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  • Le Petit abécédaire d'un Français incorrect est à nouveau disponible

    ABCdaire 2016 1.jpg

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  • Les migrants manifestent pour en avoir toujours plus

    La faiblesse d'un Etat peureux et démagogue se paye avec notre sécurité et nos impôts :

     

    Allucinant !!! Les  manifestent ce soir à (Stalingrad) réclamant le "respect de leurs droits".!!!

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    Mince ! Y aurait-il un lien entre immigration et insécurité ? Prompt rétablissement à ce journaliste qui découvre la vraie vie.  https://twitter.com/RemyBuisine/status/793908805532803072 

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    "Vous Routiers Scouts d’Europe si vous résistez à cette Europe sans Dieu, orgueilleusement dominatrice des pauvres et des faibles, et qui nie ses racines chrétiennes, vous l’empêcherez de se suicider et de disparaître, éliminée par des peuples plus virils, plus croyants et plus fiers de leur identité et de leur relation à Dieu.

    Vous êtes le présent et le futur de l’Europe et de l’Eglise.

    Vous avez les énergies et la foi, et votre attachement à Jésus Christ vous permettra de reconstruire l’héritage chrétien et la société européenne" (Cardinal Sarah le 31 octobre à Vézelay)

    Lahire http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Il est à peu près impossible de débattre du programme du FN comme du coran

    De Guillaume de Thieulloy dans Les 4 vérités :

    6a00d83451619c69e201b7c8ab081e970b-800wi.jpg"[...] La crise des migrants, les questions européennes, le traité de libre-échange avec le Canada, le chômage... Tout cela n’est envisagé qu’en fonction du score du FN que cela pourrait provoquer. Et tout semble d’ailleurs fait pour faire monter le FN – à rebours des déclarations larmoyantes ou belliqueuses sur la république en danger. 

    Des décennies de gabegie gouvernementale ont amené la France au bord du précipice. Aux plans social, sécuri- taire, identitaire, économique, la situation est en tout point catastrophique. Là se trouve la première raison du vote FN. Pourtant, les dirigeants du PS continuent à imaginer que le clientélisme électoral et l’ouverture des frontières vont tout régler. Quant aux dirigeants LR, ils ne semblent pas disposés à rompre avec le socialisme, trop préoccupés de ce que les médias pourraient dire d’eux. On entend même le favori des sondages nous bercer d’un lénifiant refrain sur l’« identité heureuse », plagiant le gourou social-démocrate Alain Minc qui parlait naguère de « mondialisation heureuse ». Or, ce que tous les Français constatent, c’est que, loin des utopies, la situation se dégrade gravement.

    La deuxième raison du vote FN tient, de toute évidence, au manque de confiance envers les « élites » – qui, non seulement ont échoué, mais, en outre, ne cessent de nous matraquer avec une propagande sans rapport avec la réalité. Or, là aussi, tout est fait pour ancrer, plus profondément encore dans l’esprit des Français, que les médias et les politiciens mentent, refusent de voir la vérité en face, et pratiquent une forme de propagande. À cet égard, la mâle déclaration du directeur du « Monde », Jérôme Fénoglio, signalant que son quotidien, prétendument objectif, refuserait systématiquement toute tribune d’un cadre du FN, semble faite tout exprès pour faire monter l’exaspération des électeurs. Le même numéro du « Monde » contenait un long dossier pour montrer que le FN n’avait pas changé. Le moins que l’on puisse dire, c’est que le « Monde » n’a pas changé non plus. Ce quotidien reste ce qu’il est depuis longtemps : un organe de propagande de gauche.

    Je ne parle pas ici du sempiternel « front républicain », auquel Nicolas Sarkozy semble s’être, une nouvelle fois, rallié – ce qui risque de compliquer sa campagne, puisque, jusqu’à présent, toute sa communication consistait à dire que lui seul était en mesure de séduire les électeurs du FN et de les ramener dans le « giron républicain ». À nouveau, nous constatons la contradiction: le FN doit bien être un parti républicain, puisqu’il participe à toutes les élections ; pourtant, il persiste à être présenté comme non républicain.

    Pourquoi donc le traiter différemment des autres ? Ne serait-il pas possible de dire : je suis d’accord avec tel point de son programme, pas avec tel autre... On pourrait alors nouer des alliances ponctuelles et s’opposer sur les points de désaccord. Mais tout se passe comme si personne ne pouvait débattre du programme du FN. Si je puis me permettre cette provocation, cela m’évoque le coran qui, lui non plus, ne semble pas pouvoir être débattu en France. Il semble impossible de dire : ceci me semble inacceptable, cela ne me pose aucun problème, et ce dernier point mériterait clarification. Dans un pays où l’on débat de tout, y compris des sujets les plus futiles, il est donc à peu près impossible de débattre du programme du FN comme du coran !

    À vrai dire, la liberté de débat est sévèrement encadrée (pas de liberté pour les ennemis de la liberté, comme on disait en 1793 !). Et même la liberté de vote est sous tutelle. Tout récemment, Christophe Habbas, grand maître du Grand Orient, obédience maçonnique très liée à la gauche, déclarait : « À quoi bon le suffrage universel, si c’est pour voter extrême droite? » Je serais tenté de lui répondre : à quoi bon vanter le suffrage universel si vous récusez les votes qui ne vous plaisent pas !"

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/11/il-est-%C3%A0-peu-pr%C3%A8s-impossible-de-d%C3%A9battre-du-programme-du-fn-comme-du-coran.html

  • Calais-sur-Seine

    Le ministre de l’Intérieur l’a promis : les individus qui colonisent l’espace public autour du métro Stalingrad seront évacués sous peu ! « Nous allons faire la même opération qu’à Calais », a promis le chef de l’Etat lui-même. Pourquoi maintenant alors qu’il y a des semaines que le campement existe, au grand dam des riverains, particuliers et commerçants, victimes d’agressions et de vols ? Parce que les feux des médias sont braqués sur ce quartier depuis l’expulsion des « migrants » de Calais.

    Il y a un lien évident entre ces deux zones de non-droit. Deux mille candidats au départ vers la Grande-Bretagne depuis Calais ont refusé d’être « mis à l’abri » selon la terminologie officielle. Où sont-ils passés ? La plupart à Paris, à la recherche de passeurs qui, eux aussi, ont quitté un terrain déserté pour le pavé de la capitale. De fait, la population du côté de Stalingrad a augmenté considérablement après l’opération calaisienne. Mais le président de la République a assuré que les nouveaux venus ne venaient pas de là-bas, foi de Hollande, que l’on doit croire sur parole et qui ignore le principe des vases communicants ! Nous avons donc un Calais-sur-Seine, kyrielle de tentes qui s’étale à la vue – et à l’odeur – des passants et des riverains mais également à la une des journaux étrangers alors que le gouvernement veut relancer le tourisme.

    Mais s’ils ne viennent pas tous de Calais, d’où viennent-ils alors ? D’Afrique, du Maghreb, de pays de l’Est, car ces nouveaux clandestins s’ajoutent à ceux qui sont déjà sur notre territoire. Si certains sont en transit pour le Royaume Uni, d’autres, sachant qu’en France on les « met à l’abri », logés, nourris, soignés à nos frais, profitent de l’aubaine. Pour faire semblant que Paris ne leur est pas ville ouverte, il y a eu un contrôle policier ces jours derniers, mais aucune expulsion. Quand ces « réfugiés » économiques se verront déboutés du droit d’asile, ils ne seront que 4 % à être effectivement reconduits à la frontière, selon la Cour des comptes.

    Le chef de l’Etat ignore aussi l’histoire du tonneau des Danaïdes qui se remplit à mesure qu’on le vide, c’est ainsi qu’à Paris, dans le même quartier, on en est déjà à la trentième expulsion de ceux qui « squattent » le bitume. On va vers la trente et unième nous dit-on. En attendant la trente-deuxième, puisqu’on ne fait rien d’efficace, de sérieux et de pérenne pour tarir le flot.

    Il paraît que, bientôt, Anne Hidalgo, va ouvrir un nouveau centre d’accueil dans le nord de Paris, mais uniquement pour ces « migrants ». Les SDF historiques, si j’ose dire, devront toujours appeler le 115 en vain. Au seuil de l’hiver, nous aurons bientôt, hélas, les premiers morts de la rue, sur lesquels nos ministres verseront quelques larmes de crocodile, mais rien ne changera. Il n’y a pas de « concurrence » entre les pauvres a assuré le gouvernement, « migrants » et SDF relevant de « dispositifs différents ». Ce n’est pas l’avis de la Cour des comptes qui a constaté en avril 2015 : « La saturation du dispositif d’accueil de demandeurs d’asile conduit à un report conséquent des demandes sur l’hébergement d’urgence de droit commun. Il en résulte un effet d’éviction de personnes sans domicile qui auraient dû bénéficier d’une place. » « Eviction » ! Ces pauvres-là sont victimes eux aussi de la préférence étrangère.

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 3 novembre 2016

    http://fr.novopress.info/

  • Journal du Mercredi 02 Novembre 2016 : Sécurité / Les policiers toujours à feu et à sang

  • Très primaires

    « La vie des morts est de survivre dans l’esprit des vivants disait Cicéron »: dans un billet publié en 2012 consacré à la Toussaint, Bruno Gollnisch le notait, « en honorant nos morts (…) nous nous relions à eux, qu’ils fussent riches ou pauvres, glorieux ou humbles ». « Maurice Barrès avait bien compris le lien charnel qui existe entre la terre et les morts. C’est que la terre de France n’est pas seulement la propriété des personnes qui y vivent aujourd’hui, et dont on ne sait trop s’il faut les qualifier d’habitants ou de nationaux. Elle appartient aussi au milliard d’êtres humains qui, depuis l’aube des temps historiques y ont vécu, travaillé, souffert, aimé, et qui, si souvent, ont donné leur vie pour elle. » « Disons-le tout net » affirmait encore le député frontiste, « un peuple qui n’honore pas ses morts n’a plus d’avenir. D’autres viendront, qui progressivement prendront la place des amnésiques, et ne coloniseront pas que ses cimetières. Car tout se tient. » Cette manière de voir, de sentir, de ressentir est partagée par tous ceux qui se reconnaissent dans ce qu’il est convenu d’appeler  « la droite des valeurs« .

    Droite des valeurs à laquelle appartient Jean-Frédéric Poisson, président du Parti chrétien-démocrate (PCD) et candidat atypique à la primaire de LR, auquel sa petite formation est rattachée.  Pour ses détracteurs, M. Poisson ne serait pas un républicain exemplaire. C’est un (nouveau) signe qui ne trompe pas disent-ils, si  Nicolas Sarkozy affirmait dernièrement qu’il voterait François Hollande en cas de duel au second tour de la présidentielle  l’opposant à Marine Le Pen, M. Poisson lui, sur l’antenne de RTL ce  lundi 31 octobre, a affirmé qu’il lui était « impossible » de voter pour (M. Hollande). « Un président de la République sortant qui divulgue des secrets d’Etat dans un livre (Un président ne devrait pas dire ça, NDLR)   publié dans le cadre d’entretiens avec des journalistes (Fabrice Lhomme et Gérard Davet, NDLR). »

    « Je suis le seul des candidats à la primaire à avoir dit pourquoi je ne partageais pas le projet politique du Front National a-t-il précisé. Je suis opposé à la préférence nationale, je suis opposé à la peine de mort, je n’ai pas la vision qu’a le Front National de la laïcité, je ne partage pas sa vision ni de l‘Europe ni de l’euro et je n’aime pas l’orientation prise par ce parti politique en ce qui concerne l’éducation et sa réforme. Partant de là, je ne vois pas comment je pourrais soutenir la candidate du FN ».

    « J’ai redit aussi pourquoi je ne pense pas que le Front National soit en mesure de gouverner pacifiquement », a poursuivi le député des Yvelines qui dans ce contexte… s’abstiendrait? « Dans l’état actuel des choses, probablement. Maintenant, ça dépendra de la manière dont (Marine) peut faire évoluer son projet elle aussi ». « Le redressement de la France implique de tels changements et de telles ruptures que si jamais Mme Le Pen changeait d’avis sur les choses que j’ai dites tout à l’heure, alors pourquoi pas. » 

    Bref si le FN abandonne une large partie de son programme, M. Poisson pourrait voter pour sa présidente... Mais celui du chouchou des médias et favori des  primaires  lui pose également  un sérieux problème. Et il n’hésite pas à le dire, affirmant qu‘il pourrait voter Le Pen si elle était en duel face à Juppé, s’attirant les foudres des instances de LR. « Plus je vois évoluer Alain Juppé, a-t-il dit, plus je me dis que le projet de société multiculturelle qui a mis la France par terre est décidément à côté de la plaque. » Dernièrement, M. Poisson, qui entretient à l’Assemblée des relations très  courtoises avec Marion Maréchal-Le Pen,  avait appelé à « briser le cordon sanitaire » entre la droite et le FN et avait déclaré « comprendre les électeurs de Robert Ménard » .

    Lundi sur Europe 1, le très suffisant Bruno Le Maire a estimé que M. Poisson devait « clarifier ses positions sur les règles de la primaire et ses relations avec le FN ». « Soit il retire ses propos, soit il se retire de la primaire ». « Je pense qu’il a tenu des propos sur le FN qui n’ont pas leur place dans une primaire de la droite et du centre », qu’il doit « clarifier sa position par rapport à ce qu’il a dit sur le FN, sur Marion Maréchal-Le Pen et le soutien éventuel au vainqueur. Ça devient urgent. » (sic).

    Mais pour bien anodines, timides diraient certains au regard de la gravité de la situation, que sont ces diverses déclarations de M. Poisson, il est cependant jugé transgressif par Marianne. Le site du magazine s’inquiétait de sa participation annoncée le 12 décembre à une réunion publique avec le maire de Béziers Robert Ménard et Philippe de Villiers…à laquelle le président du PCD a finalement renoncé. « Une participation à la petite sauterie de Ménard chapeautée par le Front National, aurait définitivement scellé son sort » indiquait Marianne.

    A dire vrai,  ce sont aussi les récents propos du président du PCD sur le « lobby sioniste » et Hillary Clinton qui ont semé la consternation chez les apparatchiks de LR, sommés notamment de réagir par la montée au créneau  d’un groupe de pression communautaire,  l’autoproclamé Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF).

    Dans Nice-Matin le 19 octobre, M. Poisson affirmait que « Mme Clinton est la pire des candidates démocrates et que les deux mandats d’Obama sont une catastrophe (…). La proximité de Mme Clinton avec les super-financiers de Wall Street et sa soumission aux lobbies sionistes sont dangereuses pour l’Europe et la France. »

    Au micro de de la matinale de Radio France Internationale il précisait son propos:  « Le 21 mars dernier, Mme Clinton a prononcé devant l’AIPAC (l’American Israel Public Affairs, NDLR) (…), un discours qui est de mon point de vue belliqueux, qui est déséquilibrée, qui ignore à peu près la dignité du peuple palestinien et qui veut faire des Etats-Unis d’Amérique la seule puissance interlocutrice en charge de l’installation de la paix au Proche-Orient entre Israéliens et Palestiniens ».

    Le Crif avait exigé immédiatement qu’une « sanction exemplaire » soit administrée à M Poisson par  la Commission d’organisation de la primaire de la droite et du centre. Nathalie Kosciusko-Morizet qui  avait saisie la Haute Autorité de la primaire avait hurlé son désespoir: « Où va-t-on ? Je veux une clarification sur ce que sont les valeurs républicaines de la droite et du centre » (sic).

    M. Poisson a donc été contraint de se coucher sur l’antenne de la radio communautaire RCJ,  d’appeler dans le même esprit  le député binational franco-israélien Meyer Habib, d’envoyer  une lettre d’excuse et de pardon aux membres du Crif, dans laquelle il « regrette que (ses) propos aient pu (les) blesser ou causer des craintes ou des doutes dans (leur)esprit » et a rappelé sa « (condamnation), avec la dernière énergie (de) toute forme d’antisémitisme ». Une repentance qui a permis à Thierry Solère (président de la Commission d’organisation de la primaire) et qui avait « ( condamné) avec la plus grande force » sur France Info l’analyse de M. Poisson, de déclarer que  « l’incident est clos ».

    Le Crif avait estimé dans un communiqué que les propos du président du PCD sur l’AIPAC,  « au-delà de leur caractère insidieusement antisémite », « (relevaient) des thèses conspirationnistes« ! Le blogue arrêts sur images (le 22 octobre) a eu l’honnêteté  de rapporter la défense qui fut  celle de M. Poisson dans cette affaire: « Le soutien des géants de la finance américaine à Madame Clinton n’est pas une nouveauté ». « L’existence de groupes de pression sionistes à Washington non plus: il y a profusion d’informations disponibles sur cette question, des plus tendancieuses (comme par exemple celles qui sont publiées par les musulmans radicaux) aux plus factuelles  (…). Ma réponse relayait simplement ce que la presse spécialisée a écrit elle-même, en particulier à propos du discours du 16 mars 2016 de Hillary Clinton devant l’AIPAC . Et ce que les sites d’information, en France comme aux États-Unis, ont publié. »

    L’article d’arrêts sur images rappelait l’évidence en  soulignant que l’AIPAC  « se présente bien comme un lobby pro-Israël, une appellation reprise dans les médias français (Médiapart, Le Monde ou encore Le Figaro), comme américains (à l’exemple du Wall Street Journal ou de NBC News). Aucun mystère donc sur le fait que l’AIPAC soit un lobby. Idem, sur la proximité de Clinton avec les marchés financiers, la question a été largement traitée par les médias américains (suite notamment à la publication par Wikileaks des mails de son directeur de campagne). »  Avant d’ajouter que « Si le statut de lobby de l’AIPAC semble admis, impossible en revanche de trouver le terme sioniste dans les articles de grands médias américains (New York Times, Washington Post, Wall Street Journal, Fox News, NBC News) qui traitent du discours de Clinton devant l’AIPAC dont parle Poisson. Et en France ? Quasiment pas. Dans un article d’octobre 2016, le magazine Jeune Afrique qualifiait quand même l’AIPAC de lobby sioniste. Mais le terme le plus choquant de l’interview de Poisson est sans doute celui de soumission, que ne reprend pour son compte aucun média américain. »

    Choquant pour qui? Pour les amis d’Hillary Clinton, soutenue pour toutes les mauvaises raisons que nous avons détaillé  dans de récents articles, par la quasi intégralité  de la caste politico-médiatique dans notre pays?  Précisons pour notre part qu’en effet  le terme de Lobby (groupe de pression en bon français)  n’est pas  aux Etats-Unis chargé de la connotation péjorative qu’il peut avoir sous nos latitudes.  Les lobbies  ont pignon sur rue outre-Atlantique, agissent dans la sphère publique avec une assez grande transparence, interpellent directement élus et candidats.  Ce qui,  tout compte fait, a au moins le mérite d’une certaine clarté pour le citoyen qui sait alors à qui s’en tenir, pour peu certes qu’il fasse un minimum d’effort pour d’informer,  sur les allégeances et les soutiens de ceux à qui il accorde son vote et sa confiance .

    C’est le cas d’un lobby très actif, très  institutionnel comme l’AIPAC, dont Marine et le vice-président du FN  Louis Aliot avaient d’ailleurs rencontré très officiellement un représentant,  lors d’un voyage aux Etats-Unis en 2011, dans le cadre de la campagne présidentielle , en la personne  de William J. Diamond.

    Enfin, si ce n’est la soumission, du moins la très forte empathie de Mme Clinton pour la vision des relations internationales et de la politique étrangère américaine défendue par l’AIPAC peut aussi s’expliquer pour des histoires de gros sous…qui jalonnent la carrière du couple Clinton. Russia Todays’ en faisait l’écho lundi,  « Steve Plocker, plume éminente du quotidien israélien Yediot Aharonot« ,  s’inquiétait de l’impression donnée aux Américains  par la candidate démocrate  d’être l’obligée, la  débitrice  d’un lobby pro-israélien finançant très largement sa campagne.

    « Steve Plocker a pu consulter les données publiques concernant le financement de la campagne des candidats à l’élection présidentielle américaine. 1,35 milliard de dollars ont été collectés par Hillary Clinton, contre 710 millions pour Donald Trump. Les cinq plus grands donateurs d’Hillary Clinton, qui financent sa campagne à hauteur de près de 70 millions de dollars sont:  le dirigeant de fonds d’investissement Donald Sussman (20 millions de dollars), la milliardaire Mary Kathryn Pritzker (15 millions de dollars), l’israélo-américain Cheryl Saban (12,5 millions de dollars), le magnat de la finance George Soros (11,8 millions de dollars), et le fondateur des produits de régime Slim-Fast, Daniel Abraham (9,6 millions de dollars). D’autres membres éminents de la communauté juive américaine tels que le réalisateur Steven Spielberg, le créateur de mode Ralph Lauren ou encore le co-fondateur de Facebook Dustin Moskovitz ont généreusement contribué à la campagne d’Hillary Clinton. De façon plus générale, selon une étude menée par le site d’analyse de statistiques et de sondages 538, en septembre 2016, 95% des donateurs juifs avaient décidé de soutenir la candidate démocrate. »

    Encore une fois rappelons que ces donateurs là, notamment des idéologues mondialistes comme le tristement célèbre M. Soros qui sévit aussi en Europe, ne sont pas forcément, partout et toujours,  représentatifs de la communauté dont ils se réclament. Pas plus que le Crif et les habitués des médias parlant en leur nom constate Bruno Gollnisch,  ne représentent  l’avis  et les convictions de la totalité de nos compatriotes de confession et/ou d’origine juive. Et surtout qu’il est particulièrement stupide, primaire et maladroit d’expliquer implicitement  que défendre un monde multipolaire, de bonnes relations avec la Russie,  une politique équilibrée et de bon sens au Proche-orient, les souverainetés et les identités nationales, les racines helléno-chrétiennes de notre civilisation serait le début du commencement de l’antisémitisme.

    http://gollnisch.com/2016/11/02/tres-primaires/

  • Jean-Vincent Placé membre de la secte du GODF annonce que les éoliennes pourront être agrandies sans demande de permis de construire préalable

    Jean Vincent Placé, sénateur dissident écologiste devenu secrétaire d’État chargé de la Réforme de l’État et de la simplification, avait  annoncé le 11 mars dernier une « simplification massive » des procédures concernant les énergies renouvelables. Il avait également indiqué qu’il allait charger son allié le député Denis Baupin à siéger au Conseil de la simplification pour les entreprises.

    Sous le nom de Repowering, Jean Vincent Placé vient d’annoncer la publication d’un décret concernant  la suppression des demandes de permis de construire  préalables pour « moderniser »  les éoliennes existantes. Cette mesure  lorsqu’elle sera publiée officiellement permettra aux promoteurs éoliens  d’augmenter la puissance et la  hauteur des éoliennes industrielles, c’est à dire de les faire passer de 100 m à 200 m de haut par exemple, sans pratiquement aucune barrière de protection légale pour les riverains.

    Au moment où pour les simples citoyens, la loi  sur le logement de Cécile Duflot durcit les lois concernant le logement à tel point que la construction d’un abri de jardin devient un casse-tête juridique environnemental, Jean-Vincent Placé et Denis Baupin arrangent la mise en place des 20.000 à 50.000 éoliennes géantes prévues par la Transition énergétique de François Hollande et Ségolène Royal, au mépris des lois de l’environnement et sans aucune protection des riverains ayant à subir les pollutions sonores et lumineuses de ces éoliennes industrielles à seulement 500 mètres de leur habitation. 

    A titre d’exemple, peut-on imaginer qu’il serait accepté qu’un promoteur immobilier puisse doubler  la taille de la tour Montparnasse sans être contraint de déposer au préalable un nouveau permis de construire ?

    La Fédération Environnement Durable regrette que depuis plusieurs années, le parti écologiste aie comme objectif obstiné, de  couvrir la France de machines industrielles géantes, de supprimer les protections environnementales et particulièrement celles ayant un impact sur la santé, la sécurité, l’environnement des riverains et de dénaturer les paysages de la France.

    L’obstination du duo Jean Vincent  Placé – Denis Baupin à vouloir modifier coûte que coûte la législation existante sur les éoliennes industrielles, ne peut qu’interpeller et conduit à s’interroger sur les liens qui pourraient exister entre ce groupe et le lobby des nouvelles fortunes industrielles privées construites sur l’économie du vent.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/jean-vincent-place-membre-de-la-secte-du-godf-annonce-que-les-eoliennes-pourront-etre-agrandies-sans-demande-de-permis-de-construire-prealable_171643.html#more-171643

  • La société des souffreteux

    La décence devenant rare, il n'est guère étonnant d'assister à une surenchère de la douleur et de la maladie tout autour de nous. Réelles ou fantasmées ? On en finirait par choisir la seconde option tant on a l'impression de vivre au milieu d'une société d'hypocondriaques.

    Le moindre problème physique (ou psychologique!) est devenu l'occasion de se plaindre inlassablement et d'étaler sans pudeur aucune son pauvre sort aux yeux de ses contemporains... qui renchérissent dès que cela leur est possible ! Via ces complaintes incessantes, on comprend qu'aujourd'hui, tout prend une proportion démesurée dès qu'il s'agit de la santé. Les gens n'ayant plus rien à se dire, plus rien à partager, ils cherchent à exister de la plus misérable manière possible : attirer la compassion voire la pitié.

    Bienvenue dans la société des souffreteux qui remplissent les salles d'attente des médecins en tout genre ou des urgences ! Du vrai pain béni pour les laboratoires, les pharmacies et les traficoteurs de cerveaux ! Un rhume ? Un eczéma ? Une « dépression »? C'est l'occasion d'aller quémander un arrêt de travail ou une bonne dose de médicaments (qui permettent à chacun de se convaincre de la véracité de la « maladie »). Cela tombe bien, notre société favorise et entretient le glissement des individus vers un état de faiblesse psychologique et physique constant. « Mais oui, vous êtes malade ! »

    Tout le monde doit se trouver des problèmes ! Vous pensez ne pas en avoir ? Ouvrez donc l'un de ces magazines « santé-psycho », vous vous trouverez bien une pathologie à somatiser ! La société de consommation se double d'une société de victimisation. Etre une victime, c'est commode ! On peut justifier tous ses travers et s'en faire excuser.

    La société du spectacle ne fonctionne pas autrement : toutes les stars ont, un jour ou l'autre, « confié » dans Télé 7 Jours ou chez Ardisson, un traumatisme d'enfance ou un combat contre le cancer. Ca les rend presque accessibles et ça les rapproche de la plèbe. Ils sont comme vous : malades et ils le disent ! Soyez comme tout le monde, ne vous a-t-on pas dit qu'il fallait parler de ses problèmes et ne pas tout garder pour soi ? Répandez-vous ! Couinez sur les réseaux sociaux ou auprès de vos collègues ! Vous n'en existerez que mieux aux yeux des autres.

    Nos anciens disaient que « les grandes douleurs sont muettes »... La discrétion est avant tout une question d'honneur personnel.

    Quelles dégénérescences que cette déification de la fragilité et de la surenchère du gémissement! C'est la pitié que l'on cherche, c'est la faiblesse que l'on brandit, c'est la Grande Santé (et donc la Vie) que l'on écarte d'un revers de la main pour se vautrer dans le Xanax et les antibiotiques.

    Une société de malades est docile, facilement contrôlable et ne présente aucun risque pour le système. Au contraire, elle le nourrit et le fait perdurer.

    Ann et Rüdiger / C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/

  • Hillary Clinton menteuse et pas meilleure que François Hollande pour les secrets d'Etat

    Comme dans les jours précédant le Brexit, le camp de Donald Trump reprend espoir :

    "Les principales Bourses européennes ont ouvert en baisse mercredi, dans le sillage des clôtures en repli de Wall Street mardi (-0,7%), puis des Bourses de Tokyo (-1,76%) et de Hong Kong (-1,45%) mercredi, craignant une victoire de Donald Trump, synonyme pour eux de grandes incertitudes politique et économique (...)

    Une enquête ABC-Washington Post donne le candidat républicain pour la première fois en tête depuis le mois de mai, avec 46% des intentions de vote, contre 45% à Mme Clinton

    A part ABC, les autres enquêtes d'opinion publique donnent toujours l'avantage à la démocrate, mais leur moyenne établie par le site Real Clear Politics ne place plus Mme Clinton qu'à 2,2 points devant son adversaire (45,3% contre 43,1%) au niveau national (...)"

    Et la face sombre d'Hillary Clinton apparait de plus en plus au grand jour :

    "Le site internet Wikileaks, qui révèle chaque semaine des emails concernant Hillary Clinton, vient de dévoiler le 31 octobre qu’une collaboratrice de la chaîne CNN avait donné à Mme Clinton la liste des questions qui allaient être posées durant un débat de la primaire démocrate l’opposant à Bernie Sanders (...)

    Mais c’est surtout l’affaire de sa propre boîte email qui s’est réinvitée sur le devant de la scène. Le FBI avait classé l’affaire en début d’année, mais son directeur, James Comey, vient d’annoncer qu’il rouvrait l’enquête sur Hillary Clinton. Pour rappel, Hillary Clinton a utilisé sa boîte email personnelle alors qu’elle était Secretary of State, c’est à dire n°2 du gouvernement Obama en charge entre autres des affaires internationales (...). Or cet usage est totalement interdit, vu qu’il expose les secrets d’Etat et les opérations militaires à n’importe quel « pirate » sur internet. Hillary Clinton avait plaidé l’ignorance, et le FBI, n’ayant pas trop le choix, lui avait accordé le bénéfice du doute. Mais ses opposants avaient au passage souligné que de nombreux emails avaient été effacés du serveur avant l’enquête (...)

    Le contenu des emails pourrait avoir des conséquences, par exemple si le secret d’activités militaires a ainsi été fragilisé (chacun pense à l’assassinat de l’ambassadeur des Etats-Unis en Libye alors qu’Hillary Clinton était en poste). Mais s’ajoute désormais à cela le risque d’accusations de mensonge et de parjure. Comme lors de l’affaire Monica Lewinski, frasque sexuelle de Bill Clinton alors qu’il était président, ce n’est plus l’affaire en elle-même qui est jugée, mais le mensonge (potentiel) de l’élu. Le risque pénal est donc important pour Hillary Clinton (...)"

    A l'exception de Jean-Frédéric Poisson et de Marine Le Pen, la grande majorité de la classe politique française de souhaiter la victoire d'Hillary Clinton, Nicolas Sarkozy et Alain Juppé en tête. Il faut dire, qu'à l'époque de la désastreuse guerre en Libye, le premier était président de la république et le second ministre des affaires étrangères...

    Philippe Carhon

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