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  • « A mort le flic » : Vont-ils oser mettre en prison le policier Sébastien Jallamion ?

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    Riposte laïque cliquez ici

    3734067889.jpgIl y a encore trois ans, Sébastien Jallamion était un policier sans histoire, en exercice depuis vingt ans, respecté par tous ses collègues. Sa vie a basculé lorsque les égorgeurs de l’Etat Islamique ont décapité le guide français Hervé Gourdel, et que Sébastien a décidé de réagir à cette exécution sur une page Facebook privée, en pointant la responsabilité du calife Baghdadi dans cette exécution barbare. C’est alors que le cauchemar a commencé.

    Dénoncé par une collègue musulmane, harcelé par sa hiérarchie, suspendu 2 ans de la police, puis radié définitivement, traîné devant les tribunaux comme un malfrat, condamné bien plus lourdement que les voyous multi-récidivistes, mystérieusement agressé et défiguré dans les rues de Lyon, voilà un homme qui, depuis trois années, subit une véritable descente aux enfers, et un harcèlement permanent des autorités policières, judiciaires et fiscales, qui paraissent ne poursuivre qu’un seul but : tuer, par tous les moyens, le policier Sébastien Jallamion.

    Le livre « A mort le Flic », que Sébastien a rédigé et que Riposte Laïque a décidé d’éditer dans l’urgence, se lit comme un roman policier. En 19 actes, écrits sobrement, comme un véritable rapport de police, l’auteur nous explique les différentes étapes qui conduisent à l’ahurissant dernier chapitre.

    Sébastien a été condamné par la Cour d’Appel de Lyon à 5.000 euros d’amende, que les juges appellent 200 jours amende à 25 euros. L’explication est simple : s’il est incapable, le 4 juillet (voir mise en demeure) d’acquitter les 5.000 euros, il ira 200 jours en prison, rien de moins ! Et quand on sait par qui sont fréquentées les prisons françaises, et le sort qu’on réserve aux policiers « infidèles », c’est à une véritable condamnation à mort physique à laquelle se livre l’Etat français, après avoir tué socialement un de ses policiers.

    Encore plus grave, à quelques jours de l’échéance, notre ami voit tous ses comptes bancaires bloqués, comme si l’administration faisait tout pour empêcher qu’au dernier moment, il puisse, bien qu’il n’ait pas le moindre centime d’avance, trouver une solution pour acquitter l’amende exorbitante exigée.

    Et comble du ridicule, il se trouve un juge d’instruction, à Dijon, qui veut entendre Sébastien Jallamion, et le mettre en examen, suite à la plainte d’un aumônier musulman accusé de proxénétisme. Autrement dit, ils veulent le mettre en prison le 4 juillet, et l’auditionner 3 jours plus tard, à des centaines de kilomètres de là ! cliquez ici

    Pour lui venir en aide, à notre façon, Riposte Laïque a donc décidé d’éditer au plus vite ce livre, qui sera disponible en fin de semaine. Il est interdit par la loi de faire des appels aux dons pour régler une amende ou des dommages et intérêts. Bien évidemment, nous allons vous tenir au courant de l’évolution de la situation, dans les heures qui viennent, sachant que les vrais Français ne peuvent laisser ce gouvernement envoyer à la mort un des nôtres sans réagir.

    Maître Frédéric Pichon, avocat bien connu des patriotes, a rédigé une belle préface qui commence ainsi : « Pour un avocat, le sort d’un homme confronté au rouleau compresseur inhumain de la justice, au déclassement social et l’opprobre médiatique est une raison suffisante pour se battre. Mais Sébastien Jallamion n’est pas qu’une « bête blessée ». C’est un patriote courageux qui a payé au prix fort le fait de dire tout haut ce que ses collègues de travail de la police nationale constatent tous les jours« .

    On ne peut évoquer le sort de Sébastien sans penser à celui de Ghislaine Dumesnil, aujourd’hui présidente des Editions Riposte Laïque, qui, pour avoir protesté contre l’islamisation de la RATP, est devenue la bête noire de cette entreprise, qu’elle a dû quitter pour sa propre sécurité. On ne peut que penser au harcèlement judiciaire que subissent Pierre Cassen et Christine Tasin, que les islamo-collabos veulent abattre par tous les moyens. Tous ceux qui refusent de laisser les soldats d’Allah nous imposer la charia sont victimes de persécutions dignes des pires pays totalitaires. Mais cette fois, cela va plus loin encore, comme si les autorités voulaient que le titre du livre « A mort le flic » devienne une réalité pour Sébastien Jallamion.

    En achetant ce livre, vous pourrez contribuer à aider Riposte Laïque à poursuivre son combat, et Sébastien Jallamion à payer, grâce à ses droits d’auteur, l’avocat qu’il va devoir prendre, pour sauver sa peau, tout simplement…

    Nous vous tiendrons bien sûr au courant de la suite de cette scandaleuse affaire.

    Chers compagnons, solidarité militante et patriotique !

    Pour commander ce livre cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • 75 députés LR (sur 100) se sont abstenus sur la confiance au gouvernement, seulement 23 "contre"

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    Le député LR qui a voté la confiance est Mansour Kamardine (Mayotte). Ne sont pas pris en compte dans cette liste les élus LR dissidents qui siègent au sein des "Constructifs" : 12 ont voté pour la confiance au gouvernement (dont Solère et Riester) et 23 se sont abstenus.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Invasion migratoire : l’Autriche prête à déployer l’armée

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    Malheureusement pour les autrichiens, ce déploiement de force ne servirait qu’à réguler les entrées sur leur territoire… L’Autriche se dit prête à demander l’aide de l’armée pour réguler l’afflux massif de migrants à ses frontières.

    “Je m’attends à ce que les contrôles aux frontières et une mission d’assistance (de l’armée) soient très bientôt requis”. C’est par ces mots que le ministre de la Défense autrichien, Hans Peter Doskozil, a affirmé sa volonté de rétablir les contrôles et déployer des soldats à sa frontière avec l’Italie si l’afflux de migrants ne ralentit pas. 750 soldats et quatre véhicules blindés “sont disponibles” et prêts à être envoyés dans la région frontalière dès ce week-end.

    Cette décision fait écho à une augmentation de 20 % des arrivées de migrants sur les côtes italiennes depuis le début de l’année. Soit 83 650 personnes de plus par rapport à l’année dernière. “Il n’est pas réaliste de penser que l’Italie ait la responsabilité de s’occuper du débarquement de tout le monde”, a déclaré à la presse l’envoyé spécial du HCR pour la Méditerranée centrale, Vincent Cochetel.

    Source
     http://www.contre-info.com/invasion-migratoire-lautriche-prete-a-deployer-larmee#more-45652 |

  • Les éoliennes industrielles et les citoyens (1/3)

    Face à l’accélération de l’implantation d’éoliennes industrielles sur le sol de nos régions et la connivence entre les groupes de pression avec les autorités publiques, la résistance s’affermit et prend des formes diverses : création d’associations de défense du patrimoine et des riverains, communiqués de presse, rencontres des politiques en ces temps électoraux, manifestations publiques, blocages de routes. Ces derniers mois trois auteurs ont publié des ouvrages importants sur les énergies renouvelables (ENR).

    Jean Louis Butré, président de la Fédération environnement durable (FED), a fait paraître : Eolien, une catastrophe silencieuse/Vers une France défigurée chez L’Artilleur.

    Alban d’Arguin a publié dans la collection Pourquoi : Eoliennes, un scandale d’Etat.

    Enfin, Michel Gay a lancé comme un défi : Au diable les énergies renouvelables.

    Ces trois livres prennent la question des éoliennes et des ENR sous des angles différents mais qui se recoupent largement.

    Polémia propose, sous la plume de André Posokhow, une recension de leur contenu sous la forme de trois articles :
    -les éoliennes et les citoyens ; les nuisances et les impacts sur l’environnement ;
    -les éoliennes, le bien commun et l’intérêt général ;
    -les éoliennes : l’expression d’une menace pour notre société et notre civilisation ?


    I

    Les éoliennes industrielles et les citoyens : les nuisances et les impacts sur l’environnement

    Environ 7000 éoliennes industrielles sont implantées sur le sol français à ce jour. Les pouvoirs publics souhaitent l’érection de 20.000 de ces machines. Si les objectifs de la transition énergétique étaient poursuivis ce seraient des dizaines de milliers qui affecteraient nos régions. Bien évidemment cette invasion ne peut pas ne pas avoir de conséquences sur les citoyens français, qu’ils soient consommateurs, contribuables et surtout citoyens.

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  • Exclusif - Michele Tribalat : les vrais chiffres [inquiétants] de l’immigration

  • A Versailles, Macron prononce le credo révolutionnaire

    Extrait de son discours d'hier devant les parlementaires réunis en congrès :

    [...] Je crois à cet esprit des Lumières qui fait que notre objectif à la fin est bien l’autonomie de l’homme libre, conscient et critique.

    Trop de nos concitoyens aujourd’hui se sentent encore prisonniers de leurs origines sociales, de leur condition, d’une trajectoire qu’ils subissent. Or l’enclavement, l’isolement, l’absence d’accès aux transports à toutes les formes des nécessités de ce siècle nouveau, assignent à résidence des millions de nos compatriotes.

    La liberté forte que nous avons à bâtir, c’est ce combat pour toutes les mobilités, ce combat pour les accès, ce combat pour que nul de nos concitoyens ne soit exclu des voies du progrès, du droit de faire, d’essayer pour échouer peut-être ou pour réussir.

    C’est le combat de la mobilité économique et sociale par le travail et par l’effort pour tous nos concitoyens, quel que soit leur quartier, leur prénom, leur origine. C’est le combat pour l’égalité pleine entre les femmes et les hommes. Ce beau combat dont notre pays a perdu il y a quelques jours, quelques jours à peine, une figure essentielle en Madame Simone VEIL.

    La liberté forte, c’est la liberté de choisir sa vie. Car la liberté est ce qui réconcilie précisément la justice et l’efficacité, la possibilité de faire et l’égalité vraie. La liberté d’expérimenter, de se tromper, d’essayer encore.On n’embarque plus dans son existence pour un voyage au long cours. Nos vies sont explorations, tentatives, recherche. Sachons inventer cette liberté-là avec les nouvelles protections individuelles qui l’accompagnent, en assurant l’éducation, la formation et les sécurités utiles aux grandes étapes de la vie, précisément pour construire une existence."

    Des Lumières à l'avortement légalisé, il y a effectivement la même notion de l'homme déifié, prométhéen, individualiste, l'homme qui choisit "sa vie" et non "la vie". Face à cela, Mgr Marc Aillet rappelle sobrement la réalité :

    Je prie pour Simone Veil, car "l'avortement n'est pas un moindre mal, c'est le mal absolu, le meurtre d'une vie innocente" (Pape François)

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Pour sauver la flore sauvage de Bretagne.

    Depuis que je suis né, si j'en crois la récente étude du Conservatoire botanique de Brest, « 16 % des espèces de la flore bretonne ont disparu ou sont menacées » : ainsi, une part des couleurs de ma province natale n'est plus que souvenir et certains pourraient croire que je vais me contenter d'une nostalgie rassurante pour apaiser l'angoisse d'un lendemain de moins en moins fleuri. Si, effectivement, je regrette cette jeunesse qui fut la mienne, dans une campagne littorale où l'on pouvait encore trouver quelques tortues dans les champs (qui s'en souvient ?) et des fossés pleins de petites fleurs aujourd'hui remplacés par des trottoirs souvent fort inesthétiques, il faut évidemment voir plus loin, et passer du constat au combat.

    Les raisons du dépérissement floral sont bien connues et il n'affecte pas que la Bretagne mais toutes les régions du monde, de façon plus ou moins brutale. Développement d'une agriculture très uniformisatrice par volonté productiviste et pour raison exportatrice, et très chimique, au risque de tuer toute nature sauvage considérée souvent comme inutile ou non commercialisable (donc non rentable) ; drainage des zones humides très riches en biodiversité (et dont les fleurs ne sont à la fois qu'un aspect et un maillon) et disparition des marais ; urbanisation, en particulier touristique et littorale, et surtout rurbanisation et grignotage des campagnes par un béton toujours plus envahissant, accompagné d'un gazon qui ne tolère pas les « mauvaises herbes » et éradique ces multiples petites fleurs qui troublent l'harmonie verdâtre de ces pelouses sans âme...

    Que faire face à cette situation ? D'abord, prendre conscience qu'il est possible d'agir et de freiner cette dégradation de la biodiversité florale, et les associations de préservation de la nature comme les pouvoirs publics, locaux ou nationaux, peuvent jouer un rôle d'avertisseur et de protecteur. Cette prise de conscience a déjà eu lieu dans de nombreux endroits de Bretagne où, comme à Lancieux, existent des zones protégées, exemptes d'habitation ou de routes goudronnées, que survolent nombre de papillons multicolores, reflet des fleurs du lieu. Mais il faut évidemment augmenter le nombre de ces zones et inciter agriculteurs et particuliers à conserver des espaces un peu sauvages dans lesquelles fleurissent ces plantes : la replantation de haies, un petit carré de céréales préservé de tout herbicide ou la création (ou la préservation) d'un petit étang, ces choses simples et mille fois répétées en tous les endroits de Bretagne sur de petites ou moyennes surfaces, sans même gêner les activités humaines (mais peut-être plus quelques activités spéculatrices et immobilières...), peuvent permettre une meilleure préservation de la flore locale et, dans le même temps, favoriser le maintien, voire le (re)développement d'une faune aujourd'hui tout autant menacée par les aspects envahissants de la société de consommation.

    Le Conservatoire donne lui-même quelques conseils, que Le Télégramme publie dans son édition du 29 juin : « « Nous savons que les prairies naturelles ou les zones humides abritent pas mal d'espèces menacées. Il faut tout mettre en œuvre pour en faire des zones protégées ». A ce titre, le conservatoire de Brest a établi plusieurs stations où des plantes rarissimes sont préservées. « Ces zones sont faciles à gérer. Il suffit de prévenir les propriétaires des terrains. En général, ils se sentent concernés et font tout pour nous faciliter la tâche. Ce qu'on leur demande est simple. Parfois, ça se résume à un coup de volant de tracteur, pour éviter d'écraser la zone ». » Cette responsabilisation sans culpabilisation des agriculteurs, et une bonne information des habitants comme des touristes sont les gages d'une heureuse diversité naturelle.

    Sans négliger le rôle que peuvent jouer l’État et les autorités publiques locales dans l'achat et la gestion de zones plus vastes (et pas seulement littorales) destinées à mettre en œuvre des politiques de réintroduction et de reproduction d'espèces aujourd'hui en grand danger de par leur proximité avec des zones trop urbanisées ou trop polluées. S'il est bien certain que la Monarchie disposerait d'un atout privilégié pour l'écologie en enracinant une politique environnementale dans le temps long de la continuité dynastique, n'attendons pas pour agir et soutenir toutes les initiatives qui favorisent le maintien et le renouveau de la biodiversité florale comme animale !

    Et gardons à l'esprit que « le désespoir en botanique est une sottise absolue » : une leçon d'espérance qui peut être étendue à d'autres domaines, bien sûr...

    Jean-Philippe Chauvin

    http://nouvelle-chouannerie.com/