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  • Act-Up condamné pour avoir qualifié la Manif Pour Tous d’ « homophobe »

    La présidente d’Act Up, Laure Pora, a été condamnée mercredi en appel à 800 euros d’amende pour injure à l’encontre de la Manif pour tous, pour des affiches portant le logo de l’association opposée au mariage homosexuel barrée de l’inscription "homophobes". 

    La Manif Pour Tous avait porté plainte suite à une action d’Act Up au siège de la Fondation Jérôme Lejeune le 4 août 2013. L’association de lutte contre le sida avait jeté des préservatifs remplis de faux sang sur l’immeuble du XVème arrondissement, et placardé des affiches, avec des slogans tels que « shame », « homophobe », « La Manif pour Tous, homophobe ». La Fondation Lejeune, Ludovine de la Rochère et La Manif pour tous avaient porté plainte pour injure publique. C’est cette dernière plainte qui a été jugée aujourd’hui par la Cour d’appel de Paris. En première instance, la plainte de la Manif pour tous avait été jugée irrecevable pour un problème de procédure. La cour d’appel de Paris a eu une appréciation différente et a condamné la présidente d’Act Up, outre l’amende, à verser à la Manif pour tous 800 euros de dommages et intérêts et 1.500 euros pour les frais de justice.

    Une première

    C’est une première pour la Manif pour Tous, qui vient contredire la jurisprudence Jean-Pierre Michel. Ce sénateur en charge du projet de loi mariage pour tous avait été assigné pour diffamation par la Manif pour Tous après avoir déclaré que celle-ci se rendait coupable de « la pire des homophobies ». Il n’avait pas été condamné, ce qui avait été interprété par beaucoup de militants LGBT comme un droit de dire que la Manif pour tous était un mouvement homophobe.[....]

    La suite sur Le Figaro.fr

  • 40 ans de reniement de la fausse droite illustrée en 2 minutes, et Juppé piégé dans ses mensonges

    Quand la fausse droite de Sarkozy et de Juppé était pour l’immigration et la préférence nationale…

  • Journal du Jeudi 3 novembre 2016 - Politique / Parti Communiste cherche candidat

  • Taxe foncière : des records de hausse

    Être propriétaire d’une maison ou d’un appartement, c’est avantageux. Cependant, n’oublions pas les charges qui vont avec. L’une des plus importantes est la taxe foncière, et le montant augmente de plus en plus chaque année, notamment dans certaines régions.

    La taxe foncière, c’est quoi au juste ?

    La taxe foncière est un impôt dont tous les propriétaires d’un bien immobilier doivent s’acquitter chaque année. Cette somme est ensuite remise aux régions respectives. Cet impôt est à payer en plus de la taxe d’habitation s’il s’agit de votre résidence principale. Le montant à payer dépend de chaque commune.

    À chaque commune sa taxe.

    En effet, le montant de la taxe à payer varie selon chaque commune. Elle fixe un taux d’imposition (qui est voté par les collectivités locales). C’est à partir de ce taux que le montant de la taxe est calculé, ainsi qu’en fonction de la valeur locative cadastrale du bien imposable.

    Pour faire clair, c’est ce taux d’imposition qui fait varier le montant de la taxe à payer par zone géographique.

    Évolution des taxes foncières.

    Si l’on se réfère aux chiffres publiés par l’UNPI (Union National des Propriétaires Immobiliers), les communes sont de plus en plus gourmandes en matière de taxes foncières. Entre 2010 et 2015, le montant de cet impôt a connu une forte hausse, et cela, sur toute la France (+14,7% en 5 ans).

    Résultat, la facture s’alourdit pour les propriétaires immobiliers, spécialement dans la défiscalisation immobilière. La plus forte hausse concerne les propriétaires de la région lilloise, où la taxe a augmenté de 23% depuis 2010. Les habitants d’Angers ne sont pas en reste, ainsi que ceux de Clermont-Ferrand, Lyon ou encore Créteil, avec une hausse respective de près de 20%.

    Toutefois, certaines villes ont choisi de ne pas mettre la barre trop haute. Des villes comme Grenoble, Nice ou encore Roubaix ont enregistré une hausse d’environ 7%, toujours depuis 2010.

    Et l’année 2016 ?

    Le bilan publié par l’UNPI le 13 octobre dernier est sans appel. Pour l’année 2016, la liste des départements qui ont choisi d’augmenter la taxe foncière s’est allongée par rapport à l’année 2015. Pas moins de 35 départements ont augmenté le montant de leurs taxes foncières cette année.

    La palme de la hausse la plus importante revient au département des Yvelines avec une augmentation de… 68%. C’est tout simplement le record en matière de taxe foncière.

    Cette hausse parait démesurée comparé aux chiffres enregistrés dans le Val d’Oise, le Nord, et le Loir-et-Cher, qui affichent pourtant des augmentations respectives de 30%, 27% et 26%.

    Toutefois, si les unes taxent plus leurs habitants, d’autres villes comme Nantes, Lille ou encore Argenteuil ont décidé de rester sous la barre des 15%. Mieux encore, d’autres communes, à l’instar de Paris, n’ont pas changé (ou presque) leurs taux d’imposition, pour le plus grand bonheur des propriétaires immobiliers.

    http://www.medias-presse.info/taxe-fonciere-des-records-de-hausse/62903

  • Calais : sus aux chrétiens !

    En attendant leur évacuation vers des centres pour mineurs partout en France, où ils seront pris en charge à nos frais par les services de l’aide sociale à l’enfance et pourront ainsi donner libre cours à leur christianophobie, quelque 80 mineurs clandestins afghans de la « Jungle » ont entrepris, mardi après-midi, de détruire l’église improvisée des migrants érythréens et d’en lyncher les fidèles.

    Selon un extrait de la synthèse quotidienne de la Sécurité publique, cette attaque ouvertement antichrétienne, qui a fait 11 blessés parmi les clandestins, s’est déroulée en deux temps. Vers 17 heures, d’abord, « un groupe de 70 à 80 jeunes afghans » s’est lancé à l’assaut de l’église catholique des Erythréens, provoquant alors « une importante rixe » et « obligeant les CRS à faire usage de moyens collectifs afin de disperser les assaillants ». Ceux-ci ayant été repoussés au bout d’une quarantaine de minutes, une centaine de fidèles érythréens ont décidé de dormir dans l’église, « afin d’en assurer la surveillance et la protection ».

    Or, vers 18 heures, les clandestins afghans, plus nombreux encore, sont revenus à la charge et ont provoqué de nouveaux affrontements violents avec les Erythréens, nécessitant une seconde intervention des forces de l’ordre. Il faudra attendre 21 heures et la mise en place d’un dispositif policier assurant la sécurité de l’église pour que le calme revienne enfin dans la « Jungle ».

    Etant donné l’ampleur et l’extrême violence de ces affrontements, les médias pouvaient difficilement passer totalement sous silence ces événements. Et ils en ont effectivement parlé. Mais, bien sûr, suivant leur méthode habituelle. En cachant l’essentiel. En se bornant à parler de « heurts à proximité de l’église ». En jetant dans le même sac agresseurs et victimes. En dissimulant les motivations réelles des assaillants afghans, qui n’étaient autres que de détruire un lieu de culte chrétien et de lyncher ses fidèles. Bref, en transformant de manière scandaleuse une attaque ouvertement antichrétienne en banale « rixe entre migrants ».

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 4 novembre 2016

    http://fr.novopress.info/

  • Numéro spécial Boutang de La Nouvelle Revue Universelle – A commander ici !

    Vient de paraître : Un numéro exceptionnel de La Nouvelle Revue universelle entièrement consacré à Pierre Boutang

    Le 20 septembre 2016, Pierre Boutang aurait eu cent ans. L’exceptionnelle personnalité du jeune prodige que l’on comparaît à Rimbaud lui a fait suivre des chemins tourmentés, mais d’une impressionnante fécondité. La fidélité à Maurras, loin de le brider, a contribué à faire de lui l’un des penseurs les plus incisifs du XXe siècle, aux accents prophétiques pour défier l’horreur nihiliste.

    Autour d’Axel Tisserand et de Gérard Leclerc, une douzaine de voix, libres et diverses, honorent ce centenaire. Plusieurs textes de Boutang, dont des extraits de ses Cahiers inédits, ponctuent cet hommage qui demeurera un ouvrage de référence. 216 pages 

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    Prix, port inclus : 22 euros. 

    Ou abonnez-vous à la revue (trimestrielle) : 1 an pour 70 euros (tarif réduit 40 euros), par chèque adressé à la revue, 1 rue de Courcelles, 75008 Paris – tél. 01 42 57 43 22

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • ZOOM - Général Antoine Martinez : "L'Etat de droit est un état de faiblesse"

  • La recomposition du spectre politique se fera au-delà des partis et sur la base du clivage doctrinal

    Guillaume Bernard, maître de conférences à l’ICES (Institut Catholique d’Études Supérieures) a bien voulu répondre aux questions du Rouge & le Noir à l’occasion de la parution de son nouvel ouvrage, La guerre à droite aura bien lieu (DDB, octobre 2016). Extraits :

    "Vous affirmez que le débat politique s’est déplacé à droite. La gauche continue pourtant encore d’imposer ses idées (Mariage pour tous, antiracisme, vivre-ensemble, etc.). Cela n’est-il pas contradictoire ?

    Ce que vous décrivez est le résultat de deux choses. D’une part, la force d’inertie du « système » : il existe une profonde distorsion entre les élites politiques et intellectuelles d’un côté et le peuple de l’autre. Les hommes de droite ont abandonné le terrain de la culture et l’instruction pendant des décennies. La reconquête du terrain intellectuel est donc lent ; cela n’a rien d’étonnant.

    D’autre part, la formation du spectre politique par sédimentation : pendant deux siècles, depuis la Révolution française, les idées nouvelles sont apparues par la gauche et ont repoussé sur la droite celles qui étaient apparues auparavant. Le résultat de ce mouvement sinistrogyre est que la droite est composite : elle a été en partie colonisée intellectuellement par la gauche. Il y a, en son sein, des idées anciennement de gauche même si elles sont classées électoralement à droite. Il existe une droite ontologiquement de droite (c’est la droite classique) et une droite classée à droite mais idéologiquement de gauche (c’est la droite moderne).

    Ce que je décris, c’est l’arrêt brutal de l’expansion des idées de gauche avec la chute du mur de Berlin et le changement de contexte (passage de l’affrontement Est-Ouest à une mondialisation incontrôlée). Désormais, l’innovation intellectuelle et la progression électorale viennent par la droite du spectre politique. C’est un processus sur le long ou du moins le moyen terme que j’ai proposé d’appeler le « mouvement dextrogyre ». Cela se traduit par un phénomène encore hybride : il n’y a pas que des idées ou des partis entièrement et uniquement classiques qui progressent. Mais, la philosophie classique retrouve voix de cité : elle se redéploie à nouveau. Le « dextrisme », c’est donc à la fois la droitisation de l’électorat et le glissement (désormais de droite vers la gauche) des idéologies sur le spectre politique. Le « mouvement dextrogyre », ce n’est pas un durcissement dans la modernité, c’est un retour en force des idées classiques. Toute une partie de la droite retrouve ses racines idéologiques.

    Or, sans qu’elle en soit forcément consciente, une grande partie de l’opinion publique est instinctivement classique : quand les Français veulent rester culturellement ce qu’ils sont, quand ils voient dans l’Europe une civilisation et rejettent la bureaucratie de l’UE, quand ils approuvent les crèches de Noël dans l’espace public, quand ils défendent la famille traditionnelle, etc., ils font de la philosophe classique sans même le savoir. La modernité a eu beau chercher à rendre tout artificiel (contractualisme social, positivisme juridique), elle n’a pas réussi à détruire l’ordre naturel des choses (elle ne peut que l’obscurcir) et à le déraciner entièrement du cœur et de l’esprit des hommes.

    Quels sont les camps qui au sein de la droite ne pourront qu’inévitablement se faire la guerre ?

    C’est au sein du camp classé à droite que passe la ligne de fracture entre les pensées classique et moderne. La première est de nouveau à l’offensive, tandis que la seconde est désormais sur la défensive. Voilà pourquoi il y aura la guerre. La droite classique est susceptible de retrouver son espace politique tandis que la droite moderne est en train de glisser vers le centre et d’envisager une alliance avec la gauche modérée(c’est la « grande coalition »). L’avenir d’une partie de la droite (la droite moderne), c’est de redevenir la gauche. Ce qui perturbe la compréhension de ce phénomène, c’est que la ligne de fracture ne passe pas entre les organisations partisanes mais en leur sein. Il y a, dans des proportions différentes, des partisans des deux philosophies dans tous les partis de droite, depuis le centre jusqu’au FN compris.

    La « guerre à droite », c’est donc, bien entendu, l’affrontement électoral entre les partis. Mais cette guerre là est quelque peu superficielle. La « vraie » guerre à droite est encore souterraine même si elle se révèle de plus en plus ouvertement : les distorsions au sein des partis apparaissent de plus en plus clairement (même si chacun d’eux cherche à maintenir en leur sein diverses tendances pour essayer de capter différentes strates électorales), la production intellectuelle qui se vend en librairie est clairement de droite (Villiers, Zemmour, Buisson et… moi, si vous permettez cette immodestie).

    La « vraie » guerre à droite, c’est l’affrontement idéologique entre les classiques et les modernes ou, si vous préférez, entre les réalistes d’un côté et les idéalistes ou utopistes de l’autre. Cette guerre va opposer la peuple de droite, la droite d’en bas, aux partis qui ont, eux, intérêt, au statu quo. Si elle est gagnée par la base, elle conduira à la recomposition du spectre politique de telle manière que le clivage entre partis recoupe les divergences doctrinales.

    Lire la suite "La recomposition du spectre politique se fera au-delà des partis et sur la base du clivage doctrinal"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Dénonciation et repentance de l'esclavage passé : Valls oublie de condamner l'esclavage actuel...

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    Dans le monde entier : Plus la couleur est foncée, plus l'esclavage moderne est présent 

    Pour oublier peut-être le triste spectacle qu'offre son pauvre parti - encore appelé « socialiste », mais où les condamnés et mis en examen ne se comptent plus... - Valls est parti prendre l'air en Afrique de l'Ouest (Togo, Ghana, Côte d'Ivoire...). Evidemment, il en a profité pour condamner l'esclavage, montrant sur ce sujet la même inculture, la même ignorance dont il avait fait preuve lorsqu'il avait évoqué - toujours « à l'étranger », qui, décidément, ne lui réussit pas... - une république française qui savait accueillir les étrangers.

    Bien sûr, condamner l'esclavage d'hier, tout le monde est d'accord là-dessus. Valls a peut-être cru que s'aplatir et faire la carpette, sur ce sujet, devant le politiquement-historiquement-moralement correct serait bénéfique pour sa cote de popularité.

    Mais il n'a oublié qu'une chose : oh, trois fois rien, une paille, direz-vous. Pourtant, ce trois fois rien, cette paille mériteraient amplement d'être dénoncés : l'esclavage d'aujourd'hui, encore pratiqué dans plusieurs  pays d'Afrique. Seulement, voilà, il y a un problème de taille : les pays où subsiste encore l'esclavage, aujourd'hui, sont des pays noirs, arabes et, pour la plupart, musulmans. Alors, là, évidemment, c'est silence radio.

    Critiquer les Blancs, les Chrétiens, l'Europe... pas de problème ! Mais, des Noirs ! des Arabes ! des Musulmans ! Vous n'y pensez pas, c'est interdit dans le Code du politiquement correct, qui prime sur tous les autres.

    Et pourtant ! Puisqu'il était proche de ce pays, comme on aurait aimé entendre Valls dénoncer le gouvernement mauritanien : là-bas, treize Mauritaniens noirs proches de l’Initiative pour la résurgence du mouvement abolitionniste ont été jugés pour « attroupement armé » et « rébellion »; jugés mais aussi torturés et condamnés à quinze ans de prison. Et, comme on aurait aimé, au moins, entendre Valls ne serait-ce que citer le nom de Biram Dah Abeid, la voix des esclaves modernes de la Mauritanie...

    En 2014, l’ONG Walk free estimait qu’il y avait encore 4 % d’esclaves en Mauritanie, soit environ 150 000 personnes, tout de même... : une paille, trois fois rien, on vous dit. Et, le 20 août 2015, Biram Dah Abeid, figure emblématique de la lutte contre l’esclavage, était condamné à deux ans de prison, pour en avoir réclamé la fin.

    Cela, soit Valls l'ignore, ce qui est grave pour un Premier ministre; soit il le sait, et il le tait. Et, là, c'est encore plus grave...  
     
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