuivre Goldman Sachs

    Athènes étudierait la possibilité de poursuivre la banque pour avoir aidé la Grèce à maquiller ses comptes afin de cacher sa dette à ses partenaires européens.

    https://susauxbanques.wordpress.com/2015/07/24/juppe-defend-goldman-sachs-davoir-trafique-les-comptes-de-la-grece/

  • L’Etat islamique aurait infiltré de nouvelles cellules terroristes en Europe

    L’Etat islamique aurait fait entrer de nouveaux « combattants » en Europe : c’est ce qu’a affirmé Paul Van Tigchelt, patron de l’Ocam, l’Organe de coordination pour l’analyse de la menace, lors d’une conférence de presse tenue ce matin. L’Ocam a pour mission, sous l’autorité du ministère belge de la Défense, « d’effectuer des évaluations stratégiques et ponctuelles sur les menaces terroristes et extrémistes à l’encontre de la Belgique ».

    Le fait que cette information soit donnée par un organisme belge ne signifie pas que les commandos de Daech aient pour mission de perpétrer des actes terroristes en Belgique comme l’ont montré les attentats de Paris, commis par des islamistes partis de Molenbeek.

    Un responsable belge de l’antiterrorisme évoque une menace permanente sur les « sites sensibles » de divers pays européens, dont la France, ainsi que sur les « soft targets », ces lieux quasiment impossibles à sécuriser qui se caractérisent par une forte densité de population à un moment donné, comme les centres commerciaux.

    Les attentats commis à Bruxelles le 22 mars dernier ont fait 32 morts. A ce jour, 44 personnes sont toujours hospitalisées, dont 24 en soins intensifs.

    http://fr.novopress.info/

  • L'islamisation est une infiltration insidieuse qui s'inscrit dans le temps long

    6a00d83451619c69e201b7c83dd660970b-120wi.jpgCéline Pina est une ex-élue PS (adjointe à la mairie de Jouy-le-Moutier dans le Val-d'Oise et conseillère régionale d'Ile-de-France). Après avoir dénoncé le salon de "la femme musulmane" de Pontoise, elle sort un livre  "Silence coupable" dans lequel elle dénonce le déni de la classe politique face à la progression rampante du salafisme mais aussi le clientélisme des élus locaux vis-à-vis des islamistes. Extrait de son interview édifiant recueilli par Marianne :

    Vous dénoncez les élus qui pactisent avec des islamistes en citant des municipalités comme Bagnolet, Cergy-Pontoise ou Aulnay-sous-Bois, mais vous n'accumulez pas de nombreux exemples. Est-ce pour ne pas jeter des noms en pâture ou parce que tout cela reste marginal ?

    D'abord, je n'ai pas mené moi-même une enquête : j'ai pris des exemples que j'ai vus ou dont on m'a parlé. Ensuite, ce n'est pas forcément intéressant de livrer des noms car c'est une logique de système. Surtout, c'est dangereux. Certaines personnes vous racontent des choses, mais ne veulent pas témoigner publiquement de peur d'être violemment attaquées. Les accusations d'islamophobie ferment encore la bouche de beaucoup de monde. Quand quelqu'un d'aussi respectable et respecté qu'Elisabeth Badinter subit de telles attaques pour avoir dit qu'il ne faut pas avoir peur de se faire traiter d'islamophobe, vous imaginez la trouille des gens qui n'ont pas son aura.

    Dans votre livre, vous décrivez des salafistes dans une logique permanente de dissimulation…

    Ce n'est pas une invasion de barbus, c'est beaucoup plus insidieux. C'est de l'infiltration qui s'inscrit dans le temps long. Or, nous ne savons pas observer ces lentes montées en puissances, et quand elles aboutissent, nous sommes complètement décontenancés. Lorsqu'une association a voulu construire une mosquée dans la ville où j'étais élue, elle a d'abord envoyé trois gugusses sur la liste de gauche et trois autres sur la liste de droite. Ceux qui sont envoyés en première ligne sont de vieux chibanis sympas, pas du tout agressifs. Mais derrière, vous voyez souvent des jeunes, plutôt beaux gosses et sportifs, avec un look à la Tariq Ramadan. Ils ne disent jamais rien tant que les places ne sont pas prises, mais à la fin, vous vous rendez compte que ce sont eux qui tirent les ficelles.

    Concrètement, qu'avez-vous observé dans le cas des mosquées ?

    D'abord, la mairie accorde un bail emphytéotique, ce qui permet de subventionner sans le dire. Ensuite, les promoteurs de la mosquée vous demandent de construire un parking, en assurant que c'est l'intérêt général puisqu'il servira à tout le monde. Ensuite, on vous explique que ce serait bien de construire la mosquée à côté du lycée, pour que les jeunes puissent y aller au lieu de traîner dans la rue. Ensuite, on vous demande pourquoi on ne la mettrait pas dans le centre-ville. C'est un moyen de montrer sa puissance et de gagner en visibilité. On ne parle jamais de religion dans ces discussions, qui ressemblent plus à des négociations politiques qu'à une revendication légitime de gens qui veulent pratiquer leur religion dans l'enceinte privée.

    On distingue en général l'islamisme non violent du terrorisme djihadisme, mais vous écrivez que les courants islamistes quiétistes sont en réalité "les préparateurs du terrain". Pourquoi ?

    Parce qu'ils ensemencent des graines de haine, de violences, de rejet de la société et préparent ainsi le passage à l'acte, même si je suis bien consciente que tous ne basculeront pas. Que la prise du pouvoir se fasse par la violence ou la légalité, la société qu'elle installe est la même.Quelle que soit la différence entre les Qataris, l'Arabie saoudite, l'Etat islamique, etc, la finalité est identique : soumission, oppression des femmes, violence envers les homosexuels, refus d'accorder les mêmes droits à ceux qui n'ont pas la même religion… On dériverait alors vers des sociétés claniques, non démocratiques, marquées par une embolie intellectuelle (...)"

    Philippe Carhon

  • "La France va mieux"... Ah bon ?

    Le président Hollande est un éternel optimiste : « la France va mieux », déclare-t-il à la télévision devant un auditoire restreint et peu réceptif, au moment même où quelques centaines de manifestants s'en prennent à des vitrines et à des voitures sans pouvoir atteindre l’Élysée, centre illusoire d'un Pouvoir qui ne l'est pas moins devenu.

    Cela prêterait évidemment à sourire si la situation n'était pas si grave : le chômage, dans sa version dure, touche près de 4 millions de personnes directement mais bien plus si l'on s'intéresse aux familles et aux communes affectées ; les paysages de France sont chaque jour un peu plus dévastés, dans les campagnes, sur les littoraux (et cela malgré les lois de protection du littoral qui, parfois, semblent peu appliquées quand de gros enjeux financiers sont en jeu), mais aussi autour et au centre des villes, comme à Rennes, de plus en plus livrée à certains promoteurs immobiliers sans grands scrupules ; l'agriculturefrançaise est considérée par les politiques comme un problème quand elle devrait être vue, d'abord, comme une grande chance pour la France, pour se nourrir et aménager les territoires, et non pour remembrer ou « violer la nature » comme le fait le productivisme actuel ; le monde, par une mondialisation incontrôlée, est devenue, en de multiples lieux et jusqu'au cœur de nos vies, une véritable poudrière...

    Aussi, dire que « la France va mieux » relève de la langue de bois ou de l'aveuglement, ou des deux à la fois, ce qui n'est guère rassurant : en paraphrasant André Pousse, « le déni, à ce point-là, ça devient gênant »... Il est vrai que la campagne présidentielle de 2017 a déjà commencé et que l'actuel locataire de l’Élysée se verrait bien entamer un second bail de cinq ans, quitte à tordre un peu le bras aux réalités en espérant, malgré les mauvais sondages (mais « sondage n'est pas suffrage », dit-on), apparaître comme le recours face à Marine Le Pen, donnée comme forcément qualifiée pour la phase finale de la présidentielle.

    M. Hollande ment, bien sûr, mais je ne me réjouis ni de ce mensonge ni de la réalité : je souhaite de tout mon cœur que la France aille mieux et que la phrase du président, malheureuse aujourd'hui, devienne une nouvelle réalité. Encore faudrait-il en prendre les moyens et ne pas se perdre en rodomontades idéologiques et ridicules : mais, et c'est le vice de cette République qui se veut la cinquième, la magistrature suprême de son État reste prisonnière des féodalités qui la font et, désormais, la fondent, par le biais d'une compétition présidentielle aux mains des grands partis et des puissances d'argent, adoubées par l'Union européenne malgré nombre de scandales et « d'alertes citoyennes », vite enterrées sous le flux des informations suivantes...

    En cette année électorale, il faudra bien, en définitive,poser la question, la grande question de l’État et de son sens, de sa magistrature suprême : bien sûr, les royalistes devront se faire entendre dans un concert qui ne leur est pas ouvert, et cela « par tous les moyens, même légaux ».

    Car il ne se fera rien de grand ni de juste en politique si l'on laisse l'éternel jeu de rôles de la République et de son élection-reine étouffer toute alternative - et toute parole dissidente - à ce qui constitue, encore et toujours, le « désordre établi » : la France mérite mieux, décidément, que la République... Elle mérite et elle nécessite mieux que la République pour que l'on puisse dire, le plus rapidement et le plus heureusement possible : « la France va mieux » !

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1307:qla-france-va-mieuxq-ah-bon-&catid=50:2016&Itemid=61