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  • Alain Juppé droit dans… la vulgarité !

    Et là, on se dit que les communicants de M. Juppé sont aussi doués que ceux de M. Hollande…

    Alain Juppé commence à m’inquiéter. Depuis plusieurs mois, il a entrepris son opération de ratissage sur tous les terrains : café avec NKM, invitation à la gauche, soutien de Bayrou et même ralliement de l’anti-loi Taubira – M. Mariton. Côté religieux, même éclectisme : très pro-musulman avec son imam bordelais M. Oubrou, il a quand même profité de l’horreur de l’égorgement du père Hamel pour se montrer à Lourdes le 15 août, façon clin d’œil appuyé à l’électorat catholique. À gauche, à droite, au centre, à la mosquée, à l’église : M. Juppé est à l’aise partout. À l’aise ?

    Non, bien sûr. Dans toutes ces opérations de racolage, on a toujours retrouvé ce sans quoi Juppé ne serait pas Juppé : son style froid et sa parole grise, son sérieux d’éternel énarque.

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  • Migrants : Angela Merkel conspuée

    Encore une journée difficile lundi à Dresde pour Angela Merkel venue commémorer les 26 ans de la réunification allemande. Huée et sifflée par plusieurs centaines de personnes, elle n’était toutefois pas le seul dignitaire pris pour cible par la populace, aux cris de « Merkel, dégage ! », « Traîtres », etc. Le président Joachim Gauck a lui aussi fait les frais de la vindicte populaire. Le président du Bundestag était de la partie, de même que le ministre-président de Saxe, membre comme Angela Merkel de la CDU et dont l’épouse a même fondu en larmes. Tous ont parlé du besoin d’ouverture aux autres, de tolérance et de respect mutuel mais n’ont pu s’empêcher, comme à leur habitude, d’insulter ces Allemands inquiets pour l’avenir de leur pays face à l’invasion migratoire, les traitant de racistes et d’extrémistes, et les mettant sur le même plan que les terroristes islamistes.

    Pour le correspondant de la chaîne Deutsche Welle, ces protestations ne sont pas représentatives de l’ensemble du peuple allemand mais il faut bien reconnaître qu’elles sont devenues chose courante. Aussi les dirigeants socialistes français, habitués des sifflets et des quolibets quand ils viennent au contact du peuple, n’ont-ils plus grand-chose à envier à leurs collègues allemands. 2 600 policiers étaient présents pour assurer la sécurité des élites lundi à Dresde où deux bombes artisanales avaient explosé une semaine plus tôt, dont une devant le centre des congrès et l’autre devant une mosquée.

    Mais il n’y a pas que l’ex-Allemagne de l’Est où la tension est grande, car même dans l’ouest du pays, où la chape de plomb du politiquement correct pèse plus lourdement sur les esprits, les incidents se multiplient, de l’aveu même d’un rapport publié fin septembre par le gouvernement fédéral sur l’état du pays 26 ans après la réunification.

    Ainsi, dans la petite commune d’Oersdorf (900 habitants), près de Hambourg, le maire insistait pour accueillir des « migrants ». Malgré les menaces qu’il avait reçues, le maire de 61 ans a voulu organiser jeudi une nouvelle réunion avec les fonctionnaires de la ville pour discuter de la question, même si des réunions précédentes avaient dû être écourtées à deux reprises après de fausses alertes à la bombe. Six policiers étaient présents pour sécuriser la réunion, mais Joachim Kebschull est retourné seul à sa voiture pour y prendre son ordinateur, et c’est là qu’il a été violemment agressé et laissé sans connaissance sur le trottoir.

    Olivier Bault

    Article pau dans Présent daté du 5 octobre 2016

    http://fr.novopress.info/200870/migrants-angela-merkel-conspuee/

  • Avez-vous lu le livre consacré aux 10 ans de Synthèse nationale ?

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    En dix ans la revue Synthèse nationale s'est imposée comme un véritable pôle de résistance au mondialisme destructeur des peuples et des nations.

    Dans cet entretien, Roland Hélie, son fondateur et directeur, nous raconte l'histoire de cette organisation à travers ces dix années de combat. 

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  • 3 questions à Guillaume de Prémare sur le colloque Catholiques en action

    Week-end action

    Questions à Guillaume de Prémare, délégué général d’Ichtus, sur le colloque Catholiques en action

    Quel sera le contenu du prochain colloque Catholiques en action ?

    Le premier contenu, ce sont les participants car c’est d’abord un lieu de rencontres et d’échanges entre catholiques engagés ou désirant s’engager. Le forum des catholiques en action rassemblera le samedi après-midi une trentaine d’associations et initiatives et leurs leaders dont LMPT, Alliance Vita, Fondation Lejeune, AFC, Fondation pour l’école, Fondation Espérance Banlieue, Les Gavroches, Les Veilleurs, Les Sentinelles, AED, SOS Chrétiens d’Orient, Les Alternatives catholiques, Parents pour l’école, La Boussole, Limite, etc.,. Nous recevrons également une vingtaine d’auteurs pour une séance de dédicaces[1]. Ensuite, le colloque est un lieu réflexion. Nous avons choisi comme thème « Refaire le politique » parce que la faillite de la chose publique montre l’importance de l’engagement des catholiques pour contribuer à un renouveau civique.

    Quels seront les intervenants ?

    Avec Mathieu Detchessahar, professeur agrégé à l’Université de Nantes, nous verrons l’importance de traiter la question des structures économiques pour redonner toute sa place au politique. Alexandre Dianine-Havard, conseiller auprès de chefs d’Etats et de chefs d’entreprises, nous parlera dimanche matin des hommes et de la magnanimité qui fait les leaders. Réflexions inspirantes en période électorale quand la France a besoin de grandeur. Enfin, Ludovine de la Rochère reviendra sur l’importance des enjeux familiaux, à la veille de la grande manifestation nationale du 16 octobre pour ne Rien Lâcher !

    Il sera donc possible de participer au colloque et à la manifestation…

    En effet, nous avons adapté l’agenda du colloque, pour permettre à tous de battre le pavé parisien le dimanche après-midi. Nous nous retrouverons donc le samedi de 14h30 à 22h, puis le dimanche matin à 9h pour une messe pour la France, célébrée par Mgr Eric de Moulins-Beaufort. Nous écouterons ensuite Alexandre Dianine-Havard avant de partir pour la manifestation en fin de matinée. Il est possible de commander un pique-nique pour le dimanche et il y a une garderie pour les enfants le samedi et le dimanche.

    Inscriptions

    [1] Jean Sévillia, Tugdual Derville, Jean-Marie Le Méné, Erwan Le Morhedec, Patrice de Plunkett, Louis Manaranche, Charles Beigbeder, Mathieu Detchessahar, Alexandre Dianine-Havard, Pierre de Lauzun, Henri Hude, Annie Laurent, Jacques Trémolet de Villers, Natalia Trouiller, Ivan Rioufol, Nicolas Diat, etc.

    Michel Janva

  • La « Justice » dans la France hollando-vallsienne

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    Philippe Vardon, élu de PACA, agressé... et condamné

    Bernard Plouvier

    Dans Les Nuées de l’antique Aristophane, l’on trouve ce vers cynique : « La Justice, je l’affirme, ça n’a même pas une ombre d’existence ». Désabusée ou pas, l’affirmation du poète comique, ancêtre spirituel (avec moins de grossièreté et davantage de subtilité) de Louis-Ferdinand Destouches, dit « Céline », illustre parfaitement la comédie judiciaire de la VeRépublique, entrée dans sa phase d’agonie et de pourriture terminale.

    Deux affaires judiciaires tombent de façon quasi-simultanée, diffusées sur le Net, car il ne faut pas attendre grand-chose des media collaborateurs du globalo-mondialisme et de l’immigration-invasion. Dans les deux cas, la « Justice » déraille, comme le font d’ailleurs une partie des commentateurs débiles qui s’expriment sur le Net.

    Un tribunal du Sud-Est condamne une victime d’agression ! Un homme, Philippe Vardon, attaqué en même temps que sa femme et sa fille, par trois lascars issus de l’immigration maghrébine (dont deux repris de justice), a osé se défendre et protéger sa famille. Au fait, avec quoi s’est-il défendu ? Avec ses clés de voiture (une arme de première catégorie, c’est bien connu) et une bombe lacrymogène, tandis que ses honorables agresseurs l’ont blessé d’un coup de couteau (d’où une incapacité de travail de plusieurs jours pour l’agressé).

    Oui, mais voilà : les honorables agresseurs l’accusent d’avoir proféré des « mots racistes » (dire « rouaacistes », par respect pour le défaut de prononciation d’une langue étrangère par d’honnêtes maghrébins) et, circonstance éminemment aggravante, ce citoyen européen de souche est un élu local du Front National, de la tendance identitaire, pas la version centre-droit de l’actuelle direction invertie.

    Agressé – donc couvert par le principe d’antique jurisprudence de la légitime défense -, blessé par arme blanche, l’élu est condamné à six mois de prison FERME !!! Aurait-il mieux valu qu’il se laisse tabasser et larder de coups de couteaux par ses estimables agresseurs maghrébins, sans préjudice des sévices sexuels infligés à son épouse et à sa fille ? Au vu de la décision de première instance judiciaire, c’est probable. L’affaire sera rejugée en appel… et l’on se demande où passe l’argent du contribuable !

    La leçon à tirer de cette première histoire, c’est que les honnêtes citoyens n’ont rien à attendre de juges carriéristes, perturbés soit par leurs idées politiques, soit par des suggestions « venues d’en-haut ».

    Plutôt que de se faire massacrer, violenter, blesser sans réagir, il peut paraître préférable, aux Français de souche européenne, d’organiser ces milices citoyennes. Il est illusoire de faire confiance aux « forces de l’ordre » et bien plus encore à une « Justice » de plus en plus bizarre dans ses jugements. Si l’on ne s’organise pas, l’on risque un jour ou l’autre de voir des « vengeurs » s’arroger le droit de nettoyer nos cités des racailles qui les polluent.         

    La seconde histoire est pire encore, car elle touche à la vie de famille et à l’éducation qui est un Droit absolu des parents, sauf s’ils sont indignes ou imbéciles. Une mère de famille de la Réunion bat son délinquant de fils à coups de ceinture en filmant la chose puis en diffusant la correction sur le Net. Plus intelligente que nombre de magistrats et d’agents d’encadrement de la jeunesse, elle croit au caractère dissuasif du châtiment : de fait, durant des siècles, ce fut l’un des fondements tant de l’organisation judiciaire que de la théologie morale.

    Cette mère aurait dû être blâmée pour avoir mal éduqué son rejeton qui est entré, encore mineur d’âge, dans la délinquance, et félicitée pour avoir – peut-être un peu tard – tenté d’inculquer de sains principes à son fils. C’est bien sûr l’inverse que l’on observe. La mère est déférée à la « Justice » et le petit chéri plaint par des centaines de crétins de blogueurs… ce qui réalise les conditions expérimentales pour transformer ce délinquant en psychopathe assoiffé de publicité.

    Notre France va mal. Plus exactement, elle marche sur la tête depuis que des gosses de riches ont, en 1968 et ensuite, déversé des tombereaux d’âneries freudiennes et marxistes à propos d’une société dont ils ne connaissaient rien que les voitures de sport, le haschich et le LSD, les amants de maman et les poules de luxe de papa.

    Il est temps de réaliser une authentique révolution culturelle. En l’occurrence d’en revenir aux fondamentaux : le Code Napoléon, dans toute sa rigueur ; l’adéquation entre race et continent ; une instruction dépolitisée, technique et humaniste, dépourvue de toute référence religieuse, mais insistant sur les notions d’honneur, de travail, de famille et d’appartenance au continent européen et à sa race.

    Il n’est jamais trop tard pour bien faire.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Le PS espagnol, plus démocrate que le PS français ?

    Si le Parti Socialiste, par son abstention, permettait au gouvernement Rajoy de poursuivre sa route, ce serait une grande leçon de démocratie.

    Alors qu’elle bouleverse la politique interne de l’Espagne et fait la une de tous les médias nationaux, il est étonnant, pour ne pas dire stupéfiant, que la démission de Pedro Sánchez, leader du PSOE (Parti socialiste espagnol), n’ait pas eu davantage de résonance auprès du Président et du gouvernement français.

    Pedro Sánchez exigeait, une nouvelle fois, de dire « NON » à la formation d’un nouveau gouvernement dirigé par Mariano Rajoy et le PP (Parti populaire).

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  • Relaxé par la justice, le général Piquemal est radié des cadres de l'armée française

    L'affaire avait fait grand bruit en février 2016. Relaxé par la justice en mai 2016 après un rétro pédalage politiquement correct, le ministre de la défense a eu ce qu'il voulait : la radiation des cadres du général (2S) Piquemal :

    6a00d83451619c69e201b7c89bd829970b-320wi.jpg"Le général de corps d'armée Christian Piquemal, qui avait participé à une manifestation non autorisée contre la politique migratoire à Calais le 6 février dernier, est, selon nos informations, radié des cadres. Cette mesure disciplinaire très forte intervient comme une surprise, cinq mois après sa comparution devant le tribunal de Boulogne-sur-mer, d'autant que l'institution judiciaire l'avait finalement relaxé le 26 mai (...)

    Depuis sa relaxe, le général Piquemal s'estimait «totalement blanchi», le Parquet n'ayant pas fait appel de ce jugement. Mais sur le plan administratif, une procédure disciplinaire, lancée en mars par le ministre de la Défense, vient d'aboutir à sa radiation des cadres, le devoir de réserve du militaire étant au cœur du dossier. Le général, qui l'a seulement appris mi-septembre par un courrier recommandé, avait été entendu le 14 juin par le Conseil Supérieur de l'Armée de Terre (CSAT), siégeant disciplinairement à l'Hôtel des Invalides à Paris. L'instance avait transmis son avis consultatif - non communiqué au général ni à ses deux avocats - au ministère de la Défense, et la radiation avait ensuite été prise par un décret du 23 août signé par le président de la République, le premier ministre et le ministre de la Défense (...)

    «Profondément indigné par cette décision injuste et injustifiée, excessive et disproportionnée», réagit-il. Le général quatre étoiles entreprend aujourd'hui une procédure de recours devant le Conseil d'État, confie-t-il au Figaro, «avant d'aller devant la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH), si besoin». «Cette sanction est un hiatus, une anomalie grave, en totale contradiction avec ma relaxe, se scandalise-t-il. C'est le désaveu du pouvoir judiciaire par le pouvoir administratif, cela bouleverse la hiérarchie des normes juridictionnelles, c'est tout simplement du jamais-vu!» (...) Si son grade ne peut lui être retiré, le port de son uniforme lui est en revanche interdit, tout comme sa carte d'identité militaire d'officier général - en principe accordée à vie. C'est l'atteinte à ces symboles forts et ce retour forcé au statut civil qui lui «font le plus mal», plus que les autres attributs, notamment financiers, liés à son statut. «Le plus inacceptable pour moi, c'est d'être mis au ban de cette manière après avoir donné quarante années au service de la France, d'être rayé comme ça et traité comme un paria» (...)

    Pour beaucoup de ses soutiens, cette sanction disciplinaire n'est rien d'autre qu'«un règlement de compte politique», dit l'un d'eux. «Si l'administration estime que j'ai transgressé mon devoir de réserve (...) en usant de ma liberté d'expression, analyse le général, cela veut dire une chose: c'est que ma liberté d'expression ne peut être que celle de la pensée dominante. Et si elle n'est pas conforme à la bien-pensance politique, alors elle est sanctionnée. La vérité, c'est que mon cas sert d'instrument pour faire taire la Grande Muette, car les officiers généraux s'expriment aujourd'hui beaucoup plus qu'avant. Ils veulent faire de moi un exemple pour imposer le silence dans les rangs».

    Philippe Carhon