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La France et les Français d’abord, illégitime?
Quelques milliers de personnes ont défilé hier à Paris pour le quarantième anniversaire de la fête communautaire née aux Etats-Unis, la Gay pride, baptisée Marche des fiertés lesbienne, gay, bisexuel, transexuel, transgenre (LGBTI). Le défilé, toujours aussi sponsorisé, caricatural et vulgaire, ce qui fait fuir nombre d’homosexuels, était placé cette année sous le thème principal de la revendication de la procréation médicalement assistée (PMA) pour tous, promise par le candidat Macron. Étaient présents les habituels groupuscules extrémistes, la France insoumise qui participe « l’organisation » de ce rassemblement, mais aussi un groupe estampillé LGBT-En Marche. Une initiative diversement appréciée par les militants homosexualistes les plus radicaux qui ont souligné la présence de quatre ministres anti-mariage pour tous dans l’équipe Macron-Philippe: Jacqueline Gourault (MoDem), nommée ministre auprès du ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, les ex LR Bruno Le Maire, Gérald Darmanin, Jean-Baptiste Lemoyne. Dans leur ligne de mire figure aussi le nouveau député LREM Olivier Serva qui en 2012, faisant état de ses convictions chrétiennes, qualifiait l’homosexualité « d’abomination ». Pour autant, outre le socialiste Benoit Hamon, Marlène Schiappa, secrétaire d’État chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes et Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État chargé du Numérique, participaient aussi au cortège. Emmanuel Macron s’est fendu d’un tweet de soutien qui se passe de commentaires : «La France est arc-en-ciel. Nous sommes riches de nos diversités, soyons en fiers! ». Nous sommes loin ici des enseignements du philosophe Paul Ricoeur… mais Paris vaut bien une messe ?
Le JDD revient pour sa part sur la démission de l’ex MoDem, Sylvie Goulard, éphémère ministre des Armées du gouvernement d’Edouard Philippe, suite à l’affaire des assistants parlementaires européens du parti de François Bayrou, son départ ayant entraîné celui de ce dernier et de Marielle de Sarnez. Mme Goulard avait choqué l’ex député LR Jacques Myard en lui avouant qu’elle «ne (se sentait pas) française ». Le JDD évoque les craintes éventuelles de Mme Goulard de «devenir la cible de nouvelles attaques ». « Le Canard enchaîné évoquait cette semaine des ménages quand elle était eurodéputée. Sur sa déclaration d’intérêts au Parlement de Strasbourg, Sylvie Goulard mentionne d’elle-même un poste de conseiller spécial auprès de l’Institut Berggruen pour des revenus supérieurs à 10.000 euros mensuels. Selon nos sources, via sa propre société de conseil, elle a été rémunérée par cet institut d’octobre 2013 à janvier 2016. Tout était déclaré et ces sommes étaient brutes, insiste un proche de l’ancienne ministre. Créé et financé par Nicolas Berggruen, fils du richissime marchand d’art Heinz Berggruen, l’institut Berggruen, dont le siège est en Californie, est une organisation à but non lucratif chargée de réfléchir aux systèmes de gouvernance. Sylvie Goulard, qui se destinait au Quai d’Orsay, a-t-elle été bien inspirée d’être appointée par cet organisme pendant plus de deux ans, pour près de 300.000 dollars ? Le Berggruen fait la promotion de l’Union européenne et contribue au débat d’idées, jure-t-elle, parlant d’un non-sujet“… à plus de 10.000 dollars par mois. »
Un non-sujet aussi paraît-il, à en croire les instances de la France Insoumise, les déclarations récentes de Danièle Obono, élue député mélenchoniste de la 17e circonscription de Paris le 18 juin. Invitée mercredi de l’émission Les Grandes Gueules sur RMC, Mme Obono a été interrogée sur la pétition de soutien qu’elle a signée en 2012 pour prendre la défense du rappeur Saïd, du groupe ZEP (Zone d’Expression Populaire), dénoncé pour sa chanson crachant sur l’histoire de notre pays qualifié de raciste, de colonialiste, intitulée «Nique la France». Une pétition signée alors par le gratin de l’extrême gauche immigrationniste, par Olivier Besancenot, Noël Mamère, et des mélenchonnistes comme Clémentine Autain et Eric Coquerel, tous deux également élus à l’Assemblée il y a une semaine.
Mme Obono, gauchiste revendiquée, proche du groupuscule extrémiste et communautariste des Indigènes de la République , s’est justifiée sur le plateau de RMC en invoquant son souhait son de «défendre la liberté d’expression de ces artistes». Après tout ce n’est pas ligne de défense la plus sotte si l’on part du principe que la liberté d’expression ne se divise pas et qu’elle devrait permettre à chacun d’énoncer ses convictions. Nous savons pourtant ce qu’il en est dans les faits… Mais de manière encore plus problématique , à la question du journaliste Alain Marshall lui demandant si elle est capable de dire «Vive la France», Mme Obono s’est braquée. «Je peux dire vive la France, mais pourquoi, en soi ? Vous voulez que je me mette au garde-à-vous et que je chante la Marseillaise ?» a répondu l’élue mélenchoniste . «Vous signez plus facilement nique la France que vous ne dîtes vive la France», souligne alors l’un des invités.
Jean-Luc Mélenchon, n’a pas perdu ses réflexes de grand oriental socialo-trotskiste pour fustiger immédiatement le «machisme», le «racisme» dont serait victime Danièle Obono de la part des «chiens de garde médiatiques». Son collègue Eric Coquerel, coordinateur du Parti de gauche, député de Seine-Saint-Denis, en a rajouté une couche vendredi sur France Info. « Ce qui m’étonne c’est que, depuis 2012, ni moi, ni Olivier Besancenot, on ne nous a jamais parlé de cette affaire. Et Danièle Obono, on lui en parle. Je vais vous dire pourquoi je pense qu’on lui en parle : parce qu’elle est noire ! » s’emporte le camarade Coquerel
Non! Ce n’est pas parce qu’elle est noire mais parce que Mme Obono est désormais pour une élue de la République Française qui sera rémunérée comme ses autres collègues par les contribuables français au cours de son mandat, parce qu’elle siégera à l’Assemblée nationale dans une période de périls, au moment ou la France est attaquée, menacée peut-être comme jamais dans son identité et sa souveraineté.
L’argument du racisme, assez pitoyable a aussi été utilisé par des candidats de LREM battus le 18 juin, en rejetant la faute sur les méchants Français. « Aziz S’Kalli-Bouaziza, battu par le socialiste Alain David dans la 4e circonscription de Gironde (…) accuse une conjonction de facteurs ». Au nombre de ceux-ci il affirme que « dans la 3e circonscription de Gironde voisine, mon camarade Marik Fetouh aussi a été éliminé. Ça interroge sur un rejet de la diversité. Vous savez, on est dans un territoire de banlieues avec beaucoup de problèmes sociaux. Les électeurs sont démobilisés ou tentés par les extrêmes. Ça a joué contre nous.»
Mais qui joue pour la France et les Français d’abord ? Et à cette aune, Bruno Gollnisch le soulignait sur twitter, le moins que l’on puisse dire est qu’Emmanuel Macron, lors du Conseil européen à Bruxelles des 22 et 23 juin, n’a réussi à imposer aucune des demandes françaises, notamment sur les travailleurs détachés, toutes rejetées par la patronne Angela Merkel.
Sur le front de l’immigration, malgré les rodomontades d’un Gérard Collomb annonçant qu’il entendait couper les routes aux passeurs, empêcher l’installation d’une nouvelle jungle d’immigrés clandestins à Calais, M. Macron s’est livré à un plaidoyer pour l’accueil de l’immigration planétaire lors de sa conférence de presse bruxelloise. « Nous devons accueillir des réfugiés car c’est notre tradition et notre honneur. Et je le redis ici, les réfugiés ne sont pas n’importe quels migrants. Ce ne sont pas les migrants économiques, ce sont des femmes et des hommes qui fuient leur pays pour leur liberté ou parce qu’ils sont en guerre ou pour leurs choix politiques. Nous devons ainsi faire preuve de solidarité quand un de nos voisins fait face à des arrivées massives de réfugiés ou de migrants. » Derrière l’utilisation de la novlangue, des mots clés et des formules employées pour endormir le chaland, la preuve est apportée que dans ce domaine-là également, c’est bien la catastrophique politique migratoire des prédécesseurs de M. Macron qui est poursuivie sans barguigner.
https://gollnisch.com/2017/06/26/l-a-france-francais-dabord-illegitime/
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Rassemblons nous pour rester en vie !
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Madame Veil ou l’ambiguïté des hommages funèbres
Bernard Plouvier
La propagande a pour rôle premier de fabriquer des légendes, les mythes fondateurs d’un régime ou, plus simplement, les icones d’un système politique. Il faut des héros et des traîtres, voire des personnages sataniques, à glorifier ou à diaboliser.
Simone Veil, morte, devient « une conscience », « un exemple à suivre pour la jeunesse française ». Pourquoi pas, après tout. Encore faut-il préciser ce qu’il y eut d’exemplaire chez elle : l’intégrité financière d’une politicienne. C’est un fait assez rare pour être souligné et salué.
Or ce n’est manifestement pas son honnêteté qui est fêtée, contre toute logique. C’est son rôle dans le vote de la Loi du 17 janvier 1975 qui est jugé digne d’éloges… et, là, on ne peut que s’indigner. Cette loi a légalisé l’avortement de complaisance (si l’on préfère : l’interruption volontaire de grossesse pour convenance personnelle).
Rabbins et parents juifs traditionnalistes répètent à l’envi aux jeunes Juifs que se marier hors de la Nation juive, soit : s’offrir une union mixte (Juif-Goy), c’est réaliser un « Auschwitz miniature » (variante : « à échelle familial »). Et nul pitre des media n’ose donner quelle que publicité que ce soit à cette outrance verbale, qui traîne avec elle des relents de racisme matrimonial.
En revanche, lorsque les opposants à la Loi Veil ont usé du même argument, dans les années 1970, l’on a crié au scandale, à la profanation. Pourtant c’était bien d’un crime contre la Nation française qu’il s’agissait, comme l’original était un crime contre la Nation juive (mais aussi contre les Nations polonaise, tzigane, etc).
Bien plus, on en est venu à faire rembourser intégralement par la Sécurité sociale un geste criminel qui prive la Nation française de centaines de milliers d’enfants, pour la plupart issus d’une génitrice de race européenne.
Le crime de l’avortement de complaisance porte en soi un risque de génocide. Et pour que notre bonheur soit parfait dans notre « meilleur des mondes », l’on fait venir des centaines de milliers d’extra-Européens pour éviter une chute dramatique de la consommation intérieure, qui amoindrirait les bénéfices des producteurs, des intermédiaires et des distributeurs.
Il est temps de réfléchir au désastre que furent, pour notre société, les séquelles de l’esprit soixante-huitard. Il est grand temps d’en revenir au schéma traditionnel, où la Famille, donc les enfants, est une valeur aussi fondamentale que le Travail et le respect de la Patrie (la Terre des Pères).
N'oublions pas que derrière "Simone Veil, une femme politique intègre", il y a "Simone du déclin"...
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BRETAGNE, SAMEDI 8 JUILLET : TOURNOI DE FOOT DU GUD
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Marine Le Pen écarte Sophie Montel, proche de Florian Philippot et adversaire de la ligne Marion.
Marine Le Pen vient de retirer à Sophie Montel son titre de présidente du groupe FN au conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté et elle vient de suspendre deux conseillers de la même région, Julien Acard et Antoine Chudzik, proches de Sophie Montel. Tous des soutiens de poids de Florian Philippot. Sophie Montel était montée en ligne contre Marion pour soutenir l’avortement et elle a remis le couvert dernièrement à propos de l’immigration qu’elle juge « anxiogène » . Il s’agit d’un véritable camouflet pour le N°2 du FN, Florian Philippot dont Marine Le Pen a été bien mal inspirée de suivre les conseils stratégiques lors de son débat de l’entre-deux-tours des présidentielles. Il semblerait également que ce soit le frère de Florian Philippot, Damien, qui ait été à l’origine du plagiat du discours de François Fillon qui avait fait beaucoup de bruit la dernière semaine avant les élections présidentielles. Ces recadrages interviennent alors que le congrès sur la « refondation » du FN doit se tenir en février ou mars 2018.
Sophie Montel avait aussi lancé sur Twitter un sondage public, largement provocateur : « Souhaitez-vous que le FN parle de : 1/ identité et musulmans ? 2/ tous les sujets ». Provocation à laquelle Marine Le Pen avait répondu par la voie de son compte personnel « anne lalanne »: « Le travail de réflexion nécessaire ne fait pas bon ménage avec la provocation grossière… » Sophie Montel avait également soutenu avec fracas Florian Philippot Lors du bureau politique du 20 juin dernier.
« C’est un rappel à l’ordre en règle », explique à « l’Obs » un cadre frontiste pour expliquer cette série de trois sanctions: « Ce sont des trolls, c’est tout. Et la provocation, ce n’est pas constructif. Suffit-il de rappeler que 99,9% de nos militants estiment que l’immigration n’est pas un sujet anxiogène mais important ? »
Des deux autres conseillers régionaux suspendus, Julien Acard avait écrit un long texte proclamant « le Front national est mort » et Antoine Chudzik avait critiqué sur sa page Facebook la gestion logistique de la campagne des élections législatives.
L’affaire semble actée puisque d’après Le Monde, Nicolas Bay a demandé vendredi 30 juin aux conseillers régionaux frontistes de Bourgogne-Franche-Comté de constituer un nouveau groupe, au sein duquel Sophie Montel serait écartée de la présidence, puisqu’elle continuait de maintenir ses deux amis conseillers régionaux en place comme si de rien n’était. Diverses réflexions concordantes de Nicolas Bay, le secrétaire général du Front national, montrent son agacement concernant la ligne Philippot.
Sophie Montel, de son côté, a déclaré à l’AFP que « la machine est enclenchée » pour sa suspension du parti et rappelle que « ce n’est pas faire preuve d’une grande finesse que de s’en prendre à quelqu’un qui a fait preuve de sa loyauté depuis 30 ans, et qui a déposé 19 signalements » indique-t-elle à l’Obs. Ces signalements ont notamment enclenché une enquête judiciaire contre le Modem sur des soupçons d’emplois fictifs.
Sophie Montel est vice-présidente de l’association que Florian Philippot vient de créer au grand dam de Marine Le Pen, « Les Patriotes »… Le Front national se dirige-t-il vers une scission ? Florian Philippot plaide pour une réconciliation dans la presse, comme s’il voulait se donner le beau rôle avant peut-être, de franchir le Rubicon.
Ce rebondissement démontre que les choses ne sont pas aussi simples qu’il n’y paraît au sein du Front national. A suivre.
emiliedefresne@medias-presse.info
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Têtes à Clash n°9 : la fin d'une longue séquence politique...Les Français épuisés ?
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"La Monarchie pour une vraie démocratie". Partie 4 : La Monarchie libératrice et médiatrice.
Les royalistes sont des serviteurs exigeants des libertés locales et professionnelles, et ils développent une forme de « libertalisme » (la doctrine royaliste des libertés au pluriel, conjugué à l'esprit de liberté sans conformisme et au-delà du « désordre établi ») que la République, même en se proclamant démocratique, a bien du mal à accepter, craignant toujours sa remise en cause et la perte de ses « privilèges » parfois bien mal acquis. Au Banquet du Groupe d'Action Royaliste du 18 juin dernier, j'ai rappelé la nécessité, pour qui aime la liberté et souhaite celles qu'il qualifie de « démocratiques », d'une Monarchie qui aille beaucoup plus loin en ce sens « libertal » que ne pourra jamais le faire une République issue des jeux politiciens ou électoraux.
Nous, royalistes, voulons les démocraties locales (et c'est bien le pluriel qui s'impose), les « républiques françaises », celles qui donnent aux citoyens le pouvoir de décision pour ce qui leur est le plus proche : la région ou la province, la commune ou le quartier, l'usine, l'université, voire même le lycée. C'est d'ailleurs une constante du combat royaliste car, dans les années 1920-30, les étudiants monarchistes évoquaient la défense des libertés universitaires mises à mal par la République, tandis que, dans les années 1970, les lycéens d'Action Française lançaient l'étrange formule du « Tiers-Pouvoir lycéen » et le journal AF-Université titrait « Communes, libérez-vous ! ».
Ces communautés de proximité, aussi bien affectives que professionnelles, se trouvent, dans la conception royaliste qui est la nôtre, sous l'arbitrage et le contrôle de dernier recours de la magistrature suprême de l’État, de cet État royal qui ne cherche pas à imposer des règles décidées d'en haut, de Paris et de son Pouvoir jacobin ou centraliste, mais simplement à ordonner les pouvoirs à l'intérêt commun, à ceux des « pays réels » mais aussi à éviter les débordements et les atteintes dangereuses à l'unité profonde et nécessaire des « provinces-unies du royaume », selon l'expression de Maurras, et parfois à les réunir sous sa houlette sans les opposer entre eux... La Monarchie est libératrice, et elle est, essentiellement, médiatrice...
Référendum à initiative populaire ou locale (ou les deux à la fois) ; institutions et élites communales, provinciales et professionnelles renforcées ; autonomie de celles-ci tant qu'elles ne fracturent pas l'unité de la nation historique : en somme, la Monarchie, c'est la confiance de l’État royal central dans la responsabilité de chacun !
Tout cela peut prendre de multiples formes, mais ce n'est pas à l’État de décider celles que prendront les provinces : l'organisation de la Bretagne, celles de la Normandie ou de la Corse, de l'Alsace et de la Franche-Comté, seront ce que les régions en feront, librement et souverainement. Voilà la vraie subsidiarité, inscrite dans le traité européen de Maëstricht mais oubliée dans la réalité ! Et l’État royal n'est que le trait d'union entre les provinces, les communautés (au sens historique et enraciné du terme, pas au sens du repli sur soi propre au communautarisme, caricature parfois sinistre de la vie communautaire traditionnelle), les citoyens... Ce n'est pas la barre de fer du jacobinisme parisien ou son carcan kafkaïen !
Oui, pour rendre active la vie locale de nos « pays réels » et rendre leurs libertés et pouvoirs aux personnes dans leurs lieux de vie et de création, de production, il faut une royauté forte, politique, qui porte haut et loin les couleurs de notre pays et de son histoire, y compris dans ses aspects provinciaux et, parfois, antagoniques ; une royauté qui, comme le disait le Camelot du Roi Bébert de Maubert dans les années 1980, nous « lâche les baskets » pour que nous puissions bondir plus haut...
En somme, dans une Monarchie retrouvée, aujourd'hui de plus en plus nécessaire face à la mondialisation de la servitude économique et à la gouvernance oligarchique, dans le grand concert des libertés françaises, le Roi est, encore et toujours, le chef d'orchestre qui peut nous éviter la cacophonie... Il est ce « un », héréditaire et successible, qui autorise les « anarchies nécessaires », véritable foisonnement de libertés qui permettent la respiration démocratique de notre pays en tous ses coins et recoins.
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DIMANCHE 1ER OCTOBRE : 11E JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE
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LYON, SAMEDI 15 JUILLET, MANIF DE SOUTIEN AU BASTION SOCIAL