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  • Marine Le Pen "Les réfugiés ont les renvoient chez eux" [CLASH]

  • Le préfet du Vaucluse a-t-il peur des milices blanches ?

    Dans son numéro de cette semaine, l’hebdomadaire Minute révèle, document à l’appui, que le préfet du Vaucluse a enclenché un plan de contrôle des clubs de tir de son département, et de leurs adhérents ; par peur de voir apparaître des « milices blanches » ?

    Minute commente, avec ironie : « On ne peut que louer M. le préfet du Vaucluse, Bernard Gonzalez, qui a servi en tout début de carrière à la DGSE, les services secrets français, et est l’heureux papa d’un officier de l’armée de terre, de veiller au respect de l’article R312-40 du Code de la sécurité intérieure en un département paisible où les fonctionnaires de tout grade, n’ayant que trop tendance à s’empâter à force de rester au bureau, oisifs, vont enfin avoir l’occasion de prendre l’air en allant contrôler les dangereux amateurs de tir. […] Sinon, concernant les armes réellement dangereuses, celles qui circulent dans les cités d’Avignon, de Carpentras ou d’Orange, celles qui ne sont pas sur catalogue, celles qui tuent et qui blessent de braves gens, celles avec lesquelles on s’en prend aux policiers, […], il y a quelque chose de prévu ? »

  • Manuel Valls se prononce en faveur du financement public des mosquées

    Le 2 février 2013, Manuel Valls participe à l'émission Ripostes avec Tariq Ramadan et Malek Boutih consacrée à Vers un islam de France. Manuel Valls se prononce en faveur du financement public des mosquées (alors qu'à Radio Judaica Strasbourg, le 17 juin 2011, il tacle Sarkozy exactement sur ce point). Il explique comment a été financée la Grande mosquée d'Evry (avant qu'il ne soit maire) : "On a pris un terrain à Courcouronnes et on est allé chercher de l'argent en Arabie Saoudite".
    Emmanuel Ratier, Le vrai visage de Manuel Valls

  • La frontière

    par Louis-Joseph Delanglade

    Le 13 octobre, en visite officielle à Ottawa, M. Valls dit du Ceta que « c’est un bon accord ». Quelques jours plus tard, il déplore l’opposition wallonne audit accord. Levée jeudi 27, cette opposition a, semble-t-il, permis quelques rectifications de taille : les juges de tout tribunal arbitral seraient nommés par les Etats ; le droit des Etats à réglementer au nom de l’intérêt général serait reconnu ; les entreprises états-uniennes se verraient interdire de pénétrer le marché européen via leurs filiales canadiennes ; une clause dite « de sauvegarde agricole » serait prévue et le maintien des législations européennes interdisant certains produits contestés (comme les o.g.m.) entériné. Le traité, ainsi amendé, pourrait voir le jour dans quelques années…

    En attendant, on doit donc comprendre que le traité, dans sa version primitive, rejetée par la Wallonie mais validée par la France, autorisait : la possibilité pour une entreprise multinationale de porter plainte contre un État adoptant une politique publique contraire à ses intérêts ; l’impossibilité pour un Etat de continuer à réglementer au nom de l’intérêt général ; la possibilité pour une entreprise états-unienne d’inonder les marchés européens via sa filiale canadienne ; l’absence de toute clause de sauvegarde pour l’agriculture européenne ; la possibilité de contourner les législations européennes interdisant certains produits contestés (comme les o.g.m.).

    Affaiblissement (explicitement irréversible) de l’Etat, donc de tous ceux qu’il a pour mission de protéger, face aux multinationales, voilà le « bon traité » de M. Valls : son appréciation se passe de tout commentaire. On pourra objecter que la France a bien demandé l’arrêt des négociations sur le Tafta avec les Etats-Unis. Mais, à en juger par les concessions envisagées dans le Ceta initial, faut-il que celles faites à l’idéologie marchande nord-américaine aient paru excessives et malvenues dans un contexte européen qui voit le réveil « réactionnaire » de peuples floués par de prétendues « élites » !

    « En Occident, le libéralisme est un dogme absolu » constate M. Servan (Boulevard Voltaire, 28 octobre). De fait, Ceta ou Tafta, l’objectif stratégique primordial est le même dans la guerre que livrent les partisans de la mondialisation libre-échangiste contre les barrières que constituent encore les mille et une différences qui font qu’un Français, un Chinois et un Zimbabwéen sont ce qu’ils sont, différences à travers lesquelles se manifeste leur humanité commune. On prône la liberté de circulation des biens, des services et des personnes, liberté dont tout un chacun a dans l’idée qu’il pourrait en profiter un jour ou l’autre. Mais, derrière, se cache l’autre liberté de circulation, celle des capitaux, celle de la « fortune anonyme et vagabonde », garante de toutes les délocalisations fiscales et de la fin de la souveraineté monétaire des Etats. 

    « On va au bout du bout de la mondialisation. On détruit les ultimes frontières, celles qui sont dans les lois, les règles, les modes de vie. Celles qui sont dans les têtes », s'indigne Éric Zemmour (R.T.L., 25 octobre). Et il a raison. 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • Le nouveau C D des Brigandes

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  • L’Etat Islamique ne fait pas pire que la Révolution française

    Comment justifier au yeux du peuple français l'engagement de nos Armées, de notre Gendarmerie, de notre Police contre un ennemi qui n'est que le fils spirituel de ces grands ancêtres de la "République", ceux dont nos "élites" appellent les "mânes" à la moindres difficultés pour défendre les valeurs de LA REPUBLIQUE. Voilà pourquoi cette guerre est déjà perdue!

    Valeurs fondées sur quelques décrets, toujours pas abrogés, malgré les demandes répétées d'élus français, ceux du 1er aout et du 1er octobre 1793!

    Oui, Daesh est bien un enfant de la révolution (anti) française.

    Lois Spalwer

  • L’hiver est arrivé et il risque d’être « chaud » dans le Donbass comme en Ukraine

    Avec 755 violations du cessez-le-feu durant les dernières 24 heures, et 722 le jour d'avant, l'armée ukrainienne continue sur sa lancée sanglante de la semaine dernière. Depuis plusieurs jours, les soldats ukrainiens n'attendent même plus la nuit tombée pour commettre leurs crimes, et bombardent désormais jour et nuit.

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    Image d’archive

    Ces bombardements à l'artillerie lourde (26 obus de 122 mm et 31 obus de 152 mm), aux mortiers de gros calibre (207 obus de 82 mm et 196 obus de 120 mm), et avec des chars d'assaut (25 tirs) ont encore fait un blessé parmi les civils hier en pleine journée, dans le district de Petrovskyi.

    Et la situation ne promet pas de s'arranger avec l'arrivée de nouveaux armements près de la ligne de front. Ainsi près de Gorlovka, les services de renseignement de la République Populaire de Donetsk ont détecté l'arrivée et le déchargement d'un train transportant des pièces d'artillerie automotrices de 122 mm et 152 mm et 20 chars d'assaut.

    Du côté de la République Populaire de Lougansk, un autre train d'armement a été détecté, avec là aussi une quarantaine de chars d'assaut et de pièces d'artillerie automotrices, et neuf chars d'assaut sont arrivés dans la zone de responsabilité de la 93e brigade des Forces Armées Ukrainiennes (FAU).

    Des pièces d'armement qui vont permettre à l'armée ukrainienne de continuer ses tirs délibérés contre des cibles civiles. Des crimes de guerre, que la Russie n'entend pas laisser passer sans rien dire ni faire. Après avoir lancé des poursuites pénales contre une première liste de six commandants de l'armée ukrainienne il y a moins d'une semaine, la Russie vient de compléter la liste des accusés avec quatre nouveaux noms.

    Ainsi, sont venus s'ajouter cette semaine, le commandant de la 72e brigade motorisée des FAU, le colonel Andrei Sokolov, le commandant de la 93e brigade motorisée, le colonel Vladislav Klochkov, le commandant de la 30e brigade motorisée, Vitaly Yakoubov et le commandant du 1er bataillon de la 14e brigade motorisée, Mikhail Prokopiv.

    Ces unités sont connues pour bombarder régulièrement et délibérément des cibles civiles dans les Républiques Populaires de Donetsk et Lougansk.

    Et si la justice russe fait son devoir, la justice ukrainienne devrait prendre exemple sur le pays voisin. Car après la publication des déclarations de revenus des hommes politiques ukrainiens, certaines pièces déclarées ont laissé Kirill Koulikov plus que perplexe. L'ancien directeur du bureau ukrainien d'Interpol, a ainsi remarqué dans plusieurs déclarations de députés qui sont aussi d'anciens chefs de bataillons spéciaux des biens matériels hors de prix, qu'il soupçonne avoir été purement et simplement volés dans de riches maisons de la région de Donetsk pendant la soit-disant opération anti-terroriste.

    Mr Koulikov a alors publiquement exhorté Mr Matios, le procureur militaire ukrainien, à enquêter sur ces vols potentiels. Des vols qui n'ont rien de nouveau, les bataillons ultra-nationalistes et nazis présents dans le Donbass ont été dénoncés à de multiples reprises pour les pillages systématiques qu'ils pratiquent dans la zone occupée par l'armée ukrainienne. Voitures, téléviseurs, bijoux, mais aussi douches, baignoires, et bien d'autres choses incroyables ont été volées depuis deux ans et demi par ces bataillons spéciaux, sans parler de l'extorsion de fonds pure et simple souvent pratiquée sur les points de passage de la ligne de front contrôlés par ces bataillons.

    Et ces bataillons spéciaux ne se limitent pas aux vols et aux extorsions de fonds. Ainsi, après avoir violemment battu des enfants russophones à Kharkov, les soldats de Secteur Droit ont frappé trois civils à Tryokhizbenka, lors d'une manifestation de la population contre la présence de leur bataillon dans cette localité, et la façon dont ils traitent les habitants.

    À Avdeyevka, même les pensionnaires de la maison de retraite n'aiment pas les soldats de l'armée ukrainienne, ni l'hymne national ukrainien, et l'ont fait savoir publiquement après la visite d'une violoniste allemande qui a joué l'hymne devant des enfants, qui n'en connaissaient même pas les paroles. Les braves retraités se sont même fendus d'un commentaire courageux sur le fait que « L'Ukraine fait partie de la Russie » (sic).

    Et cette exaspération semble gagner de plus en plus l'ensemble de la population ukrainienne. En effet la députée de la Douma russe et ancienne procureure de Crimée, Natalya Poklonskaya, a déclaré récemment qu'elle recevait des courriers d'habitants ukrainiens demandant de les sauver de leurs pseudo dirigeants.

    L'hiver promet d'être dur pour l'Ukraine, et la population risque bien de se retourner contre Porochenko et sa clique. Les soubresauts à venir décideront du sort du pays, et de celui de la guerre par procuration qui se joue dans le Donbass, entre les États-Unis et la Russie.

    Christelle Néant

    Voir l'article sur DONi

    http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/l-hiver-est-arrive-et-il-risque-d-186084

  • Immigration illégale : l’Italie n’en peut plus mais persiste

    « Il faut les bloquer au départ [de l’Afrique]. Si nous ne bloquons ce flux avant 2017, l’Italie ne pourra pas tenir une année de plus. » C’est ce qu’a expliqué dans une interview télévisée le 25 octobre le premier ministre italien Matteo Renzi, qui a également lancé un ultimatum à l’UE, menaçant de bloquer l’adoption du prochain budget européen si les pays du Groupe de Visegrád persistent dans leur refus d’accueillir les clandestins.

    Mais le vrai problème, c’est que l’Italie, qui compte déjà cinq millions d’étrangers non naturalisés sur son territoire, soit près de 9 % de la population, ne renvoie pas les personnes arrivées illégalement. Comme en France, même déboutés du droit d’asile, les immigrés clandestins restent ou poursuivent leur route vers le nord de l’Europe. Dans un article publié le 27 octobre, le quotidien La Stampa estimait le nombre de ces déboutés séjournant actuellement en Italie à 50 000 environ. Leur rapatriement coûterait trop cher ou il est empêché par l’absence d’accords avec les pays d’origine. En 2015, sur 34 107 décisions d’expulsion, seules 3 688 ont débouché sur un rapatriement !

    Cette situation incite bien entendu les candidats à l’émigration vers l’Europe à prendre tous les risques pour atteindre l’Italie plutôt que l’Espagne et explique le nombre élevé de morts en Méditerranée. Un nombre qui n’a fait que s’amplifier après l’intensification en 2015 des opérations de sauvetage en mer au large des côtes libyennes avec l’opération EUNAVFOR Med. « La décision établissant une opération navale de l’UE afin de casser le modèle d’activité des réseaux de passeurs et trafiquants en Méditerranée vient d’être prise », annonçait pompeusement en mai 2015 Federica Mogherini, haute représentante de l’Union pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité. En fait de casser le modèle d’activité des passeurs, celui-ci se porte à merveille, et les arrivées en Italie ont augmenté en 2016, dépassant déjà 160 000, parallèlement au nombre de corps repêchés, avec plus de 3 000 depuis janvier.

    Mais Rome et Bruxelles s’entêtent dans cette voie irresponsable et criminelle. Les pays pointés du doigt par Renzi savent bien que s’ils commencent à accepter des quotas de « migrants », cela ne s’arrêtera jamais, et le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjarto, a très justement répondu à Matteo Renzi que « si l’Italie respectait mieux les normes et règles communes, la pression migratoire à l’entrée de l’UE serait bien moins forte ».

    Olivier Bault

    Article paru dans le quotidien Présent

    http://fr.novopress.info/