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  • L’Afrique du Sud veut accélérer les expropriations de terres agricoles des Blancs

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    Un racisme brutal et spoliateur, clairement affiché, qui ne choque nullement la communauté internationale. Parce qu’il vise les Blancs ?

    Et une fois les Blancs partis, l’Afrique du Sud va-t-elle finir comme l’Algérie ex-française, c’est-à-dire pauvre ?
    « Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a annoncé que son parti allait chercher à modifier la Constitution pour accélérer l’expropriation sans compensation des terres arables et leur redistribution en faveur de la majorité noire et pauvre du pays. […]
    « Il est devenu évident que notre peuple veut que la Constitution soit plus explicite à propos de l’expropriation des terres sans dédommagement », a déclaré le président.
    Une grande partie des terres les plus productives d’Afrique du Sud appartient toujours aux fermiers blancs qui contrôlent [sic] 73 % des terres arables, 24 ans après la fin de l’apartheid.
    Ce sont ces terres qui pourraient être saisies de force et transférées la population noire.
    La question de savoir s’il faut prendre ces terres sans indemniser les propriétaires actuels est de loin le problème qui divise le plus l’Afrique du Sud. »
    Source et suite Le Point
    http://www.contre-info.com/lafrique-du-sud-veut-accelerer-les-expropriations-de-terres-agricoles-des-blancs#more-53193

  • Les héros de Macron, ou la préférence étrangère

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    Macron est bien à l'image du régime qu'il sert, comme ses prédécesseurs, dénoncé ainsi par Maurras : "la république en France est le règne de l'étranger".

    La preuve : il fait de Mamoudou Gassama son héros, il couvre et affirme être responsable des agissements de son sbire Benalla, mais il jette le voile pudique d'un silence jupiterien sur le meutre d'un vrai héros français, Adrien Perez, poignardé en s'opposant à l'agression d'un jeune couple par Younes El Habib et Yanis El Habib, entre autres "chances pour la France".

    On n'a en effet encore entendu aucun message de compassion audible de la part de nos "gouvernants", ni de leurs larbins de la majorité parlementaire...

    On voudrait faire monter les tensions entre habitants de ce pays qu'on ne s'y prendrait pas autrement... L'oligarchie et la République se sont toujours nourris de sang français. Dieu nous délivre de cette engeance !

    Paula Corbulon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

     

  • « Pour rester en Syrie, Lafarge a financé Daech et sacrifié ses salariés syriens »

    Entretien avec l'avocate Marie Dosé

    D’après les révélations du Monde, de juillet 2012 à septembre 2014, le groupe cimentier français Lafarge aurait maintenu son usine syrienne de Jalabiya en payant un tribut à divers groupes djihadistes dont l’Etat islamique. Poursuivi pour complicité de crimes contre l’humanité et travail incompatible avec la dignité humaine, Lafarge doit aujourd’hui prendre des comptes. Entendu comme témoin fin juillet, l’ex-ministre des Affaires Etrangères Laurent Fabius dit tout ignorer du dossier. Pour nous aider à y voir plus clair, Marie Dosé, avocate de l’association Sherpa, partie civile dans l’affaire, a répondu à nos questions. Entretien.

    Daoud Boughezala. Vous défendez l’association Sherpa qui se fixe pour mission de « protéger et défendre les populations victimes de crimes économiques ». Mais dans le procès contre le groupe cimentier Lafarge en Syrie, il s’agit carrément de complicité de crimes contre l’humanité perpétrés par l’Etat islamique. Que reprochez-vous à Lafarge ?

    Marie Dosé. Il est établi qu’entre juillet 2012 et septembre 2014, le cimentier Lafarge ne pouvait pas rester en Syrie sans financer plusieurs groupes terroristes, dont Daech. Pour que la cimenterie de Jalabiya maintienne ses activités, il a bien fallu, par exemple, qu’elle achète du pétrole à Daech. En commerçant avec l’État islamique, Lafarge lui a fourni des moyens de commettre des crimes contre l’humanité.

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  • Lancement des Gay Games avec le soutien du gouvernement et l’argent des contribuables

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    Ce matin, à Paris, sur le parvis de l’hôtel de Ville, quelques politiciens se pressaient pour l’inauguration des Gay Games, jeux olympiques LGBT.

     

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    C’est tout de même paradoxal de voir un lobby qui pleurniche du matin au soir sur la discrimination dont il serait victime et qui a ensuite pour obsession d’organiser des événements communautaristes pour faire sa promotion.

    Ce rassemblement international bénéficie d’un total soutien gouvernemental.

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  • François d'Orcival : « Un 1er mai peut en cacher un autre. Le 1er mai, le vrai, qu'en est-il ? »

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    Paris, 1er mai 2018, boulevard de l'hôpital, au bout du pont d'Austerlitz

    Ce qu'écrit ici François d'Orcival [Figaro magazine du 3.07] mérite attention. Il y dénonce en effet « un scandale d'État d'une tout autre dimension » que l'affaire déclenchée par « la faute grossière » d'un « chargé de mission de l'Élysée ». Cette dernière affaire a fait l'objet d'une campagne médiatique, d'une agitation parlementaire souvent grotesque et  d'un retour à l'offensive purement politicienne des partis, qui rappellent les heures les plus sombres des IIIe et IVe républiques. En revanche, le scandale - endémique et gravissime celui-là, que François d'Orcival pointe ici - est soigneusement tu ou minoré. Mais il y a encore d'autres scandales véritables et fondamentaux ceux-là, tel le stupide projet de suppression du mot « race » de notre Constitution voté par le Parlement, ou telle la récente dépénalisation de l'aide aux migrants clandestins décidée par le Conseil Constitutionnel, sous le fallacieux prétexte du principe républicain (sic) de fraternité. Un arbre peut cacher la forêt. En voilà des scandales d'État. Des scandales contre la France et la civilisation.   LFAR

    Un 1er mai peut en cacher un autre. De celui de M. Alexandre Benalla on sait tout, minute par minute, image par image. Mais l'autre 1er mai, le vrai, qu'en est-il ? Pourquoi, le soir de cette journée de défilés, les communistes réclamaient-ils déjà une commission d'enquête ? Parce qu'ils accusaient le ministre de l'Intérieur et le préfet de police de Paris d'avoir, non pas couvert des violences policières, mais laissé le cortège syndical dégénérer en un « 1er mai des black blocs » !

    D'avoir sous-estimé la capacité destructrice des 1200 casseurs cagoulés décidés à en découdre, et retenu l'action des CRS devant l'ultra-violence, les feux d'artifice tirés à bout portant et l'explosion des vitrines. Les porte-voix de l'opposition dénonçaient alors ce « jamais vu », cette « faillite de l'État », ce « défi à l'autorité ». Et puis ? Le préfet de police précisait l'autre jour qu'il avait fait procéder à 280 interpellations, à 109 gardes à vue. Pour quelles sanctions ? Il n'y a pas eu de commission d'enquête. On ne le saura pas.

    Ce 1er mai a été suivi par une « fête à Macron », le 5, sans « black blocs », puis par d'autres manifestations jusqu'à la « marée populaire » du 26 mai qui faisait pschitt. En était-ce fini des vitrines brisées et des voitures incendiées ? Cela recommençait de plus belle la nuit du 14 juillet, et celle du 15, après la victoire de la Coupe du monde. Malgré un dispositif impressionnant de quelque 110.000 gendarmes et policiers, de 44.000 sapeurs pompiers, on allait dénombrer 845 véhicules incendiés à Paris et en province ; on avait laissé dévaster et piller le Drugstore des Champs-Élysées, le magasin Intermarché de l'avenue de la Grande-Armée, etc...

    Le ministère de l'Intérieur annonçait 508 gardes à vue le 14 juillet, 327 interpellations le 15. A quoi cela servait-il d'autre qu'à grossir des fichiers si les individus en cause n'étaient pas dissuadés de recommencer ? Gérard Collomb se félicitait de ce que cela ne concerne qu'une « infime minorité ». Encore heureux !

    Mais c'est cette infime minorité dont le citoyen entend être protégé. On a fait un scandale d'État d'une faute grossière commise par un « chargé de mission » de l'Élysée, ce serait un scandale d'État d'une tout autre dimension que l'exécutif ne réponde pas de son impuissance à garantir la sécurité publique. Il paraît que les rappels au règlement des députés l'exaspèrent. En voici un de plus. 

    A lire aussi dans Lafautearousseau ...

    « Race », un mot qu’il faut chasser de l’expression orale ou écrite

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • L'erreur humaine, la nouvelle excuse bidon du gouvernement pour ceux qui profitent du système à des fins personnelles

    6a00e008d941698834022ad3a639f1200b-300wi.pngHonteuse impunité et énorme marque de mépris pour les Français :

    "Édouard Philippe a reconnu une "erreur humaine" et annoncé un "réexamen" des procédures après une invitation en mai à une dédicace du livre de Marlène Schiappa envoyée par le service de presse du secrétariat d'État à l'Égalité entre les femmes et les hommes.

    Dans une lettre adressée à Anticor, que l'association anticorruption a rendu publique ce jeudi 2 août, le Premier ministre assure que "depuis lors, les procédures présidant à l'utilisation du fichier des contacts presse du Secrétariat d'État ont été réexaminées". "Tout envoi par le service de presse est désormais doublement validé par la hiérarchie du cabinet", précise-t-il dans ce courrier daté de mercredi.

    Dans un mail daté du 22 mai et dont l'AFP était destinataire, le service de presse du secrétariat d'État adressait une "invitation" au "lancement du livre de Marlène Schiappa 'Si souvent éloignée de vous'", organisé dans une librairie par sa maison d'édition, Stock.

    "On a utilisé le fichier et les moyens de l'État. Cela pose un problème pénal, de 'détournement de finalité de fichier' (délit passible de cinq ans d'emprisonnement et 300.000 euros d'amende), mais aussi un problème déontologique", avait estimé Anticor. L'association avait alors saisi le Premier ministre et la Commission nationale de l'informatique et des libertés .

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Une industrie française désormais sans munitions…

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    Bruno Le Maire salue le sauvetage d’une centaine d’emplois à la suite de la reprise de Manurhin, implantée à Mulhouse depuis 1919, par un groupe des Émirats arabes unis.

    C’est le tribunal de grande instance de Mulhouse qui a donné cette pépite aux émirs, alors qu’il y avait d’autres candidats à la reprise, dont un Français, un Belge et un Slovaque.

    EDIC, le groupe émirati en question, va injecter 10 millions en capital, puis 35 millions pour les investissements nécessaires. Mais EDIC ne reprend pas le passif. 45 millions, ce n’est pourtant pas « la mer à boire », c’est le prix d’un international de football !

    Manurhin, c’était le fabricant des flingues des policiers français. Manurhin, c’était devenu un nom commun pour désigner les armes des policiers, comme Frigidaire pour nos réfrigérateurs. Le « top du top » en marketing quand le nom d’une marque devient un nom commun. Seulement, les policiers français ne sont plus équipés de Manurhin depuis belle lurette.

    Alors, l’affaire a cédé son activité « armes de poing » pour se concentrer sur celle de machines à fabriquer des munitions. Elle est le numéro 1 mondial de ce secteur d’activité, 100 % de son chiffre d’affaires est réalisé à l’export. Cette belle pépite a un savoir-faire rare et un carnet de commandes de 100 millions.

    Les responsables de ce massacre, qui sont-ils ?

    Certainement pas les actionnaires alsaciens qui ont maintenu « à bout de bras » cette belle affaire qui, aux dires du PDG, a formé tout un tas de jeunes capables de garder ce beau know-how. D’après la direction, les responsables, ce sont tout simplement les banques qui ont coupé tout crédit et qui ont refusé tout nouveau financement (en raison, murmure-t-on, de la présence de cet actionnaire slovaque), ce qui a précipité le déclin de l’entreprise faute de… munitions financières !

    Une entreprise tellement belle que les émirs se sont précipités pour faire une offre alléchante. Ils vont tranquillement « pomper » notre expertise en matière de fabrication de machines à produire des munitions. Avec la bénédiction de Bruno Le Maire, qui devient, décidément, le grand spécialiste du « bradage » de nos rares fleurons industriels (voir STX France) et qui « se félicite » de voir des emplois rester en France, alors que les navires sont passés sous pavillon étranger.

    Et Manu, il fait quoi ?

    Rhin.

    C’est vrai que les armes à feu, c’est son « pote » Benalla qui est un grand spécialiste, et que les munitions de petit calibre ne sont pas considérées comme faisant partie de la souveraineté nationale.

    Patrick Robert

    http://www.bvoltaire.fr/une-industrie-francaise-desormais-sans-munitions/