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  • Brexit

    Dans son discours de clôture du congrès du parti conservateur, hier, Theresa May s’est montrée ferme tant sur un Brexit « hard » que sur la lutte contre l’immigration. Et elle a lancé : « Si vous pensez être un citoyen du monde, vous êtes un citoyen de nulle part. »

    La veille, Amber Rudd, ministre de l'Intérieur, a dévoilé un plan qui vise à inciter les entreprises à publier une liste de leurs employés non-britanniques et à privilégier la main d'œuvre nationale (autrement dit à montrer du doigt ceux qui ne pratiquent pas la préférence nationale). « Ce n'est pas parce que je suggère que les étrangers prennent les emplois des britanniques que je suis raciste », a-t-elle affirmé.

    Au même moment, le ministre de la Santé, Jeremy Hunt, a expliqué comment il voulait rendre « autosuffisant en médecins britanniques » le système de santé public dont un quart des effectifs actuels est constitué d'étrangers.

    http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2016/10/06/brexit-5857182.html

  • L’Union européenne voudrait-elle s’élargir au Maghreb ?

    L’Union dite « méditerranéenne » est une idée à laquelle Nicolas Sarkozy croit depuis 2008.

    « L’Algérie, qu’en sera-t-il dans l’avenir, de son développement, de sa situation ? C’est un sujet qui, me semble-t-il, doit être traité dans le cadre de l’Union pour la Méditerranée (UPM) », disait Nicolas Sarkozy l’an passé à Tunis. Puis, pris par son élan, il approfondissait son analyse : « Il y a un lien entre la situation de la Méditerranée du Nord et celle de la Méditerranée du Sud. C’est l’alliance des pays du Nord et du Sud qui permettront (sic) de récréer les conditions du développement. »

    L’Union dite « méditerranéenne » est une idée à laquelle Nicolas Sarkozy croit depuis 2008. Lancée avec faste le 13 juillet 2008 au début de la présidence française de l’Union européenne, le projet échoua lamentablement face à la réalité de l’échec des négociations du processus de paix au Proche-Orient. Cela ne décourage pas l’ancien Président, qui essaye ponctuellement de ressusciter son idée…

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  • Bordeaux : Camouflet pour le préfet, 150 patriotes girondins s’imposent à Talence

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    Le préfet de Gironde, Pierre Dartout, avait osé, ce jeudi 6 octobre, interdire le rassemblement du SIEL devant la mairie de Bordeaux organisé dans le cadre de la quinzaine « Sauvons notre pays » sous le fallacieux prétexte d’une contre manifestation appelée par les antifas.

    les organisateurs, François Jay du SIEL Gironde et son Président, Karim Ouchick, n’étaient pas décidés à s’en laisser compter. Ils décidèrent donc subtilement à contourner l’interdiction du préfet.

    A 16h30, au cimetière de Bordeaux, Christine Tasin, rendit un vibrant hommage à Flora Tristan devant la tombe de cette dernière. Elle expliqua la réalité de son combat pour gagner sa liberté, qu’elle n’aurait jamais pu conquérir en pays musulman.

    Ensuite, alors que les antifas les attendaient devant la mairie de Bordeaux, les patriotes girondins contournèrent l’interdiction du préfet et allèrent à Talence, situeé à 5 kilomètres de Bordeaux.

    Dans cette ville, gérée par les socialistes, avec l’accord du maire, vont s’installer dans 5 jours au château des Arts, cinquante clandestins venus de Calais, sans aucune concertation avec la population.

    Les patriotes girondins avaient décidé de faire un pied de nez au préfet Dartout et de s’imposer à Talence en deux endroits.

    A 18h30 une vingtaine de manifestants ont déployé deux banderoles devant la future habitation des clandestins refusant l’invasion migratoire et la dictature de la charia.

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    Pierre Cassen fit une prise de parole très appréciée par les passants qui souvent applaudissaient à tout rompre et levaient le pousse en signe d’approbation.

    Mais le plus beau restait à venir.

    A 19 heures, convergèrent de plusieurs endroits 150 manifestants et se retrouvèrent devant la mairie de Talence avec banderoles et drapeaux.

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    Karim Ouchick, président du SIEL, fit une brillante intervention, expliquant aux participants et aux nombreux passants les raisons de cette action, il fut très applaudi. Il annonça que le 5 novembre le SIEL organisera une journée nationale d’action dans les rues de Paris contre l’invasion migratoire.

    Renaud Camus conclut ce rassemblement par une prise de parole dont il a le secret.

    Tous les patriotes présents étaient ravis de s’être retrouvés tous ensemble et du formidable pied de nez qu’ils avaient infligé au préfet et aux collabos antifas.

    Les amis du SIEL avaient fort bien organisé les choses et avaient réservé à Bègles (chez l’islamo collabo Noël Mamère) un restaurant où cinquante d’entre eux finiront la soirée.

    Jeanne Bourdillon

    http://ripostelaique.com/bordeaux-camouflet-pour-le-prefet150-patriotes-girondins-simposent-a-talence.html

  • Pronostics primaires et secondaires

    Le 4 octobre le FN  soufflait ses   quarante-quatre bougies  (que de chemin parcouru depuis sa création lors d’un fameux meeting au palais de la Mutualité!) et le lendemain c’était le magazine Valeurs actuelles qui fêtait ses cinquante ans en grande pompe aux Invalides. 500 invités dont Marine,Marion, Philippe de Villiers, Jean-François Coppé, Eric Ciotti, Philippe Lellouche,  Eric Zemmour, Elisabeth Lévy avaient répondu à l’invitation du  journal   dont le ton droitier et offensif est plébiscité par un nombre croissant de lecteurs . « Dans le monde actuellement déprimé de la presse écrite » indique Libération,  « entre juillet 2015 et juin 2016, les ventes ont grimpé de 5% sur un an, pour s’établir à 124 000 exemplaires par semaine en moyenne d’après l’ACPM. Quand Yves de  Kerdrel est arrivé fin 2012, le magazine publiait 87 000 exemplaires… » Si M. de Kerdrel est souvent accusé de « rouler pour Nicolas Sarkozy » (il s’en défend), la semaine qui vient de s’écouler nous invite surtout à nous interroger   sur les présupposés idéologiques,  dogmatiques  d’une certaine justice.

    Ainsi  la persécution dont est victime le FN  s’est manifesté hier avec  le renvoi  en procès de  Wallerand de Saint-Just et Jean-François Jalkh, dans l’enquête sur des soupçons d’enrichissement  aux frais de l’Etat lors des campagnes législatives et présidentielle de 2012. Lundi  c’était le tribunal correctionnel de Draguignan qui, suivant les réquisitions du  procureur Michel Darras,  a condamné  Philippe Vardon  (et ses trois  agresseurs) à six mois de prison ferme! Rappel des faits: le 30 mars 2014 à Fréjus, le soir de du second tour des élections municipales qui avait donné la victoire à David Rachline, le futur conseiller régional FN de PACA avait été attaqué, en compagnie de sa femme et de ses deux  enfants (âgés de 7 ans et deux ans) par trois jeunes maghrébins  multirécidivistes armés respectivement d’un cric, d’une manivelle et d’un démonte-pneu. M. Vardon avait réussi à protéger sa famille et à repousser les « jeunes » rendus agressifs par le résultat du vote des habitants de Fréjus. Mal lui en a pris: « L’origine de ces violences réciproques demeurera incertaine, Mais les violences, elles sont certaines » a affirmé le procureur pour justifier la fausse symétrie de la peine prononcée, les agresseurs se disant victimes d’injures racistes et de coups. Le conseiller régional FN a fait appel de cette décision proprement stupéfiante qui ne peut qu’accréditer pour beaucoup la thèse d’une « justice » partisane.

    Aberrante est aussi pour certains la croyance de Nicolas Sarkozy en une participation massive des électeurs frontistes à la primaire de la droite et du centre qui lui permettrait de l’emporter sur Alain Juppé. Certains  sondages (vraiment fiables?) indiquent que que 10% des participants à la primaire seraient proches de la gauche, mais qu’ une proportion identique de sympathisants frontistes se déplaceraient pour participer à ce scrutin. Certes, ce n’est pas gagné. Selon une autre  enquête, Odoxa pour France 2 réalisé les 29 et 30 septembre, 62% des Français jugent l’ex et l’actuel président de la République aussi mauvais l’un que l’autre. Ils sont respectivement 33% et 27% à souhaiter que Nicolas Sarkozy et François Hollande jouent à l’avenir un rôle politique important, loin derrière Alain Juppé (68%) et Marine Le Pen (50%).

    Sur le site de Marianne le 3 octobre Louis Hausalter notait que si Alain Juppé fait clairement de l’oeil aux « déçus du hollandisme », les invitant  à participer au scrutin de novembre, l’ancien président compte, lui, rabattre les électeurs du FN. Nicolas Sarkozy rêve donc d’un hold-up sur l’extrême droite pour surclasser son adversaire.»

    «Dans l’état actuel des choses, les personnes qui se déclarent certaines d’aller voter à la primaire sont loin d’être homogènes idéologiquement. On n’a pas 80% de sympathisants LR », observe Jérôme Fourquet, directeur du département Opinion et stratégies d’entreprise de l’Ifop. Signe que certains électeurs FN pourraient en effet se mêler de la désignation du candidat de la droite, attendu qu’aucun sondage ne donne Marine Le Pen victorieuse à la présidentielle, poursuit-il : Ils sont au FN, mais ils voient la primaire comme un moyen d’effectuer un second choix.  Même si ces scénarios sont à prendre avec des pincettes, d’autant que sur le terrain, la frontière est évidemment loin d’être étanche entre FN et droite républicaineDe nombreux électeurs de droite sont idéologiquement très proches de l’électorat frontiste», avertit Jérôme Fourquet.

    « Sarkozy a compris qu’il y allait avoir quatre millions d’électeurs à la primaire. C’est pour ça qu’il va chercher les gens du FN, c’est son pari, assure un député filloniste, qui reste sceptique : Je n’y crois absolument pas. Mon analyse, c’est que le vote FN est un vote fidèle.  Un proche de Nicolas Sarkozy qui fait le pari exactement inverse se lance même dans une explication teintée de psychologie pour étayer sa démonstration : « L’électeur FN, il se planque, il a peur des soupçons. En allant voter à la primaire de la droite, il se refait une petite virginité : “vous voyez bien que je ne suis pas Front !”». Outre le fait que l’électeur FN se planque de moins en moins, c’est très mal le connaître affirme Bruno Gollnisch, être bien déconnecté de la réalité, que de croire qu’il se sentirait obligé de se refaire une virginité, a fortiori de cette manière!

    Ce qui est vrai c’est que certains frontistes, conscients de la désaffection de beaucoup de Français pour M. Sarkozy, espèrent une victoire de ce dernier à la primaire, estimant qu’il serait un adversaire qui ouvrirait plus de perspectives de victoire à la présidentielle pour laprésidente du FN que le maire de Bordeaux.

    D’abord expliquent-ils parce qu’une victoire  de Sarkozy générerait une candidature du centre, celle de de François Bayrou probablement, qui  se rallie  pour l’instant au panache gris de M Juppé. Ce qui accentuerait  le virage en tête de Marine au premier tour et pourrait éliminer le candidat de la « droite » du second. De plus, même en cas de qualification de M. Sarkozy pour le second tour face à Marine, après élimination des  champions du PS et de la gauche de la gauche, le positionnement droitier d’un Sarkozy souhaitant rattraper par le col  l’électorat national le priverait, du moins en grande partie, des réserves de voix en provenance de la gauche, contrairement à M Juppé dans le même cas de figure… Pour autant, les sympathisants marinistes et frontistes se livrant à ce type de prospectives et de calculs électoraux se déplaceront-ils dans des proportions significatives pour aller voter Sarkozy à la primaire?

    Quant à Alain Juppé sa prestation hier sur le plateau de David Pujadas sur France 2 n’a fait que confirmer qu’il ne possède pas la vista, n’entend pas mettre en œuvre les solutions nécessaires, courageuses pour enrayer le déclin de notre pays. Invité de  BFM Politique dimanche dernier, l’essayiste et philosophe se revendiquant de la gauche antilibérale,  Michel Onfray, en est aussi convaincu. Il a redit pareillement son opposition radicale à M. Sarkozy, rappelant qu’ «(il n’avait) jamais voté à droite de (sa vie)», et même pas pour Jacques Chirac  lors du  second tour de l’élection présidentielle en  2002, face à Jean-Marie Le Pen.

    «Parmi le personnel politique, a-t-il assuré,  il y a des gens d’un cynisme absolu, on le voit avec le livre de Patrick Buisson sur Nicolas Sarkozy. Si c’est Nicolas Sarkozy qui est élu aux primaires, on voit bien que Juppé n’y sera pas. C’est pas dans son style, il n’a jamais été capable d’agir en gaullien. C’est même l’un des fossoyeurs du gaullisme. Le gaullisme c’est la souveraineté, un gaulliste ne dirait pas on va abandonner la souveraineté pour faire l’Europe libérale.»

    Et M. Onfray d’y aller lui aussi de son pronostic: Sarkozy gagnera la primaire et «François Bayrou ira à la présidentielle. Et on peut penser un second tour Marine Le Pen-François Bayrou avec un score de maréchal pour Bayrou.»  Vraiment? La messe n’est pas dite, elle n’a d’ailleurs pas encore commencé.

    http://gollnisch.com/2016/10/07/pronostics-primaires-secondaires/

  • Immigration : l’ambassadeur de Hongrie réplique à un journaliste français

    L’ambassadeur de Hongrie face à la mauvaise foi d’un journaliste français de la chaîne de Public Sénat ou l’illustration de la façon dont les médias du système déforment la vérité.

    http://www.medias-presse.info/immigration-lambassadeur-de-hongrie-replique-a-un-journaliste-francais/62184

  • Il faut réaffirmer la prééminence culturelle du catholicisme qui a fait la France depuis 1 500 ans

    Extrait du débat entre le Père Thierry-Dominique Humbrecht et Eric Zemmourdans Famille chrétienne :

    Est-ce que vous pensez que les catholiques sont encore capables d’inspirer le débat politique malgré leur petit nombre ?

    É. Z. – Inspirer le débat politique ?C’est compliqué pour les catholiques étant donné ce qu’ils ont pris sur la tête depuis la Terreur sous la Révolution jusqu’à la séparation de 1905. C’est assez normal qu’ils soient un peu inhibés. Aujourd’hui, le catholicisme a été chassé de la société, avec pour résultat une anomie sociale inouïe, et l’islamisation de nombreux quartiers. Il est évident qu’il y a un besoin d’ordre, de spiritualité, d’encadrement, de foi, de dépassement de soi, et que, comme le catholicisme désormais s’interdit d’y répondre, l’islam y répond à sa place (...)  En fait, les catholiques ont donné raison à Nietzsche pendant tout le XXe siècle. Cette espèce d’universalisme un peu benêt qu’il dénonçait les a fait tomber dans tous les panneaux du siècle. Et cela continue. Les chrétiens de gauche dans les années quatre-vingts ont été une catastrophe historique !

    T.-D. H. – Le rétrécissement quantitatif crée un trouble, parce que les catholiques commencent à s’apercevoir qu’ils ne sont plus chez eux. De plus, beaucoup de jeunes catholiques choisissent des études de commerce, le monde des affaires. Ils délaissent les métiers d’idées et de transmission ! Ce devrait être l’inverse… Le combat culturel leur échappe.

    Les catholiques ont du mal à inspirer le débat politique. Les manifestations contre la loi Taubira ont fourni à certains une occasion d’engagement. Mais une action sans réflexion est vouée au militantisme essoufflé. Les catholiques risquent de caler net, s’ils ne prennent pas au sérieux une formation au souffle long. Leur discours doit se fonder. Faute de quoi, ne leur reste plus que l’activisme, sans plus d’humanisme que leurs aînés.Certains jeunes catholiques devraient embrasser les métiers de la politique. Avec tous les efforts et tous les risques que cela comporte !

    É. Z. – Plutôt que l’avocat du diable, je voudrais pour une fois me faire l’avocat du Bon Dieu deux minutes Un historien américain, Philip Nord, dans son livre Le New Deal (Perrin), montre comment les élites des années trente, imprégnées de catholicisme, ont accouché du fameux « modèle social français » à la Libération. C’est le fruit d’une sorte de permanence catholique française. Je dis bien catholique, parce que opposé au système protestant des Anglo-Saxons, très inégalitaire. Cela me paraît important de le rappeler, de rappeler aux catholiques qu’ils ont été grands, qu’ils ne se sont pas toujours trompés, et qu’ils ont imprégné le modèle français aussi pour le meilleur.

    T.-D. H. – Vous faisiez allusion avec raison à l’après-guerre. Certains philosophes catholiques ont voulu repenser la politique, comme Maritain, Mounier ou Gilson. Ils ont cherché des solutions chrétiennes et rationnelles. Mais ils ont été oubliés ! Les philosophes chrétiens ont été balayés par Sartre et par cinquante ans de déconstruction intellectuelle. Il y a eu un écrasement de la pensée chrétienne, non seulement par elle-même, mais aussi par ses adversaires. Être un penseur chrétien était l’objet d’une chasse. Cela reste vrai dans les milieux universitaires ou médiatiques aujourd’hui. D’où un certain amaigrissement.

    Il faut des catholiques qui engagent leur vie professionnelle ou leur vie tout court dans cette aventure. Cela suppose de passer de la passivité à l’activité : « C’est à moi de m’y mettre ! » Les laïcs catholiques en France n’y sont plus habitués, car d’autres portaient la culture à leur place. Le catholicisme allait de soi, il croyait n’avoir pas besoin de se dire. Même à l’école, les curés s’occupaient de tout ! Maintenant, c’est à mes enfants de devenir profs ! Les parents rechignent un peu : « Jamais ! Ils vont crever de faim ! Ils vont être méprisés socialement ! » C’est un risque. Mais c’est cela ou rien. La culture chrétienne, il faut des gens pour la vivre et la rendre créative (...)

    É. Z. – Je crois qu’il faut réaffirmer ce que j’appelle la prééminence culturelle du catholicisme en France. Moi, je peux me permettre de le dire ! Réaffirmer la prééminence culturelle qui a fait la France depuis mille cinq cents ans.

    La prééminence culturelle des catholiques, c’est au nom de la vérité ou c’est au nom de l’Histoire ?

    É. Z. – Au nom de l’Histoire ! Je comprends que l’on dise : au nom de la vérité. Mais ce n’est pas à moi de le dire. Et dans une société deux siècles après la Révolution française, dont un siècle de démocratie, on peut difficilement l’imposer comme cela ! Cela ne serait pas compris, cela ne serait pas admis. Même les catholiques – je parle sous votre contrôle, mon Père – ne le comprendraient pas ! (...)"

    par Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/10/il-faut-r%C3%A9affirmer-la-pr%C3%A9%C3%A9minence-culturelle-du-catholicisme-en-france.html

  • DEMAIN, samedi 8 octobre 2016, colloque du Réveil français :

    Le Réveil français, groupe de réflexion stratégique, organise son colloque annuel : « Culture de l’économie, économie de la culture », le samedi 8 octobre 2016. Présentation…

    Olivier Dejouy : « Il faut retrouver le fil d’Ariane entre économie et culture »

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Samedi-8-octobre-2016-colloque-du

  • Sortie à l'occasion de la Xe Journée de Synthèse nationale, "Confrontation", la nouvelle revue qui fait face à l'islamisation

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    Une revue destinée à ceux qui refusent la soumission à l'islam !

    Le choix est simple : soit l'idéologie mondialiste qui préconise la des­truction des nations et des identités l'emporte, et le sort de notre civilisation sera définitivement réglé ; soit un les peuples européens retrouvent une véritable conscience ethnique et tous les espoirs seront à nouveau permis.

    Pour faciliter son funeste projet, l'hyper classe aux affaires n'a pas hé­sité à encourager les grands brassages de populations. L'arrivée massive sur notre sol de gens aux cultures et aux traditions très différentes des nôtres ne pouvait pas se passer sans problème. Il était évident que l'immi­gration allait, un jour ou l'autre, engendrer l'islamisation.

    L'islam, ne l'oublions pas, n'est pas une simple religion comme les au­tres comme voudrait nous le faire croire les media aux ordres. L'islam est une civilisation qui a vocation à s'étendre sur l'ensemble de la planète et à soumettre les autres à sa dévotion. Or, cela, nous ne pouvons pas l'ac­cepter. Voilà pourquoi nous préconisons la confrontation.

    Pour mener à bien le combat contre l'islamisation de notre pays, Syn­thèse nationale a décidé de proposer aux Français lucides cette nouvelle revue qui s'appelle justement Confrontation. Trop souvent nos compatrio­tes se sentent désarmés face à un tel danger. Certes, de nombreux foyers d'opposition s'organisent à travers la France mais ceux-ci manquent cruel­lement de références pour se battre.

    A chacune de ses livraisons (trimestrielles) Confrontation développera des axes de réflexions sur l'islam, des reportages sur les dégâts occasion­nés ici et là par ses thuriféraires, des méthodes d'actions concrètes pour ceux qui ne veulent pas se laisser réduire à la soumission.

    Confrontation a besoin de votre soutien pour amplifier son audience. Nous savons que nous pouvons compter sur vous comme vous pouvez compter sur nous.

    Au sommaire :

    Page 3 : Faire face ! Éditorial de Jean-François Touzé

    Page 6 : L'été du burkini.

    Page 8 : Non, décidément non, le coran ne passe pas... Maurice Bernard

    Page 23 : "On combat moins les organisations que les idées". Un entretien avec Roland Lombardi

    Page 33 : Gauche, extrême gauche : la stratégie de la tension. Olivier Golusz

    Page 42 : "Les islamistes représentent la moitié des musulmans. Pas seulement quelques %". Un entretien avec Philippe Herlin

    Page 47 : Faire face à la terreur islamique. José Castano

    Page 53 : un entretien exclusif avec Renaud Camus.

    Page 67 : Les trois singes de la droite française. Jean Yves Léandri

    Page 73 : La résilience des Français : un mythe ! Alexeï

    Page 80 : La chronique Bernard Atlan.

    Page 83 : Paroles de sages : petit florilège sur une religion de paix.

    Page 89 : Au fil des pages... Agnès Claude

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